L'Océanie estpeuplée depuis des millénaires par différents groupes ethniques, dont lesAborigènes d'Australie et lesPapous. Outre l'anglais et le français, langues dominantes en Océanie depuis la colonisation, les deux principaux groupes linguistiques parlés sont leslangues papoues et leslangues austronésiennes. Huit des dix plus grandes villes d'Océanie se trouvent en Australie, dontSydney etMelbourne, qui concentrent à elles seules près d'un quart de la population du continent. Cinq autres villes comptent plus d'un million d'habitants :Brisbane,Perth,Auckland,Adélaïde etHonolulu.
Le néologisme français « Océanie » vient du motocéan. En 1804, le géographe français d'origine danoiseConrad Malte-Brun (1775-1826) propose le nom d'« Océanique » pour l'Australasie et laPolynésie deCharles de Brosses, dans son traité deGéographie mathématique, physique et politique publié avecEdme Mentelle[5]. Malte-Brun reprend et réaffirme l'appellation « Terres océaniques » en 1810[6] et 1812[7][source secondaire nécessaire]. Le nom même d’Océanie est inventé par le cartographeAdrien-Hubert Brué pour la carte qu’il publie en 1814, et dont le titre complet est :« Océanie, ou cinquième partie du monde, comprenant l’archipel d’Asie, l’Australasie et la Polynésie (ou le continent de la Nouvelle Hollande et les îles du Grand Océan) »[8].
Au début duXIXe siècle, l'Australie, qualifiée d'île-continent, est intégrée en tant que partie continentale au vaste ensemble d'îles du Pacifique regroupé sous le terme d'Océanie. Cela est un paradoxe car « continent » vient dulatincontinere (« tenir ensemble ») et désigne « une très grande masse de terres entourée par des océans » ou « une vaste étendue de terre d'un seul tenant ». Les géographes européens qui ont découpé le monde en cinq parties (Europe - Asie - Afrique - Amérique - Océanie, l'Antarctique étant considérée comme un continent seulement depuis le milieu duXIXe siècle, ce découpage apparaissant aujourd'hui entaché d’européocentrisme[pourquoi ?])[8] faisaient bien la distinction entre les deux termes de « continents » et de « parties du monde », mais le second terme est devenu désuet, si bien que l'usage quasi exclusif du mot « continent » a rendu paradoxal le nom d'Océanie. Les géographes font désormais la confusion entre Océanie comme partie du monde et comme continent, et ont de plus introduit, par l'entremise des géologues, le terme decontinent australien[9]. Pour l'historienne françaiseClaire Laux (2011), l'Océanie est« un concept un peu désuet »[10].
Le genre féminin s'accorde au genre des autres parties (Europe, Afrique…). L'adjectif et le substantif « océanien » apparaissent dès 1845, preuve du succès de cette invention[11]. Les spécialistes de l'Océanie sont appelés océanistes[Note 1].
Affiche du film de 1926Aloma of the South Seas (Aloma des Mers du Sud). Le terme« Mers du Sud » reflète une vision européenne et coloniale sur l'Océanie.Carte australienne de 1914 montrant l'Australie, laChine, leJapon « et le Pacifique Sud ».
Dans les années 2000, lagéopolitique accorde une grande importance à l'« aire Pacifique », mais cette zone concerne surtout lespays bordant l'océan Pacifique : l'Asie de l'Est et du Sud-Est d'un côté, et l'Amérique de l'autre, avec des grandes puissances comme lesÉtats-Unis et laChine[10]. Lesîles du Pacifique y jouent un rôle bien moindre et bien qu'étant au centre géographique de cet espace, s'y retrouvent à la marge démographiquement, politiquement et économiquement[10].
L'Océanie est généralement décrite comme la région du monde située entre l'Asie du Sud-Est et l'Amérique du Sud. C'est l'une des raisons pour lesquelles les géographesBenoît Antheaume etJoël Bonnemaison décrivent l'Océanie et plus généralement le bassin Pacifique comme un « espace gigogne »[12].
« À travers l'évocation de traits significatifs de modernité et de tradition, des relations centre-périphérie à diverses échelles, l'aire du Pacifique apparait en fait comme un espace complexe à structure « gigogne », comme l'ont fort bien exprimé B. Antheaume et J. Bonnemaison, en 1988, dans leur Atlas du Pacifique : au plus large, le Bassin du Pacifique qui couvre 25 millions de km2; puis l'Asie-Pacifique incluant l'Océanie; enfin au cœur du dispositif les 25 000 îles du Pacifique[13]. Cette nomenclature demande parfois à être précisée. Ainsi, la Nouvelle-Zélande est-elle la somme de deux grandes îles, mais reste "extérieure" au Pacifique insulaire, tout en accueillant une communauté polynésienne importante; La Papouasie-Nouvelle Guinée émarge, comme l'Australie, à la partie continentale de l'Océanie, mais peut-être incluse dans le Pacifique insulaire puisqu'elle participe, malgré sa masse, à la problématique des îles, au-delà par le fait que ses ressortissants émargent aux traditions mélanésiennes. »
L'Océanie est traditionnellement découpée en trois zones :Mélanésie (« îles noires »),Micronésie (« petites îles ») etPolynésie (« nombreuses îles »), issues du découpage de l'Océanie fait par le FrançaisDumont d'Urville en 1831.
Cependant, par tradition, les expressions Polynésie, Micronésie et Mélanésie continuent d'être utilisées et dans le langage courant, et aux yeux des populations concernées, elles conservent une certaine valeur identitaire. Ces expressions ne sont donc considérées comme "dépassées" que dans une petite minorité occidentale d'universitaires.
Une approche géographique propose le rattachement desMoluques et de laPapouasie occidentale à l'Océanie, ce qui permet d'éviter la division purement politique de laNouvelle-Guinée entre deux continents[15].
Dans lesannées 1970, les linguistes puis lesgéographes proposent, dans leurs travaux scientifiques, de subdiviser l'Océanie en « Océanie proche » et « Océanie lointaine »[16] : dans la première, les terres sont toujours en vue en moins d'une journée de navigation, tandis que dans la seconde, elles sont accessibles uniquement en navigationhauturière. Néanmoins, ce nouveau découpage, basé sur des éléments d'histoire naturelle (tectonique des plaques) et denavigation, ne fait pas encore l'unanimité.
Sans doute faut-il comprendre l'Océanie avant tout comme uncontinuum où, depuis des siècles et bien avant le passage des premiers Européens, métissages et brassages culturels et linguistiques sont la règle.Continuum qui n'interdit pas pour autant les ruptures et les isolements — que ceux-ci soientlinguistiques, entrelangues austronésiennes et non austronésiennes ; géographiques, entre le monde insulaire et les ensembles plus importants que représentent l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'île de Nouvelle-Guinée ; historico-linguistiques (issus du découpage colonial), entre une Océanie anglophone et une Océanie francophone, voire hispanophone avec l'île de Pâques ; économiques, entrepays développés et despays en développement ; politiques enfin, entre pays indépendants et territoires sous tutelle (avec des statuts intermédiaires, comme celui d'État souverain, mais associé à un autre plus puissant)…
ÀHawaï, une plante endémique, le Brighamia, nécessite désormais une pollinisation manuelle car son pollinisateur naturel est présumé éteint[28]. Les deux espèces de Brighamia, B. rockii etB. insignis, sont représentées dans la nature par environ 120 plants. Pour s'assurer que ces plantes montent en graines, les biologistes descendent en rappel le long de falaises de 910 m pour déposer le pollen sur leurs stigmates[29].
Les oiseaux de Nouvelle-Zélande ont évolué vers uneavifaune qui comprend un grand nombre d'espècesendémiques. En tant qu'archipel insulaire, la Nouvelle-Zélande a développé une grande diversité d'oiseaux, et lorsque le capitaine James Cook est arrivé dans les années 1770, il a remarqué que lechant des oiseaux était assourdissant. Le panel comprend des espèces à la biologie atypique telles que lekakapo qui est le seul perroquetreproducteur nocturne, incapable de voler, mais également de nombreuses espèces analogues à celles des zones terrestres voisines. Certaines des espèces d'oiseaux les plus connues et les plus caractéristiques de la Nouvelle-Zélande sont lekiwi, lekea, letakahe, le kakapo, leMohoua à tête jaune, leMéliphage tui et leMéliphage carillonneur[46]. LeSphenodon est unreptile remarquable endémique de la Nouvelle-Zélande[47].
Les îles du Pacifique sont régies par une forêt tropicale humide et un climat de savane tropicale. Dans le Pacifique tropical et subtropical, l'oscillation australe El Niño (ENSO) affecte les conditions météorologiques. Dans le Pacifique occidental tropical, la mousson et la saison des pluies qui en découle pendant les mois d'été contrastent avec les vents secs en hiver qui soufflent sur l'océan depuis la masse continentale asiatique. Novembre est le seul mois au cours duquel tous les bassins cycloniques tropicaux sont actifs.
Au sud-ouest de la région, dans l'intérieur de l'Australie, le climat est principalement désertique ou semi-aride. Les zones côtières du sud ont un climat tempéré, tandis que la côte est bénéficie d'un climat océanique et subtropical humide, et la côte ouest présente un climat méditerranéen. Les parties nord du pays ont un climat tropical. La neige tombe fréquemment sur les hautes terres près de la côte est, dans les États de Victoria, de Nouvelle-Galles du Sud, de Tasmanie et dans le Territoire de la capitale australienne.
La plupart des régions de Nouvelle-Zélande appartiennent à la zone tempérée à climat maritime (classification climatique de Köppen : Cfb) caractérisée par quatre saisons distinctes. Les conditions varient d'extrêmement humides sur la côte ouest de l'île du Sud à presque semi-arides dans le centre de l'Otago et subtropicales dans le Northland. La neige tombe dans l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande et à des altitudes plus élevées dans l'île du Nord. Il est extrêmement rare au niveau de la mer dans l'île du Nord.
La liste suivante et la carte qui s'y rapporte, regroupent de la manière la plus exhaustive possible, les différents pays et territoires composant cet espace (lorsque le territoire n'est pas indépendant, le pays dont il dépend est indiqué entre parenthèses). Cette dépendance prend d'ailleurs des degrés très divers selon les territoires, allant d’un territoire ou province totalement intégré, au statut intermédiaire de territoire d’outre-mer ou de pays quasi indépendant, jusqu'à l’indépendance de droit avec une libre association avec un autre par un traité bilatéral de coopération renforcée.
Carte des États, territoires et dépendances d'Océanie selon les limites deszones économiques exclusives (200 milles marins).Carte des États, territoires et dépendances d'Océanie selon leschéma géométrique courant (qui ne figure pas des frontières réelles).
États indépendants
Pays ou territoires non indépendants, à statut spécial ou largement autonomes
C'est aussi au tout début duXVIe siècle que lesEuropéens découvrent le monde océanien. Ces premiers contacts sont lents car ils s'étalent sur quatre siècles, inégalement répartis car ils sont plus intenses à l'est qu'à l'ouest de l'Océanie. Les rencontres peuvent être amicales, distantes ou hostiles, mais toutes répandent dans les archipels desépidémies contre lesquelles les insulaires n'avaient pas encore d ' anticorps .
L'Australie et la Nouvelle-Zélande sont les seules nations indépendantes hautement développées sur le plan économique de la région, bien que l'économie de l'Australie soit de loin la plus grande et la plus dominante de la région et l'une des plus importantes au monde. La Nouvelle-Calédonie, Hawaï et la Polynésie française sont également très développées mais ne sont pas des États souverains. Le PIB par habitant de l'Australie est supérieur à celui du Royaume-Uni, du Canada, de l'Allemagne et de la France en matière de parité de pouvoir d'achat. La Nouvelle-Zélande est également l'une des économies les plus mondialisées et dépend fortement du commerce international.
L'Australian Securities Exchange à Sydney est la plus grande bourse d'Australie et du Pacifique Sud. La Nouvelle-Zélande est la 53e économie nationale au monde mesurée par le produit intérieur brut (PIB) nominal et la 68e au monde mesuré par la parité de pouvoir d'achat (PPA). En 2012, l'Australie était la12e économie nationale quant au PIB nominal et la 19e quant au PIB ajusté en fonction de la PPA.
L'enquête Mercer sur la qualité de vie classe Sydney au dixième rang mondial en matière de qualité de vie, ce qui en fait l'une des villes les plus agréables à vivre. Elle est classée Alpha + World City par GaWC. Melbourne, classée en tête de la liste des villes les plus agréables au monde, est un centre financier de premier plan dans la région Asie-Pacifique. Auckland et Wellington, en Nouvelle-Zélande, sont fréquemment classés parmi les villes les plus vivables du monde, Auckland étant classée 3e selon l'enquête Mercer sur la qualité de vie. La majorité des personnes vivant en Australie et, dans une moindre mesure, en Nouvelle-Zélande travaillent également dans les secteurs minier, électrique et manufacturier. [Citation nécessaire] L'Australie possède la plus grande quantité de fabrication dans la région, produisant des voitures, des équipements électriques, des machines et des vêtements.
L'écrasante majorité des habitants des îles du Pacifique travaillent dans le secteur des services, qui comprend le tourisme, l'éducation et les services financiers. Les plus grands marchés d'exportation de l'Océanie sont le Japon, la Chine, les États-Unis et la Corée du Sud. Les plus petits pays du Pacifique dépendent du commerce avec l'Australie, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis pour exporter des marchandises et accéder à d'autres produits. L'Australie et la Nouvelle-Zélande, ainsi que d'autres pays, sont membres de laCoopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC) et du Sommet de l'Asie de l'Est (EAS), qui pourraient devenir des blocs commerciaux à l'avenir, en particulier l'EAS.
Le principal produit du Pacifique est le coprah ou la noix de coco, mais le bois, le bœuf, l'huile de palme, le cacao, le sucre et le gingembre sont également couramment cultivés dans les tropiques du Pacifique. La pêche constitue une industrie majeure pour de nombreux petits pays du Pacifique, bien que de nombreuses zones de pêche soient exploitées par d'autres pays plus grands, à savoir le Japon. Les ressources naturelles, telles que le plomb, le zinc, le nickel et l'or, sont extraites en Australie, en Nouvelle-Calédonie et aux Îles Salomon. Les plus grands marchés d'exportation de l'Océanie sont le Japon, la Chine, les États-Unis, l'Inde, la Corée du Sud et l'Union européenne.
Dotées de ressources forestières, minérales et halieutiques, lesFidji sont l'une des économies insulaires du Pacifique les plus développées, bien qu'elles restent un pays en développement doté d'un important secteur d'agriculture de subsistance. L'agriculture représente 18 % du produit intérieur brut, même si elle employait quelque 70 % de la main-d'œuvre en 2001. Les exportations de sucre et l'industrie touristique en pleine croissance sont les principales sources de devises. La transformation de la canne à sucre représente un tiers de l'activité industrielle. Les noix de coco, le gingembre et le coprah sont également importants. L'histoire de l'économie d'Hawaï peut être retracée à travers une succession d'industries dominantes ; bois de santal, la chasse à la baleine, la canne à sucre, l'ananas, l'armée, le tourisme et l'éducation. Les exportations hawaïennes comprennent la nourriture et les vêtements. Ces industries jouent un petit rôle dans l'économie hawaïenne, en raison de la distance de navigation vers les marchés viables, tels que la côte ouest des États-Unis contigus. Les exportations alimentaires de l'État comprennent le café, les noix de macadamia, l'ananas, le bétail, la canne à sucre et le miel. En 2015,Honolulu était classée en tête du classement mondial de l'habitabilité et était également classée comme la 2e ville la plus sûre des États-Unis.
Les langues d'Océanie se répartissent en deux groupes distincts :
Leslangues papoues, parlées entre autres sur les hautes terres deNouvelle-Guinée et quelques îles de l'actuelle Indonésie. La plupart des linguistes classent leslangues aborigènes d'Australie dans un groupe à part. Le nombre important de ces langues (environ 900 avec les variantes dialectales) dont beaucoup sont mortes et le peu de connaissances que l'on peut en avoir rendent néanmoins hasardeux toute conclusion définitive.
Certains linguistes vont classer à part les langues parlées sur les côtes orientales de Nouvelle-Guinée, des autres langues du Pacifique insulaire.
En raison de la colonisation, l'anglais et lefrançais sont également deux langues très présentes en Océanie. De ces contacts linguistiques sont nés de nombreuxpidgins etcréoles utilisées comme langues véhiculaires et devenues dans certains cas les langues maternelles des populations locales[48].
leculte des ancêtres, ou culte destikis, symbolisant pour chaque population ses fondateurs divinisés, dont la forme la plus célèbre est le culte desmoaïs de Rapanui ;
le monde desesprits émanant de ces deux ensembles mais aussi de la nature et des hommes, et qui générait un complexe système d'obligations, d'échanges, desymboles et detabous qui réglait la vie de ces populations.
Malgré des traits communs dans la pratique de lamomification en Océanie[49], chaquepeuple d’Océanie a mis en place ses propresrites funéraires. Il faut donc prendre en compte cette pratique à l'intérieur du long et complexe processus funéraire. La place dudeuil et de lamort doit également être prise en considération. Il ne faut pas généraliser la pratique de la momification à toute l’Océanie car il existe presque autant de rituels funéraires différents que de peuples. Les rites funéraires, dont en fait partie la momification, sont à mettre en corrélation avec tout un ensemble de facteurs sociologiques, culturels, ou encore spirituels.
La momification était courante jusqu’à l’arrivée desmissionnaires chrétiens et desprédicateurs musulmans enPapouasie-Nouvelle-Guinée qui ont encouragé les membres detribus àenterrer les corps[50]. La momification, bien que réprimée par l'Église et les prédicateurs musulmans, a continué à être pratiquée en Papouasie Nouvelle Guinée, comme nous pouvons le voir à travers l’exemple de la tribu desDani. Dans cette tribu, la pratique duculte des ancêtres est encore d’actualité. L’acte de momification était réservé aux personnages importants du village, comme les aînés et les héros du village. Eli Mabel, le chef de la tribu, ressort tous les ans sonancêtre, Agat Mamete Mabel chef du villagevil y a 250 ans, qui a étéembaumé et conservé avec de la fumée et de l'huile animale[50]. Il veut ainsi protéger les traditionspapoues, afin que ces dernières ne disparaissent pas pour les générations futures[50]. Le culte des ancêtres implique la vénération des ancêtres à travers leur version momifiée. Les dépouilles reposent dans une hutte appelée honai. C’est une grande hutte au toit de chaume qui est gardée toute l’année par les habitants du village qui s’y relaient pour entretenir le foyer et vérifier la bonne conservation de la momie.
Les musiques traditionnelles océaniennes sont très variées mais comportent des points communs importants comme leur caractère rituel ou festif et l'utilisation d'un nombre restreint d'instruments, principalement despercussions etflûtes.
↑Edme Mentelle, Conrad Malte-Brun,Géographie mathématique, physique et politique des toutes les parties du monde, H. Tardieu-Laporte, vol. 12, 1804, p. 362
↑Conrad Malte-Brun,Précis de la géographie universelle, t. II, 1810, p. 163
↑Conrad Malte-Brun,Précis de la géographie universelle, 2e édit, Buisson, 1812