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Nouvelle-Écosse

44° 41′ 28″ N, 63° 34′ 01″ O
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirÉcosse (homonymie).

Nouvelle-Écosse
Nova Scotia(en)
Blason de Nouvelle-Écosse
Armoiries.
Drapeau de Nouvelle-Écosse
Drapeau.
Nouvelle-Écosse
Carte de localisation.
Administration
PaysDrapeau du CanadaCanada
CapitaleHalifax
Plus grande villeHalifax
Entrée dans laConfédération (1er)
Lieutenant-gouverneurMike Savage
Premier ministreTim Houston (APC)
LégislatureAssemblée législative de la Nouvelle-Écosse
Sièges à la Chambre des communes11 (sur 338)
Sièges au Sénat10 (sur 105)
Code postalB
Abréviation postaleNS
ISO 3166-2:CACA-NS
Démographie
GentiléNéo-Écossais(e)
Population969 383 hab.[1](2021)
Densité18 hab./km2
Rang7e
Langues officiellesDe jure :Micmac[2],[3]
De facto :Anglais
Géographie
Superficie55 284 km2
Rang12e
Terre53 338 km2
Eau1 946 km2 (3,52 %)
Fuseau horaireUTC-4
Divers
DeviseMunit Haec et Altera Vincit
(latin : « L'une défend et l'autre conquiert »)
Domaine Internet.ns.ca
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LaNouvelle-Écosse (enanglais :Nova Scotia ; enmicmac :Enmigtaqamu'g ; engaélique écossais :Alba Nuadh) est uneprovince duCanada. Elle est une des troisprovinces maritimes, l'une des quatre de l'Atlantique et l'une des six de l'Est. Le nomlatinNova Scotia se traduit en anglais parNew Scotland. La majorité de sa population est anglophone. Avec une population de 969 383 habitants en2021, elle est la province de l'Atlantique la plus peuplée. Elle est également la deuxième province canadienne la plus densément peuplée, et, avec une superficie 55 284 km2, elle est la deuxième province la plus petite du pays, après l'Île-du-Prince-Édouard. Son territoire inclut l'île du Cap-Breton, et 3 800 petites îles côtières.

Ce qui est maintenant la Nouvelle-Écosse a d'abord été habité pendant des milliers d'années par le peupleautochtone desMicmacs. En1605, la première colonie de laNouvelle-France, l'Acadie, a été fondée avec la création dePort-Royal. L'Angleterre (puis laGrande-Bretagne) a combattu laFrance pour le contrôle du territoire à de nombreuses reprises, pendant plus d'un siècle. Laforteresse de Louisbourg constituait un point central de la lutte pour le contrôle.

Après leGrand Dérangement, où les Britanniquesdéportèrent en masse lesAcadiens de1755 à1763, puis laConquête de 1759-1760, et enfin letraité de Paris en1763, la France doit céder l'Acadie à la Grande-Bretagne. Pendant laguerre d'indépendance des États-Unis (1775-1783), des milliers deloyalistes viennent s'installer en Nouvelle-Écosse. En1848, elle est devenue la première colonie britannique à obtenir ungouvernement responsable, puis elle s'estfédérée avec leNouveau-Brunswick et leCanada-Uni (aujourd'hui l'Ontario et leQuébec), le, pour former le Dominion du Canada.

La péninsule qui constitue la partie continentale de la Nouvelle-Écosse est reliée au reste du Canada par l'isthme de Chignectou, sur lequel est située sa frontière terrestre avec leNouveau-Brunswick. La province est bordée par labaie de Fundy et legolfe du Maine à l'ouest, l'océan Atlantique au sud et à l'est, et est respectivement séparée de l'Île-du-Prince-Édouard et de l'île de Terre-Neuve, par les détroits deNorthumberland et deCabot. La capitale et la plus grande ville de la Nouvelle-Écosse estHalifax, qui abrite aujourd'hui 45 % de sa population. Halifax est latreizième plus grande région métropolitaine du Canada, la plus grande ville de la côte atlantique, et la deuxième plus grande ville côtière du pays aprèsVancouver.

Règles de graphie, de genre et d’emploi

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La Nouvelle-Écosse est de genre féminin. Lorsqu’on utilise le mot « province », il est d’usage d’écrire « La province de la Nouvelle-Écosse » comme avec les autres mots, par exemple, « Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse ». Son abréviation est « N.-É. » et il est le troisième lorsqu'on ne précise pas l'ordre à suivre, étant donné qu'il est la troisième des provinces et territoires à faire son entrée dans la confédération[4].

Géographie

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Article détaillé :Géographie de la Nouvelle-Écosse.
Carte desclimats de Köppen en Nouvelle-Écosse.

La partie continentale de la province est unepéninsule entourée de l'océan Atlantique, qui a façonné sa côte de plusieursbaies etestuaires. Aucun endroit de Nouvelle-Écosse ne se trouve à plus de 50 km de la mer.

L'île du Cap-Breton, une grande île au nord-est de la partie continentale, fait aussi partie de la province, de même que l'île de Sable, une petite île célèbre pour ses naufrages et ses chevaux sauvages.

La Nouvelle-Écosse est la deuxième plus petite province en superficie après l'Île-du-Prince-Édouard[5]. La Nouvelle-Écosse est aussi la province canadienne centrée le plus au sud. Elle n'est cependant pas celle qui descend le plus au sud, laquelle est l'Ontario. Même si une partie de l'Ontario s'étend loin vers le sud, le centre de l'Ontario est plus au nord que la Nouvelle-Écosse.

Histoire

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Première colonisation

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Article détaillé :Histoire de la Nouvelle-Écosse.

La Nouvelle-Écosse est colonisée pour la première fois par laFrance.Pierre Dugua de Mons, entouré notamment deSamuel de Champlain et deFrançois Gravé, fonde unecolonie sur une île à l'embouchure de laRivière Sainte-Croix en1604. L'eau potable manque à cette île pendant l'hiver et la colonie est déplacée àPort Royal près d'Annapolis Royal, en1605.

L'Acadie de 1604 à 1607, avec les deux établissements et les voyages entrepris.
La Nouvelle-Écosse de William Alexander, en 1632.

Au cours desannées 1620, le roiCharlesIer d'Écosse et d'Angleterre envoie une troupe d'Écossais pour y fonder unecolonie sous le nom deNova Scotia, en l'honneur deJacquesIer d'Écosse[6]. À cet effet, il fonde lebaronnetage de Nouvelle-Écosse : ceux qui désirent acquérir le titre nobiliaire debaronnet doivent payer une taxe qui servirait à l'établissement de la colonie et y recevraient une dotation en terres. Or, lors de la signature d'une paix avec laFrance, la Couronne anglaise cède le territoire à laFrance et les colons écossais doivent abandonner leur mission, le baronnetage de Nouvelle-Écosse perdant sa spécificité et devenant une simple catégorie nobiliaire.

La colonisation française se poursuit dans toute la région desprovinces maritimes actuelles, en étant centrée sur ce qui constitue aujourd'hui la péninsule de la Nouvelle-Écosse. Cette Acadie péninsulaire tombe toutefois sous juridiction britannique après letraité d'Utrecht en1713. Une Acadie sous contrôle français perdure toutefois dans l'île Saint-Jean (île-du-Prince-Édouard) et l'île Royale (île du Cap-Breton). Quant auNouveau-Brunswick actuel, il est un territoire disputé. En conséquence de la perte de l'Acadie péninsulaire, laforteresse française de Louisbourg est en effet construite sur l'île Royale pour que les marchands et pêcheurs français puissent participer au commerce et à la pêche à la morue. Louisbourg joue aussi un rôle stratégique, en surveillant les approches maritimes en direction dufleuve Saint-Laurent.Louisbourg est prise par des forces continentales britanno-américaines, puis retournée à laFrance en1748 à la fin de laguerre de Succession d'Autriche. Durant la guerre suivante, dite de la Conquête ouguerre de Sept Ans, elle retourne aux mains des Britanniques en1758 avant laConquête de Québec. La ville fut rasée et ses habitants déportés en France, comme ceux de l'île Saint-Jean.

La ville d'Halifax est fondée en 1749 parEdward Cornwallis après la restitution de Louisbourg à la France pour sauvegarder la colonie britannique de la Nouvelle-Écosse contre la menace perçue de la grande forteresse française[7]. Les Britanniques y font construire une citadelle fortifiée[8]. La présence desAcadiens, francophones et catholiques, sur le territoire de la futurecolonie britannique pose, aux yeux des autorités britanniques, un problème.

L'arrivée d'Allemands en 1755

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En1750, un bon nombre de colons protestants, la plupart desAllemands, sont attirés en Nouvelle-Écosse pour s'établir sur la côte sud. Lacolonie reste cependant majoritairement acadienne.

La déportation des Acadiens en 1755

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À partir de1755, au début de laguerre de la Conquête qui enflamme le continent, les Britanniques décident de déporter les Acadiens dans les colonies américaines, enFrance, enGrande-Bretagne, tandis que plusieurs prennent la fuite, dans les forêts de Nouvelle-Écosse ou du Nouveau-Brunswick, enLouisiane (où plusieurs s'établissent et contribuent à la naissance de la culturecadienne), ou encore au Québec.

Guerre d'indépendance américaine

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Article détaillé :Esclaves libérés par les Anglais entre 1775 et 1784.

Après ladéportation des Acadiens, les terres acadiennes sont allouées aux colons américains provenant de laNouvelle-Angleterre. Environ 8 000 de cesplanters s'établissent dans la colonie entre1759 et1774, dont l'arrière-grand-père deRobert Laird Borden. Une nouvelle immigration écossaise vers l'île du Cap-Breton, tard dans leXVIIIe siècle et au début duXIXe siècle, rétablit de façon effective, une présence écossaise. Des milliers deloyalistes qui s'opposent à l'indépendance américaine, dépouillés de leurs terres et de la plupart de leurs biens par le gouvernement de la nouvelle république américaine, s'échappent après letraité de Paris en 1783 et viennent s'établir en Nouvelle-Écosse. En1784, la portion continentale du nord-ouest de la colonie est séparée et devient la colonie duNouveau-Brunswick, en raison du mécontentement des milliers de loyalistes qui sont déposés à l'embouchure du fleuve Saint-Jean, ou à Passamaquoddy, étant très peu satisfaits d'être gouvernés de loin d'Halifax.

En Nouvelle-Écosse, beaucoup de ces loyalistes s'installent dans la région au sud d'Halifax. Les nouveaux colons s'ajoutèrent aux populations deplanters déjà venus de la Nouvelle-Angleterre à Port Roseway, renomméShelburne,Lockeport, etYarmouth et fondèrent d'autres communautés, telles queDigby. Parmi eux un grand nombre d'esclaves libérés par les Anglais entre 1775 et 1784 mais aussi parfois leurs anciens propriétaires.

Un gouvernement autonome en 1848

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En1848, la Nouvelle-Écosse devient la première colonie de l'Empire britannique à établir ungouvernement responsable, où le gouverneur britannique doit accepter les décisions de l'assemblée législative et des ministres. Elle est aussi en pointe dans les communications : dès, lePony express de Nouvelle-Écosse permet de gagner une journée dans la réception des nouvelles d'Europe arrivées àHalifax, via un système de cavaliers qui se relaient pour traverser la province de part en part, jusqu'à Digby où unsteamer amène les nouvelles au terminus du télégraphe américain, de l'autre côté de laBaie de Fundy.

La Nouvelle-Écosse devient, en entrant dans laConfédération canadienne, l'une des quatre provinces fondatrices duCanada, avec leNouveau-Brunswick, leQuébec (Canada-Est) et l'Ontario (Canada-Ouest). LeBluenose, levoilier qui figure sur la pièce dedix cents canadiens, est construit àLunenburg, sur la côte sud. En dépit de son nom, il reste très peu de personnes qui parlent toujours legaélique écossais, mais lamusique celtique est populaire dans l'île du Cap-Breton. Il y a toujours uneprésence acadienne francophone dans la municipalité deClare (partie ouest de la province) et une radio communautaire,CIFA sur 104.1 FM, qui émet majoritairement en français.

XXIe siècle

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Les 18 et 19 avril 2020, la région, d'habitude assez calme[9], est le théâtre de latuerie de masse de 2020 en Nouvelle-Écosse (23 morts), qui amène l'interdiction de 1 500 armes d'assaut au Canada[10],[11],[12].

Politique

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Assemblée législative

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LaProvince House, siège de l'Assemblée législative de Nouvelle-Écosse.

L'Assemblée législative de la Nouvelle-Écosse voit le jour en 1758, étant ainsi la plus ancienne chambre provinciale du Canada. En 1848, elle est la première de toutes les colonies britanniques à obtenir un gouvernent responsable. Composée de51 députés, l'assemblée se réunit à Halifax dans le plus ancien édifice législatif du pays[13].

Premier ministre

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Article détaillé :Liste des chefs de gouvernement de la Nouvelle-Écosse.

Le premier ministre provincial de la Nouvelle-Écosse est Tim Houston .

Lieutenant-gouverneur

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Article détaillé :Liste des lieutenants-gouverneurs de Nouvelle-Écosse.

Arthur Joseph LeBlanc est le premier Acadien à occuper le poste de lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-Écosse, de 2017[14],[15] à 2024, date à laquelle il est remplacé parMike Savage, ancien maire d'Halifax.

Politique étrangère

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La province est membre de l'Assemblée parlementaire de la francophonie[16].

Religion

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Ici laSt. James' Anglican Church

Comme ailleurs au Canada, la majorité de la population est chrétienne[5]. Il faut par contre redistribuer cette majorité selon la religion catholique ou protestante. Ainsi, il y a en Nouvelle-Écosse 328 700 catholiques et 438 150 protestants en incluant les anglicans[17].

Les catholiques sont représentés par l'Assemblée des évêques catholiques de l'Atlantique. Les anglicans, pour leur part, sont représentés par le diocèse anglican de Nouvelle-Écosse et de l'Île-du-Prince-Edward.

Économie

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Halifax, capitale provinciale.

L'économie de la Nouvelle-Écosse est aujourd'hui uneéconomie mixte, deservices et d'industrie.

Lesecteur primaire occupe une place importante dans l'économie locale avec notamment les exploitationsforestières, agricoles etpiscicoles. L'industrie de lapâte à papier comprend quatre usines de pâte, qui sont situées àPort Hawkesbury,Pictou,Hantsport etLiverpool (Nouvelle-Écosse). Les principales productionsagro-alimentaires sont celles de lait, depommes de terre et depommes, tandis que les pêches les plus importantes sont celles duhomard et despétoncles. Lesous-sol est également très riche (fer,zinc,cuivre et surtoutcharbon). Dupétrole offshore a été découvert à Sydney-Glace-Bay, le plus important port de l'île duCap-Breton, ainsi qu'à Halifax.

Subdivisions

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Articles détaillés :Liste des comtés de Nouvelle-Écosse etListe des municipalités de la Nouvelle-Écosse.
Panneau de bienvenue en Nouvelle-Écosse.

La Nouvelle-Écosse est subdivisée en 18comtés.

Société

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Démographie

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En 2021, la population de la Nouvelle-Écosse est estimée à 969 383 habitants[18]. Bien qu'on observe un phénomène d'urbanisation, 30,7 % de la population de la province habitait toujours en région rurale en 2021[5].

La langue maternelle en Nouvelle-Écosse.
  • Majorité anglophone, moins de 33 % de francophones
  • Majorité anglophone, plus de 33 % de francophones
  • Majorité francophone, moins de 33 % d'anglophones
Carte de la Nouvelle-Écosse
Population (1851 à 2021)
AnnéePopulationChangement %
en cinq ans
Changement %
en dix ans
1851276 854nonnon
1861330 857non19,5
1871387 800non17,2
1881440 572non13,6
1891450 396non2,2
1901459 574non2,0
1911492 338non7,1
1921523 837non6,4
1931512 846non-2,1
1941577 962non12,7
1951642 584non11,2
1956694 7178,1non
1961737 0076,114,7
1966756 0392,68,8
1971788 9654,47,0
1976828 5705,09,6
1981847 4422,37,4
1986873 1753,05,4
1991899 9423,16,2
1996909 2821,04,1
2001908 007-0,10,9
2006913 4620,60,5
2011921 7270,91,5
2016923 5980,21,1
2021969 3835.05.2

Langues

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Panorama dePeggys Cove.
Port de bateaux de pêche àYarmouth.

Sur les 921 727 habitants recensés en2011, 904 285 réponses individuelles ont été recueillies concernant les langues parlées à travers cette province.

Le tableau suivant montre les langues maternelles parlées.

LangueNombre de locuteursPourcentage
Anglais[19]836 08592,46 %
Français[20]31 1053,44 %
Arabe5 9650,66 %
Micmac4 6200,51 %
Allemand3 2750,45 %
Chinois2 7500,30 %
Néerlandais1 7250,19 %
Espagnol1 5450,17 %
Tagalog1 1850,13 %
Persan1 1850,13 %

Au total, il y a également eu 105 réponses référençant l'anglais et une langue non officielle ; 25 référençant le français et une langue non officielle ; 495 référençant l'anglais et le français ; 10 référençant l'anglais, le français et une langue non officielle ; et environ 10 300 personnes n'ayant donné aucune réponse durant le recensement des langues primaires. La population francophone, d'origineacadienne, habite surtout la municipalité deClare à laBaie Sainte-Marie, la municipalité d’Argyle et la ville d’Halifax.

Le, une loi est proposée par le gouvernement de la province pour faire dumicmac la « première langue » de la Nouvelle-Écosse. La loi est votée et entre en vigueur le[2],[3],[21].

Médias et communications

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The Chronicle Herald est un quotidien de langue anglaise publié à Halifax mais distribué dans toute la province. Il y a cinq autres quotidiens, dont leCape Breton Post à Sydney. Il y a aussi plusieurs hebdomadaires de comté. Il n'y a pas de quotidien francophone maisLe Courrier de la Nouvelle-Écosse est publié à chaque semaine.

LaPremière Chaîne, en français, etCBC Radio, en anglais, sont les principales stations de radio, auxquelles s'ajoutent de nombreuses stations privées. Les principales stations de télévisions sont laCBAFT en français ainsi queCBHT,CIHF-TV etCJCH-TV en anglais. Les stations de télévision et les producteurs indépendants produisent de nombreuses émissions de télévision et de radio[22].

Personnalités de la Nouvelle-Écosse

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Notes et références

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  1. https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2021/dp-pd/prof/details/page.cfm?Lang=F&SearchText=Nouvelle%2DEcosse&DGUIDlist=2021A000212&GENDERlist=1,2,3&STATISTIClist=1,4&HEADERlist=0
  2. a etb(en + mic) Ministère des Affaires L'nu, « Legislation Enshrines Mi'kmaw as Nova Scotia's First Language » [« La législation sanctuarise le micmac comme la Première Langue de la Nouvelle-Écosse »], surnovascotia.ca,(consulté le).
  3. a etb(en) « Mi'kmaw Language Act » [« Loi sur la langue micmaque »], surnslegislature.ca(consulté le).
  4. Department of JusticeGovernment of Canada, « Department of Justice - Criteria for hyperlinking », surjustice.gc.ca,(consulté le).
  5. ab etc« Nouvelle-Écosse | l'Encyclopédie Canadienne », surwww.thecanadianencyclopedia.ca(consulté le)
  6. Le Petit Robert des noms propres, Paris, le Robert,, 191 p.(ISBN 978-2-84902-740-0),p. 1646.
  7. (en) Thomas Raddall,Halifax, Warden of the North, McClelland & Stewart,,p. 18.
  8. « Parcs Canada - Lieu historique national du Canada de la Citadelle-d'Halifax »
  9. Statistique CanadaGouvernement du Canada, « Nombre et taux de victimes d'homicide, selon la région métropolitaine de recensement », surwww150.statcan.gc.ca,(consulté le)
  10. ICI Radio-Canada Info-Radio-Canada.ca, « Tuerie de Portapique : la Nouvelle-Écosse en deuil | Dossier », surRadio-Canada.ca(consulté le)
  11. (en-GB) « Nova Scotia shooting: Gunman's partner describes night of terror »,BBC News,‎(lire en ligne, consulté le)
  12. AnnabelleCaillou, « En Nouvelle-Écosse, une folie meurtrière qui reste inexpliquée », surLe Devoir,(consulté le)
  13. david, « About the Legislature », surNova Scotia Legislature,(consulté le).
  14. admin, « His Honour's Biography », surLieutenant Governor of Nova Scotia,(consulté le).
  15. « Le premier ministre annonce la nomination d’un nouveau lieutenant-gouverneur et d’une nouvelle commissaire territoriale », surpm.gc.ca(consulté le).
  16. « Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) », surapf.francophonie.org(consulté le).
  17. « Index des dernières informations du Recensement de la population. Ces enquêtes… », surstatcan.gc.ca,Gouvernement du Canada, Statistique Canada,(consulté le).
  18. « Profil du recensement, Recensement de la population de 2021 », surStatistique Canada(consulté le)
  19. Voir aussi :Anglais des Maritimes.
  20. Voir aussi :Français acadien.
  21. David Joseph Gallant, « Micmacs (Mi’kmaq) » dansL'Encyclopédie canadienne,Historica Canada, 1985–. Publié le 13 août 2008. (consulté le).
  22. J. Murray Beck, « Nouvelle-Écosse - Histoire », surthecanadianencyclopedia.com

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Municipalités régionales
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