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No man's land

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Unno man’s land (expression anglaise signifiant « terre sans homme ») est une expression utilisée à la guerre, par exemple entre deuxfrontières ou deuxlignes de front.

Histoire

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Unno man's land àPotsdamer Platz, juste à l'est duMur de Berlin, en 1963. La zone, appartenant àBerlin-Est, était interdite à ses ressortissants, pour les empêcher depasser à l'ouest.

Pendant laPremière Guerre mondiale, leno man’s land était la zone située après les barbelés entre les deux tranchées opposées. Unno man’s land a ainsi été établi sur lefront de l'Ouest pendant lesguerres de tranchées.

Leno man’s land indique que toute présence humaine dans cet espace est considérée comme une agression : tout intrus sera abattu par l'une ou l'autre des factions. Par extension, elle désigne depuis toute zone de conflit armé où les factions occupent des positions opposées et figées ; l’expression consacrée et préférée dans ce dernier cas étantzone démilitarisée.

Unno man’s land existait et constituait une partie des mesures de sécurité durideau de fer entre l’Occident et lebloc de l'Est : une zone interdite de 5 km à l'arrière de celui-ci, lors de laGuerre froide, avant la chute dumur de Berlin[1].

Les infrastructures formant le mur de Berlin comportaient unno man's land qui s'étendait sur le territoire de laRDA, le long du premier mur construit en 1961 sur les limites avecBerlin-Ouest. L'accès à cette zone côté est-allemand était bloqué grâce à la construction d'un deuxième mur. Le no man's land était surveillé par des gardes-frontières du régime communiste qui avaient pour ordre d'abattre toute personne se trouvant dans la zone entre ces deux murs.

Un des derniersno man’s land restant est lazone coréenne démilitarisée de 4 km de large qui sépare les deuxCorées. Il existe un autre no man's land à Nicosie, capitale de Chypre qui sépare la république turque de Chypre (uniquement reconnue par la Turquie) au Nord et la république de Chypre côté sud.

Notes et références

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  1. BernardUmbrecht, « Le fantôme de la Potsdamer Platz », surLe Monde diplomatique,(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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