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Nicole Belloubet

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Nicole Belloubet
Illustration.
Nicole Belloubet en 2018.
Fonctions
Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse

(7 mois et 13 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreGabriel Attal
GouvernementAttal
PrédécesseurAmélie Oudéa-Castéra
SuccesseurAnne Genetet(Éducation nationale)
Gil Avérous(Jeunesse)
Garde des Sceaux, ministre de la Justice

(3 ans et 15 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreÉdouard Philippe
GouvernementPhilippe II
PrédécesseurFrançois Bayrou
SuccesseurÉric Dupond-Moretti
Membre du Conseil constitutionnel

(4 ans, 3 mois et 7 jours)
PrésidentJean-Louis Debré
Laurent Fabius
PrédécesseurJacqueline de Guillenchmidt
SuccesseurDominique Lottin
Première vice-présidente duconseil régional de Midi-Pyrénées

(2 ans, 11 mois et 15 jours)
PrésidentMartin Malvy
PrédécesseurMonique Iborra
SuccesseurJanine Loidi
Conseillère régionale de Midi-Pyrénées

(2 ans, 11 mois et 15 jours)
Élection21 mars 2010
PrésidentMartin Malvy
Première adjointe aumaire de Toulouse

(2 ans et 5 jours)
MairePierre Cohen
SuccesseurGisèle Verniol
Biographie
Nom de naissanceNicole Marie Françoise Belloubet
Date de naissance(70 ans)
Lieu de naissanceParis (France)
NationalitéFrançaise
Parti politiquePS(1983-2013)
RE(depuis 2024)
Diplômée deUniversité Panthéon-Assas
Université Panthéon-
Sorbonne
ProfessionJuriste
Professeure de droit constitutionnel
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Nicole Belloubet, née le àParis, est unejuriste,haute fonctionnaire etfemme politiquefrançaise.

Professeure des universités, elle enseigne le droit, avant de devenirrectrice de l'académie de Limoges, puis decelle de Toulouse. En tant que femme politique, elle est adjointe au maire de Toulouse,Pierre Cohen, puis vice-présidente duconseil régional de Midi-Pyrénées.

Elle est membre duConseil constitutionnel de 2013 à 2017, année où elle est nomméegarde des Sceaux, ministre de la Justice dans lesecond gouvernement Philippe, sous la présidence d'Emmanuel Macron. Elle n’est pas reconduite dans legouvernement Jean Castex, en 2020.

Elle est présidente duConseil des maisons de vente de décembre 2023 à sa re-nomination au gouvernement[1].

Elle estministre de l’Éducation nationale, dans legouvernement deGabriel Attal, du 8 février au, en remplacement d'Amélie Oudéa-Castéra.

Situation personnelle

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Famille

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Descendante d'Aveyronnais installés àParis, elle est la fille de Georges Belloubet, ingénieur issu d'une famille d'agriculteurs modestes et d'une gérante d'un petit hôtel parisien[2].

Formation

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En 1978, Nicole Belloubet obtient undiplôme d'études approfondies (DEA) dedroit public à l'université Panthéon-Assas. Dès son premier cours, elle est inspirée dans sa future vocation de professeur de droit parArlette Lebigre, sa professeure d'histoire du droit[3]. L'année suivante et toujours au sein de la même université, elle passe un DEA d'histoire du droit portant sur les décisions rendues par le garde des Sceaux en 1777.Docteure en droit en 1990 à l'université Panthéon-Sorbonne, avec une thèse intituléePouvoirs et relations hiérarchiques dans l'administration française, elle est reçue deuxième[4] au concours de l'agrégation de droit public en 1992[2].

Vie familiale

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Veuve en 2005 de Pierre-Laurent Frier, professeur de droit public à l'université Panthéon-Sorbonne[2], elle a repris une vie de couple[5]. Elle est mère de trois garçons[2].

Carrière professionnelle

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Elle estprofesseure des universités et exerce la fonction derectrice de l'académie de Limoges de 1997 à 2000 puis decelle de Toulouse entre 2000 et 2005[6]. Elle démissionne de ce dernier poste pour protester contre les décisions du gouvernement deJean-Pierre Raffarin de diminuer le nombre d'enseignants et de supprimer lestravaux personnels encadrés.

De 2000 à 2005, elle est présidente du Comité interministériel de pilotage pour la promotion de l'égalité des sexes dans les systèmes éducatifs. En 2001, à la demande deJack Lang, alorsministre de l'Éducation nationale, elle rédige un rapport intituléTrente mesures pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans les établissements scolaires[7] puis en 2002, un second rapport présentant trente mesures pour l'avenir du lycée[8].

Professeur dedroit communautaire à l'Institut d'études politiques de Toulouse à partir du, Nicole Belloubet en est également membre du conseil d'administration et chercheuse au Laboratoire des sciences sociales du politique (LaSSP)[9]. Elle préside le conseil d'administration de Sciences Po Toulouse jusqu'à sa nomination au gouvernement. Elle est remplacée parPhilippe Bélaval, conseiller d'État[10].

Parcours politique

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Débuts

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Nicole Belloubet lors d'un meeting dePierre Cohen àToulouse pour lesélections municipales de 2008.

Nicole Belloubet adhère auPS en 1983. Elle se présente auxélections municipales de 1989 àSaint-Rémy-lès-Chevreuse, perdant à quelques voix près[2].

À la suite desélections municipales de 2008 (pour lesquelles elle avait été initialement candidate à la candidature PS[2]), elle devient première adjointe chargée de la culture de la ville de Toulouse dans l'équipe du mairePierre Cohen. Élue auconseil régional de Midi-Pyrénées le sur la listesocialiste deMartin Malvy, elle y occupe le poste de première vice-présidente, chargée de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la recherche[2], et quitte sa fonction d'adjointe au maire de Toulouse tout en restant conseillère municipale.

Membre du Conseil constitutionnel

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Le, elle est désignée parJean-Pierre Bel,président du Sénat, pour siéger auConseil constitutionnel pour un mandat de neuf ans[11]. Elle remplaceJacqueline de Guillenchmidt, nommée en 2004[12].

Le suivant, elle prête serment devant le président de la République[13].

Elle devient la première femme professeur de droit nommée membre du Conseil constitutionnel, et la septième femmemembre de l'institution. Elle abandonne tous ses mandats électifs.

Le, elle participe à la délibération d'une décision sur unequestion prioritaire de constitutionnalité (QPC) ayant pour effet d'augmenter significativement le temps de parole alloué dans les médias aux candidatsà la députation du partiLREM[14].

Ministre de la Justice

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Le, elle est nomméeministre de la Justice et garde des Sceaux dans legouvernement Édouard Philippe (2), en remplacement deFrançois Bayrou. Elle quitte en conséquence le Conseil constitutionnel[15].

Elle porte les projets delois pour la confiance dans la vie politique[2].

Le, dans un entretien au journalLe Parisien[16], reprenant ce qu'elle avait dit sur RTL le 13 novembre[17], Nicole Belloubet revient sur l'une des principales mesures du projet de loi sur les femmes et les mineurs victimes de violences sexuelles : la « présomption de non-consentement ». La ministre déclare qu'elle est favorable à l'âge de 13 ans.« Cela ne me semblerait pas absurde du tout, à titre personnel ». Portée parMarlène Schiappa et adoptée début août, la loi ne pose finalement pas de limite d'âge au niveau du consentement sexuel, laissant une large marge d'interprétation au juge, bien que la secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes affirme l'inverse, mettant en avant son article 2, qui dispose« la contrainte morale ou la surprise sur un mineur de moins de 15 ans peuvent résulter de l'abus de l'ignorance de la victime ne disposant pas de la maturité ou du discernement nécessaire »[18].

Grève de bon nombre d'avocats en France pour protester contre laréforme pour la justice.

En, elle est confrontée à un mouvement du personnel pénitentiaire, protestant contre ses conditions de travail. Il s'agit de la crise la plus aiguë qu'aient connue les prisons depuis les années 1990[19]. Par la suite, un accord est conclu entre le syndicat majoritaire et le gouvernement, portant sur la création de 1100 emplois et du déblocage de 30 millions d'euros pour les indemnités. L'objectif des 15 000 places de prison supplémentaires promises par Emmanuel Macron pendant sa campagne (pour lutter contre la surpopulation carcérale, la France ayant 70 000 détenus pour 60 000 places) est par ailleurs confirmé[2]. Finalement, il s'agit de 7000 places supplémentaires prévues pour 2022[20].

Elle prépare pour le printemps 2018 leprojet de loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice, avec un budget en hausse de 3,9 % par rapport à l'année précédente[2]. Elle présente notamment une réforme de la carte judiciaire, des mesures pour réduire les délais de la justice civile et la création d'un tribunal criminel[21],[22],[23] (ce dernier projet étant finalement abandonné).

Dans le cadre de l'affaire Benalla, elle remet en cause dans une tribune publiée en septembre 2018 dans le journalLe Monde le fonctionnement de la commission d'enquête sénatoriale présidée par le sénateurPhilippe Bas, qui, selon elle, empiéterait sur le domaine judiciaire[24]. Plusieurs juristes rappellent au contraire que la commission du Sénat ne fait qu'appliquer la loi[25],[26]. En, elle fustige les recommandations émises par la commission des Lois du Sénat[27].

Le, à la suite de la démission deFrançois de Rugy, elle devient numéro deux du gouvernement dans l'ordre protocolaire[28].

Elle est au cœur d'une polémique en, après la publication parLe Canard enchaîné d'une note confidentielle dans laquelle son ministère envisage de maintenir ou supprimer des postes de juges d’instruction en fonction des résultats allant être obtenus par La République en marche auxélections municipales de 2020[29]. Cette révélation intervient dans un contexte de doutes sur l’indépendance de la justice, avec la nomination contestée du nouveauprocureur de Paris, la suspension du volet sur l’indépendance du parquet de larévision constitutionnelle et les perquisitions médiatisées au siège deLa France insoumise[29].

Le, au sujet de l'affaire Mila, relative à des menaces de mort adressées à une jeune fille de 16 ans ayant tenu des propos injurieux sur l’islam, elle indique qu'une insulte à une religion est une atteinte à laliberté de conscience[30]. Elle est accusée de chercher à rétablir le délit deblasphème et critiquée pour s'être exprimée sur une affaire judiciaire en cours, quelques jours après avoir exprimé sa position dans l’affaire Sarah Halimi[31].

En, pendant la crise sanitaire liée à lapandémie de coronavirus, elle prend plusieurs mesures pour adapter les conditions de détention[32]. Elle annonce inciter à la libération de plusieurs milliers de détenus, notamment ceux qui sont en fin de peine[33] et suspend la mise à exécution des peines de courte durée[34]. Cependant, elle refuse de procéder à un mouvement de libération général des écroués en détention provisoire, allant à l'encontre de plusieurs recommandations associatives et institutionnelles. Le 26 mars, elle annonce que dix détenus sont atteints du coronavirus[35].

Ministre de l'Éducation nationale

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Elle est nomméeministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse le[36],[37]. Sa nomination est critiquée par la droite et leRassemblement national en raison de sa politique comme garde des Sceaux, entre 2017 et 2020, qu'ils jugent « trop laxiste », ainsi que de ses propos polémiques sur la jeune Mila début 2020[38].

En, elle écarteAlain Policar du Conseil des Sages de la laïcité et des valeurs de la République pour ses critiques de laloi du 15 mars 2004 sur les signes religieux à l’école et sa déclaration sur le voile comme possible « vecteur d’émancipation pour les jeunes filles par rapport à leurs milieux »[39]. Sur les questions scolaires, elle poursuit la politique initiée parGabriel Attal, notamment sa réforme du « choc des savoirs ». Les groupes de niveau au collège sont rebaptisés groupes de besoin et elle réfute toute volonté de tri social[40]. Sa tâche est rendue délicate par la décision du gouvernement de supprimer700 millions d'euros du budget de l'Éducation nationale[41].

Engagement associatif

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Nicole Belloubet est en tant que rectrice présidente de droit de l'Association régionale des œuvres éducatives et de vacances de l'Éducation nationale (Aroéven) de Toulouse puis présidente élue jusqu'à sa nomination au Conseil constitutionnel en 2013[réf. à confirmer][42].

Elle préside, également pendant plusieurs années, la Fédération des Aroéven, Foéven(Fédération des Œuvres éducatives et de vacances de l’Éducation nationale) dont le siège se situe à Paris. Elle en quitte la présidence lors de son entrée en fonction auConseil constitutionnel[43].

Depuis le mois de, Nicole Belloubet est présidente duClub des juristes,cercle de réflexion juridique visant à l'amélioration du droit français. Elle remplace à ce posteBernard Cazeneuve[44].

Affaires et controverses

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Non-déclaration d’une partie de son patrimoine

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Lors de son entrée au gouvernement en juin 2017, Nicole Belloubet omet de déclarer une partie de ses parts liées à son patrimoine immobilier (maison de 184m2 dans l'Aveyron estimée à 800 € lem2, et deux appartements à Paris, estimés entre 3 000 et 4 000 € lem2)[45],[46],[47]. En décembre 2017, elle rectifie sa déclaration auprès de laHaute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) et déclare détenir des parts pour ces trois biens pour une valeur totale de 336 000 euros[48],[49]. Mise en cause parJean-Luc Mélenchon, Nicole Belloubet justifie ses oublis en déclarant que « ces biens-là n'étaient pas sous le même régime que les autres »[50].

Plainte de la ville de Montpellier pour prise illégale d’intérêts

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Le, la ville de Montpellier porte plainte pour « prise illégale d'intérêts » concernant l'attribution de la cour administrative d'appel à Toulouse, procédure entachée d'irrégularités selonPhilippe Saurel, maire de Montpellier. Nicole Belloubet avait été adjointe de l’ancien maire de ToulousePierre Cohen et vice-présidente du conseil régional de Midi-Pyrénées[51]. La plainte de la mairie de Montpellier est classée sans suite par laCour de justice de la République[52].

Déclaration contre le droit au blasphème

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Le, elle déclare surEurope 1 que « l’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c’est grave », à propos deMila, une adolescente menacée de mort après avoir tenu des propos injurieux sur l'islam[53]. Plus tard dans la journée, elle dit regretter une « expression maladroite » et juger inacceptables les menaces dont cette adolescente est victime[54],[55].

Détail des mandats et fonctions

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Au gouvernement

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Au Conseil constitutionnel

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Au niveau local

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  • Conseillère municipale deSaint-Rémy-lès-Chevreuse de 1989 à 1996
  • Conseillère municipale deToulouse de 2008 à 2013
  • Première adjointe au maire de Toulouse chargée de la culture de 2008 à 2010
  • Vice-présidente de lacommunauté d'agglomération du Grand Toulouse d' à
  • Vice-présidente de lacommunauté urbaine du Grand Toulouse de à 2013
  • Conseillère régionale de Midi-Pyrénées du au
  • Première vice-présidente du conseil régional de Midi-Pyrénées, chargée de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la recherche du au

Décorations

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « Conseil des maisons de vente: Édouard de Lamaze nommé président. », surConseil des maisons de vente(consulté le)
  2. abcdefghi etjMariana Grépinet,« Nicolas Belloubet, le calme après la tempête »,Paris Match, semaine du1er au 7 février 2018, p. 24-25.
  3. « Nicole Belloubet : juste, un peu raide », surLibération.fr,
  4. Arrêté du 3 juin 1992 fixant la liste des candidats admis au concours national d'agrégation de l'enseignement supérieur ouvert pour le recrutement de professeurs des universités en droit public(lire en ligne)
  5. Gilbert Laval, « Nicole Belloubet. Bien sage »,Libération,‎(lire en ligne, consulté le).
  6. Curriculum vitae sur le site de Sciences Po Toulouse.
  7. « 30 propositions pour lutter contre les violences sexuelles dans les établissements scolaires », surMinistère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
  8. Nicole Belloubet nommée au Conseil Constitutionnel sur le site tempsreel.nouvelobs.com
  9. Nicole Belloubet, professeure des universités à Sciences Po Toulouse, est nommée au Conseil Constitutionnel sur le site de Sciences Po Toulouse.
  10. SEBASTIENROY, « Sciences Politiques Toulouse - Élection de Philippe Bélaval à la présidence du CA de Sciences Po Toulouse », sursciencespo-toulouse.fr(consulté le)
  11. Qui est Nicole Belloubet, la nouvelle garde des Sceaux ?, lepoint.fr, 22 juin 2017
  12. « Nicole Maestracci et Nicole Belloubet nommées au Conseil constitutionnel »,Le Monde du.
  13. « Les trois nouveaux membres du Conseil constitutionnel ont prêté serment »,Le Monde du 14 mars 2013.
  14. « Décisionno 2017-651 QPC du », surConseil constitutionnel(consulté le)
  15. « Nicole Belloubet est nommée ministre de la Justice, à la place de François Bayrou », surL'Obs
  16. « Abus sexuels: Nicole Belloubet veut "avancer vite". », surleparisien.fr,(consulté le)
  17. « L'âge du consentement sexuel au centre des débats », surrtl.fr,(consulté le).
  18. Hugo Wintrebert,« Consentement sexuel : la loi ne pose pas de limite d'âge »,Le Figaro, 4-, p. 7.
  19. Paule Gonzales,« Prisons : vers une délicate sortie de crise »,Le Figaro, 27-, p. 9.
  20. « Les grandes lignes du plan prison de Nicole Belloubet », lefigaro.fr,.
  21. Paule Gonzales,« Carte judiciaire : une réforme prudente »,Le Figaro, 10-11 mars 2018, p. 7.
  22. Paule Gonzales,« Six mesures pour réduire les délais de la justice civile »,Le Figaro, 10-, p. 7.
  23. Paule Gonzales, « L'annonce surprise de la création d'un tribunal criminel »,Le Figaro, 10-, p. 7.
  24. Nicole Belloubet : « Le Parlement ne peut pas empiéter sur le domaine judiciaire », tribune, lemonde.fr,
  25. Affaire Benalla : "Nicole Belloubet instrumentalise la séparation des pouvoirs", entretien avecPaul Cassia, marianne.net, 12 septembre 2018
  26. Pierre Brunet,Affaire Benalla : « Empiéter, dites-vous, Madame la Garde des sceaux ? », lemonde.fr, 19 septembre 2018
  27. Benalla: Belloubet fustige les recommandations du Sénat, boursorama.com,
  28. « Composition du Gouvernement », surGouvernement.fr(consulté le)
  29. a etbPaule Gonzalès, « Carte judiciaire : Nicole Belloubet empêtrée », surlefigaro.fr,(consulté le)
  30. ://www.lavoixdunord.fr/702381/article/2020-01-29/critique-des-religions-tolle-apres-les-declarations-de-nicole-belloubet-qui
  31. Paule Gonzalès, « Affaire Mila: Nicole Belloubet invitée à revoir son droit »,Le Figaro,‎(lire en ligne).
  32. Ministère de la Justice, « Epidémie de Covid Flash Info urgent n°2 »(consulté le)
  33. « Coronavirus : le ministère de la Justice va autoriser la libération de 5 000 détenus en fin de peine », surFranceinfo,(consulté le)
  34. « Pour réguler la population des prisons, les peines courtes reportées », sur20minutes.fr(consulté le)
  35. « Nicole Belloubet : "Il n’est pas question que l’état d’urgence sanitaire entre dans le droit commun" », surfranceinter.fr(consulté le)
  36. « DIRECT. Remaniement : Nicole Belloubet nommée ministre de l’Éducation nationale à la place d'Amélie Oudéa-Castéra », surFranceinfo,(consulté le)
  37. « DIRECT. Remaniement : Amélie Oudéa-Castéra conserve le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et paralympiques, Frédéric Valletoux nommé à la Santé », surFranceinfo,(consulté le)
  38. « «Signal désastreux», «l’une des plus laxistes»… La droite et le RN vent debout contre la nomination de Belloubet à l’Éducation », surlefigaro.fr,(consulté le)
  39. Nathan Tacchi, « Alain Policar écarté du Conseil des sages de la laïcité après des propos polémiques sur le voile à l’école »,lepoint.fr,‎(lire en ligne)
  40. Groupes de niveau au collège : "Ma volonté, c'est de faire réussir tous les élèves", affirme Nicole Belloubet, ministre de l'Éducation nationale, francetvinfo.fr,
  41. AFP, « Coupes budgétaires : aucun emploi ne sera supprimé dans l’Éducation, assure Belloubet »,Le Figaro,‎(lire en ligne)
  42. « Belloubet Nicole », surmemoiresdeguerre.com,(consulté le).
  43. Yannick Vely, « Nicole Belloubet, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale rêvait d’être cosmonaute »,Paris Match,(ISSN 0397-1635, consulté le).
  44. « Nicole Belloubet est nommée Présidente du Club des juristes - Le Club des Juristes »,(consulté le).
  45. « Qui a le patrimoine le plus modeste ? Qui est millionnaire ? Ce qu'il faut retenir des déclarations des ministres », surFranceinfo,
  46. « Déclaration de patrimoine : la Toulousaine Nicole Belloubet avait omis des biens immobiliers », surFrance 3 Occitanie
  47. « Ces ministres qui ont (sensiblement) sous-évalué leur patrimoine immobilier », surLe Figaro,(consulté le)
  48. « Belloubet reconnaît des «oublis» lors de sa déclaration de patrimoine »,Le Figaro,‎(lire en ligne)
  49. Nicole Belloubet, « Déclaration de situation patrimonial », surhatvp.fr,(consulté le)
  50. « Mise en cause par Mélenchon, Belloubet admet avoir rectifié des oublis sur sa déclaration de situation patrimoniale »,FranceInfo,‎(lire en ligne)
  51. Carte judiciaire : Montpellier accuse Nicole Belloubet de "prise illégale d'intérêt", lexpress.fr,
  52. https://www.ouest-france.fr/societe/justice/carte-judiciaire-la-plainte-de-la-ville-de-montpellier-contre-nicole-belloubet-classee-sans-suite-6757666
  53. Mattea Battaglia et Charlotte Herzog, « L’affaire Mila expliquée : insultes contre l’islam, menaces contre une lycéenne et réaction politique « maladroite » »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  54. lefigaro.fr,,« Affaire Mila : Nicole Belloubet admet son «erreur» et défend le droit de blasphème ».
  55. charliehebdo.fr,,« Justice : Nicole Belloubet drague les barbus ».
  56. Décret du 29 décembre 2022 portant promotion dans l'ordre national de la Légion d'honneur
  57. Décret du 31 décembre 2001 portant promotion et nomination(lire en ligne)
v ·m
Gouvernement Philippe II()jusqu'auremaniement du 16 octobre 2018
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Intérieur
Gérard Collomb,ministre d'État (dém) (3)puis par intérimÉdouard Philippe (3)
Ministre :Jacqueline Gourault

Édouard Philippe
Premier ministre
Transition écologique et solidaire
Nicolas Hulot,ministre d'État (dém) (2)puisFrançois de Rugy,ministre d'État (2)
Ministre chargée des Transports :Élisabeth Borne
Secrétaire d'État :Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Cohésion des territoires
Jacques Mézard
Secrétaire d'État :Julien Denormandie
Solidarités et SantéAgnès Buzyn
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État :Benjamin GriveauxpuisDelphine Gény-Stephann (1)
CultureFrançoise Nyssen
TravailMuriel Pénicaud
Éducation nationaleJean-Michel Blanquer
Agriculture et AlimentationStéphane Travert
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État (1) :Olivier Dussopt (1)
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Outre-MerAnnick Girardin
SportsLaura FlesselpuisRoxana Maracineanu (2)
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Christophe Castaner,porte-parole du Gouvernementjusqu'au (1)
Secrétaire d'État (1) :Benjamin Griveaux,porte-parole du Gouvernementà partir du (1)
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des personnes handicapées :Sophie Cluzel
Secrétaire d'État chargé du Numérique :Mounir Mahjoubi
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••
v ·m
Gouvernement Philippe II()après leremaniement du
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Transition écologique et solidaire
François de Rugy,ministre d'État (dém), puisÉlisabeth Borne
Ministre puis secrétaire d'État chargé des Transports :Élisabeth Borne, puisJean-Baptiste Djebbari
Secrétaire d'État :Brune Poirson
Secrétaire d'État :Emmanuelle Wargon

Édouard Philippe
Premier ministre
Justice,garde des sceauxNicole Belloubet
Europe etAffaires étrangères
Jean-Yves Le Drian
Ministre puis secrétaire d'État chargée des Affaires européennes :Nathalie Loiseau (dém), puisAmélie de Montchalin
Secrétaire d'État :Jean-Baptiste Lemoyne
Armées
Florence Parly
Secrétaire d'État :Geneviève Darrieussecq
Solidarités et Santé
Agnès Buzyn(dém), puisOlivier Véran
Haut-commissaire auxRetraites :Jean-Paul Delevoye (dém)
Secrétaire d'État chargé des Retraites :Laurent Pietraszewski
Secrétaire d'État :Christelle Dubos
Secrétaire d'État :Adrien Taquet
Économie et Finances
Bruno Le Maire
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Action et des Comptes publics) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Agnès Pannier-Runacher
Travail
Muriel Pénicaud
Secrétaire d'État chargé de la Protection de la santé des salariés contre l'épidémie de Covid-19 :Laurent Pietraszewski
Éducation nationale etJeunesse
Jean-Michel Blanquer
Secrétaire d'État :Gabriel Attal
Action et Comptes publics
Gérald Darmanin
Secrétaire d'État chargé du Numérique (délégué également auprès duministre de l'Économie et des Finances) :Mounir Mahjoubi (dém), puisCédric O
Secrétaire d'État :Olivier Dussopt
Intérieur
Christophe Castaner
Secrétaire d'État :Laurent Nuñez
Enseignement supérieur,Recherche et InnovationFrédérique Vidal
Cohésion des territoires etRelations
avec les collectivités territoriales
Jacqueline Gourault
Ministre chargé des Collectivités territoriales :Sébastien Lecornu
Ministre chargé de la Ville etdu Logement :Julien Denormandie
Outre-MerAnnick Girardin
CultureFranck Riester
Agriculture et AlimentationDidier Guillaume
SportsRoxana Maracineanu
Ministre etsecrétaires d'État
auprès duPremier ministre
Ministre chargé des Relations avec le Parlement :Marc Fesneau
Secrétaire d'État :Benjamin Griveaux,Sibeth Ndiaye,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Marlène Schiappa
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées :Sophie Cluzel
Ordonnancement parordre de préséance
( PHILIPPE I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( CASTEX)
v ·m
Gouvernement Attal()
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique
Bruno Le Maire
Ministre délégué chargé de l'Industrie etde l'Énergie :Roland Lescure
Ministre déléguée chargée des Entreprises,du Tourismeet de la Consommation :Olivia Grégoire
Ministre délégué chargé des Comptes publics :Thomas Cazenave
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Marina Ferrari

Gabriel Attal
Premier ministre
Intérieur etOutre-mer
Gérald Darmanin
Ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre déléguée chargée des Outre-mer :Marie Guévenoux
Secrétaire d'État chargée de la Ville etde la Citoyenneté :Sabrina Agresti-Roubache
Travail,Santé etSolidarités
Catherine Vautrin
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées :Fadila Khattabi
Ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention :Frédéric Valletoux
Éducation nationale etJeunesse
Nicole Belloubet
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Agriculture et Souveraineté alimentaire
Marc Fesneau
Ministre déléguée :Agnès Pannier-Runacher
CultureRachida Dati
Armées
Sébastien Lecornu
Secrétaire d'État chargée des Anciens combattants et de la Mémoire :Patricia Mirallès
Justice,garde des sceaux
Éric Dupond-Moretti
Ministre déléguée chargée de l'Enfance,de la Jeunesse etdes Familles :Sarah El Haïry
Europe et Affaires étrangères
Stéphane Séjourné
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et des Français de l'étranger :Franck Riester
Ministre délégué chargé de l'Europe :Jean-Noël Barrot
Secrétaire d'État chargée du Développement et des Partenariats internationaux :Chrysoula Zacharopoulou
Transition écologique etCohésion des territoires
Christophe Béchu
Ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales etde la Ruralité :Dominique Faure
Ministre délégué chargé des Transports :Patrice Vergriete
Ministre délégué chargé du Logement :Guillaume Kasbarian
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Sabrina Agresti-Roubache
Secrétaire d'État chargé de la Mer etde la Biodiversité :Hervé Berville
Transformation et Fonction publiquesStanislas Guerini
Sports et Jeux olympiques et paralympiquesAmélie Oudéa-Castéra
Enseignement supérieur etRechercheSylvie Retailleau
Ministres délégués etsecrétaires d'État auprès duPremier ministre
Ministre déléguée chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement :Prisca Thevenot
Ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement :Marie Lebec
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations :Aurore Bergé
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v ·m
IIIe République
(1870-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
Gouvernement provisoire
(1944-1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v ·m
Troisième République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
GPRF
(1944-1946)
Quatrième République
(1946-1959)
Cinquième République
(depuis 1959)
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