Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Nash-Healey

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nash-Healey
Nash-Healey
1951 Nash-Healey

MarqueNash Motors
Années de production1951–1954
ClasseSportive
Usine(s) d’assemblage
Moteur et transmission
Moteur(s)
Position du moteurMoteur avant,propulsion
Transmissionboite manuelle à trois rapports avecoverdrive
Masse et performances
Masse à videapproximatif 1 090 kg
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s)
Dimensions
Longueur
  • roadster: 4,337 mm
  • coupé: 4,585[1]
 mm
Largeur
  • roadster: 1,626 mm
  • coupé: 1,651
 mm
Hauteur
  • roadster: 1,219 mm
  • coupé: 1,397
 mm
Empattement
  • roadster: 2,591 mm
  • coupé: 2,743
 mm
modifier 

LaNash-Healey est unevoiture de sport deux places qui a été produite pour le marché américain entre 1951 et 1954. Commercialisée par Nash-Kelvinator Corporation avec latransmission Nash Ambassador sur un châssis-carrosserie européen, elle a servi de véhiculehalo (ou image), voiture-phare, pour aider le constructeur à promouvoir les ventes d'autres modèlesNash. C'était "La première voiture de sportde l'après-guerre"[2], et la première à être introduite aux États-Unis par un grandconstructeur automobile après laGrande Dépression[3]. La Nash-Healey a été conçue en partenariat entre Nash-Kelvinator Corporation et le constructeur automobile BritanniqueDonald Healey. Par la suite, la voiture a été redessinée parPinin Farina et le sous-assemblage a commencé enItalie.

Une version de course, construite avec une carrosserie en aluminium, a terminé troisième aux24 heures du Mans de 1952.

Origine

[modifier |modifier le code]

Donald Healey et le directeur de Nash-Kelvinator George W. Mason se sont rencontrés sur leReine Elizabeth, unpaquebot reliant les États-Unis à la Grande-Bretagne. Healey était de retour en Angleterre après sa tentative d'acheter des moteursCadillac, maisGeneral Motors avait refusé son idée[4]. Il voulait développer la production de la Healey Silverstone que le pilote de voitures de courseBriggs Cunningham avait personnalisée avec le nouveau moteur CadillacV8 à arbres à came en tête[5]. Mason et Healey se sont rencontrés au cours d'un dîner et un plan de production est élaboré durant le reste du voyage. Ils sont devenus amis parce qu'ils étaient tous les deux intéressés par la photographie. Mason avait une camérastéréo (3-D) qui intrigua Healey[6].

La Nash-Healey de 1951 fut la première voiture de sport de l'après-guerre venant d'un grand constructeur automobile Américain, et a battu laChevrolet Corvette introduite en 1953[7]. Les précédentesKurtis Kraft et Muntz Jet n'étaient pas réellement en production dans le vrai sens du mot[8]. La première version de production a été exposée au Miami Auto Show en.

1951

[modifier |modifier le code]
1951 Nash-Healey

Nash Motors fournit donc laDonald Healey Motor Company avec legroupe motopropulseur venant de l'Ambassador, un six cylindres en ligne à soupapes en tête de 3 855 litres de cylindrée et la boîte manuelle à trois vitesses avecoverdriveBorg-Warner, en plus du tube de couple et dudifférentiel. Healey équipa le moteur d'une culasse en aluminium (à la place de la fonte de fer d'origine), plus légère et offrant plus de compression, avec deux carburateurs SU de 1,75 pouce (44 mm) qui étaient populaires sur les voitures de sport britanniques à l'époque. Ceci porte la puissance à 125 cv, contre 112 à la version initiale. Comparé à d'autres voitures de sport contemporaines Britanniques, le moteur de la Nash-Healey était long, lourd et encombrant[9]. Toutefois, l'idée de départ de Donald Healey était d'utiliser un moteur encore plus gros, le Cadillac V8 de 5,4 litres, et la voiture fut conçue avec un compartiment moteur permettant aux propriétaires de convertir leurs voitures à moteur V8[10].

Le châssis était celui de laHealey Silverstone[11] élargi et renforcé, de type cadre en échelle en acier. La suspension avantindépendante, provenant aussi de la Healey Silverstone, utilisaitdes ressorts hélicoïdaux, desbras oscillants, et unebarre stabilisatrice. La suspension arrière provenait de Nash et remplaçait par des ressorts hélicoïdaux lesressorts à lames de la Silverstone, tandis quel'essieu est fixé par desbarres Panhard.

Healey conçut la carrosserie en aluminium, mais la fabrication futexternalisée chez Panelcraft Sheet Metal àBirmingham[12]. Elle intégrait unecalandre Nash, les pare-chocs, et d'autres garnitures[13]. Healey était responsable de l'assemblage final de la voiture.

La voiture avaitdes freins à tambour aux quatre roues. Les roues sont en acier, habillées avec des jantes plein chrome et 4 pneus à flanc blanc de 6,40 × 15 pouces. L'intérieur mettait en vedette une luxueuse sellerie cuir, des coussins en caoutchouc mousse, un volant réglable, et un allume-cigare. Les véhicules complétés furent expédiés aux États-Unis pour la vente par le réseau deconcessionnaires Nash.

Un prototype fut exposé ausalon de Paris en. Le modèle de production a débuté en au Chicago Auto Show et Donald Healey a donné le premier exemplaire àPetula Clark. La voiture avait le numéro minéralogique PET1. Les seules couleurs disponibles étaient "Champagne Ivoire" et "Coucher de soleil Marron", mais le prix de détail suggéré (PDSF) deUS$3,767F. O. B.la Ville de New York s'est révélé non compétitif[14].

Restylisation

[modifier |modifier le code]
1952 Nash-Healey roadster
Nash-Healey roadster

1952

[modifier |modifier le code]

Pour 1952, Nash demanda au designer italienPinin Farina de réviser la conception de la carrosserie de Healey. L'un des objectifs était de rendre la voiture de sport de plus en plus semblable aux autres modèles Nash. L'avant a reçu une nouvelle calandre intégrant les phares. Les côtés mettent en vedette une aile arrière se terminant par de petits ailerons. Unpare-brise incurvé a remplacé le précédent pare-brise en deux morceaux plats. La voiture est apparue la même année au Chicago Auto Show[15]. (les modèles Nash Ambassador et Statesman adoptèrent une calandre inspirée de celle de la Nash-Healey, incluant les phares, pour 1955, et la publicité mettait en vedette la nouvelle Nash avec une Nash-Healey en arrière-plan pour montrer la ressemblance évidente.)

La Carrozzeria Pininfarina àTurin construisit la carrosserie qui, à part le capot, le couvercle de coffre et le tableau de bord en aluminium, était maintenant toute en acier[16]. Les panneaux en aluminium permettaient un accès mécanique plus aisé et la réduction du poids à vide[17]. Le moteur de la Nash était maintenant un 4,1 litres à double carter, fabriqué en Amérique, produisant 140 cv.

Les frais d'expédition étaient considérables : à partir deKenosha, dans le Wisconsin, les moteurs Nash et les transmissions sont envoyés en Angleterre pour l'installation dans le châssis de la Healey, qui est ensuite envoyé en Italie, où les artisans de chez Pininfarina façonnent la carrosserie et assemblent le produit fini. Finalement, Farina exporte les voitures vers l'Amérique. En résultat le prix affiché était de $5908 en 1953, alors que la nouvelle Chevrolet Corvette était à $3513[18].

1953

[modifier |modifier le code]

Le modèle de l'année 1953 a vu l'introduction d'un nouveau coupé fermé[19] à côté de la roadster (maintenant appelée "convertible"). En capitalisant sur la3e place auMans par une Nash-Healey légère spécialement construite pour la course (voir ci-dessous), le nouveau modèle a été appelé coupé "le Mans"[20]. Nash avait déjà appelé le groupe motopropulseur la "Le-Mans Double Jetfire Ambassador Six" en 1952, en référence aux exploits de la légère voiture de compétition.

Certains décrivent la nouvelle conception comme "magnifique"[21]. D'autres disent "les gens n'aiment pas la position des phares"[22]. Ce montage des phares a été décrit comme "Sécurité-Vu" car la concentration d'éclairage et leur position basse augmentait la sécurité par temps de brouillard. Le modèle "Le Mans" de 1953 a reçu le premier prix en mars au Concours d'Elégance  International qui eut lieu à Tresa, en Italie[23].

1954 Nash-Healey "Le Mans" coupé
Le moteur six cylindres en ligne de la Nash Ambassador avec deux Carburateurs SU

Tirant parti de la popularité du golf pour promouvoir leurs voitures, Nash Motors et les concessionnaires de Nash ont parrainé ce que le constructeur a décrit comme "plus de 20 grands tournois de golf à travers le pays", en 1953, et le golfeurSam Snead a été vu avec son roadster Nash-Healey sur la couverture duNash News[24],[25]. du mois de.

Un roadster, propriété deDick Powell, a été conduit parGeorge Reeves, jouant Clark Kent dans quatre épisodes de la série TV desAventures de Superman[26],[27]. Un autre roadster apparaît dans le film de 1954Sabrina avec les acteursHumphrey Bogart,William Holden, etAudrey Hepburn[28].

1954

[modifier |modifier le code]

Nash Motors est devenu une division del'American Motors Corporation (AMC) qui fut formée en résultat d'une fusion avec laHudson Motor Car Company en. Nash était confronté avec des ressources marketing, de promotion et de développement limitées vu la niche de marché de la voiture par rapport aux modèles se vendant en plus grands volumes[29]. À cette époque, AMC savait qu'un modèlede Ford Thunderbird également luxueusement équipé de deux sièges cuir, mais avec la puissance d'un V8, était prévu. À la lumière de la faiblesse des ventes des années précédentes, Nash retarde de lancement du modèle 1954 jusqu'au et abandonne les convertibles, en gardant uniquement le coupé "Le Mans" retravaillé, qui se distingue par une fenêtre arrière en trois parties au lieu de la précédente d'une seule pièce de verre.

Healey s'est ensuite concentré sur sa nouvelle Austin-Healey 100, "et la Nash-Healey a dû être abandonnée."[30] Bien que les frais de transport internationaux fussent un facteur de coût important, Nash coupa le prix POE (port d'entrée) de plus de $1200 à $5128. La production cessa en août. Les quelques voitures restantes de 1954 ont finalement été vendues comme modèles 1955[31].

Course

[modifier |modifier le code]

Panamericana pace car

[modifier |modifier le code]

Une Nash-Healey a servi en 1951 de voiture officielle à laCarrera Panamericana, décrite comme une des courses de voitures les plus dangereuses au monde, toutes catégories confondues. Pilotée parChuck Stevenson, la Nash-Healey précédait les concurrents pour s'assurer que la route fut dégagée dans la "plus grande course au monde sur route"[32].

Courses d'endurance 

[modifier |modifier le code]

Pour créer un pédigrée sportif pour la marque, Donald Healey construisit quatre Nash-Healey légères pour descourses d'endurance.[33] Comme les véhicules de série, elles avaient des mécaniques Nash Ambassador. Cependant, le montage de têtes de cylindres en aluminium permettant une haute compression, des collecteurs spéciaux, et deux carburateurs SU amena la puissance à 200 cv. Les voitures avaient des carrosseries de course en aluminium, légères et spartiates. Trois versions ouvertes ont été construites, et un coupé. Ces voitures ont concouru à quatre épreuves duMans et uneMille Miglia.

1950 Le Mans

[modifier |modifier le code]

Tony Rolt etDuncan Hamilton ont emmené le prototype faire ses débuts auMans en 1950. Il fut le premier au Mans ayant une surmultipliée. Non seulement la voiture fut l'une des 29 à terminer la course sur 66[34], mais elle a également terminé à la quatrième place. Cette réalisation remarquable scella le contrat entre Healey et Nash pour une production limitée de voitures de route[35]. Roger Menadue, chef du département expérimental Healey, a joué un rôle important dans le succès : Il a creusé des fentes dans les disques des freins et mis le mécanisme de réglage à l'extérieur à l'aide d'un petit levier. Il était désormais possible d'ajuster les freins en quelques secondes lors des arrêts au stand, sans soulever la voiture — une innovation qui a été dite épargner une demi-heure à chaque arrêt[36].

1951 Le Mans

[modifier |modifier le code]

Dans lacourse du Mans de 1951 Rolt et Hamilton (qui gagneront deux ans plus tard avec uneJaguar Type C) ont pris la quatrième place dans la classe et la sixième place du classement général derrière une Jaguar, deuxTalbot-Lagos et deuxAston Martin. Ils ont terminé immédiatement devant les deuxFerrari et une autre Aston Martin[37].

1952 Le Mans

[modifier |modifier le code]
Modèle à l'échelle de la Nash-Healey légère qui remporta la troisième place au Mans en 1952
1952 Le Mans (modèle)

Aux24 Heures du Mans 1952, alors que seulement 17 des 58 partants terminent la course, la voiture pilotée parLeslie Johnson—pilote ayant le flair deTazio Nuvolari, ditLouis Chiron—et du journaliste automobile Tommy Wisdom[38] a remporté la troisième place derrière les deuxMercedes-Benz 300SL d'usine; également premiers de leur classe, devant la Ferrari deChinetti, et la seconde dans la Coupe Rudge-Whitworth de la meilleure performance au cours de deux années consécutives. En outre, ils ont remporté le Challenge Cup du Moteur d'Or. Les pilotes dirent que la voiture était plus agile dans les virages que ses concurrentes exotiques. Elle a consommé 18 litres aux cent et le moteur n'a pas eu besoin d'huile ou d'eau sur l'ensemble des 24 heures[39]. La voiture avait été construite en partant de zéro en une quinzaine de jours, Menadue et son assistant Jock Reid ont fabriqué la carrosserie en moins d'une semaine, à vue, sans aucun plan. Healey en a dit : “C'est un vilain bougre, n'est-ce pas, Roger ?”

1952 Mille Miglia

[modifier |modifier le code]

La même année, Johnson a engagé la voiture auxMille Miglia, la course italienne des mille milles sur route qui sera interdite car trop dangereuse cinq ans plus tard. Le correspondant automobile duDaily Telegraph l'accompagnait en tant que passager[40]. Ils ont terminé à une honorable septième place au classement général derrière lesBracco de l'équipe Ferrari, les Mercedes-Benz 300SL deKling etCaracciola, et troisLancias[41] ; ils ont également pris la quatrième place de la classe. Le coupé piloté par Donald Healey et son fils Geoffrey s'est écrasé.

1953 Le Mans

[modifier |modifier le code]

Pour l'édition 1953 l'usine, avec Johnson et Bert Hadley dans l'une des deux voitures, avec repensé la carrosserie. Johnson a démarré à la27e place. Bien que lui et Hadley eurent une avancée constante lors de la course, ils arrivèrent onzièmes, avec 39 tours de retard sur la Jaguar gagnante, malgré une vitesse moyenne de 148,78 km/h—plus que l'année précédente pour la troisième place[20]. Cependant, ils ont battu deux autres voitures de Donald Healey, la nouvelleAustin-Healey 100. La deuxième Nash-Healey deVeyron etGiraud-Cabantous a dû abandonner après neuf tours.

Ceci conclut le programme de course de voitures de compétition légères de l'usine. En 1952 la voiture gagnante du Mans et des Mille Miglia est passée en propriété privée et s'est enfuie en Amérique[42].

Héritage

[modifier |modifier le code]

En 1956, American Motors a présenté son premier moteur V8 de 4,1 litres de cylindrée développant 190 cv avec deux carburateurs. En 1957[43], AMC porte son nouveau V8 à 5,4 litres de cylindrée et l'utilise au cours de la dernière année de production de voitures de luxe comme la Nash Ambassador et laHudson Hornet. Ce moteur a également été en vedette dans le tout nouveau "compact" Rambler Rebel, avec des poussoirs de soupape et une puissance de 255 cv avec quatre carburateurs et de 288 cv avec l'option Bendix, le système d'injection électrique de carburant. Une Rambler Rebel à injection de carburant a été alignée à la Pure Oil Daytona. Le Rambler Rebel est créditée pour avoir été la premièrevoiture muscle d'usine, étant plus rapide que la Chrysler 300, la Dodge D500, la Desoto Aventurier, et toutes les autres berlines américaines en 1957. La seule voiture plus rapide était la Corvette de 4,6 litres à boîte manuelle quatre vitesses à injection de carburant.

Le V8 327 aurait été tout à fait adapté à la Nash Healey. L' Automobile Manufacturers Association a finalement instauré des limites aux constructeurs parrainant des activités qui idéalisent la vitesse et les performances en 1957. American Motors a observé à la fois la lettre et l'esprit de la résolution de l'AMA, qui voulait éviter à l'industrie automobile une course à la puissance des moteurs[44]. En 1962, American Motors a même adopté le slogan publicitaire, "Pourquoi ne pas nous saisir d'une Rambler V-8s de haute performance dans la course ? Parce que la seule course dont Rambler se soucie est celle de la race humaine !"[45],[46] Le constructeur automobile misait sur la réussite de sa ligne compacte Rambler American, de ses Rambler de taille moyenne, et de son offre orientée luxe Ambassadeur.

Production

[modifier |modifier le code]

Un total de 507 Nash-Healeys furent assemblées durant les quatre années de sa production :

  • 1951 - 104 (roadsters) lhd N-Type plus 1 rhd G-Type G525 (30 voitures supplémentaires furent vendues avec des moteursAlvis ou Healey[10].)
  • 1952 - 150 (roadsters)
  • 1953 - 162 (roadsters et coupés)
  • 1954 - 90 (coupés)

Le registre Nash-Healey compte 520 entrées, y compris les prototypes et les véhicules de compétition[47].

Pour une comparaison en contexte, la Nash-Healey est mise sur le même pied que laKaiser Darrin de 1953, laChevrolet Corvette de 1953, et laFord Thunderbird de 1955. Le prix public de la Nash-Healey approchait les 6000 $, à comparer avec environ 3500 $ pour la Chevrolet Corvette et 3000 pour la Ford Thunderbird 1955[5].

  • Healey Sport Convertible
    Healey Sport Convertible
  • Coupé
    Coupé
  • La voiture alignée au Mans en 1951
    La voiture alignée au Mans en 1951
  • Un coupé Hershey de 1953
    Un coupé Hershey de 1953
  • Intérieur du roadster de 1952
    Intérieur du roadster de 1952

Références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) « 1953 Nash album », Oldcarbrochures.com(consulté le),p. 6–7
  2. DennisAdler et CarrollShelby,50 Cars to Drive, Globe Pequot Press,, 233–234 p.(ISBN 978-1-59921-230-2,lire en ligne)
  3. « Nash Builds a Sports Car »,Popular Mechanics,vol. 95,no 3,‎,p. 107–109(lire en ligne, consulté le)
  4. Frederick J.Roth, « Nash Healey », American Sports Cars,(consulté le)
  5. a etbJeremyWilson, « History and Production Notes », Popular Restorations(consulté le)
  6. RonnieSchreiber, « Stereo Realists: Donald Healey, George Mason and How the 3D Craze Led to the Nash-Healey », The Truth About Cars,(consulté le)
  7. DanJedlicka, « 1951-54 Nash-Healey History »(consulté le)
  8. CarlBomstead, « 1950 Nash-Healey Roadster »,(consulté le)
  9. RayBonds et GrahamRobson,The Illustrated Directory of Sports Cars, MBI Publishing,, 480 p.(ISBN 978-0-7603-1420-3)
  10. a etb« 1951 Nash Healey Roadster », Anamera,(consulté le)
  11. Auto Editors ofConsumer Guide, « 1950 Healey Silverstone », auto.howstuffworks.com,(consulté le)
  12. AnnHulme, « From Ann Hulme », Nash Car Club(consulté le)
  13. BillVance,Reflections on automotive history, Volume 1, Eramosa Valley Publications,, 191 p.(ISBN 978-0-9698922-0-5),p. 137
  14. (en) BillVance, « Reflections: Healey’s creations helped make British sports cars popular »,The London Free Press,‎
  15. « 1952 Nash-Healey », Pacific Northwest Region Nash Car Club of America(consulté le)
  16. DavidLaChance, « 1953 Nash-Healey LeMans Coupe »,Hemmings Sports & Exotic Car,‎(lire en ligne, consulté le)
  17. Auto Editors ofConsumer Guide, « 1952 Nash-Healey »,(consulté le)
  18. DanLyons,Cars of the Fantastic '50s, MBI Publishing,, 43–45 p.(ISBN 978-0-87349-926-2,lire en ligne)
  19. « Nash-Healey Adds LeMans Hardtop to Sports Line »,Popular Mechanics,vol. 99,no 5,‎,p. 101(lire en ligne, consulté le)
  20. a etbAuto Editors ofConsumer Guide, « 1953 Nash-Healey »,(consulté le)
  21. DennisAdler et StirlingMoss,Mercedes-Benz : Silver Star Century, MBI Publishing,(ISBN 978-0-7603-0949-0,lire en ligne),p. 90
  22. Richard M.Langworth,Kaiser-Frazer, the last onslaught on Detroit : an intimate behind the scenes study of the postwar American car industry, Automobile Quarterly Publications,, 287 p.(ISBN 978-0-915038-04-6),p. 200
  23. JohnConde, « Nash-Healey (1951-54) », www.carmemories,(consulté le)
  24. Nash News (June, 1953) "Nash cashes in on the popularity of golf to sell more cars"
  25. « Nash-Healey Roadster - Auction 20-21/1, Listing Date: 6 December 2010 », carandclassic.com(consulté le)
  26. LouKoza, « This is a car ... for Superman! », The Adventures Continue Website,(consulté le)
  27. (en) ThomasWatterson, « Collectibles: Porky Pig Meets The Big, Bad Wolf »,Boston Globe,‎ :

    « His collection includes the "Superman car," a 1953 Nash-Healey driven by the Clark Kent character in the 1950s television series. »

  28. « Sabrina (1954) Trivia », Internet Movie Cars Database(consulté le)
  29. Auto Editors ofConsumer Guide, « The Nash-Healey's Demise »,(consulté le)
  30. RayBonds,Illustrated Directory of Sports Cars, MBI Publishing,, 378–379 p.(ISBN 978-0-7603-1420-3,lire en ligne)
  31. Auto Editors ofConsumer Guide, « 1954 and 1955 Nash-Healey »,(consulté le)
  32. JohnnyTipler et JoRamirez,La Carrera Panamericana : "The World's Greatest Road Race!", Veloce Publishing,, 266 p.(ISBN 978-1-84584-170-6,lire en ligne),p. 26
  33. Richard M.Kaufmann, « Nash-Healey at Le Mans »,Special Interest Autos, Hemmings,‎(lire en ligne, consulté le)
  34. (en) Auto Editors ofConsumer Guide, « The Nash-Healey and the 1950 LeMans 24 Hours »,(consulté le)
  35. (en) JohnConde, « Nash-Healey (1951-54) », AMX Files,(consulté le)
  36. (en) « Roger Menadue: Motor engineer whose unorthodox approach fuelled the race-circuit success of the Healey's stable »,The Times,‎(lire en ligne, consulté le)
  37. Auto Editors ofConsumer Guide, « 1951 Nash-Healey »,(consulté le)
  38. « Image Preview: Tommy Wisdom, winner of the Grand Turismo Class of the Mille miglia », Motoring Picture Library,(consulté le)
  39. Auto Editors ofConsumer Guide, « The Nash-Healey's 1952 Racing Record »,(consulté le)
  40. « Sports Cars on Stamps », Car Keys,(consulté le)
  41. « World Sports Racing Prototypes, Non Championship Races 1952, Mille Miglia results »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), wsrp.ic.cz,(consulté le)
  42. « Wheels TV Film about the 1952 Le Mans/Mille Miglia Nash Healey; includes Le Mans footage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)(consulté le). Retrieved 22 March 2008.
  43. (en) Martyn L.Schorr,Tales of a Motion Performance Muscle Car Builder, MotorBooks International,, 176 p.(ISBN 978-0-7603-3538-3,lire en ligne),p. 15
  44. (en) « Auto Makers Get Warning on Speed From A.M.C. Chief »,The New York Times,‎(lire en ligne, consulté le)
  45. (en) « Only race Rambler cares about is the human race (AMC advertisement) »,Life,vol. 56,no 24,‎,p. 129(lire en ligne, consulté le)
  46. (en) Larry G.Mitchell,AMC muscle cars, MBI Publishing,, 128 p.(ISBN 978-0-7603-0761-8,lire en ligne),p. 12
  47. (en) « Information Chassis Numbers », Nash-Healey Registry(consulté le)
v ·m
Véhicules deNash Motors et Nash-Kelvinator Corp.
Automobiles Nash
de 1916 à 1957
Marques liées
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Nash-Healey&oldid=218171838 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp