Pour les articles homonymes, voirNanteau.
| Nanteau-sur-Lunain | |||||
La mairie. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Département | Seine-et-Marne (Melun) | ||||
| Arrondissement | Fontainebleau | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Moret Seine et Loing | ||||
| Maire Mandat | Jean-François Guimard 2020-2026 | ||||
| Code postal | 77710 | ||||
| Code commune | 77329 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Nantelliens | ||||
| Population municipale | 697 hab.(2022 | ||||
| Densité | 53 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 48° 15′ 27″ nord, 2° 48′ 33″ est | ||||
| Altitude | Min. 71 m Max. 148 m | ||||
| Superficie | 13,25 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Nemours | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
| Liens | |||||
| Site web | nanteau-sur-lunain.fr | ||||
| modifier | |||||
Nanteau-sur-Lunain est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.

La commune est située à environ 12 kilomètres à l’est deNemours.
| Treuzy-Levelay | Villemaréchal | |
| Poligny | Remauville | Paley |
La commune est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].


Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatrecours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,07 km[6].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[7]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[8]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[9] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[10]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[11],[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,4 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec10,5 jours de précipitations en janvier et7,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deNemours à9 km àvol d'oiseau[13], est de12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,3 mm[14],[15]. La température maximale relevée sur cette station est de42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,4 °C, atteinte le[Note 1].
Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[16],[17].
Deux espaces protégés sont présents dans la commune :

Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones spéciales de conservation (ZSC) et deZones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22],[Carte 1] :
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Nanteau-sur-Lunain comprend trois ZNIEFF detype 1[Note 2],[25],[Carte 2] :
et une ZNIEFF detype 2[Note 3],[25], la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du département[29].
Au, Nanteau-sur-Lunain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[30].Elle est située hors unité urbaine[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[31]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32],[33].
La commune compte142lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[34] (source : le fichierFantoir) dontles Ortures,Saint-Liesne,le bouloy,le Fourchet.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4% ),terres arables (30,4% ), zones urbanisées (6% ), zones agricoles hétérogènes (4,3% ), prairies (1,8 %)[35].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[36],[37],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Laloi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[38].
La commune disposait en 2019 d'unplan local d'urbanisme approuvé[39]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de295 dont 84,9 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme,pavillons, etc.) et 15,1 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 77,6 % étaient des résidences principales, 12,7 % des résidences secondaires et 9,6 % deslogements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 81,7 % contre 16,2 % de locataires et 2,1 % logés gratuitement[40].
À l'époqueféodale, la seigneurie de Nanteau appartenait à une branche cadette desNemours-Villebéon, qui en prenait le nom. Jean IIIde Nanteau, vers la mi-XIIIe siècle et pour une raison incertaine, acquit la châtellenie deThors ; gouverneur deLa Rochelle pour le compte d'Alphonse, comte de Poitiers, il se croisa en 1270 avec Alphonse, dont il était le chambellan : il a pu mourir de la peste en Italie au retour de lacroisade en 1271. Une fille supposée de Jean III, qui seraitMarguerite de Nanteau[48], épousa Gaucher IVde Nanteuil (une branche cadette desChâtillon), puis la succession passa à leur fils Erard II de Nanteuil († ap. 1336), père d'Erard III († v. 1351), père de Gaucher V de Nanteuil († v. 1365 ; sans postérité).
Nanteau échut alors aux descendants de Marguerite de Nanteuil — une fille de Marguerite de Nanteau et Gaucher IV de Nanteuil, qui avait épousé Pierre deGui(g)neville/de Gaineville — qui vendirent en 1335 à Hue/Huguesde Bouville[49]. Mais vers 1351, Jehan de Bouville est banni et voit ses biens confisqués[50]. Cependant,Charles de Bouville,chambellan deCharles V, est toujours seigneur de Nanteau[51],[52].
SousLouis XIV, Geoffroy Petit (né av. 1638-† 1701),mercier à Paris, intendant àMayence (1689), directeur des Postes de Flandre (1681), achète la seigneurie avant 1692. Mais son fils cadet Jean-Baptiste Geoffroy Petit de Saint-Liesne (à Nanteau) vend peu après sa disparition[53].
Les derniers seigneurs de Nanteau, depuis septembre 1722 et jusqu'à la Révolution, sont les Lallemant de Betz, qui avaient acheté à Bertrand Sabathier, maître ordinaire de la Garde-robe deMadame. Michel-Joseph-Hyacinthe Lallemant de Betz (1694-1773), aussi seigneur deTreuzy,fermier général, fils du Charles-Louis Lallemantde Betz, comte deLévignen (1656-1730), est l'acheteur de 1722 et il meurt en septembre 1773 en laissant deux filles : Marie-Charlotte, veuve de Charles-Philippe de Pons-St-Maurice (1709-1771), mère de Louis-Marie, marquis de Pons ; et Marie-Françoise, femme de Marie-Gabriel-Florentde Choiseul-Beaupréde Daillecourt (1728-1753) : parents deMarie-Gabriel-Florent-Auguste de Choiseul-Gouffier (1752-1817) et deMichel-Félix-Victor de Choiseul (1754-1796)[54].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| mars 2001 | en cours | Jean-François Guimard | Chef d'exploitation SAUR | |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[55],[56].
En 2020, la commune de Nanteau-sur-Lunain ne dispose pas d'assainissement collectif[57],[58].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[57],[60].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[57],[61],[62].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Lechangement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[63].
Les habitantssont appelés lesNantelliens[64].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[66].
En 2022, la commune comptait 697 habitants[Note 7], en évolution de −0,43 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 296 | 306 | 281 | 308 | 373 | 378 | 401 | 445 | 443 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 459 | 463 | 431 | 428 | 420 | 432 | 425 | 424 | 412 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 425 | 390 | 372 | 343 | 317 | 316 | 295 | 319 | 456 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 376 | 399 | 386 | 410 | 443 | 485 | 696 | 683 | 674 |
| 2014 | 2019 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 713 | 686 | 697 | - | - | - | - | - | - |

En 2017, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de234, représentant521 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 260 euros[68].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 370, occupant 365 actifs résidants.Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,9 % contre un taux de chômage de 3,8 %.Les 24,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,2 % de retraités ou préretraités et 12,1 % pour les autres inactifs[69].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de34 dont3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres,3 dans la construction,10 dans lecommerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,2 dans l’Information et communication1 dans les activités financières et d'assurance,2 dans lesactivités immobilières,7 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien,3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et3 étaient relatifs aux autres activités de services[70].
En 2019,2entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[71].
Nanteau-sur-Lunain est dans lapetite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant lePays de Bière et laforêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[74].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 10 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de53 ha en 1988 à65 ha en 2010[74].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Nanteau-sur-Lunain, observées sur une période de 22 ans :
| 1988 | 2000 | 2010 | |
|---|---|---|---|
| Dimension économique[74],[Note 9] | |||
| Nombre d’exploitations (u) | 10 | 5 | 4 |
| Travail (UTA) | 16 | 7 | 7 |
| Surface agricole utilisée (ha) | 527 | 385 | 260 |
| Cultures[76] | |||
| Terres labourables (ha) | 494 | 359 | 234 |
| Céréales (ha) | 361 | 234 | 116 |
| dontblé tendre (ha) | 200 | 136 | 68 |
| dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 50 | s | |
| Tournesol (ha) | 32 | s | |
| Colza etnavette (ha) | 25 | 22 | 29 |
| Élevage[74] | |||
| Cheptel (UGBTA[Note 10]) | 57 | 18 | 31 |

Vallée du Lunain, château, église Notre-Dame-de-l'Assomption, moulins de Nanteau et le menhir dit la Pierre Clouée ou Pierrefritte.
| Blason | D'azur à trois chevrons d'or, à la filière du même, le tout enfermé dans une bordure de gueules chargée aux flancs de deux chandeliers de sable, les bougies d'or allumées du même[80]. | |
|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Sur les autres projets Wikimedia :