Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Musique industrielle

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Musique industrielle
Données clés
Origines stylistiquesPost-punk,krautrock,musique concrète,fluxus,performance artistique,électronique,bruitiste,avant-garde,expérimentale,drone
Origines culturellesMilieu desannées 1970 ;Royaume-Uni etAllemagne
Instruments typiquesSynthétiseur,boîte à rythmes,batterie,guitare,guitare basse,clavier,échantillonneur,séquenceur
PopularitéUnderground, malgré le succès de certains groupes

Genres dérivés

Dark ambient,electronic body music,électro-industriel,metal industriel,Neue Deutsche Härte,rock industriel,intelligent dance music,martial industrial,drone metal

modifier

Lamusique industrielle est un style demusique électronique aux thèmes transgressifs et provocateurs. Le terme apparaît au milieu desannées 1970, à la suite de la fondation du labelIndustrial Records par le groupeThrobbing Gristle, et l'apparition du slogan« musique industrielle pour peuple industriel. ».AllMusic définit la musique industrielle comme« une fusion abrasive et agressive de rock et de musique électronique » ;« initialement un mélange d'expérimentation électronique d'avant-garde (musique concrète, synthétiseurs, séquenceurs, etc.) et d'un style provocateur similaire aupunk[1]. »

Les premiers musiciens du genre ont fait l'expérimentation de bruits accompagnés de sujets controversés, musicalement et visuellement, comme lefascisme, les tueries en série, et l'occultisme. Leur production ne se limite cependant pas qu'à la musique, mais implique également d'autres styles artistiques comme l'art postal, laperformance, et l'installation[2]. Les musiciens les plus importants de la musique industrielle incluentThrobbing Gristle,SPK,Boyd Rice,Cabaret Voltaire, etZ'EV[2]. Les précurseurs ayant aidé au développement de ce genre musical impliquent des groupes demusique électronique tels queKraftwerk, des groupes derock expérimental tels queThe Velvet Underground etFrank Zappa, des musiciens derock psychédélique commeJimi Hendrix, et des compositeurs commeJohn Cage. Les musiciens s'inspirent également de romanciers commeWilliam S. Burroughs et philosophes commeFriedrich Nietzsche.

Initialement, le terme en lui-même s'applique au groupuscule d'artistes signé au label Industrial Records dans lesannées 1970, puis s'élargit pour définir par extension une musique aux aspects« industriels[3]. » Ces musiciens élargissent le genre en repoussant les limitesbruitistes puis tirés dans l'électronique. Au fil du temps, sa popularité s'accroit et le genre musical s'étend vers des sonoritésambient et rock, actuellement attribuées à lamusique post-industrielle. L'électro-industriel est le premier sous-genre développé dans lesannées 1980. Les deux autres genres hybrides notables incluent lerock industriel et lemetal industriel, joués par des groupes tels queNine Inch Nails etMinistry, dont les albums sontcertifiés disques de platine durant lesannées 1990. Ces trois genres peuvent être simplement appelésindustriel.En France, la musique industrielle est représentée par des groupes commeDie Form,Étant donnés,Punish Yourself et Le Syndicat ou par des compositeurs tels queJean-Marc Vivenza.

Histoire

[modifier |modifier le code]

Précurseurs

[modifier |modifier le code]
Frank Zappa etCaptain Beefheart en 1975 sont des sources d'inspiration pour Genesis P-Orridge et Z'EV.

La musique industrielle puise ses origines de par de nombreuses sources, dont le manifeste futuriste de Luigi Russolo "L'Art Des Bruits"(1913) & de la Musique Concrète des années 1940. Alexei Monroe note l'influence particulière deKraftwerk dans le développement de la musique industrielle car étant le« premier groupe à incorporer des sonorités de types industriels dans une musique électronique[4]. » La musique industrielle est à l'origine créée par l'utilisation de machines électriques et desynthétiseurs, puis par la suite desamplers et de percussions électroniques au fur et à mesure du temps. Monroe note également le groupeSuicide comme inspiration pour les musiciens du genre[4]. Les sources d'inspiration cités par les premiers musiciens de la musique industrielle incluentThe Velvet Underground etMartin Denny[5].Genesis P-Orridge deThrobbing Gristle détenait une collection decassettes audio orientéesMaster Musicians of Jajouka (en), Kraftwerk,Charles Manson, etWilliam S. Burroughs[6]. P-Orridge s'inspirait de la musique rock desannées 1960 commeThe Doors, Pearls Before Swine,The Fugs,Captain Beefheart, etFrank Zappa lors d'une entrevue en 1979[7].

Chris Carter s'inspirait également dePink Floyd etTangerine Dream[8].Boyd Rice est influencé parLesley Gore etABBA[9].Z'EV explique s'être inspiré d'artistes comme Christopher Tree (Spontaneous Sound),John Coltrane,Miles Davis,Tim Buckley,Jimi Hendrix, et Captain Beefheart, et de musiquestibétaine, javanaise,indienne etafricaine dans sa carrière artistique[10]. Cabaret Voltaire expliquent s'être inspiré deRoxy Music et de l'albumTrans-Europe Express de Kraftwerk[11]. Cabaret Voltaire a également enregistré des morceaux qui rappellent lamusique concrète et des compositeurs tels queMorton Subotnick[12].Nurse With Wound cite une longue liste demusiques improvisées obscure, et de titres deKrautrock[13].23 Skidoo s'inspire deFela Kuti et de l'albumOn the Corner Miles Davis[14]. Nombre de groupes industriels, dontEinstürzende Neubauten, s'inspirent desmusiques du monde[15].

D'autres compositeurs du genre préfèrent privilégier des comédiens et penseurs, plutôt que des musiciens, comme sources d'inspiration.Simon Reynolds explique qu'« être un fan de Throbbing Gristle, c'était comme s'inscrire dans une classe universitaire d'extrémisme culturel[16]. »John Cage est la principale inspiration de Throbbing Gristle[17]. Le groupe SPK s'inspirait deJean Dubuffet,Marcel Duchamp,Jean Baudrillard,Michel Foucault,Walter Benjamin,Marshall McLuhan,Friedrich Nietzsche, etGilles Deleuze[18]. Cabaret Voltaire s'inspire de Burroughs,J. G. Ballard, etTristan Tzara[19].Whitehouse et Nurse with Wound doivent leurs œuvres musicales auMarquis de Sade ; ce dernier s'inpirait également duComte de Lautréamont[13]. L'albumMetal Machine Music deLou Reed a également inspiré l'aspect industriel de ce genre musical[20].

Industrial Records

[modifier |modifier le code]

La phrase« Musique industrielle pour peuple industriel. » (Industrial Music for Industrial People) est à l'origine crédité parMonte Cazazza[21] en tant que slogan pour le label discographiqueIndustrial Records, fondé par le groupe deperformers extrêmesbritanniquesThrobbing Gristle[22]. La première vague de la musique industrielle émerge avec Throbbing Gristle (originaire deLondres), Cabaret Voltaire (originaire deSheffield)[23], et Boyd Rice (sous le nom de NON ; originaire desÉtats-Unis[24]. Throbbing Gristle joue pour la première fois en 1976[25], et influence le groupe musical originaire deKingston-upon-Hull,COUM Transmissions[26]. COUM est à l'origine un groupe de rock psychédélique, mais les membres décrivent leurs œuvres comme de laperformance artistique dans le but d'attirer l'attention duConseil des arts de Grande-Bretagne[17]. COUM se composait de P-Orridge etCosey Fanni Tutti[17]. Le groupe se renomme Throbbing Gristle en, un argot britannique désignant une érection[26] pour se consacrer à la musique et ainsi élargir son audience[27],[28],[29]. Se posant en reporters du réel, leur musique se veut un reflet sans faille d'un monde perçu comme en pleine décadence[29].

Le chanteur de Throbbing Gristle,Genesis P-Orridge, explique que l'origine du mot « industriel », se réfère à l'industrie de la musique, à l'industrialisation de notre monde mais aussi à ce qui opère sur nous, ce qui nous contrôle. Le « blues » est né de l'esclavagisme. Mais personne ne se pose la question de savoir ce qui produit cet esclavage donc le « blues ». Il suffit de se poser la question et de relire le mot «industriel» pour en comprendre son origine. Il suffit de suivre le regard du chanteur de « blues » non pas vers la profondeur de ce qu'il ressent mais vers cette maison « Victorienne » qui contrôle sa vie[27]. Dans la continuité des performances de COUM, Throbbing Gristle se distingue par une imagerie violente et subversive (projection d'images insoutenables, de pornographie, d'uniformes nazis...) qui fait sa renommée. Le local où ils vivent et créent leur musique, une usine désaffectée située dans le lugubre secteur de l'East Endlondonien, est baptisé « Death Factory » (littéralement « Usine de mort »), un surnom duCamp d'Auschwitz ; le logo d'Industrial Records sera d'ailleurs une photo non identifiée de la cheminée de ce camp[30]. Parallèlement, dès 1977 auxÉtats-Unis, les groupesPere Ubu etDevo développent un concept similaire et participent à sa diffusion en se qualifiant respectivement de « folk industriel » et de « groupe industriel des années 1980 »[31].

Rapidement d'autres groupes se rallient à la mouvance industrielle, dont certains avaient précédé la conceptualisation du mouvement. Parmi ceux-ci, l'un des plus remarquables est sans douteCabaret Voltaire. Également d'origine anglaise, apparu en 1974 dans une mouvancepost-punk, ce groupe s'est intéressé au détournement de sons et de discours, au travail sur bandes magnétiques, dans une approchedadaïste de collage sonore. De 1978 au début des années 1980, de multiples formations rattachées au courant industriel font leur apparition, principalement au Royaume-Uni mais également dans d'autres pays. Parmi les principaux on peut citer23 Skidoo,Premature Ejaculation,SPK,Nurse With Wound,Whitehouse,Vivenza etEsplendor Geométrico. Throbbing Gristle se sépare en 1981. Poursuivant le travail entrepris dans des directions variées, ses anciens membres fonderont d'autres projets avec plus ou moins de succès sur le plan commercial mais souvent avec les hommages de lacritique musicale. Parmi ceux-ci on peut citerCoil,Psychic TV ouChris and Cosey. Une compilation nomméeThe Industrial Records Story 1976-1981, sortie sur Illuminated Record en 1984 réunit les artistes majeurs du label : Throbbing Gristle, Monte Cazazza, Leather Nun, Rental'Leer, SPK, Cabaret Voltaire, Elizabeth Welch, Clock DVA, Dorothy etWilliam Burroughs. Assez rapidement, les groupes pionniers de la scène industrielle connaissent une nette évolution au niveau des thèmes abordés, en passant d'une simple imagerie hideuse et cauchemardesque à une« fascination néopaïenne pour la magie occulte et les arcanes mystiques[32]. »

Essor de la scène

[modifier |modifier le code]

Les groupes Clock DVA[33], Nocturnal Emissions[34], Whitehouse[35],Nurse With Wound[36] etSPK[37] émergent rapidement. Whitehouse tente de jouer« la musique la plus brutale et extrême de tous les temps », un style qu'ils nommerontpower electronics[38]. Un premier collaborateur avec Whitehouse, Steve Stapleton, forme Nurse with Wound, caractérisée par des sonorités bruitistes et collages sonores[39]. 23 Skidoo, comme Clock DVA, fusionne musique industrielle à de la danse musicale africaine. Participant au WOMAD Festival en 1982, le groupe se compare auxgamelans indonésiens[40]. EnAmérique du Nord, des événements similaires prennent place. ÀSan Francisco, Monte Cazazza débute dans la composition demusique bruitiste[41]. Boyd Rice fait paraître de nombreux albums bruitistes axés cacophonies et sonorités répétitives[42]. ÀBoston,Sleep Chamber (en) et d'autres musiciens originaires d'Inner-X-Musick (en) commencent à expérimenter et mélanger musique bruitiste et premières sonorités d'EBM. EnItalie, les œuvres musicales deMaurizio Bianchi au début des années 1980 partageaient un aspect sonore similaire[43]. EnAllemagne, Einstürzende Neubauten mixe percussions metal, guitares, et des sons de typemarteau-piqueurs[44].

Plus tard, à la suite de la séparation de Throbbing Gristle, P-Orridge et Christopherson fondentPsychic TV et signent avec un label majeur[45].

Caractéristiques

[modifier |modifier le code]

Il s'avère difficile de donner une définition précise de la musique industrielle en tant quegenre musical ; les principaux groupes se sont évertués à traverser les grands courants musicaux : de l'« anti-musique » au rock en passant par des orchestrations symphoniques ou plus électroniques et acoustiques.Laibach,SPK etTest Dept sont de bons exemples de cette transversalité musicale.Pour beaucoup d'artistes industriels, il ne s'agit en effet pas d'être identifiable à une étiquette, mais bien d'utiliser des étiquettes existantes pour diffuser une idée ou un concept. En ce sens, on peut être amené à parler de « culture » industrielle plutôt que de « musique ».[réf. souhaitée] Le titre de l'ouvrage de référence de la scène industrielleIndustrial Culture Handbook (littéralementManuel de la culture industrielle) est une bonne illustration de cette idée. La musique industrielle des débuts se distingue surtout par ses auteurs, la recherche artistique au travers de performances extrêmes, une attitude et un message hautement provocateur. La plupart des fondateurs de l'industriel ne sont pas spécialementmusiciens, mais plutôt desintellectuels et desartistesperformers, cherchant à secouer par un discours engagé un carcan social ou politique. Ainsi, leur production, loin de se limiter à la seule création musicale, incluait également d'autres formes artistiques comme la performance artistique ou l'usage d'installations, l'art postal, entre autres.

La scène industrielle se caractérise notamment par l'absence de leader patenté ou de mentor, les artistes ou les groupes travaillant sur des thèmes proches, raison pour laquelle on parlera facilement de « culture industrielle ».Jon Savage[46] retient trois points communs à tous les acteurs de la scène, sous-tendus par les omniprésentes idées desubversion et detransgression :

  • Organisation autonome : Choix de créer ses propres réseaux de fabrication et de diffusion. Inutile de passer par des compagnies de disques officielles.
  • Accès à l'information : « Guerre de l'information » signifie que la lutte pour le contrôle n'est plus physique (conquérir un pays) mais liée à la communication. Le mouvement prête ainsi une attention toute particulière aux techniques de dissémination et de propagande de l'information.
  • Utilisations de sons synthétisés et de l'« anti-musique » : Recherche musicale poussée afin de recréer l'ambiance sonore de notre monde actuel par l'utilisation de sons synthétisés et non musicauxa priori.
  • Utilisations d'éléments extra-musicaux : Intégration d'éléments littéraires, philosophiques, spirituels, sexuels, de vidéos lors des concerts, dans les disques, livrets accompagnant les disques, etc.
  • Tactiques de chocs : Utilisations d'éléments oppressifs lors de concerts (infrabasses, arcs électriques, verre pilé, murs sonores) afin de montrer le conditionnement des personnes et leur capacité à supporter de telles attaques.Cabaret Voltaire,Throbbing Gristle,SPK provoquaient volontairement les spectateurs dans ce sens.

L'un des apports fondamentaux de la musique industrielle (et de la scène post-industrielle) est l'utilisation transversale des supports de diffusion, en particulier desmédias de masse, mais appliquée paradoxalement à des idées et des créations souvent plus que confidentielles. Ainsi les tirages de disques dépassent très rarement les 1000 exemplaires, ce qu'on peut justifier par le coût élevé de production pour les artistes mais aussi par la volonté délibérée des acteurs du mouvement de rester confidentiels[47], notamment dans certains cas en multipliant les pseudonymes utilisés sur les disques par les mêmes artistes ou groupes, alors même que la notoriété déjà acquise pourrait permettre d'assurer le succès des ventes ultérieures (voir par exemple le cas deCoil), une caractéristique plus tard partagée avec de nombreux acteurs de la scènetechno[48]. La scène post-industrielle sera aussi influencée par quelques personnages mythiques occultes et dangereux :Aleister Crowley (sorte de mage occulte moderne),Austin Osman Spare (sorte de chamane), le tueur en sérieCharles Manson. Les relations avec les milieux occultistes entretenues par certains artistes post-industriels ont ainsi eu un apport concret en termes musicaux, dans la mesure où ils se sont intéressés au caractère ritualiste de certaines musiques, ainsi qu'à leurs potentialités en tant que support de concentration dans une pratique occulte. Un certain nombre de groupes, dont le plus connu est sans douteCoil, revendiquent une authentique dimension magique dans leur musique (souvent des pratiques deMagie du Chaos). La scène industrielle et post-industrielle a gardé les grandes thématiques de ses prédécesseurs ; en cela, elle reste uneculture populaire mais pas au sens commercial du terme ni au sens politique mais au sens de ce qui faitfolklore dans la société moderne.

Sous-genres et genres associés

[modifier |modifier le code]
Cette sectionne cite pas suffisamment ses sources (mai 2024)
Pour l'améliorer, ajoutezdes références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle{{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Le terme même de musique industrielle pose aujourd'hui un vrai problème de terminologie, tant le champ d'expérimentation s'est élargi, faisant se côtoyer des expérimentateurs acharnés ne cédant en rien à la facilité, aussi bien que des artistes beaucoup plus accessibles, constituant une branche presquemainstream de ce mouvement. Malgré tout, on peut reconnaître une parenté entre ces différentes branches, que ce soit par le recours à une symbolique forte, une politisation assumée du message, le recours au bruitisme, la recherche de l'extrême, la mise en valeur du rythme, ou encore une utilisation particulière de l'électronique.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) « Industrial »,AllMusic,Rovi Corporation(consulté le).
  2. a etb(en)Re/Search #6/7: Industrial Culture Handbook.
  3. (en) ... journalists now use 'industrial' as a term like they would 'blues.'"—Genesis P-Orridge,RE/Search #6/7, p. 16.
  4. a etbMonroe, p. 212
  5. (en)RE/Search #6/7, p. 11–12.
  6. (en)RE/Search #6/7, p. 19.
  7. Reynolds 2005,p. 225.
  8. Reynolds 2005,p. 227.
  9. RE/Search #6/7, p. 67.
  10. RE/Search #6/7, p. 117
  11. Reynolds 2005,p. 154, 159.
  12. Reynolds 2005,p. 156.
  13. a etbReynolds 2005,p. 242.
  14. Reynolds 2005,p. 243.
  15. Reynolds 2005,p. 485.
  16. SimonReynolds, « Sonic Youth are caught under the influence »,Guardian News and Media Limited,‎(lire en ligne, consulté le).
  17. ab etcReynolds 2005,p. 226.
  18. RE/Search #6/7, p. 97–105.
  19. Reynolds 2005,p. 154–155, 171.
  20. Petrusich, Amanda, « Interviews: Lou Reed »,(consulté le).
  21. « Industrial Records »,Brainwashed(consulté le).
  22. (en) Kilpatrick, Nancy.The Goth Bible: A Compendium for the Darkly Inclined. New York: St. Martin's Griffin, 2004,(ISBN 0-312-30696-2), p. 86.
  23. (en)RE/Search #6/7, p. 42–49.
  24. (en)RE/Search #6/7, p. 50–67.
  25. Reynolds 2005,p. 224.
  26. a etb(en)RE/Search #6/7, p. 17.
  27. a etbInterview de Genesis P-Orridge dans l'Industrial Culture Handbook
  28. Duboys, p.40
  29. a etb(en)Michka Assayas,Dictionnaire du rock,Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », Paris, 2000, pp.834-835.(ISBN 2-221-09224-4)
  30. Duboys, p. 47.
  31. Reynolds, p.64.
  32. (en)Simon Reynolds, « Industrial music » sur l'Encyclopædia Britannica.
  33. JasonAnkeny, « Clock DVA Biography »,Allmusic,Rovi Corporation(consulté le).
  34. BradleyTorreano, « Nocturnal Emissions Biography »,Allmusic,Rovi Corporation(consulté le).
  35. PeterSchaefer, « Whitehouse Biography »,Allmusic,Rovi Corporation(consulté le)
  36. Reynolds 2005,p. 241.
  37. RE/Search #6/7, pp. 92–105.
  38. Reynolds 2005,p. 240.
  39. Reynolds 2005,p. 241–242.
  40. Reynolds 2005,p. 243–244.
  41. (en)RE/Search #6/7, pp. 68–81.
  42. (en)RE/Search #6/7, pp. 50–67.
  43. BradleyTorreano, « Maurizio Bianchi Biography »,Allmusic,Rovi Corporation(consulté le).
  44. (en) SteveHuey, « Einstürzende Neubauten Biography »,Allmusic,Rovi Corporation(consulté le).
  45. Reynolds 2005,p. 474.
  46. Austin, Vale, Juno, p.05.
  47. Voir par exemple à ce sujet la présentation deCoil dans Duboys, p. 357 ; voir aussi par exempleDiscographie de Throbbing Gristle, où la majorité des enregistrements sont de fait desbootlegs en éditions très limitées.
  48. Duboys, p.357.

Annexes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Webzines

[modifier |modifier le code]
v ·m
Avant 1950
Années 1960
Années 1970
Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020
Par pays (et régions)
Liste de genres de musique électronique
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Musique_industrielle&oldid=222719029 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp