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Mouvement radical

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Mouvement radical
Image illustrative de l’article Mouvement radical
Logotype officiel.
Présentation
Fondation
Fusion deParti radical « valoisien »
Parti radical de gauche(2017-2019)
Disparition
Siège1,place de Valois
75001Paris
Mouvement de jeunesseJeunes Radicaux
PositionnementCentre (centre gauche[1] àcentre droit[2],[3],[4])
IdéologieRadicalisme
Laïcisme
Solidarisme
Républicanisme
Social-libéralisme
Fédéralisme européen
Affiliation européenneALDE
Adhérents10 000(2017)[5]
CouleursBleu,magenta etjaune
Site weblemouvementradical.frVoir et modifier les données sur Wikidata
Parti radical « valoisien »Suivant
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LeMouvement radical — dont le nom déposé dans les statuts est « Mouvement radical (social libéral) » —, abrégé enMR ouMRSL, est un ancienparti politiquesocial-libéralfrançais. Il est fondé en 2017 par la réunion duParti radical et duParti radical de gauche, qui sont alors tous deux mis en sommeil.

Le Parti radical de gauche quitte le parti pour recouvrer son indépendance en 2019 ; il perd cependant à ce moment-là une très grande partie de ses fédérations et adhérents décidant de rester au Mouvement radical. En 2021, le Parti radical est relancé, entraînantde facto la disparition du MR.

Histoire

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En, est envisagée une fusion duParti radical et duParti radical de gauche[6],[7], souvent présentée comme uneréunification s'agissant de deux partis revendiquant leur filiation avec le Parti républicain radical et radical-socialiste (nom officiel du Parti radical, qui en est juridiquement le seul continuateur, le PRG ayant été fondé par les soutiens d'une motion minoritaire lors du congrès deSuresnes en 1971).

Le 15 et, les deux partis se rassemblent lors d'universités d'été communes àMontpellier[8].

Congrès fondateur

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Logotype du congrès fondateur du Mouvement radical.

La« réunification » de la famille radicale est soumise au vote lors de congrès organisés par chacun des deux partis le, avant une transition de deux ans[9]. Les nouveaux statuts ont été adoptés avec 86 % des voix et la plate-forme politique à 89 %[10].

Il est co-présidé, durant une période de transition de deux ans, parLaurent Hénart etSylvia Pinel[11]. Il est donc l'héritier direct duParti républicain radical et radical-socialiste, plus ancien parti de France, fondé en 1901.

Le siège du mouvement est situé 1,place de Valois, dans les locaux historiques du Parti radical, le PRG quitte donc son siège du 13rue Duroc[12].

Plusieurs personnalités et membres des deux partis se sont opposés à cette création ou à ses modalités (cf. infra).

Dénomination

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Le parti est statutairement dénommé « Mouvement radical (social libéral) »[13],[10]. Les votants au congrès fondateur avaient également le choix pour la dénomination« Mouvement des progressistes et radicaux »[10] (15 % des voix). D'autres propositions comme « Les progressistes » avaient été formulées lors du débat préalable au vote qui porta, notamment, sur l'adjectifradical qui« [pouvait] être associé à « extrême », un contresens pour une formation qui se place au centre de l'échiquier politique ».A contrario,André Rossinot etJean-Michel Baylet (présidents d'honneur respectifs du Parti radical et du Parti radical de gauche) ont défendu le maintien du terme radical.

Ses membres sont appelés les radicaux[14].

Oppositions à la réunification et départs

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Peu avant le congrès de décembre 2017, deux tentatives de réunion des membres du Parti radical au sein de l'UDI interviennent : Les Valoisiens, autour d'Yves Jégo, et Génération 1901[15], mené parMichel Zumkeller (député) etSophie Joissains (sénatrice). Aucune de ces deux initiatives ne sont ensuite actives.

Du côté du PRG,Virginie Rozière (ancienne députée européenne) etStéphane Saint-André (ancien député et maire deBéthune) signent une tribune contre la réunification[16], qui précède la fondation d'un nouveau parti, Les Radicaux de gauche[17].

Départ du Parti radical de gauche

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Le, avant l'extinction de la période transitoire de deux ans à l'issue de laquelle les deux partis devaient fusionner, le comité exécutif duPRG décide de quitter le MR, redoutant que le parti ne rejoigne la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron lors de son congrès du[18]. Guillaume Lacroix est élu à cette occasion président du PRG[19]. Le,Sylvia Pinel s’associe à cette démarche et renonce à sa co-présidence du parti[20].Harold Huwart succède à Guillaume Lacroix au poste de co-secrétaire général du Mouvement radical. Si quatre présidents de fédération quittent le Mouvement radical pour rester au PRG[21], la grande majorité des élus et militants issus du PRG restent au MR[22].

Fin du Mouvement radical

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En 2021, le Mouvement radical décide de redevenir leParti radical, ce qui provoque la disparition du premier. Par ailleurs, le Parti radical entre dans la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron,Ensemble citoyens.

Valeurs, idées et programme politiques

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À l'occasion de son congrès fondateur, le Mouvement radical a réaffirmé sa fidélité aux valeurs défendues par le parti radical :

Déclaration de Laurent Hénart

« Nous, radicaux, sommes des fédéralistes européens. Nous pensons que l’Europe demeure la plus belle ambition qui soit (…).
Nous, radicaux, sommes un parti positif dans le nouveau monde, défendant la liberté et une économie modernisée, permettant le développement de entrepreneuriat au service de tous. Nous sommes pour le réalisme en matière de sécurité pour protéger les Françaises et les Français.
Nous, radicaux, sommes pour la transition écologique. (…)
Nous, radicaux, sommes pour la justice sociale. (…)
Nous, radicaux, sommes pour la laïcité, tout simplement. Cette laïcité concrète, appliquée et respectée par toutes et tous dans nos villes et nos villages, est le ciment de notre République. (…) Il faut une neutralité plus forte qu’ailleurs dans les services publics et dans la sphère publique. Il faut accepter qu’aucun précepte religieux n’influence la loi et les politiques publiques.
Nous, radicaux, sommes partisans d’une autre vie politique. Nous voulons en finir avec l’excès de présidentialisation, nous voulons la proportionnelle car elle pourrait redonner un rôle au Parlement, remettre de l’équilibre entre les pouvoirs. (…) Nous défendons le contrat social, comme nos prédécesseurs l’ont fait depuis la fondation du parti radical. (…)
Les partis se succèdent mais les philosophies demeurent. Le message du parti radical n'a pas pris une ride, au contraire il est d'une totale modernité. »

— Laurent Hénart, coprésident du Mouvement radical (social libéral), Discours prononcé au Congrès fondateur des Radicaux Réunifiés, 9 décembre 2017

 

Dans la déclaration politique[23] adoptée ce même jour, le Mouvement radical pose« un socle commun de principes et de valeurs, dans la perspective de construire une République moderne » :

Positionnement politique, alliances, réseaux

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Positionnement politique

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Le Mouvement radical se place« au cœur de l’espace central » et peut logiquement être positionné au centre de l'échiquier politique en ce qu'il procède de la fusion d'un parti généralement positionné au centre gauche (PRG) et d'un parti généralement positionné au centre droit (Parti radical). Néanmoins, le MR ne revendique que rarement un positionnement centriste (souvent associé à la tradition démocrate-chrétienne en France), mais se réclame du radicalisme. Le parti est également régulièrement positionné au centre droit[2],[24] par les médias.

À sa fondation, certains de ses membres, comme l'ancien députéRoger-Gérard Schwartzenberg (qui a depuis quitté le parti), souhaite que le MR s'ancre au centre gauche« à l’image de laFédération de la gauche démocrate et socialiste qu’avait crééeMitterrand en 1965 ».

Au niveau parlementaire, le positionnement du Mouvement radical n'est pas évident (cf.infra).

Sur le plan européen, le parti déclare porter un projet fédéraliste[21].

Au niveau national, entre majorité présidentielle et opposition parlementaire

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Au niveau national, le Mouvement radical se revendique indépendant des alliances qui étaient celles du PRG (notamment avec leParti socialiste) et du Parti radical (notamment avecLes Républicains), mais aussi vis-à-vis deLa République en marche.

Bien que deux de ses membres siègent auConseil des ministres, le Mouvement radical ne soutient pas l'action dugouvernement dans sa globalité.

Avant la création du MR, les six députés qui en sont membres aujourd'hui ont tous voté en faveur de ladéclaration de politique générale prononcée par lePremier ministreÉdouard Philippe à l'Assemblée nationale, au titre de l'article 49 de la Constitution (engagement de la responsabilité dugouvernement)[25]. En, quatre députés se sont abstenus sur leprojet de loi finances pour 2018 (Jeanine Dubié, Olivier Falorni, Bertrand Pancher, Sylvia Pinel) et deux, membres également de LREM, ont voté pour (Stéphane Claireaux, Philippe Huppé)[26]. Il est traditionnellement admis qu'un député membre de la majorité parlementaire manifeste son appartenance à celle-ci en votant la confiance au gouvernement et en faveur du budget lors de son adoption chaque année. Majoritairement, les futurs députés du Mouvement radical ont donc adopté une position intermédiaire, similaire à celle d'une partie desdéputés centristes ou de droite« constructive » et plus distante de celle des troisdéputés socialistes qui ont voté la confiance au gouvernement en, mais contre le budget 2018 en novembre.

La majorité des députés MR a voté contre laloi pour une immigration maîtrisée, un droit d'asile effectif et une intégration réussie[27] le alors que les députés LREM, MoDem composant la majorité et UDI (opposition constructive) ont très largement voté en sa faveur[28].

À l'occasion des élections européennes, le Mouvement radical intègre la liste de la majorité présidentielle. Cette option engendre le départ d'une partie des membres du PRG.

Persistance des alliances respectives du PRG et du PRV au niveau local

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Dans les collectivités territoriales, le Mouvement maintient les alliances locales que ses deux partis fondateurs avaient pu préalablement nouer. Il en résulte que dans plusieurs collectivités, des élus membres du MR sont susceptibles de siéger dans des groupes politiques différents, voire opposés politiquement. C'est par exemple le cas enrégion Auvergne-Rhône-Alpes, où une partie siège au sein du groupe centriste « Les Démocrates » (UDI-MoDem) au sein de la majorité deLaurent Wauquiez et d'autres dans son opposition au sein du groupe du Parti radical de gauche[29].

En,André Rossinot, président de lamétropole de Nancy et ancien président du Parti radical, annonce qu'il apporte son soutien à Emmanuel Macron.Nadine Morano considère que ce ralliement« brise l’alliance et le contrat de projet conclus » entre LR et les centristes àNancy. Laurent Hénart précise quant à lui qu'« André Rossinot ne quitte pas le Mouvement radical »[30].

Élections

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Élections législatives partielles

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Pour le second tour de l'élection législative partielle de mars 2018 dans lapremière circonscription de Mayotte, le Mouvement radical soutient la candidate divers gauche (ex-PS, députée sortante siégeant augroupe LREM)Ramlati Ali[réf. souhaitée].

Élections européennes de 2019

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Lors de son conseil national du consacré à l'Union européenne,Laurent Hénart pose comme condition que tous les partis qui s'uniraient s'engagent à siéger augroupe ADLE.Sylvia Pinel exprime ses doutes sur le principe même d'une liste commune avec LREM[31]. Cette divergence cause le départ de Sylvia Pinel et plusieurs cadres du parti en.

Lors de son congrès du, le Mouvement radical se prononce officiellement en faveur d'une alliance avec LREM, le MoDem et Agir, qui se traduit par la participation du parti à la liste Renaissance. Le député européen sortantDominique Riquet est réélu à l'issue du scrutin.

Organisation, instances nationales

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Direction nationale

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En 2021, la composition de la direction nationale du MR est la suivante[32] :

Fonctionnement

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Le MR prévoit un statut d'adhérent[33] qui paie une cotisation, ce qui lui donne le droit de participer pleinement à la démocratie interne du mouvement ainsi qu'un statut de coopérateur, qui ne paie pas de cotisation et ne détient donc pas de droit de vote pour désigner les instances locales et nationales.

L'organe suprême du Mouvement radical est le congrès[33] qui réunit, au moins une fois l'an, des délégués (seuls détenteurs d'un droit de vote) et l'ensemble des adhérents et coopérateurs qui souhaitent y participer. Le MR est aussi doté d'une instance de réflexion organisée en commissions thématiques dénommée « Atelier ».

Les fédérations départementales élisent un comité national qui met en œuvre les résolutions adoptées par le congrès. Le bureau national est une émanation de ce comité, destinée « à la réflexion du mouvement »[33].

La présidence nationale du Mouvement radical est directement élue par les adhérents[33].

Le, le MR réunit à Paris son premier comité national en présence de ses deux co-présidents et, notamment, deJacques Mézard,Didier Bariani,Émile Zuccarelli,André Rossinot,Jean-Michel Baylet,Roger-Gérard Schwartzenberg etThierry Cornillet[34].

Au niveau territorial

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Au niveau territorial, le Mouvement radical se structure principalement en fédérations départementales (ex. Aude[35], Cher[36]) dirigés par un délégué départemental et regroupées au niveau régional ou interrégional (ex.Centre-Val de Loire -Auvergne-Pays de la Loire - Rhône-Alpes[37],Bretagne -Normandie[38]) sous l'autorité d'un président ou de co-présidents régionaux. Au sein des fédérations, le Mouvement radical peut aussi se structurer en cercles locaux[33].

Congrès

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Liste des congrès du Mouvement radical
 

Personnalités membres du Mouvement radical

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Membres du gouvernement

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  • Joël Giraud.
    Joël Giraud.
  • Annick Girardin.
    Annick Girardin.
  • Jacques Mézard.
    Jacques Mézard.

Trois membres du gouvernement ont été nommés ministres alors qu'ils étaient membres duPRG et sont aujourd'hui adhérents du Mouvement radical :

Représentation parlementaire

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Organisation

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Au sein des deux assemblées, les parlementaires radicaux (revendiqués par le parti ou non) sont divisés entre plusieurs groupes decentre gauche et decentre droit.

Au Sénat, le Mouvement radical est majoritaire au sein dugroupe du Rassemblement démocratique et social européen (RDSE), héritier du groupe de laGauche démocratique qui a toujours été principalement composé deradicaux. Il est présidé par le radicalJean-Claude Requier.

Lors de son congrès fondateur, le Mouvement radical a exprimé l'intention de créer un groupe parlementaire à l'Assemblée nationale[10] sans y parvenir immédiatement.

En, le Mouvement radical participe à la création d'un huitième groupe parlementaire à l’Assemblée nationale, legroupe Libertés et territoires (LT), co-présidé parBertrand Pancher etPhilippe Vigier. Ce groupe technique se classe comme minoritaire. Il est composé de députés radicaux,Les Centristes, écologistes ou régionalistes. Après le départ d'une partie du PRG du Mouvement radical, les députés PRG demeurent au sein du groupe LT.

Assemblée nationale

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Députés membres du Mouvement radical
NomParti d'origineGroupe à l'Assemblée
Nathalie BassireLes RépublicainsLes Républicains
Bruno BonnellLa République en marcheLa République en marche
Claire BouchetDivers gaucheLa République en marche
Typhanie DegoisLa République en marcheLa République en marche
M'jid El Guerrab[39]La République en marcheAgir ensemble
Laurence GayteUnion des démocrates et indépendantsLa République en marche
Philippe Huppé[40]Parti radicalAgir ensemble
Stéphanie KerbarhParti radicalLa République en marche
Stéphane MazarsParti radical de gaucheLa République en marche
Bertrand PancherParti radicalLibertés et territoires
Bruno QuestelDivers gaucheLa République en marche
Benoît SimianLa République en marcheLibertés et territoires
Didier MartinLa République en marcheLa République en marche

D'autres députés se revendiquent comme radicaux, sans être membres actifs du Mouvement radical, siègent au sein dugroupe LREM. Ils ont signé, excepté Stéphane Claireaux, une tribune en[41] affirmant leurs liens avec le Mouvement radical, tout en participant à l'activité partisane et parlementaire de LREM.

Sénat

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Sénateurs membres du Mouvement radical
NomParti d'origineGroupe au Sénat
Daniel ChasseingParti radicalRépublique et territoires
Nathalie DelattreParti radicalRassemblement démocratique et social européen
Bernard FialaireParti radicalRassemblement démocratique et social européen
Joël GuerriauUnion des démocrates et indépendantsRépublique et territoires
Véronique GuillotinParti radicalRassemblement démocratique et social européen
Alain MarcParti radicalRépublique et territoires
Pascal MartinParti radicalUnion centriste
Jean-Claude RequierParti radical de gaucheRassemblement démocratique et social européen
Sylvie VermeilletParti radicalUnion centriste
Franck MenonvilleParti radical etUnion des démocrates et indépendantsRépublique et territoires

Parlement européen

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Députés européens membres du Mouvement radical
NomParti d'origineGroupe au Parlement européen
Dominique RiquetParti radicalRenew Europe

Collectivités territoriales

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Parmi les dirigeants radicaux d’exécutifs locaux de plus de 30 000 habitants, on compte :

Auvergne-Rhône-Alpes

Centre-Val de Loire

Grand Est

Hauts-de-France

Île-de-France

Nouvelle-Aquitaine

Identité visuelle

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Logo du Mouvement radical.

Lelogo du Mouvement radical est construit à partir de l'Hexagone, agencé afin de signifier le mouvement et l'union, coloré à la manière d'une « cocarde républicaineCocarde française » (dont il modifie les couleurs, le rouge devenant rose et en inverse l'ordre, le bleu étant positionné à l'extérieur, comme sur la cocarde anglaisecocarde anglaise) et dessinant un R en défonce, initial du mot radical.

Notes et références

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  1. « Après quarante-cinq ans de schisme, le Parti radical de gauche et le Parti radical valoisien se réunissent », surLe Monde,(consulté le).
  2. a etb« Au centre-droit, le grand éparpillement des partis politiques »,L'Opinion,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. « Le centre droit dit «niet» à Wauquiez »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  4. « Le bouleversement du paysage des partis politiques en une infographie », surLe Monde(consulté le).
  5. « Bordeaux : le mouvement radical, qu'est ce que c'est ? », surFrance 3(consulté le).
  6. Jean-Christophe Dupuis-Remond, « Hénart: "Construire un grand parti radical indépendant. Indépendant des Républicains et d'En Marche" », surfrance3-regions.francetvinfo.fr,(consulté le).
  7. « Réunification: les radicaux ont-ils les moyens de leur ambition? », surlecentrisme.com,(consulté le).
  8. Marion Mourgue et Mathilde Siraud, « Les tardives retrouvailles des radicaux », surLe Figaro(consulté le).
  9. « Après 45 ans de scission, radicaux « valoisiens » et de gauche se réunifient samedi »[archive du]Inscription nécessaire, surliberation.fr,(consulté le).
  10. abc etdArnaud Focraud, « Les radicaux se retrouvent après 45 ans de séparation », surLe Journal du dimanche,(consulté le).
  11. « Un seul parti pour les Radicaux », surlanouvellerepublique.fr,(consulté le).
  12. Éric Hacquemand, « La nouvelle copropriété des radicaux »,Paris Match,‎ semaine du 7 au 13 décembre 2017,p. 55(lire en ligne).
  13. « Statuts du « Mouvement radical (social libéral) » adoptés le 9 décembre 2017 »[PDF], surlemouvementradical.fr,(consulté le).
  14. « Les Radicaux aveyronnais en mouvement »,ladepeche.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  15. « Rassemblement. Pourquoi nous restons à l'UDI? », surGeneration1901.wixsite.com,(consulté le).
  16. « Après quarante-cinq ans de schisme, le parti radical de gauche et le parti radical valoisien se réunissent », surlemonde.fr,.
  17. Jérémy Lemaire, « Valenciennois - Recomposition à droite et au centre, comment se positionnent vos élus »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne).
  18. « Au Mouvement radical, des ex-PRG font sécession », suratlantico.fr(consulté le).
  19. « À gauche, les échéances électorales divisent les radicaux »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  20. « Pinel retourne au PRG avec la "grande majorité des anciens radicaux de gauche" », surFrance 24,(consulté le).
  21. a etb« Européennes : les Radicaux votent samedi sur leur soutien à LREM », surLe Point,(consulté le).
  22. Patrick Noviello, Laurent Dubois et Fabrice Valéry, « Divorce entre Radicaux de Gauche et « Valoisiens » : les vrais chiffres de la division en Occitanie », surfrance3-regions.blog.francetvinfo.fr,(consulté le).
  23. « Textes adoptés lors du Congrès Fondateur des Radicaux Réunifiés - Déclaration politique », surpartiradical.net,(consulté le).
  24. « Quand Emmanuel Macron reçoit des élus de droite à l'Élysée »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  25. « Analyse du scrutin n° 1 - Première séance du 04/07/2017 », surassemblee-nationale.fr(consulté le).
  26. « Analyse du scrutin n° 272 - Première séance du 21/11/2017 », surassemblee-nationale.fr(consulté le).
  27. « Analyse du scrutin n° 578 - Deuxième séance du 22/04/2018 », surassemblee-nationale.fr(consulté le).
  28. « La REM, le MoDem et l'UDI, majoritaires dans l'adoption de la loi asile et immigration », suri24news.tv,(consulté le).
  29. « Les élus », surauvergnerhonealpes.fr(consulté le).
  30. Alexandre Poplavsky, « Un ralliement contre une investiture ? »,L'Est républicain,‎(lire en ligne, consulté le).
  31. Christelle Bertrand, « Le Mouvement radical parle d'Europe »,ladepeche.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  32. « Page L'équipe nationale du site du parti », surlemouvementradical.fr(consulté le).
  33. abcd ete« Le fonctionnement du mouvement », surlemouvementradical.fr(consulté le).
  34. MouvementRadical, « Premier Comité National du Mouvement Radical/Social-Libéral réuni à Paris, et présidé par Sylvia Pinel et Laurent Hénart.pic.twitter.com/5onJgLKcix », surtwitter.com,(consulté le).
  35. « Les radicaux audois affinent leur rapprochement »,ladepeche.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  36. Valérie Mazerolle, « Politique - [Interview] Le Mouvement radical crée dans le Cher sa première fédération de France »,Le Berry républicain,‎(lire en ligne, consulté le).
  37. « Région: les deux partis radicaux remariés donnent naissance au Mouvement radical-social-libéral - 37 degrés »,37 degrés,‎(lire en ligne, consulté le).
  38. « Les fédérations – Mouvement Radical », surlemouvementradical.fr(consulté le).
  39. « M’Jid Elguerrab », surlemouvementradical.fr(consulté le).
  40. « Philippe Huppe », surlemouvementradical.fr(consulté le).
  41. « "Nous sommes En Marche!", dix députés radicaux s'opposent à la création d'un nouveau groupe », surlejdd.fr,(consulté le).
  42. Yves Revert, « C’est le mariage du demi-siècle dans la famille radicale »,La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎(lire en ligne, consulté le).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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