Pour les articles homonymes, voirMoulins.
| Moulins-la-Marche | |
La mairie | |
Blason | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays | |
| Région | Normandie |
| Département | Orne |
| Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
| Intercommunalité | CC des Pays de L'Aigle |
| Maire Mandat | Fabrice Gloria 2020-2026 |
| Code postal | 61380 |
| Code commune | 61297 |
| Démographie | |
| Gentilé | Moulinois |
| Population municipale | 717 hab.(2022 |
| Densité | 55 hab./km2 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 48° 38′ 59″ nord, 0° 28′ 34″ est |
| Altitude | Min. 174 m Max. 295 m |
| Superficie | 13,14 km2 |
| Type | Commune rurale à habitat dispersé |
| Unité urbaine | Hors unité urbaine |
| Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
| Élections | |
| Départementales | Canton de Tourouvre au Perche |
| Législatives | 2e circonscription de l'Orne |
| Localisation | |
| modifier | |
Moulins-la-Marche est unecommune française, située dans ledépartement de l'Orne enrégionNormandie.
La commune est aux confins nord de lacampagne d'Alençon et duPerche. Son bourg est à 17 km au nord deMortagne-au-Perche, à 18 km au sud-ouest deL'Aigle et à 24 km à l'est deSées[1].
Elle fait partie de lazone d'emploi et dubassin de vie deL'Aigle[I 1]
Les communes limitrophes sontLa Ferrière-au-Doyen,Mahéru,Saint-Aquilin-de-Corbion,Saint-Aubin-de-Courteraie etSaint-Martin-des-Pézerits.
Le point culminant (295 m) se situe en limite nord-ouest, près du lieu-ditles Petites Bruyères. Le point le plus bas (174/175 m) correspond à la sortie de laSarthe du territoire, au sud-ouest. La commune est semi-bocagère.
La commune est traversée par laligne de partage des eaux entre lesbassins hydrographiquesSeine-Normandie etLoire-Bretagne. Elle est drainée par la Sarthe, un bras de la Sarthe, l'Iton, un bras de l'Iton[3], le fossé 01 de la Chevalerie[4], le Mahéru[5], le ruisseau de la Fontaine[6], le ruisseau de la Gazinière[7], le ruisseau de Quincampoix[8], le ruisseau de Ronxou[9] et et un autre petit cours d'eau[10],[Carte 1].
LaSarthe constitue la limite sud-est du territoire communal . D'une longueur de 314 km, elle prend sa source dans la commune deSoligny-la-Trappe, au hameau de Somsarthe, c'est-à-dire "sommet de la Sarthe", à une altitude de250 mètres. Sur une grande partie de son cours, elle marque alors la limite entre les départements de l'Orne et de laSarthe et conflue avec laMayenne àAngers à une altitude de15 mètres, pour former laMaine[11]. Les caractéristiqueshydrologiques de la Sarthe sont données par lastation hydrologique située sur la commune deMerlerault-le-Pin. Le débit moyen mensuel est de 6,84 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 133 m3/s, atteint lors de la crue du. Ledébit instantané maximal est quant à lui de 142 m3/s, atteint le même jour[12].
L'Iton, d'une longueur de 132 km, prend sa source dans la commune deMahéru et se jette dans l'Eure àAcquigny, après avoir traversé39 communes[13].

Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Normandie etClimat de l'Orne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[14]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[15]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[16] et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[17]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[18],[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec12,9 jours de précipitations en janvier et8,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaint-Hilaire-le-Châtel à10 km àvol d'oiseau[20], est de11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 732,0 mm[21],[22]. La température maximale relevée sur cette station est de40,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−12,1 °C, atteinte le[Note 3].
Au, Moulins-la-Marche est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23].Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[24],[25].

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,9 %),terres arables (23,9 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (2,6 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
En 2020, le nombre total delogements dans la commune était de 470, alors qu'il était de 457 en 2015 et de 458 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 71 % étaient desrésidences principales, 11,8 % des résidences secondaires et 17,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 13,1 % desappartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Moulins-la-Marche en 2020 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (11,8 %) supérieure à celle du département (10,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
| Typologie | Moulins-la-Marche[I 3] | Orne[I 4] | France entière[I 5] |
|---|---|---|---|
| Résidences principales (en %) | 71 | 78,4 | 82,1 |
| Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 11,8 | 10,6 | 9,7 |
| Logements vacants (en %) | 17,2 | 11,1 | 8,2 |
La commune est desservie par laligne 61 L'Aigle - Alençon duréseau Cap'Orne (autocars départementaux de l'Orne).
Le nom de la localité est attesté sous la formede Molinis vers1050[27].
Le toponyme est issu dulatinmolinus, le toponymeMoulins est lié à uneactivité meunière[28].
Aux temps féodaux, unemarche était une zone frontalière, ici entre leduché de Normandie et lecomté du Perche.
Moulins-la-Marche évoque donc d’une part les nombreux moulins alimentés par les cours d’eau tout proche comme laSarthe au sud de la commune et l’Iton au nord, mais également la frontière historique entre leduché de Normandie et lecomté du Perche, là où été perché un château sur sa butte féodale.
Legentilé estMoulinois.
Au milieu duXIe siècle, le duc de Normandie,Guillaume le Conquérant, confie àGuimond de Moulins premier seigneur de Moulins, la défense de son duché sur ce promontoire naturel situé à la frontière duPerche, province duroyaume de France[29].
La butte et son château sont pris par les Français en 1052 puis repris par les hommes du duc de Normandie l’année suivante[30].
En 1116, le roiHenriIer d’Angleterre rallie Moulins auduché de Normandie et lance la réparation des fortifications endommagées[30].
C’est en 1204 quePhilippe Auguste rattache définitivement la ville au domaine royal, après que celle-ci passe tour à tour du giron anglo-normand à celui descomtes du Perche au gré des alliances et des trahisons de l’époque.
À partir de 1290, Moulins-la-Marche fait partie de l’apanage des comtes du Perche.
Lors de laguerre de Cent Ans, entre 1428 et 1430, la ville de Moulins est la proie des Anglais qui dominent alors laNormandie. Ces derniers détruisent le château et seule la motte castrale demeure[29].
Le roi de FranceLouis XIII érige Moulins-la-Marche envicomté en 1636, lequel subsiste jusqu’à laRévolution française. La butte et ses alentours sont la propriété du frère cadet deLouis XVI, le futurLouis XVIII. Ce dernier en confie l’apanage à perpétuité à deux frères : Louis et Alexandre Férault de Falandre.
L’année 1791 est le début d’une longue bataille juridique entre la municipalité et la famille Férault pour la possession de la Motte féodale qui prendra fin bien des années plus tard dans lesannées 1950[29].
En 1823, lacommune de Moulins-la-Marche (768 habitants en 1821) instituée par laRévolution française absorbe celles de Courdevêque (95 habitants, à l'ouest du territoire, aujourd'hui « Cour d'Évêque ») et Ronxoux (78 habitants, au nord)[31].
À la fin de laSeconde Guerre mondiale, lors des combats de laLibération de la France, le a lieu un accrochage meurtrier entre un groupe de résistant et un groupe d'une quinzaine d'Allemands. Après avoir libéréCourtomer, Jean Lincker, un résistant, est averti par un agriculteur qu'un petit groupe d'Allemands venait de quitter sa ferme. Aussitôt, Lincker forme un groupe de six membres composé de Jean Fillâtre, André Vimal du Boucher, Pierre Jacquot, André Pillou, Alferd Pommier et Roger Rycroft (pour la plupart originaires d'Argentan). Cet accrochage est restitué par Jean Lincker[32] :
« Arrivé à la gare de Moulins, j'aperçus quelques Boches armés de fusils. Je disposai alors mes hommes de chaque côté de la route par moitié et nous avançâmes à leur rencontre. Environ à 150 mètres d'eux, nous nous vîmes en présence d'un groupe de 15 à 18 Boches, armés de mitrailleuses et mitraillettes, commandés par un officier. Notre présence ayant été remarquée, je commandai le feu à l'instant précis où les Boches nous tiraient dessus. Au bout d'un quart d'heure environ, alors que l'officier allemand avait été tué, Pierre Jacquot tomba le premier avec une rafale de mitrailleuse dans le ventre puis André Vimal du Boucher qui était devant moi, reçut une balle en pleine tête. A la même seconde, j'eus le bras fracassé par une balle et mon camarade Jean Fillâtre, qui se trouvait derrière moi, reçut une balle en plein poitrine. Il y eut un très court moment de répit, puis je recommençai à tirer ainsi qu'André Pillou, Roger Rycroft et Alfred Pommier. Cependant, me rendant compte que la bataille était inégale, je donnai l'ordre du repli. »
— Compte rendu de Jean Lincker, sans date, repris par Charles Geslain et André Jidouard, Histoire d'une ville, Argentan de 1939 à 1945, 1994.
Depuis, une stèle a été érigée sur les lieux en 1949, en la mémoire de ces résistants morts au combat, au lieu-ditle Clos Mottet.

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Mortagne-au-Perche du département de l'Orne[I 1]
Elle était depuis 1793 lechef-lieu ducanton de Moulins-la-Marche[31]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour lesélections départementales, la commune est membredepuis 2014 ducanton de Tourouvre au Perche[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de ladeuxième circonscription de l'Orne.
Moulins-la-Marche était le siège de la petitecommunauté de communes du Pays de la Marche, unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par lecode général des collectivités territoriales.
Celle-ci a fusionné le avec lacommunauté de communes du Pays de L'Aigle pour former lacommunauté de communes des Pays de L'Aigle et de la Marche.
Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, une nouvelle fusion est intervenue le afin d'intégrer lacommunauté de communes du canton de La Ferté-Frênel, formant l'actuellecommunauté de communes des Pays de L'Aigle dont est désormais membre la commune[I 1]
Compte tenu de la population de la commune, sonconseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et ses adjoints[33].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| Pierre-Vital Boutey | Ancien officier d'infanterie, notaire Conseiller général de Moulins-la-Marche(1833 → 1839) | |||
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| 1983[34] | mars 2008 | Jean-Pierre Chevalier[35] | DVD | Expert-comptable à L’Aigle Conseiller général de Moulins-la-Marche(1979 → 2015) |
| mars 2008[36] | en cours (au 23 mai 2022) | Fabrice Gloria[37] | SE | Pharmacien Réélu pour le mandat 2020-2026[38] |

Un espaceFrance Services a été inauguré au printemps 2022 dans les anciens locaux du Crédit Mutuel, qui ont fermé en 2020[39] et facilite notamment pour les habitants des 11 communes qui l'ont financé, l'accès numérique à des services publics comme la direction générale des finances publiques, le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Justice, la Poste, pôle emploi, la caisse nationale des allocations familiales, l’assurance maladie, l’assurance retraite et la mutualité sociale agricole[40],[41].
La commune dispose d'une salle des fêtes.
L'école des Sources de Moulins-la-Marche compte, à la rentrée 2021, 161 élèves répartis dans huit classes[42].
Ils poursuivent leurs études au collège André Collet de Moulins-la-Marche, qui compte à la rentrée 2020. 190 élèves répartis en 8 classes[43].

Moulins-la-Marche dispose d'une médiathèque[44] et du cinéma Entracte[45]
La commune accueille une maisonPerce-Neige, un lieu d’accueil pour personnes handicapées fondé en 2001 sur l’initiative du fils deJean Gabin, Mathias Moncorgé, soutenu par l’acteurLino Ventura, conseillé par le maire Jean-Pierre Chevalier, alors conseiller général de l’Orne[46].
Un centre de secours des sapeurs-pompiers animé en 2019 par 33 volontaires est implanté à Moulins-la-Marche[47],[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2022, la commune comptait 717 habitants[Note 4], en évolution de −4,02 % par rapport à 2016 (Orne : −3,21 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 947 | 878 | 851 | 768 | 1 023 | 1 040 | 1 050 | 1 100 | 1 052 |
| 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 100 | 1 189 | 1 107 | 1 123 | 1 079 | 1 144 | 1 112 | 1 044 | 1 022 |
| 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 987 | 956 | 829 | 936 | 978 | 892 | 1 043 | 1 027 | 907 |
| 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 | 2018 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 917 | 845 | 818 | 816 | 774 | 782 | 785 | 753 | 718 |
| 2022 | - | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 717 | - | - | - | - | - | - | - | - |

Le club sportif SAM (Soligny/Les Aspres/Moulins) football, qui rayonne sur une vingtaine de communes et notamment , dispose en 2022 de dix équipes (2 en U7, 2 en U9, 2 en U11, une en U15, une en U18, en seniors, une équipe en Division 2 District de l’Orne) et compte 130 licenciés[53].

En 1973, un boulanger de la localité, Raymond Fanouillet, conçoit une brioche cuite dans un moule ovale et breveté, qui n'est produite qu'à Moulins et dont la particularité est d'être composée de 6, 8 ou 10 boules juxtaposées[58].
En 2008, Alain Barbier, ancien propriétaire deAu Roi de la Brioche, crée, lui, la brioche feuilletée[59].
| Blason | ||
|---|---|---|
| Détails | Nouveau blason,Écartelé en sautoir: au 1er d'azur à trois brioches d'or rangées en fasce, au 2e degueules à troischevrons d'argent soutenus d'une poire feuillée de deux pièces du même, au 3e de gueules à deux léopards d'argent l'un au-dessus de l'autre et soutenus d'une pomme feuillée de deux pièces du même, au 4e d'azur au cheval courant d'argent; sur le tout, d'argent au moulin à vent desinople soutenu de deux burelles ondées et alésées d'azur[61]. |
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