Le nom antique deMosela ouMosella serait composé du préceltiqueMosa et du diminutif latin-ella, signifiant ainsila petiteMeuse[3].
Du point où la population commence à parler undialecte germanique, elle est appeléeMusel ; c'est l'orthographe suivie par Fortunat et celle consignée sur les tables éditées parPeutinger[4].
Une fontaine située à731 mètres d'altitude (près ducol de Bussang dans le département desVosges) est présentée comme sa source officielle, mais la rivière se forme de la réunion de plusieurs ruisseaux dont certains sourdent à plus de 1 000 mètres, sur les pentes duGrand Drumont.
Autrefois, la Moselle rejoignait laMeuse à hauteur dePagny-sur-Meuse[6],[7],[8],[9]. La « capture » de la Moselle a lieu au début de l'èrequaternaire[10]. À hauteur deToul, la Moselle oblique vers le nord-est pour franchir le pied de l'actuelle côte de Moselle. Son cours a ainsi rejoint un affluent de laMeurthe, alors très puissante rivière au débit fluvio-glaciaire, cet affluent n'étant alors qu'un modeste ruisseau se jetant dans celle-ci en aval deFrouard. La capture modifie le réseau hydrographique, et en particulier depuis la fin des temps glaciaires. La Moselle a aujourd'hui un débit plus important : elle est l'artère principale et laMeurthe n'est plus que son modeste tributaire oublié[11],[12]. Ce parcours tortueux, entreNeuves-Maisons etLiverdun, est souvent connu sous le nom deboucles de la Moselle. L'hypothèse ancienne d'une érosion régressive, fondée sur le lit plus profond de la Meurthe, est abandonnée. Dans les années 2000, la prise en compte d'unsoutirage karstique[10],[13], très favorisé en milieupériglaciaire, explique mieux le déversement vers le modeste affluent de la Meurthe[14]. Le phénomène peut se repérer facilement dans le paysage. ÀToul, la Moselle reçoit, en rive gauche, un petit affluent, l'Ingressin, qui coule au milieu d'une large vallée relique qu'il a été bien incapable d'entailler et dont la topographie montre le creusement par une rivière dont le cours était inverse à celui observé actuellement. D'autre part, d'anciens méandres rencontrés dans la vallée sèche, leval de l'Asne, séparant la source de l'Ingressin du cours de la Meuse au niveau duseuil de Foug, ne peuvent s'expliquer que par le passage d'une rivière aujourd'hui disparue[15]. Enfin, au sud deLay-Saint-Rémy, dans le Val de l'Asne, des alluvions anciennes contiennent des galets siliceux vosgiens qui n'ont pu être charriés que par l'ancienne Moselle. Cette vallée quasi sèche (Val de l'Asne dePagny-sur-Meuse àLay-Saint-Remy puis Ingressin de Neuf-Pont (commune deFoug) àToul) a depuis lors été reprise, ou est suivie de très près, par lecanal de la Marne au Rhin et, dans une moindre mesure, par lanationale 4.
Lorsque la Moselle quitte le territoire français àApach, sonbassin versant est alors d'environ 11 500 km2.
Cours de la Moselle et de ses principaux affluents.
À Bussang, où la Moselle prend sa source, puis dans la vallée en passant parSaint-Maurice-sur-Moselle,Fresse-sur-Moselle,Le Thillot,Ramonchamp,Ferdrupt,Rupt-sur-Moselle,Vecoux,Dommartin-lès-Remiremont etSaint-Étienne-lès-Remiremont plusieurs petits ruisseaux pérennes ou non alimentent le cours principal avant la confluence avec la Moselotte : « ruisseau du Petit gazon », le Sèchenat, ruisseau de la Hutte, ruisseau de Lamerey, la Noiregoutte,ruisseau des Charbonniers, ruisseau de la Feigne, leLongeligoutte, le Vacceux, ruisseau de l'État, ruisseau du Ménil, ruisseau de Ramonchamp, ruisseau de Morbieux, ruisseau de Xoarupt, ruisseau de Grandrupt, ruisseau de Ferdrupt, le Saut du Loup, ruisseau de Moinrupt, « ruisseau de la Fourchelle », ruisseau du Rivage, goutte de Ligebierupt, « ruisseau de Lépange », ruisseau de Reherrey.
La haute Moselle et ses premiers affluents droits (Moselotte,Vologne etMeurthe) possèdent unrégime pluvio-nival marqué, mais ses autres affluents, issus duplateau lorrain, sont soumis à unrégimeocéanique. Les différences saisonnières se traduisent habituellement par un maximum en janvier (environ 1,8 fois le module) et un minimum en juillet (0,4 fois le module).
Les crues hivernales peuvent s'avérer dévastatrices si un important épisode neigeux est suivi d'un redoux avec fortes pluies sur un sol saturé. Ce fut le cas en décembre1919 et en décembre1947, où l'on déplora des morts. À l'inverse, de graves étiages estivaux sont également fréquents : en août1964, le débit était tombé à 6,85 m3/s à la station d'Hauconcourt.
Débit moyen mensuel (en m3/s) Station hydrologique : A8500610 - La Moselle à Bertrange pour un bassin versant de 10 770 km2[19] (Données calculées sur 28 ans)
Au total, la Moselle est une rivière abondante, alimentée par des précipitations notables, dans la région des hauteurs des Vosges au sud-est, mais aussi descôtes de Meuse à l'ouest. Lalame d'eau écoulée dans son bassin versant est de434 millimètres annuellement, ce qui est élevé et largement supérieur à la moyenne d'ensemble de la France (320 millimètres), et notamment supérieur d'environ 60 % à la lame d'eau de l'ensemble du bassin de laSeine (environ240 millimètres). Ledébit spécifique de la rivière (ouQsp) atteint le chiffre robuste de13,7 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin.
Dans la loi du ratifiant le traité instituant laCECA, l'article 2 prescrivait au gouvernement français « d'engager, avant l'établissement du marché commun, des négociations avec les gouvernements intéressés, pour aboutir à une réalisation rapide de la canalisation de la Moselle entre Thionville et Coblence »[20],[21],[22]. Les discussions s'ouvrirent en 1956 dans le cadre des négociations dutraité sur la Sarre et aboutirent à la convention franco-germano-luxembourgeoise sur la canalisation de la Moselle incluse dans lesAccords de Luxembourg du 27 octobre 1956.
C'est sur la Moselle, au point de convergence des frontières franco-luxembourgo-allemandes, qu'a été signée en1992 laconvention de Schengen, mettant en place la libre circulation des biens et des personnes dans l'espace communautaire européen.
Dans un chapitre des comptes ducellerier de Nancy à propos des années 1488-1489, il est indiqué que les ducs de Lorraine faisaient le trajet Nancy - Pont-à-Mousson surdes bateaux où l'on avait établi des espèces d'appartements[24].
Entre 1835 et 1840, il se constitue à Metz une société commerciale, « la Cie des vapeurs inexplosibles de la Moselle ». Elle se propose d'ouvrir des lignes maritimes entreNancy etCoblence. L'entreprise commande quatre bateaux à vapeur à faible tirant d'eau construits àNantes qui devront emprunter un long et difficile périple pour venir àMetz via laHollande. Le premier bateau entre en service le. Il se nomme l'Austrasien. Il assure chaque jour l'aller-et-retour Metz-Pont-à-Mousson pouvant transporter passagers et marchandises. Deux autres bateaux,le Fabert etla Providence sont affectés à la ligne Metz-Trêves. Le quatrième baptiséle Stanislas entre à Nancy le.
Cette année 1841, les inexplosibles de la Moselle transportent 43 854 passagers. Mais l'année suivante étant très sèche, le régime des rivières impose une baisse du trafic. Les choses semblent s'améliorer en 1843 et 1844 mais en 1845, c'est l'hiver qui ne permet plus de navigation qu'entre Nancy et Pont-à-Mousson. Ces difficultés auxquelles s'ajoute la faible hauteur d'eau qui ne permet pas de chargement important des bateaux et la lenteur du transport, il faut douze heures pour le sens Metz-Nancy, auront raison de ce mode de transport. Les bateaux seront repris par une société prussienne qui les affectera aux seules lignes rhénanes[25].
De nombreuxpolluants sont présents dans la Moselle, probablement depuis longtemps, notamment à cause desséquelles de guerre et sa situation partiellement enzone rouge. Les Commissions internationales pour la protection de la Moselle et de la Sarre sont notamment chargées du suivi des pollutions. Elles peuvent à ce titre « préparer et faire effectuer toutes les recherches nécessaires pour déterminer la nature, l’importance, l’origine des pollutions et exploiter les résultats de ces recherches ».
Plusieurs études ont montré une nette amélioration de 1990 à 1999 pour les matières oxydables, le cours moyen restant néanmoins assez pollué de ce point de vue (qualité 3 ; pollution notable en 1999). En amont de l'embouchure de la Sarre, à partir deGrevenmacher, le cours d'eau était jugé « faiblement pollué par les matières organiques et oxydables ». Quelques affluents étaient encore mal à très mal classés (pollution forte à excessive à leur embouchure) en 1999. Ce sont laMeurthe, l'Orne et laFensch.
Phosphore : c'est un paramètre important pour l'eutrophisation ; en 1999, une amélioration a été constatée mais tous les points de mesure sont encore classés en « qualité 3 », voire pire.
Lesnitrates et composés azotés (dont l'ionammonium en très légère baisse) sont un autre facteur d'eutrophisation ; sauf àMillery, de 1989 à 1999, aucune amélioration n'a été constatée (tous les points de mesure étaient dans la partie supérieure de laclasse 3 pour ces paramètres), alors que pour la Sarre il y a eu une nette amélioration (on est passé de laclasse 4 à laclasse 2 en dix ans) ; dèsLiverdun, la Moselle mais aussi la Sarre restent dans laclasse 3 et enregistrent une détérioration (de l'amont vers l'aval).
Chlorures : en1999, les chlorures continuaient à polluer l'eau en aval de la Meurthe, avec un pic de concentration àSierck.
Pesticides : l'atrazine a été retenu comme indicateur de pollution par pesticides des bassins de la Moselle et de la Sarre. Une amélioration a été constatée sur la plupart des points de mesures de 1989 à 1999, mais les teneurs restent généralement deux fois supérieures à l'objectif de référence.
Métaux lourds : ils continuent à poser des problèmes, notamment avec lezinc, qui dépassait encore en 1999 de 7 à 9 fois l'objectif de référence en amont de Sierck, avec même une tendance à l'augmentation. En aval, les teneurs diminuent mais restent (en 1999) 3,5 fois supérieures à l'objectif de référence.
Pour lesorganochlorés, ainsi queHAP toxiques (dontbenzo(a)pyrène, etPCB 153, suivis comme indicateurs pour lesmicropolluants organiquesadsorbés sur les matières en suspension), tout le bassin présente encore une pollution marquée, notamment dans laSûre (jusqu'à 40 fois le seuil de référence), mais aussi àSierck et àCoblence. En 1999, les données disponibles ne montraient pas de tendance à l'amélioration ni à une plus forte dégradation. Pour le PCB 153, une diminution notable a été enregistrée sur tous les points de mesure de 1989 à 1999, avec une situation plus préoccupante à Sierck malgré une amélioration de 1997 à 1999. La commission internationale estime que lesPCB auraient pour origine des accidents anciens dans les mines et sur lestransformateurs, ou des apports via le ruissellement. Ils ont régulièrement diminué dans l'eau, mais ils semblent s'être accumulés dans certainssédiments et, comme dans d'autres fleuves, ils continuent à contaminer des poissons (dont les anguilles), avec parfois de forts dépassements des concentrations de référence[27],[28].
Début 2004, des analyses de dioxines, furanes et PCB (y compris des PCB de l’OMS) ont été faites dans les matières en suspension et dans des échantillons de poissons du bassin de la Moselle et de la Sarre, et ont montré des améliorations, mais aussi un (faible) dépassement général des valeurs-limites actuelles pour les PCB[29]. Cette étude confirme des contaminations très hétérogènes et qui chez les poissons ne sont pas corrélables à la teneur mesurée sur les matières en suspension. Les anguilles et les poissons blancs diffèrent aussi en termes depatron de contamination. Par endroits, les teneurs sonttrès élevées et le rapport parle pour les anguilles de « dépassements considérables » defuranes etdioxines ; les anguilles les plus contaminées ont été trouvées àBouxières et àBerg-sur-Moselle, alors que pour les poissons blancs, les plus contaminés l'étaient àSchoden, à l’embouchure de laKyll et à Berg-sur-Moselle (avec des taux approchant ceux des anguilles). Les teneurs en dioxines des anguilles ne dépassent généralement pas les seuils, mais elles sont nettement plus élevées que celles des poissons blancs et proches des valeurs limites européennes. Selon l'espèce, les poissons blancs sont plus ou moins contaminés (p. ex., àAutreville les teneurs mesurées au même moment chez desgardons et deschevesnes étaient très différentes), probablement en raison de leur mode de vie et d'alimentation.
PCB (liste de l’OMS) : en 2004, les taux de dioxines, furanes et PCB étaient pour l'anguille très largement supérieurs à la norme en cours d'adoption par la Commission européenne de 8 pg ITEQ/g (International Toxic Equivalent Quantity par gramme de poids frais), essentiellement en raison des PCB (les taux de dioxines et furanes restaient inférieurs aux seuils réglementaires). Toutes les anguilles semblaient relativement et uniformément fortement contaminées (avec un maximum de 62 pg TEQ/g dans la Moselle à l’embouchure de la Kyll). Les poissons blancs présentaient au contraire une répartition de la contamination très variable, avec des taux de PCB particulièrement élevés à Schoden/Sarre, Dillingen/Prims et à l’embouchure de la Kyll (jusqu'à 19,5 pg TEQ/g, valeur qui reste 3 fois inférieure au maximum enregistré chez les anguilles).
En France, un arrêté préfectoral recommande aux femmes enceintes et allaitantes et aux jeunes enfants de ne plus consommer les anguilles pêchées dans la Moselle et ses affluents. Au Luxembourg et en Allemagne, la consommation d'anguilles est également déconseillée, et pour le poisson blanc, le Luxembourg recommande de ne pas dépasser deux portions par mois[note 1] (idem pour la Rhénanie-Palatinat allemande qui recommande d'éviter l'anguille et ne pas manger plus de 2 portions de 230 g par semaine)[note 2],[note 3].
La plupart de la Moselle sauvage, deFlavigny-sur-Moselle àChatel-sur-Moselle est également classée en zonesnatura 2000,ZNIEFF (zones naturelles d'intérêt écologique floristique et faunistique) etZICO (zone Importante pour la conservation des oiseaux).
Site inscrit(1967) : le site des boucles de la Moselle, àLiverdun, village médiéval, est un site naturel inscrit.
La qualité de l'eau de la Moselle étant bonne, la rivière pourrait être ouverte à la baignade dans chaque commune qui la borde[31].
La Moselle a été canalisée à grand gabarit en 1964 et est accessible auxchalands de 3 000 t jusqu'àNeuves-Maisons (banlieuenancéienne). Auparavant, la navigation se faisait sur la rivière et sur des dérivations (canal latéral à la Moselle). Ceci a surtout permis à laFrance et dans une moindre mesure auLuxembourg (via leport de Mertert) d'avoir un accès direct à lamer du Nord, via leRhin, pour son bassin industriellorrain.
La culture de la vigne, qui avait fortement régressé dans le département français, est progressivement réintroduite sur les coteaux français, notamment àMarieulles-Vezon et àVaux[34]. Legris de Toul n'a jamais cessé d'être produit et possède uneappellation d'origine contrôlée.
La Société Internationale de la Moselle (SIM) est créée le sous forme d'unesociété à responsabilité allemande afin de gérer le financement des travaux de canalisation de la Moselle. Les gérants sont les trois États riverains mosellans (Allemagne, France et Luxembourg)[35]. Elle a son siège àTrèves.
↑Bouteiller,Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
↑Henri Lepage,Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862.
↑Amand Buvignier, « Note sur les alluvions de la Moselle dans la vallée de la Meuse »,Mémoires de la Société philomathique de Verdun, Verdun, Société philomathique de Verdun,t. Premier,,p. 255-258(lire en ligne).
↑Alexandre Godron, « Du passage à la fin de la période quaternaire des eaux et des alluvions anciennes de la Moselle dans les vallées de la Meurthe, au-dessus de Nancy et de la Meuse par la vallée de l'Ingressin »,Annuaire du Club alpin français,vol. 3e année,.
↑Alexandre Godron, « Du passage des eaux et des alluvions anciennes de la Moselle dans les bassins de la Meurthe en amont de Nancy et de la Meuse par la vallée de l'Ingressin »,Mémoires de l'Académie de Stanislas 1876, Nancy, Académie de Stanislas,4e,vol. CXXVIIe année,t. IX,,p. 46-67(lire en ligne)
↑a etbBenoît Losson,Karstification et capture de la Moselle (Lorraine, France) : vers une identification des interactions (Thèse de doctorat de géographie, Université de Metz),, 510 pages + annexes (196 pages) et planches (94 pages)(lire en ligne).
↑Dominique Harmand, André Weisrock, Patrice Gamez, Jacques Le Roux, Serge Occhietti, Michel Deshaies, Jean-Claude Bonnefont et Michel Sary, « Nouvelles données relatives à la capture de la Moselle »,Revue Géographique de l'Est, Association de géographes de l'Est,t. 35,nos 3-4,,p. 321-343(lire en ligne).
↑Dominique Harmand, Jacques Le Roux, Benoît Losson et S. Cordier, « La capture de la Haute Moselle : bilan des connaissances »,Livret-guide des excursions des 7, 8 et 9 juin 2007, Paris, Association française pour l'étude du quaternaire (AFEQ),no 2007,(lire en ligne).
↑François Provin, auteur de la partie 4 sur les milieux naturels, en particulier paragraphe "Une mosaïque de milieux", page 223, inMeurthe-et-Moselle, opus cité.
↑Observer des cartes de cette capture et avoir quelques explications complémentaires dans M. Derruau,Les formes du relief terrestre, Masson, Paris, 1979,p. 22-23.
↑Henri (1814-1887) Auteur du texteLepage,Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 / par Henri Lepage,...,(lire en ligne),p. 38
↑Gabriel RICHARD,Le Pays lorrain : Les inexplosibles de la Moselle, Nancy, Berger-Levrault,, 156 p.(lire en ligne),p. 91-103
↑Décretno 62-1006 du 18 août 1962 portant publication du « Protocole entre la France, l’Allemagne et le Luxembourg concernant la constitution d’une commission internationale pour la protection de la Moselle contre la pollution, du 20 décembre 1961 »
↑Rapport (102 pages, PDF) (voir résumé et/ou analyses). Cette étude a comme cadre lesCommissions Internationales pour la Protection de la Moselle et de la Sarre (CIPMS) et un programme international de mesures.
(1877) - « Du passage à la fin de la période quaternaire des eaux et des alluvions anciennes de la Moselle dans les vallées de la Meurthe, au-dessus de Nancy et de la Meuse par la vallée de l'Ingressin »,Annuaire du Club alpin français,3e année, 16 p.