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Montlaur (Aveyron)

43° 52′ 48″ nord, 2° 50′ 04″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirMontlaur.

Montlaur
Montlaur (Aveyron)
Mairie de Montlaur.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementAveyron
ArrondissementMillau
IntercommunalitéCommunauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Patrick Rivemale
2020-2026
Code postal12400
Code commune12154
Démographie
GentiléMontlaurais(e)
Population
municipale
660 hab.(2022en évolution de +5,1 % par rapport à 2016)
Densité16 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 52′ 48″ nord, 2° 50′ 04″ est
AltitudeMin. 330 m
Max. 681 
m
Superficie41,57 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionSaint-Affrique
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton des Causses-Rougiers
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Montlaur
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Montlaur
Géolocalisation sur la carte :Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Montlaur
Géolocalisation sur la carte :région Occitanie
Voir sur la carte administrative de région Occitanie
Montlaur
Liens
Site webwww.mairie-montlaur.comVoir et modifier les données sur Wikidata
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Montlaur est unecommune française située dans ledépartement de l'Aveyron, enrégionOccitanie.

Géographie

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Localisation

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La commune constitue une fraction méridionale duMassif central. Elle se trouve sur la rive gauche duDourdou de Camarès en plein cœur duRougier de Camarès.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontBelmont-sur-Rance,Camarès,Gissac,Mounes-Prohencoux,Rebourguil etVabres-l'Abbaye.

Carte
Les limites communales de Montlaur et celles de ses communes adjacentes.
Rose des ventsVabres-l'AbbayeSaint-AffriqueRose des vents
RebourguilNGissac
O   Montlaur   E
S
Belmont-sur-RanceMounes-ProhencouxCamarès

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Montlaur.

La commune est drainée par leDourdou de Camarès, leGrauzou, le Riaudou, le ruisseau de Gommaric, le Durre, le ravin de Grézals, le ravin de la Pomière, le ravin de Pari, le ravin du Puech Long, le ruisseau de Combe Cave, le ruisseau de la Gamasse, le ruisseau de Mauriac, le ruisseau de Pestort, par divers petits cours d'eau[1].

LeDourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune deMurat-sur-Vèbre (81) et se jette dans leTarn àSaint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[2].

LeGrauzou, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source dans la commune deGissac et se jette dans leDourdou de Camarès àVabres-l'Abbaye, après avoir arrosé 4 communes[3].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat de l'Aveyron.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[5]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[6] et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[7]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[8],[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de2,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 897 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 705,4 mm[10],[11]. La température maximale relevée sur cette station est de41,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,3 °C, atteinte le1er mars 2005[Note 1].

Statistiques 1991-2020 et records station MONTLAUR (12)- alt : 374 m, lat : 43°53'30"N, lon : 2°50'10"E
Records établis sur la période du
1er mai 2002 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)1,20,42,65,58,612,614,41411,19,15,21,77,2
Température moyenne (°C)4,64,9811,214,619,221,421,117,513,88,95,312,5
Température maximale moyenne (°C)8,19,413,316,820,525,928,428,123,918,612,68,917,9
Record de froid (°C)
date du record
−11,4
18.01.13
−11,3
27.02.18
−13,3
01.03.05
−6,5
08.04.21
−1,6
07.05.19
3
03.06.06
7,2
16.07.16
5,4
31.08.10
1,4
29.09.24
−4,2
30.10.12
−9,4
18.11.07
−10,6
21.12.09
−13,3
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
17,5
25.01.24
23,3
26.02.19
25,5
20.03.05
30,6
14.04.24
32,7
22.05.22
39
21.06.03
40,1
01.07.25
41,2
23.08.23
36
04.09.05
32
01.10.23
23,8
06.11.15
19,5
08.12.10
41,2
2023
Précipitations (mm)73,547,95772,267,747,240,147,349,97169,861,8705,4
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
80
28.01.06
43,3
03.02.03
34,8
13.03.04
67,8
29.04.04
51,9
27.05.08
45,9
04.06.23
36,6
05.07.12
52,6
29.08.12
75
16.09.14
69,2
15.10.18
71,1
28.11.14
61,2
03.12.03
80
2006
Source :« Fiche 12154003 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
8,1
1,2
73,5
 
 
 
9,4
0,4
47,9
 
 
 
13,3
2,6
57
 
 
 
16,8
5,5
72,2
 
 
 
20,5
8,6
67,7
 
 
 
25,9
12,6
47,2
 
 
 
28,4
14,4
40,1
 
 
 
28,1
14
47,3
 
 
 
23,9
11,1
49,9
 
 
 
18,6
9,1
71
 
 
 
12,6
5,2
69,8
 
 
 
8,9
1,7
61,8
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[12], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[13].Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, leParc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995, d'une superficie de327 937 ha, et s'étendant sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[14],[15],[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Montlaur comprend quatre ZNIEFF detype 1[Note 2],[17] :

et une ZNIEFF detype 2[Note 3],[17], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[22].

  • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
  • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Montlaur est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[23].Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de Montlaur.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), forêts (11,8 %), prairies (4,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[26].

Planification

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Laloi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT duParc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en. La structure porteuse est lePôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huitcommunautés de communes, notamment lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[27].

La commune disposait en 2017 d'unecarte communale approuvée et unplan local d'urbanisme était en élaboration[28].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Montlaur est vulnérable à différents aléas naturels :inondations, climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), feux de forêts etséisme (sismicité très faible).Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[29],[30].

Risques naturels

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Zones inondables de la commune de Montlaur.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement duDourdou de Camarès. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin duLot, de l'Aveyron, duViaur et du Tarn) et au (bassins de laSorgues et duDourdou)[31]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duPlan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Dourdou de Camarès amont»[32], approuvé le[33].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[34].

Risques technologiques

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Le risque detransport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].

Risques particuliers

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La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[36].

Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon ledossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Montlaur est classée à risque moyen à élevé[37]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans lecode de la santé publique[38] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].

Histoire

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Moyen Âge

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En, un des lieutenants duroi de France, le comte de Vendôme, s’empare de Roquecésière et pénètre dans le Camarès. Pour l’en chasser, huit mois après, le sénéchal anglais Thomas de Wetehale vient lui offrir le combat. Les troupes se rencontrèrent dans les plaines de Montlaur. Les Anglais furent taillés en pièces. Le sénéchal anglais tomba grièvement blessé. Transporté au château de Montlaur, il y mourut et fut enseveli dans l’église ().

Époque moderne

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Époque contemporaine

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Le canal de Montlaur

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18682008 : durant les cent quarante années de cette longue période, le canal de Montlaur n’a cessé de mettre à la disposition des sociétaires, agriculteurs ou jardiniers, l’eau nécessaire à leurs cultures notamment durant les périodes de canicule.

La gestation conduit à l’aboutissement d’une longue confrontation entre Hyppolite Barascud, figure politique du Saint-Affricain, grand initiateur des projets d’irrigation dans la région, encore surnommé « le buveur d’eau » et les agriculteurs regroupés autour des édiles municipaux, rapidement fédérés en association. La rivière Dourdou dans laquelle est prélevée l’eau du canal traverse et sépare la plaine de Montlaur en deux parties géographiquement décalées. La plaine rive droite débute en amont par rapport à celle de la rive gauche où est situé le village.

Il fut d’abord question d’équiper la rive gauche pour laquelle H. Barascud obtint le droit d’eau. Les agriculteurs, soupçonnant le côté mercantile de ce projet se concertèrent pour éviter d’être grugés pendant que les propriétaires de la rive droite (souvent les mêmes) envisageaient l’irrigation de cette rive. Après de nombreux tâtonnements, l’idée germa de regrouper les deux projets. C’est ainsi qu’il fut décidé de ne créer qu’une seule prise en rivière prolongée par un canal rive droite formant tronc commun jusqu’au droit du village où il se subdiviserait en deux branches, une se poursuivant rive droite, l’autre destinée à la rive gauche après avoir franchi la rivière. Voilà l’obstacle, comment traverser ? Trois options se présentaient :

  1. Créer un siphon dans la rivière, solution relativement peu onéreuse mais très difficile à faire fonctionner dans le temps à cause des obstructions fréquentes inévitables; elle fut aussitôt abandonnée.
  2. Construire un aqueduc comme il y en existe de nombreux sur le parcours, il aurait été seulement plus important mais présentait une certaine fragilité au regard des crues de la rivière ; la solution ne fut pas retenue.
  3. Créer un pont canal.

À l’époque, il n’y avait, pour franchir le Dourdou, que les ponts deCamarès et deVabres. À Montlaur, on traversait à gué ou en empruntant une passerelle piétonne qui avait la fâcheuse manie d’être emportée par les crues ! Le surcoût de l’ouvrage donna à réfléchir. Mais disposer d’un pont charretier utilisable par tous temps présentait de tels avantages que cette solution emporta l’adhésion d’autant que la municipalité décida de participer à l’investissement en aliénant la quasi-totalité des terrains communaux afin que l’ensemble des usagers puisse emprunter le pont sans avoir à acquitter de droit de péage.

Donc, les tractations avec H. Barascud débutèrent en 1863 et se poursuivirent jusqu’à la création, le, du syndicat unique regroupant rive droite et rive gauche dont l’objet était de créer le canal d’irrigation des plaines de Montlaur et d’en assurer le fonctionnement. Enfin, le, conformément à la loi du, lePréfet de l’Aveyron approuva le premier décret portant création de l’Association Syndicale Autorisée (ASA) canal de Montlaur ayant pour but « d’assurer l’exécution, l’entretien et la conservation des canaux d’arrosage entrepris ou à entreprendre sur les deux rives de la rivière. »

Les travaux débutèrent fin 1865 par la création de la prise en rivière au lieudit Moulin Vieux et le creusement du canal rive droite. La construction du pont long de 74,80 m comportant 5 arches en anse de panier, incluant le passage du canal débuta le et la dernière clé de voute fut posée en pour une mise en service à la fin de cette même année. À peine 18 mois ont été nécessaires pour créer ce bel ouvrage en pierres de taille de grès rose provenant de carrières locales, à la facture particulièrement soignée.

Le canal commença à fonctionner dans sa totalité à partir de la campagne d’arrosage 1869 et l’arrêté de réception définitif, marquant son existence légale, fut approuvé le par le préfet de l’Aveyron. Rive droite, le canal se termine au rocher des Cadenettes et rive gauche au Moulin Neuf. La longueur du tronc commun est de 2,430 km, celle de la rive droite 2,520 km et celle de la rive gauche 5,410 km soit un total de 10,360 km. Hormis une faible subvention de l’État et la participation de la commune représentant à peine dix pour cent de l’investissement total, le financement fut entièrement supporté par les sociétaires qui, pour certains, durent lourdement s’endetter. La totalité des emprunts contractés auprès d’une trentaine de prêteurs privés de la région fut remboursée en 1875. Par contre, le prix des terres arrosables se trouva immédiatement multiplié par deux ou trois… et leur utilisation s’adapta pour tenir compte de la nouvelle assurance anti-sècheresse. Outre l’intensification des cultures vivrières, l’irrigation permit la création de prairies artificielles et la constitution d’importants stockages de nourriture pour les troupeaux d’ovins d’où la répercussion sur la production deRoquefort et des ressources correspondantes.

Depuis sa mise en service, l’exploitation du canal se poursuit sur les bases définies par l’arrêté de constitution de l’ASA de 1868. Bien que les méthodes de culture et d’irrigation aient évolué avec la mécanisation apparue après laSeconde Guerre mondiale entraînant une nette diminution de la quantité d’eau consommée, son utilité ne se dément pas notamment pour les jardiniers qui en bénéficient largement. C’est ainsi qu’une assemblée de syndics, élus et renouvelés annuellement par tiers lors de l’assemblée annuelle des propriétaires, gère et assure l’entretien des installations afin que le service de l’eau soit assuré dans de bonnes conditions. Soucieux de limiter le montant des cotisations annuelles à la stricte nécessité il a été décidé, depuis une dizaine d’années, de faire appel au bénévolat pour procéder aux opérations annuelles de curage et, chaque printemps, une trentaine de volontaires s’emploie à cette tache.

Malgré cela, quelques opérations sortant de ce cadre ont nécessité, au début des années 2000, l’établissement d’un projet conséquent de réparation et de réhabilitation d’ouvrages tout au long du parcours. Pour ce faire, l’ASA a sollicité et obtenu à hauteur de 75 % le concours financier de différents organismes intéressés à la conservation du patrimoine, le solde restant à la charge des sociétaires. Les travaux sont à ce jour entièrement exécutés.

Divers

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  • Annexion de Briols.
  • 2011 : réouverture au grand public de l'Église de Briols, fermé depuis 1996 (environ 15 ans).
  • En 2012, le maire, Francis Castan, reçoit une Marianne d'or[40] pour son action en faveur de l'école du village.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Montlaur est membre de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 1], unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est àBelmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, audépartement de l'Aveyron et à larégionOccitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend ducanton des Causses-Rougiers pour l'élection desconseillers départementaux, depuis leredécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de latroisième circonscription de l'Aveyron pour lesélections législatives, depuis ledernier découpage électoral de 2010[42].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Leconseil municipal de Montlaur, commune de moins de 1 000 habitants, est élu auscrutin majoritaire plurinominal à deux tours[43] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité depanachage[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors desélections municipales de 2020 est de 15. Sur les trente candidats en lice[45], quinze sont élus dès le premier tour, le, correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[46].Patrick Rivemale, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le[47].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[48]. Trois sièges sont attribués à la commune au sein de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[49].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
avant 19951995Paul Vergely  
19952014Francis Castan Chargé de mission
mars 2014en coursPatrick Rivemale[50],[51] Ancien agriculteur exploitant
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

En 2022, la commune comptait 660 habitants[Note 5], en évolution de +5,1 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001821183118361841184618511856
3753471 4201 324793749857882829
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
186118661872187618811886189118961901
8709139119601 0741 0851 0821 0561 014
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
1 0151 022919878846799764753761
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992006201120162021
657608557556581667636628646
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2022--------
660--------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puisInsee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018 (donnéesInsee publiées en), la commune compte 306 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 660 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 20 260 [I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).

Emploi

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Taux de chômage
Division200820132018
Commune[I 4]5,7 %3,6 %8,3 %
Département[I 5]5,4 %7,1 %7,1 %
France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 390 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (67,8 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 209 emplois en 2018, contre 240 en 2013 et 236 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 267, soit unindicateur de concentration d'emploi de 78 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,4 %[I 8].

Sur ces 267 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 104 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 76,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % lestransports en commun, 10,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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105 établissements[Note 8] sont implantés à Montlaur au. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11].

Secteur d'activitéCommuneDépartement
Nombre%%
Ensemble105100 %(100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
2826,7 %(17,7 %)
Construction1514,3 %(13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
2120 %(27,5 %)
Information et communication21,9 %(1,5 %)
Activités financières et d'assurance11 %(3,4 %)
Activités immobilières54,8 %(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
1413,3 %(12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
76,7 %(12,7 %)
Autres activités de services1211,4 %(7,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (28 sur les 105 entreprises implantées à Montlaur), contre 17,7 % au niveau départemental[I 12].

Entreprises

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Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus dechiffre d'affaires en 2020 sont[56] :

Agriculture

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La commune est dans lesMonts de Lacaune, unepetite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou decaprins[Carte 2].

1988200020102020
Exploitations44302725
SAU[Note 11] (ha)2 4062 3482 3982 330

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 44 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 30 en 2000 puis à 27 en 2010[59] et enfin à 25 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 43 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[60],[Carte 4]. Lasurface agricole utilisée sur la commune a également diminué de2 406 ha en 1988 à2 330 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 55 à93 ha[59].

Culture et festivités

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Des expositions sont régulièrement présentes au foyer Magali.

Des concours de pétanque sont organisés régulièrement.

La fête du village se déroule l'été et des soirées sont aussi organisées à Briols.

Depuis 2024, l'association artscène propose l'été le festival la clé des champs, sur deux jours, mêlant concerts et art de rue dans plusieurs lieux du village.[61]

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin de Montlaur.
    Église Saint-Martin de Montlaur.
  • Statue-menhir d'Azaïs (copie).
    Statue-menhir d'Azaïs (copie).
  • Statue-menhir de Saumecourte n°1 (copie).
    Statue-menhir de Saumecourte n°1 (copie).
  • Statue-menhir de Saumecourte n°2 (copie).
    Statue-menhir de Saumecourte n°2 (copie).
  • Statue-menhir de Saumecourte n°3 (copie).
    Statue-menhir de Saumecourte n°3 (copie).
  • Vallon du Rougier.
    Vallon du Rougier.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montlaur »(consulté le).
  3. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron »(consulté le).
  4. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montlaur »(consulté le).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron »(consulté le).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montlaur »(consulté le).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montlaur »(consulté le).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron »(consulté le).

Autres sources

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  1. « Fiche communale de Montlaur », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie(consulté le).
  2. Sandre, « le Dourdou de Camarès »
  3. Sandre, « le Grauzou »
  4. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  5. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  6. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  8. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  9. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  10. « Station Météo-France « Montlaur » - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  11. « Station Météo-France « Montlaur » - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
  13. « Les espaces protégés. », surle site de l'INPN(consulté le).
  14. « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », surparc-grands-causses.fr(consulté le).
  15. « PNR des Grandes Causses - découverte du patrimoine », surparc-grands-causses.fr(consulté le).
  16. « PNR des Grandes Causses - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  17. a etb« Liste des ZNIEFF de la commune de Montlaur », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  18. « ZNIEFF les « Ravins autour de Campalviès » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  19. « ZNIEFF le « Rougier de la Vigne vieille » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  20. « ZNIEFF le « Rougier du camp de la Lèbre » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  21. « ZNIEFF les « Rougiers de Verrières » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  22. « ZNIEFF le « Rougier de Camarès » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  23. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Affrique », surinsee.fr(consulté le).
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  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », surstatistiques.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
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  28. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », surobservatoire-des-territoires.gouv.fr(consulté le).
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  30. « Les risques près de chez moi - commune de Montlaur », surGéorisques(consulté le).
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  34. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », surle site de la préfecture départementale(consulté le).
  35. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », suraveyron.gouv.fr(consulté le).
  36. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », surle site de la préfecture de l’Aveyron(consulté le).
  37. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », surle site de la préfecture de l’Aveyron(consulté le).
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  41. « communauté de communes Monts, Rance et Rougier - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », surbanatic.interieur.gouv.fr(consulté le).
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  43. ArticleL. 252 duCode électoral
  44. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », survie-publique.fr,(consulté le).
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  49. « Les élus de l'intercommunalité », surccmrr.fr(consulté le).
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  54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  55. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  56. « Entreprises à Montlaur », surentreprises.lefigaro.fr(consulté le).
  57. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », suragreste.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  58. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  59. a etb« Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montlaur - Données générales », surrecensement-agricole.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  60. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron »(consulté le).
  61. « "Un succès complètement inattendu" : à Montlaur, le festival La Clé des Champs fait exploser les jauges », surmidilibre.fr(consulté le)
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