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Montferrer

42° 26′ 17″ nord, 2° 34′ 02″ est
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Cet article est uneébauche concernant lesPyrénées et lesPyrénées-Orientales.

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Montferrer
Montferrer
Vue générale de Montferrer.
Blason de Montferrer
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementPyrénées-Orientales
ArrondissementCéret
IntercommunalitéCommunauté de communes du Haut Vallespir
Maire
Mandat
Jean-Marie Gourgues
2020-2026
Code postal66150
Code commune66116
Démographie
GentiléMontferrerois, Montferreroises
Population
municipale
216 hab.(2022en évolution de +14,29 % par rapport à 2016)
Densité9,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées42° 26′ 17″ nord, 2° 34′ 02″ est
Altitude854 m
Min. 308 
m
Max. 1 608 
m
Superficie21,95 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionAmélie-les-Bains-Palalda
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton du Canigou
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
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Montferrer
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Montferrer
Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Orientales
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Montferrer
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Montferrer
Liens
Site webwww.montferrer.fr
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Montferrer[mɔ̃fɛʁe]Écouter est unecommune française située dans le sud dudépartement desPyrénées-Orientales, enrégionOccitanie. Ses habitantssont appelés les Montferrerois. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans leVallespir, anciennevicomté (englobée auMoyen Âge dans lavicomté de Castelnou), rattachée à laFrance par letraité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée duTech, de sa source jusqu'àCéret.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par leTech, la rivière de Saint-Laurent, la rivière de la Fou et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : unsite Natura 2000 (« le Tech ») et unezone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Montferrer est une commune rurale qui compte 216 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 883 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda. Ses habitantssont appelés les Montferrerois ou Montferreroises.

Lesgorges de la Fou servent de limite entre les communes de Montferrer et deCorsavy. Le lieu est particulièrement remarquable : sur une longueur d'environ deux kilomètres, les gorges atteignent une profondeur de 250 mètres, se resserrant parfois jusqu'à ne pas dépasser la largeur d'un mètre entre les deux parois. Malheureusement les gorges sont actuellement interdites au public: entre 300 et 600 mètres cubes de roche se sont détachés de la paroi rendant la visite du lieu dangereuse. Selon une étude réalisée, il faudrait entre 18 et 24 millions d'euros pour remettre en état les gorges.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Montferrer se trouve dans ledépartement desPyrénées-Orientales, enrégionOccitanie[I 1].

Elle se situe à 40 km à vol d'oiseau dePerpignan[1],préfecture du département, à 16 km de Céret[2],sous-préfecture, et à 10 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3],bureau centralisateur ducanton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[I 1].La commune fait en outre partie dubassin de vie d'Amélie-les-Bains-Palalda[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] :Corsavy (3,3 km),Le Tech (3,6 km),Serralongue (4,6 km),Arles-sur-Tech (5,9 km),Saint-Laurent-de-Cerdans (7,0 km),Prats-de-Mollo-la-Preste (8,2 km),Montbolo (8,9 km),Lamanère (9,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Montferrer fait partie duVallespir, anciennevicomté (englobée auMoyen Âge dans lavicomté de Castelnou), rattachée à laFrance par letraité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée duTech, de sa source jusqu'àCéret[5].

Communes limitrophes deMontferrer[6]
Corsavy
Le TechMontferrer[6]Arles-sur-Tech
Saint-Laurent-de-Cerdans
Situation de la commune.

Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[7].

Hydrographie

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Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat des Pyrénées-Orientales.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[8]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat de montagne et leclimat méditerranéen et est dans la région climatiquePyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune duTech à 4 km àvol d'oiseau[10], est de12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 146,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir desdirectiveshabitats etoiseaux, constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 2].Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[15], d'une superficie de1 467 ha, hébergeant leBarbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par leDesman des Pyrénées[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte de la ZNIEFF detype 2 localisée sur la commune.

L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF detype 2[Note 3] est recensée sur la commune[17] :« le Vallespir » (47 344 ha), couvrant 18 communes du département[18].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Montferrer est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La ligne531 du réseau régionalliO relie la commune à lagare dePerpignan depuisPrats-de-Mollo-la-Preste.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Montferrer est vulnérable à différents aléas naturels :inondations, climatiques (grand froid oucanicule),feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[20],[21].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau dubassin duTech[22].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés auretrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à descavités souterraines[23]. Une cartographie nationale de l'aléaretrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[24]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[25].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'unplan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[26].

  • Carte des zones inondables.
    Carte des zones inondables.
  • Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

Risque particulier

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La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[27].

Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montferrer est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Toponymie

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Le nom Montferrer est un mot catalan[29] et vient du latinMons Ferratus, le « mont de fer », peut-être en référence aumont Canigou, riche en minerai de fer ou symboliquement à la force du château. Le nom ancien de la paroisse est Mollet.

Histoire

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Origine

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La grotte de Can Pey, à l'ouest desgorges de la Fou a révélé un intéressant gisement dunéolithique final et du premierâge du fer.

La première mention historique remonte à l'an 927 : un nommé Teobald fait don à l'abbesse deSant Joan de Ripoll de terres qu'il possède à Mollet, au lieu-ditSuper Keiros[30]. L'église est pour sa part mentionnée en 938.

Le château feodal

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La date exacte de sa construction est inconnue. Il a été érigé sur une crête qui descend du pic de la Souque vers l'est du village duquel il est assez éloigné.

De ce château, qui en 1850 était déjà en très mauvais état, il ne reste plus rien.

La seigneurie de Montferrer

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La seigneurie de Mollet-Montferrer appartient auxvicomtes de Castelnou. Un château dont on ignore l'époque exacte d'édification, sans doute auXIIIe siècle, y est bâti. Actuellement il n'en reste que des ruines, les pierres ayant servi à la construction de certaines maisons du village. Les vestiges sont situés un peu au nord sur la colline qui surplombe la localité actuelle et qui a donné lieu à une petite agglomération sous le phénomène d'incastellamento.

On trouve des mentions de personnes portant le nom de Montferrer, sans que l'on puisse savoir si elles appartiennent à un lignage noble du lieu. Il existe un autre Montferrer dans l'Alt Urgell, d'où est sans doute issu Guillaume-Arnaud de Montferrer, évêque d'Urgell en 1092-1095. On a ainsi mention de Pierre de Montferrer, vivant en 1215, d'Arnaud de Montferrer, chanoine prêchant d'Elne en 1233-1242, et de Bernard de Montferrer qui fonde un bénéfice dans l'église deThuir en 1273.

AuXIIe siècle une église de style roman est construite : elle est de nos jours parfaitement conservée et continue de porter son nom ancien de Mollet. Les maisons bâties autour par la suite forment le village définitif.

À partir de la fin duXIIIe siècle, la seigneurie de Montferrer est confiée à un cadet desvicomtes de Castelnou. Le, le roiSancheIer d'Aragon confirme à Dalmau II de Castelnou les droits de justice sur Montferrer. On peut voir dans l'église du village son tombeau, ainsi que celui de sa femme Béatrice et de leur fils Pierre. La seigneurie est héritée par Bérenger, petit-fils de Dalmau, qui la vend au roi pour payer ses créanciers.

Elle est ensuite rachetée par le chevalier Perpinyà Blan. Son fils Pierre Blan en hérite à son tour. Sa fille Éléonore épouse Jean de Pontos : Montferrer change à nouveau de mains au profit de la famille Pontos pour peu de temps. Leur fille Catherine la reçoit en dot lors de son mariage avec Jean III de Banyuls, qui prend alors le nomde Banyuls de Montferrer.Lafamille de Banyuls conserve Montferrer jusqu'au. À cette date,ThomasIer de Banyuls de Montferrer,baron de Nyer, s'est tellement endetté qu'il doit le vendre au profit de Jean Vilansosa, chirurgien àBarcelone. Mais la population de Montferrer préfère Thomas, aussi se cotise-t-elle pour lui permettre de racheter la seigneurie au fils de Jean Vilansosa pour 3 000 ducats, ce qui est fait le.

ThomasIer de Banyuls de Montferrer exerce un commandement militaire et civil àHuesca, c'est son fils François III de Banyuls de Montferrer qui s'occupe des terres. Or, il est à nouveau harcelé par ses créanciers et doit vendre Montferrer une nouvelle fois le à Louise Guanter, veuve d'un notaire dePrats de Mollo.Le,Louis XIII roi de France nommeThomas II de Banyuls de Montferrer, petit-fils du précédent Thomas, procureur royal des comtés duRoussillon et deCerdagne. Celui-ci en profite alors pour racheter la seigneurie de Montferrer à la famille de Guanter en.À partir de cette date, la seigneurie ne change plus de mains.

Le marquisat de Montferrer

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Le monument aux morts.

En,Louis XIV érige Montferrer en marquisat. Mais le possesseur de la seigneurie,CharlesIer de Banyuls de Montferrer, est en fuite en Espagne car il a pris la tête de laconspiration de Villefranche, pour une autonomie catalane et contre les Français. À la suite de cette conspiration, le château médiéval de Mollet de lafamille de Banyuls de Montferrer est rasé sur ordre du roi sous la supervision deVauban afin qu'il ne puisse plus servir de refuge à d'éventuels insoumis. La femme deCharles de Banyuls de Montferrer, Thomasine née de Ardena y Aragon, fille du comte d’Ille devient donc la premièremarquise de Montferrer.

CharlesIer de Banyuls de Montferrer et Thomasine meurent sans postérité. Le frère cadet de Charles, François III de Banyuls de Montferrer, obtient deLouis XIV que le marquisat de Montferrer lui revienne ainsi qu'à ses descendants[31].

Peu avant laRévolution française, Joseph de Banyuls de Montferrer (1723-1801),4e marquis de Montferrer, choisit de se retirer dans son fief de Millepetit dans l'Aude et laisse la gestion de ses fiefs roussillonnais à son fils aînéRaymond-Antoine qui est élu député de la noblesse aux États Généraux. Ce dernier émigre en 1791 et se bat en tant que contre-révolutionnaire. Il devient le5e marquis de Montferré[32] à la mort de son père en 1801. Lorsqu'il revient en France en 1807, Montferrer a été entretemps déclarébien national et été revendu à de multiples acquéreurs. L'Ancien Régime, les privilèges, la féodalité : tout a été aboli. La famille conserve néanmoins le patronyme et le titre demarquis de Montferré. Elle reste aussi liée à son ancien fief comme en témoignent les deux plaques apposées dans la nef de l'église à la mémoire du comte Jacques de Montferré et du vicomte Raymond de Montferré, deux descendants morts pour la France en 1915.

La commune de Montferrer

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Politique et administration

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La mairie.

Canton

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La commune de Montferrer est incluse en1790 dans lecanton de Prats-de-Mollo. Elle est transférée dès1793 aucanton d'Arles dont elle fait encore partie jusqu'à la disparition de ce canton en 2015[33],[34]. Depuisles élections ayant suivila réforme de 2014, elle fait partie ducanton du Canigou.

Administration municipale

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Liste des maires

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DebutFinNomParti
| 1791 || 1794 || M. Jean JANOTET |
| 1794 || 1796 || M. Joseph VAILLS |
| 1796 || 1798 || M. André MALET |
| 1798 || Élu || M. Jean SOLA |
| 1798 || 1799 || M. Jean-Pierre GALY |
| 1799 || 1810 || M. Jean COLL |
| 1810 || 1847 || M. Joseph GALANGAU |
| 1847 || 1870 || M. Jean FIGUÈRES |
| 1870 || 1871 || M. Damien CUFFI-SOBRAQUÈS |
| 1871 || 1881 || M. Jean GALANGAU |
| 1881 || 1884 || M. Augustin VALLS |
| 1884 || 1886 || M. Jean GALANGAU |
| 1886 || 1888 || M. Paul DESSORS |
| 1888 || 1896 || M. Jean GALANGAU |
| 1896 || 1917 || M. Joseph SOBRAQUÈS |
| 1917 || 1934 || M. Jean RAMON |
| 1934 || 1944 || M. Joseph VALLS |
| 1944 || 1947 || M. Jean COSTE |
| 1947 || 1958 || Abdon FIGUÈRES |
| 1958 || 1959 || M. Jean COSTE |
| 1959 || 1965 || M. André SAQUER |
| 1965 || 1971 || M. Henry DOUZON |
| 1971 || 1977 || M. Pierre VALLS |
| 1977 || 1983 || M. Raymond DENAMIEL |
| 1983 || 2008 || Mme Madeleine DENAMIEL |RPR
| 2008 || 2013 || M. Paul BAUDEN |
| 2013 |2020| Dominique PETIT |
| mars 2020 |En cours| M. Jean-Marie GOURGUES |Sans etiquette

Population et société

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Démographie ancienne

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La population est exprimée en nombre defeux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
136513781470151515531709172017301767
58 f42 f20 f14 f20 f75 f41 f73 f650 H
Évolution de la population, suite (1)
17741789-------
90 f160 f-------
(Sources :Jean-PierrePélissier,Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique,vol. 66 :Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS,, 378 p.(ISBN 2-222-03821-9))

Notes :

  • 1720 : pour Montferrer etLeca (hameau réuni àCorsavy en1790 ;
  • 1774 : pour Montferrer etLeque.

Démographie contemporaine

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2022, la commune comptait 216 habitants[Note 5], en évolution de +14,29 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Orientales : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
882571883849793775763829833
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
802744714712682714621624603
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
615615596530453426412310269
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
255215260226353221202195189
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
206216-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puisInsee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années :1968[38]1975[38]1982[38]1990[38]1999[38]2006[39]2009[40]2013[41]
Rang de la commune dans le département142116130110133144146147
Nombre de communes du département232217220225226226226226

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête patronale :[42] ;
  • Fête communale :[42].

Santé

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Sports

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Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 79 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 165 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 15 100 [I 5] (19 350 € dans le département[I 6]).

Emploi

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Taux de chômage
200820132018
Commune[I 7]13,5 %10,4 %7,8 %
Département[I 8]10,3 %12,9 %13,3 %
France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 116 personnes, parmi lesquelles on compte 64,7 % d'actifs (56,9 % ayant un emploi et 7,8 % de chômeurs) et 35,3 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 26 emplois en 2018, contre 25 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 67, soit unindicateur de concentration d'emploi de 38,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,3 %[I 11].

Sur ces 67 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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18 établissements[Note 8] sont implantés à Montferrer au[I 14].Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 18 entreprises implantées à Montferrer), contre 30,5 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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1988200020102020
Exploitations81265
SAU[Note 9] (ha)743872278213

La commune est dans les « Vallespir et Albères », unepetite région agricole située dans le sud du département des Pyrénées-Orientales[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage porcin[Carte 3]. Cinqexploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (huit en 1988). Lasuperficie agricole utilisée est de213 ha[45],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

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Monument et lieux touristiques

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Fontaine Sainte-Marie.
Église Sainte-Marie

Au nord du village et à environ 800 mètres de celui-ci, se dressent les ruines du château de Mollet, précédées par une tour elle aussi ruinée.En 1674, Charles de Banyuls de Montferrer, fils aîné deThomas II de Banyuls de Montferrer, prend la tête de laconspiration de Villefranche. Éventé, celui-ci parvient à fuir àBarcelone tandis qu'il est condamné à mort par contumace. En représailles, le château de Mollet est rasé sous la supervision deVauban afin qu'il ne puisse plus servir de refuge à d'éventuels insoumis.[réf. nécessaire]

Personnalités liées à la commune

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Culture populaire

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Chanson
  • El capellà de Montferrer, chanson populaire[46]

Héraldique

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Blason de MontferrerBlason
Fascé de gueules et d'or de six pièces
Timbre: Couronne de marquis
Supports: Deux chimères affrontées à la tête de bouc, aux ailes de dragons déployées, au corps de sirène
Cimier: Chauve-souris aux ailes étendues et posée de front
Terrasse: Lévrier passant
Détails
Inspiré des armes desmarquis de Montferrer. Celles-ci étant déjà utilisées pour la commune deNyer, la famille ayant été « baron de Nyer » avant d'être « marquis de Montferrer », les couleurs ont été remplacées par celles de la Catalogne, mais les supports, couronne, cimier et terrasse ont été conservés.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  3. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune de Montferrer ».
  2. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda », surle site de l'Insee(consulté le).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montferrer »(consulté le).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales »(consulté le).
  7. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montferrer »(consulté le).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales »(consulté le).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montferrer »(consulté le).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montferrer »(consulté le).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales »(consulté le).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Montferrer et Perpignan », surfr.distance.to(consulté le).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Montferrer et Céret », surfr.distance.to(consulté le).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Montferrer et Amélie-les-Bains-Palalda », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Communes les plus proches de Montferrer », survillorama.com(consulté le).
  5. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 227-228.
  6. Carte IGN sousGéoportail
  7. « Plan séisme »(consulté le).
  8. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  10. « Orthodromie entre Montferrer et Le Tech », surfr.distance.to(consulté le).
  11. « Station Météo-France « Le Tech La Llau_sapc » (commune du Le Tech) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  12. « Station Météo-France « Le Tech La Llau_sapc » (commune du Le Tech) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montferrer », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  16. « site Natura 2000 FR9101478 - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montferrer », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  18. « ZNIEFF « le Vallespir » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  21. « Les risques près de chez moi - commune de Montferrer », surGéorisques(consulté le).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
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  27. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 3 - chapitre Risque minier.
  28. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », surle site de l’IRSN,(consulté le).
  29. (ca + fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan,Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone,(lire en ligne).
  30. Sobrequers, sans doute l'actuel mas Sobraquès
  31. Titre d’érection de Montferrer en marquisat
  32. L’usage a entretemps modifié l'orthographe du patronymeMontferrer enMontferré
  33. Jean-PierrePélissier,Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique,vol. 66 :Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS,, 378 p.(ISBN 2-222-03821-9).
  34. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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  37. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  38. abcd eteINSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », surinsee.fr,(consulté le).
  39. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », surinsee.fr,(consulté le).
  40. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », surinsee.fr,(consulté le).
  41. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », surinsee.fr,(consulté le).
  42. a etbMichel deLa Torre,Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste,coll. « Villes et villages de France »,(ISBN 2-7399-5066-7).
  43. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », suragreste.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  44. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montferrer - Données générales », surrecensement-agricole.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  46. (ca)Jordi Pere Cerdà,Cants populars de la Cerdanya i del Rosselló, Barcelone, Editorial Mediterrània,, 181 p.(ISBN 978-84-9979-533-1).
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