Pour les articles homonymes, voirMontaigu.
| Montaigu | |
Lechâteau de Montaigu. | |
Blason. | Logotype. |
| Administration | |
|---|---|
| Pays | |
| Région | Pays de la Loire |
| Département | Vendée |
| Arrondissement | La Roche-sur-Yon |
| Intercommunalité | Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière |
| Statut | Commune déléguée |
| Maire délégué Mandat | Cyrille Cocquet Depuis 2020 |
| Code postal | 85600 |
| Code commune | 85146 |
| Démographie | |
| Gentilé | Montacutain, Montaigusien |
| Population | 5 211 hab.(2016 |
| Densité | 1 703 hab./km2 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 46° 58′ 25″ nord, 1° 18′ 31″ ouest |
| Altitude | 41 m Min. 23 m Max. 57 m |
| Superficie | 3,06 km2 |
| Élections | |
| Départementales | Montaigu |
| Historique | |
| Fondation | |
| Fusion | |
| Intégrée à | Montaigu-Vendée |
| Dissolution | |
| Localisation | |
| modifier | |
Montaigu est une anciennecommune française de l’Ouest de la France située dans ledépartement de laVendée et larégion desPays de la Loire. Elle fait aujourd'hui partie de lacommune nouvelle deMontaigu-Vendée.
Peuplée de 5211 habitants en 2016 selon l'Insee, Montaigu est l'une des trois villes-centres de l'unité urbaine homonyme, peuplée de 13 921 habitants en 2015.
Leshabitants de Montaigu s'appellent lesMontacutains ou lesMontaigusiens.

Les communes limitrophes de Montaigu sontBoufféré,La Guyonnière,Saint-Georges-de-Montaigu etSaint-Hilaire-de-Loulay. Ces quatre communes constituent avec Montaigu unecommune nouvelle,Montaigu-Vendée, à compter du[1].
| Saint-Hilaire-de-Loulay | ||
| Boufféré | La Guyonnière | |
| Saint-Georges-de-Montaigu |
Située aux confins des anciennesmarches duPoitou à l'extrémité nord-est de laVendée, à égale distance (environ 35 km) des villes deNantes,Cholet etLa Roche-sur-Yon, Montaigu est un carrefour historique entre laBretagne, l'Anjou et lePoitou.
Troisième plus petitecommune de la Vendée, avec une superficie d'à peine plus de 3 km2, elle a ladensité de population la plus élevée avec près de 1 700 hab./km2. Les faubourgs de la ville se situent pour la plupart sur le territoire des communes voisines :Saint-Hilaire-de-Loulay au nord,La Guyonnière à l’est,Saint-Georges-de-Montaigu au sud etBoufféré à l’ouest.
Historiquement, Montaigu s'est développée autour de son château situé au nord-est du confluent de laMaine[2] (à ne pas confondre avec larivière à l'origine du nom du département deMaine-et-Loire) et de l’Asson[3], un affluent de rive droite (est).
Le territoire municipal de Montaigu s’étend sur306 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de41 mètres, avec des niveaux fluctuant entre23 et 57 mètres[4],[5].
Montaigu est traversée par deux cours d'eau : laMaine et son affluent l'Asson. La Maine s’écoule du sud au nord et se jette à environ 30 km en aval dans laSèvre Nantaise. La commune se situe ainsi dans le bassin versant de laLoire.
Montaigu n'est pas couverte par unplan de prévention des risques d’inondation (PPRI). La crue la plus importante de la Maine ayant été répertoriée date du, avec une hauteur d'eau maximale de 0,35 m au droit du repère d'eau posé par l'institution interdépartementale du bassin de la Sèvre Nantaise[6].
Le climat de Montaigu est de type océanique.
Située au croisement de la route nord-sud de laD 137 entre Nantes etLa Rochelle, et de la route est-ouestD 753 entre Cholet etSaint-Jean-de-Monts, Montaigu est aussi reliée par laD 763 àClisson au nord-est et à La Roche-sur-Yon au sud-ouest.
Montaigu se trouve à moins de cinq kilomètres de la sortie 4 de l'autorouteA83 reliantNiort (rejoignant ainsi l'A10 entreParis etBordeaux) àNantes, préfecture de la région. L'aéroport international de Nantes-Atlantique est pour sa part situé à environ quarante kilomètres de Montaigu que ce soit en passant par l'autoroute A10 ou par la RD 137. De plus, la2 × 2 voies entre Montaigu etLa Roche-sur-Yon permet de rejoindre la préfecture vendéenne rapidement. Lagare de Montaigu, appelée « Montaigu (Vendée) », se trouve sur laligne de Nantes-Orléans à Saintes, qui se prolonge versLes Sables-d'Olonne ouBordeaux, mettant ainsi Paris à2 h 30 min de Montaigu grâce auTGV. En outre, Montaigu se trouve à moins d'une heure de la côteatlantique.
La commune de Montaigu est constituée de différents quartiers présentant chacun leur propre morphologie urbaine, témoignage de leur époque de constitution et de leur position dans l'organisation fonctionnelle de la ville. Montaigu s'organise ainsi autour de savieille ville aux contours correspondant aux anciens remparts dont il reste encore des vestiges en certains endroits. La vieille ville de Montaigu regroupe une diversité de fonctions typique d'une ville européenne. C'est ainsi qu'on y retrouve certains des principaux bâtiments symboliques de la ville tels que la mairie située dans l'enceinte de l'ancien château, et l'église Saint-Jean-Baptiste, seule église encore présente dans la ville qui en comptait plusieurs par le passé. La rue Clemenceau, principale artère commerçante du centre-ville de Montaigu, traverse la vieille-ville dans la direction nord-sud. La vieille-ville de Montaigu est également un quartier d'habitat, où se mêlent maisons de ville, demeures bourgeoises, petits immeubles anciens intégrant pour certains des commerces en rez-de-chaussée, ainsi que quelques immeubles récents issus d'opérations ponctuelles derenouvellement urbain.
Autour de la vieille-ville de Montaigu se sont développés plusieursfaubourgs, quartiers anciens dans lesquels les habitations des catégories populaires côtoyaient les activités reléguées hors du centre en raison de leur insalubrité. Situé au sud de la vieille-ville, le faubourg Saint-Jacques accueillait ainsi auXVIIIe siècle les boucheries et une tannerie. Il fut parmi les quartiers incendiés sur ordre deKléber le[7], à l'exception de l'hôpital dont la présence dans le quartier s'est perpétuée bien que les bâtiments historiques aient été démolis au début duXXe siècle pour être remplacés par de nouveaux bâtiments inaugurés parGeorges Clemenceau le. Ces derniers ont d'ailleurs à leur tour été démolis 75 ans plus tard pour être remplacés par l'actuel bâtiment principal de l'hôpital[7].
Pour sa part, le faubourg Saint-Nicolas est implanté sur la rive gauche de laMaine, au-delà du pont Saint-Nicolas. La présence d'un pont est attesté dans la première charte de l'aumônerie-hôpital de Montaigu datant de 1174[7]. Le pont moderne construit en 1979-1980 sous la direction duchef des Ponts et Chaussées Robert Thomas afin de permettre le passage de véhicules de gabarit plus imposants est venu remplacer un pont datant de la fin duMoyen Âge. L'actuelle rue Saint-Nicolas a été tracée après 1810, pour relier Montaigu à la nouvelle préfecture deLa Roche-sur-Yon, mais le faubourg est plus ancien et ses bâtiments s'alignaient précédemment le long de l'actuelle rue de Vieillevigne.
Le quartier Saint-Joseph, au nord de la vieille-ville, est un faubourg plus récent, dont les nombreuses maisons en bande de plain pied destinées aux ouvriers de l'artisanat local ont été construites à partir des années 1920 par un entrepreneur de maçonnerie local, Louis Pequin.
Dans l'aprèsSeconde Guerre mondiale, la physionomie de Montaigu va profondément changer en quelques décennies. Les opérations delotissements destinés à accueillir des maisons individuelles vont se multiplier, et parfois combler l'espace entre la vieille-ville de Montaigu et ses faubourgs. En parallèle, le fort développement démographique de la commune conduit à la construction, au cours des années 1960 et au début des années 1970, de plusieurs programmes d'habitat social sous forme de petites barres telles que la résidence des Genêts, la résidence Georges-Laronze ou encore la résidence des Églantines, ou sous forme de tours comme pour la résidence de l'Aurore. Ces constructions tranchent par leur gabarit avec les constructions voisines et les bâtiments plus anciens.
Le dernier quart duXXe siècle et le début des années 2000 sont marqués par la poursuite du développement des lotissements pavillonnaires ainsi que par le développement dezones d'activités économiques et commerciales et périphérie de la ville. Compte tenu de la faible superficie de la commune, certaines de ces opérations d'aménagement se font sur les communes voisines de Montaigu, mais dans la continuité du tissu urbain. C'est le cas de la zone économique constitué autour du centre commercial Terres de Bocage (avec son supermarché sous l'enseigneIntermarché), située sur la commune deSaint-Hilaire-de-Loulay, de la zone d'activités de la Bretonnière àBoufféré où est par ailleurs repositionnée la piscine publique de Montaigu, ainsi que de la zone développée autour du centre commercial Pays de Montaigu (avec son supermarché sous l'enseigne Super U), également à Boufféré.
Sous l'impulsion du maire Antoine Chéreau, élu en 2001 à la tête de la commune mais également de lacommunauté de communes Terres-de-Montaigu, l'attractivité du centre-ville devient un sujet de préoccupation politique de premier plan qui se traduit par plusieurs projets portant d'abord sur des espaces et des équipements publics : réhabilitation de la place du Champ-de-Foire dans les années 2000 puis de la place de l'Hôtel-de-Ville en 2017, construction du théâtre de Thalie sur le site de l'ancienne piscine municipale, rénovation de la salle des fêtes.
L'aménagement du lotissement du Mail autour du théâtre de Thalie constitue une première expérience d'opération d'aménagement d'ensemble d'un nouveau quartier en renouvellement urbain, mixant locaux d'activités et logements collectifs. Il se traduit, au cours des années 2000 et au début des années 2010, par la construction de plusieurs résidences à l'emplacement d'anciens équipements sportifs : résidence d'Elbée, résidence Pierre-et-Marie-Curie, nouvelle gendarmerie, résidence Agora... Confrontée au manque de terrains disponibles, Montaigu prend le tournant du renouvellement urbain, qui se traduit aussi par des opérations plus ponctuelles telles que la construction de la résidence du Château, qui vient profondément transformer l'entrée sud de la vieille-ville.
A la fin des années 2010, deux projets d'aménagement urbain majeurs sont programmés sur l'agglomération de Montaigu : les Hauts de Montaigu, opération de renouvellement urbain d'un vaste espace situé dans la partie sud de la ville, entre l'hôpital et les tours de l'Aurore, et le quartier de la gare, opération en extension urbaine dans la continuité du tissu urbain mais située sur le territoire de la commune de Saint-Hilaire-de-Loulay.
Montaigu est issu dulatinmons, « mont » etacutus (« aiguisé, rendu aigu »), qui a suivi la même évolution que l'adjectif en français, désignant littéralement un « mont aigu ». L'origine du nom remonterait donc à lapériode gallo-romaine[P 1] et ferait référence au promontoire situé à la confluence de laMaine et de l'Asson.
Le pillage de la cité voisine de Durivum (située à l'emplacement de l’actuelleSaint-Georges-de-Montaigu) par lesVikings venus par laMaine à la fin duIXe siècle contraignit ses habitants à trouver refuge un peu plus au nord au confluent de la Maine et de l’Asson, sur un rocher fortifiable[P 2].
Apparut ensuite une lignée de seigneurs de Montaigu, parmi lesquels Maurice II, dont on trouve la trace finXIIe siècle dans des chartes de fondation d’une aumônerie dans le faubourg sud, sur la route despèlerins deSaint-Jacques-de-Compostelle (actuelle rue Saint-Jacques, dans le quartier du même nom, où se situe toujours l’hôpital moderne)[P 3]. Ce seigneur se rangea au côté deHenri II Plantagenêt,roi d’Angleterre, etduc d’Aquitaine par son mariage avecAliénor, quand leur filsRichard entra en rébellion[P 4]. Au début duXIIIe siècle Montaigu, comme lePoitou, passa sous la domination duroi de France. Lors de laguerre de Cent Ans, après la cession du Poitou à la Couronne d’Angleterre par letraité de Brétigny en 1360, une garnison anglaise s’installa à Montaigu qu’elle quitta en 1373[P 5] vaincue par leconnétable de Clisson etBertrand du Guesclin[8]. Un seigneur de Montaigu, Jean III Harpedane, époux deMarguerite de Valois, qui était aux côtés deJeanne d’Arc lors de la délivrance d’Orléans en 1429[9] fonda dans sa ville en 1438 une collégiale sous le vocable de Saint-Maurice, dont le chanoine assura les fonctions de maître d’école[P 6]. Dans son opposition auduc de BretagneFrançois II,Louis XI s’appuya sur la seigneurie de Montaigu, qu’il visita en 1468. Il encouragea la fortification de la place, qu’il acquit temporairement en 1473 pour en renforcer les murailles. Ainsi, il ordonna en une création du siège royal à Montaigu, par ses lettres patentes[10].
En 1517, Montaigu, promuebaronnie, devint possession de lafamille de La Trémoille. À la suite du séjour deJean Calvin àPoitiers, laréforme protestante se répandit en Poitou et atteignit Montaigu. Pendant lesguerres de Religion, la ville passa plusieurs fois des mains descatholiques à celles desprotestants, notamment lors du siège de 1580 relaté parAgrippa d'Aubigné, ou de l’intervention deHenri de Navarre en 1588[P 7]. À la suite de ces violents affrontements, il fut décidé de démanteler les fortifications du château. L’exercice du culte protestant se poursuivit à Montaigu tout au long duXVIIe siècle, le nouveau baron, Gabriel de Machecoul, étant lui-mêmehuguenot, et ne prit fin qu’à larévocation de l'édit de Nantes en 1685[P 8]. En 1696, Montaigu fut érigée enmarquisat, et le porteur du titre se convertit au catholicisme vers la même époque. Vers le milieu duXVIIIe siècle, Montaigu comptait trois cents maisons pour 1 500 habitants. À partir de 1772, la ville joua le rôle de chef-lieu officiel desmarches communes de Bretagne et du Poitou, bien que n’en faisant pas partie[11]. Le dernier seigneur de Montaigu futJacques Gabriel Louis Le Clerc de Juigné. Lieutenant général des armées du roi, ancien ambassadeur de France enRussie, il fut élu par les marches comme représentant de la noblesse puis fut élu député aux États généraux de 1789[P 9].
Au début de laRévolution française, Montaigu fut parmi les premières localités duBas-Poitou à féliciter l’Assemblée nationale pour les décrets de lanuit du 4 Août[P 10]. Mais avec laconstitution civile du clergé en 1791 et surtout lalevée en masse de, l’insurrection vendéenne éclata début mars de cette même année, et arriva à Montaigu le 13 sous la forme d’une troupe d’habitants des communes environnantes qui prit la ville et exécuta de nombreux républicains[P 11]. (Pendant lesguerres de Vendée, la division de Montaigu est commandée par le généralPierre Rezeau, un des lieutenants deCharette.) La ville futreprise le par les républicains qui la pillèrent après avoir tué des centaines devendéens, puisreconquise le 21 par les vendéens qui perpétrèrent aussi pillage et massacres[P 12]. La ville fut définitivement reprise le 30 parKléber[P 13]. Des religieux, dont les chanoines de la collégiale Saint-Maurice, furent exécutés, et l’amiral Duchaffault arrêté et emprisonné à Nantes où il mourut. Charette continua le combat, notamment aux environs de Montaigu, jusqu’en, où à la suite de sa capture près du bois dela Chabotterie, il est conduit, par Montaigu, àNantes pour être exécuté[P 14]. En,Suzannet, successeur de Charette, tenta, avecHenri-Charles de La Roche Saint-André, de s'emparer de la ville de Montaigu mais ils furentrepoussés, ce qui mit fin aux actions militaires dans la région.
Montaigu devint chef-lieu dedistrict de1790 à1795 avecGoupilleau commeprocureur-syndic (et fut bientôt doté d'un tribunal) puis d'arrondissement et doncsous-préfecture de la Vendée de1800 à1810[P 15].Pierre-Paul Clemenceau, médecin de son état, en fut le premier sous-préfet. L’église Sant-Jean-Baptiste fut rouverte à l’occasion duconcordat de 1801[P 16]. En1806,Michel-Augustin de Goyon devint le nouveau sous-préfet.Napoléon etJoséphine, venant deBayonne, passèrent à Montaigu enaoût 1808. En1809 furent annexés à Montaigu les Olivettes, le champ de foire et le quartier des Rochettes, précédemment sur le territoire deSaint-Hilaire-de-Loulay[P 17]. En1810, l’unification de l’arrondissement de Montaigu aveccelui de Napoléon (l'actuelleLa Roche-sur-Yon) entraîna la disparition du tribunal et réduisit la ville à un simplechef-lieu decanton. Une compagnie de sapeurs-pompiers y fut instituée vers1840. La mairie fut installée dans l’enceinte du château en1843, des halles ouvertes en1854. En1866, furent inaugurés les bâtiments actuels de l’église Saint-Jean-Baptiste et de l’hôtel de ville, ainsi que la ligne de chemin de fer reliantNantes à Napoléon-Vendée (La Roche-sur-Yon)[P 18]. En 1903 fut créé untramway reliant Montaigu auxQuatre-Chemins-de-l’Oie, qui fut démantelé en1938. En1906,Georges Clemenceau, alors ministre de l’Intérieur inaugura un nouveau bâtiment de l’hôpital.
Le, la commune fusionne avecBoufféré,La Guyonnière,Saint-Georges-de-Montaigu etSaint-Hilaire-de-Loulay pour former la commune nouvelle deMontaigu-Vendée dont la création est actée par un arrêté préfectoral du[12].
| Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours. | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Année | Élu | Battu | Participation | ||||
| 2002 | 90,57 % | Jacques Chirac | RPR | 9,43 % | Jean-Marie Le Pen | FN | 83,78 %[13] |
| 2007 | 55,25 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 44,75 % | Ségolène Royal | PS | 87,08 %[14] |
| 2012 | 46,09 % | François Hollande | PS | 53,91 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 77,82 %[15] |
| 2017 | 80,08 % | Emmanuel Macron | EM | 19,92 % | Marine Le Pen | FN | 75,15 %[16] |
| 2022 | % | Emmanuel Macron | LREM | % | Marine Le Pen | RN | %[17] |
| Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
| Année | Élu | Battu | Participation | ||||
| Montaigu (Vendée) est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats des . | |||||||
| Avant 2010, Montaigu (Vendée) est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats des . | |||||||
| 2002 | 59,38 % | Philippe de Villiers élu au premier tour | MPF | 22,48 % | Michelle Devanne | Divers gauche | 67,47 %[18] |
| 2007 | 56,90 % | Véronique Besse élu au premier tour | MPF | 21,75 % | Jean-François Bolteau | PS | 64,52 %[19] |
| Après 2010, Montaigu (Vendée) est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats de . | |||||||
| 2012 | 47,12 % | Véronique Besse élu au premier tour | MPF | 33,62 % | Maï Haeffelin | PS | 58,42 %[20] |
| 2017 | 69,78 % | Martine Leguille-Balloy | LaREM | 30,22 % | Wilfrid Montassier | UDI | 41,42 %[21] |
| 2022 | % | % | %[22] | ||||
| 2024 | % | % | %[23] | ||||
| Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
| Année | Liste1re | Liste2e | Participation | ||||
| 2004 | 41,56 % | Philippe de Villiers | MPF | 21,93 % | Bernard Poignant | PS | 48,66 %[24] |
| 2009 | 32,28 % | Philippe de Villiers | MPF | 21,50 % | Christophe Béchu | UMP | 46,77 %[25] |
| 2014 | 23,54 % | Alain CADEC | UMP | 16,63 % | Jean ARTHUIS | UDIMODEM | 44,94 %[26] |
| 2019 | % | % | %[27] | ||||
| 2024 | % | % | %[28] | ||||
| Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
| Année | Liste1re | Liste2e | Participation | ||||
| 2004 | 55,14 % | François Fillon | Union de la Droite | 44,86 % | Jacques Auxiette | Union de la gauche | 67,06 %[29] |
| 2010 | 53,95 % | Christophe Béchu | Union de la Droite | 46,05 % | Jacques Auxiette | Union de la gauche | 54,75 %[30] |
| 2015 | 55,32 % | Bruno Retailleau | Union de la Droite | 32,46 % | Christophe Clergeau | Union de la gauche | 55,77 %[31] |
| 2021 | % | % | %[32] | ||||
| Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
| Année | Élu | Battu | Participation | ||||
| Montaigu (Vendée) est répartie sur plusieurs cantons,cf. les résultats de ceux de . | |||||||
| 2001 | % | % | indisponible % | ||||
| 2004 | % | % | indisponible % | ||||
| 2008 | 69,32 % | Philippe de Villiers élu au premier tour | MPF | 30,68 % | Arnold Schwerdorffer | DVD | 69,36 %[33] |
| 2011 | % | % | indisponible % | ||||
| Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
| Année | Élus | Battus | Participation | ||||
| Montaigu (Vendée) est répartie sur plusieurs cantons,cf. les résultats de ceux de . | |||||||
| 2015 | 56,09 % | Wilfrid Montassier Isabelle Rivière | Union de la Droite | 20,50 % | Marie Fonteneau Jean-Pierre Goulette | Union de la gauche | 50,71 %[34] |
| 2021 | % | % | %[35] | ||||
| Référendums. | |||||||
| Année | Oui(national) | Non(national) | Participation | ||||
| 1992 | 54,38 %(51,04 %) | 45,62 %(48,96 %) | 78,03 %[36] | ||||
| 2000 | %(73,21 %) | %(26,79 %) | %[37] | ||||
| 2005 | 55,41 %(45,33 %) | 44,59 %(54,67 %) | 72,80 %[38] | ||||
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Liste des maires avant 1945
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(décès) | Georges Laronze | Magistrat, historien | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Henri Joyau | DVD | Chef d’une entreprise de transports Président dudistrict de Montaigu (1969-1998) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Jean-Paul Albert | DVD | Directeur d'un cabinet d'expertise-comptable | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Antoine Chéreau[40] | MPF | Conseiller régional,élu dans la Vendée (depuis 2004) Président dudistrict de Montaigu (1998-2001) Président de lacommunauté de communes Terres-de-Montaigu (2001-2016) Président deTerres-de-Montaigu (depuis 2017) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| [41] | Antoine Chéreau | MPF Indépendant | Conseiller régional, élu dans la Vendée (depuis 2004) Président deTerres-de-Montaigu (depuis 2017) Maire deMontaigu-Vendée (2019-2020) | |
| [42] | Philippe Sablereau | DVD | Photographe | |
| [43],[44] | en cours | Cyrille Cocquet | DVD | Cadre dans le transport de voyageurs |
br> Président deTerres-de-Montaigu (depuis 2017)
Montaigu possède deux fleurs auConcours des villes et villages fleuris (2e fleur obtenue au palmarès 2007).
Montaigu est jumelée depuis le avec la villeallemande d'Immenhausen, près deCassel dans leLand de laHesse.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2016, la commune comptait 5 211 habitants[Note 1], en évolution de +3,19 % par rapport à 2010 (Vendée : +5,33 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 676 | 1 017 | 1 097 | 1 310 | 1 330 | 1 501 | 1 657 | 1 708 | 1 731 |
| 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 802 | 1 940 | 1 623 | 1 700 | 1 731 | 1 764 | 1 804 | 1 776 | 1 822 |
| 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 807 | 1 908 | 1 828 | 1 882 | 1 897 | 2 009 | 2 178 | 2 172 | 2 580 |
| 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 3 279 | 4 797 | 4 661 | 4 323 | 4 708 | 4 822 | 5 092 | 5 211 | - |

En 2011, Montaigu comptait 5 092 habitants (soit une augmentation de 7 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 023e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 992e en 1999, et le18e au niveau départemental sur282 communes.
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à60 ans (24,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en2007, la suivante :
| Hommes | Classe d’âge | Femmes |
|---|---|---|
0,3 | 90 ans ou + | 1,5 |
6,2 | 75 à 89 ans | 9,2 |
14,6 | 60 à 74 ans | 16,5 |
19,5 | 45 à 59 ans | 19,2 |
20,9 | 30 à 44 ans | 19,0 |
22,0 | 15 à 29 ans | 18,9 |
16,5 | 0 à 14 ans | 15,5 |
| Hommes | Classe d’âge | Femmes |
|---|---|---|
0,4 | 90 ans ou + | 1,2 |
7,3 | 75 à 89 ans | 10,6 |
14,9 | 60 à 74 ans | 15,7 |
20,9 | 45 à 59 ans | 20,2 |
20,4 | 30 à 44 ans | 19,3 |
17,3 | 15 à 29 ans | 15,5 |
18,9 | 0 à 14 ans | 17,4 |
Montaigu dispose de deux écoles maternelles et élémentaires publiques, Jules-Verne et celle des Jardins, ainsi qu'une école maternelle et élémentaire privée : Saint-Jean-Baptiste.
À la rentrée scolaire de 2017,231 élèves étaient scolarisés à l'école privée Saint-Jean-Baptiste dont 93 en maternelle (trois classes), 127 en école élémentaire (six classes) et onze élèves enunité localisée pour l'inclusion scolaire (Ulis). L'équipe pédagogique se composait de vingt-deux personnes dont douze enseignants[50]. L'école maternelle des Jardins comptait quant à elle69 élèves répartis en trois classes et encadrés par quatre enseignants, et l'école élémentaire disposait pour sa part de cinq professeurs encadrant112 élèves répartis en cinq classes[51]. L'école maternelle Jules-Verne comptait pour sa part49 élèves, et l'école élémentaire Jules-Verne109 élèves dont douze en classe Ulis[52].
Au total, les trois écoles maternelles de Montaigu accueillaient donc un peu plus de210 élèves à la rentrée scolaire 2017, dont environ 56 % dans l'enseignement public et 44 % dans l'enseignement privé. Les trois écoles élémentaires comptaient pour leur part un effectif total d'approximativement350 élèves, dont 64 % dans l'enseignement public et 36 % dans l'enseignement privé.
Les collèges implantés sur le territoire de la commune de Montaigu sont au nombre de deux : le collège Jules-Ferry (relevant de l'enseignement public) et le collège Villebois-Mareuil (établissement privé sous contrat). En, un deuxième collège public, le collègeMichel-Ragon, a été ouvert dans l'agglomération de Montaigu[53], sur le territoire de la commune deSaint-Hilaire-de-Loulay. L'ouverture de ce nouveau collège permet de diminuer les effectifs du collège Jules-Ferry qui arrivait à saturation avec un effectif de plus de neuf cents élèves sur l'année scolaire 2016-2017 alors que le collège avait été conçu pour en accueillir seulement six cents.
Le collège Michel-Ragon est implanté à proximité du collège privé Villebois-Mareuil, l'emprise de ce dernier étant elle-même partiellement située sur le territoire de la commune de Saint-Hilaire-de-Loulay. Ces deux collèges utilisent les équipements sportifs du complexe Maxime-Bossis, se trouvant également à Saint-Hilaire-de-Loulay mais dont la propriété est partagée entre la commune de Montaigu et laTerres-de-Montaigu.
A la rentrée 2017, les effectifs des collèges sont les suivants :560 élèves (en baisse de350 élèves par rapport à l'année précédente) et45 enseignants au collège Jules-Ferry[54], près de440 élèves au collège Michel Ragon[55], 1 250 élèves et une équipe pédagogique de130 personnes dont89 enseignants au collège Villebois-Mareuil[56].
Au total, les trois collèges de l'agglomération de Montaigu accueillaient donc environ 2 250 élèves à la rentrée scolaire 2017, dont environ 55 % dans l'enseignement privé et 45 % dans l'enseignement public.
Deux lycées d'enseignement général, technologique et professionnel sont présents dans l'agglomération de Montaigu : le lycée Léonard-de-Vinci (public) et le lycée Jeanne-d'Arc (privé). Ces deux lycées proposent également des formations supérieures.
À la rentrée 2017, le lycée Jeanne-d'Arc accueillait663 élèves dont414 élèves en lycée général, 162 en lycée professionnel et 87 en formations supérieures[57].
Le lycée conçu par le cabinet d'architecture Lépinay-Chabenès[58], a ouvert ses portes en 1990[59]. Sa forme générale est celle d'un bateau, et les matériaux utilisés sont essentiellement de la tôle ondulée associée à des filins d'acier. La ville de Montaigu ne disposant pas de terrains disponibles pour accueillir un tel équipement lorsque l'initiative de sa construction a été entreprise, le lycée a été construit sur un terrain situé en limite immédiate de son territoire, sur un terrain situé sur la commune deLa Guyonnière.
À la rentrée 2017, leconseil régional a lancé des travaux d’extension et de restructuration du lycée Léonard-de-Vinci de Montaigu d'un montant total prévisionnel de14,8 millions d'euros. La réalisation de cette extension a été confiée à l'agence CRR Architecture, lauréate du concours de maîtrise d’œuvre organisé en 2014 par la région, maître d'ouvrage du projet[60].
Une livraison par tranche de cette extension est prévue entre et[61]. Les travaux sont répartis en deux phases : une construction neuve en ossature et bardage bois, et des restructurations intérieures de bâtiments existants. L'extension doit permettre de faire passer la capacité d'accueil du lycée, initialement prévu pour six cents élèves, à 1 100 élèves[62]. À la rentrée 2016, le lycée Léonard-de-Vinci accueillait d'ores et déjà environ 1 150 lycéens et étudiants[63].
Depuis 1972, chaque week-end dePâques, Montaigu reçoit des jeunes footballeurs venant de diverses régions du globe pour représenter leur nation, auMondial Minimes de football. Un événement qui se prépare en lien avec le Football Club montacutain (FCM). De nombreux footballeurs professionnels tels queDidier Deschamps,Marcel Desailly,Cristiano Ronaldo, et bien d'autres y ont participé.
Chaque année, la communauté de communes de Montaigu laisse bourgeonner les talents littéraires qui mettront en appétence les amoureux delittérature pour la saison estivale. Il annonce de nouvelles couleurs. Les livres et ceux qui s'y consacrent (auteurs, éditeurs, mais aussi photographes, cinéastes…) se rencontrent durant trois jours et invitent les lecteurs à trouver leur bonheur. Ce salon constitue désormais un des principaux évènements littéraires du Grand Ouest.
Unfestival d'artistes né en1997 et organisé par la communauté de communes de Montaigu. Durant dix jours, les moins reconnus et les plus prometteurs peuvent faire leurs preuves. La manifestation s'ouvre à toutes les formes de création et le prix d'Arts sur Maines est remis aux artistes en herbe pour les différentes catégories d'art.
Montaigu a accueilli le départ de la1re étape duTour de France 1999 le dimanche4 juillet.
En 2015, la commune de Montaigu comptabilisait 2 070 actifs ayant un emploi résidant sur son territoire, qui accueillait par ailleurs 4 397 emplois, soit un indicateur de concentration de l'emploi de 212,4[64]. Cet indicateur confirme le statut de ville-centre qu'assume Montaigu vis-à-vis de son bassin de vie.
Néanmoins, le territoire de Montaigu étant limité, certaines entreprises dont les locaux historiques se trouvaient dans la ville-centre ont quitté cette dernière pour s'implanter sur le territoire des communes voisines. C'est le cas par exemple de la Laiterie de Montaigu, qui dès 1965 a construit sa nouvelle usine sur la commune deSaint-Georges-de-Montaigu[65] à proximité de l'entrée sud de la ville. En 2017, c'est l'entreprise VMI qui quitte son site historique de Montaigu pour emménager sur le parc d'activités des Marches-de-Bretagne, situé sur la commune voisine deSaint-Hilaire-de-Loulay[66]. Montaigu est tout de même parvenu à conserver certaines de ses entreprises historiques sur son territoire, comme en témoigne l'implantation en 2016 du siège national du transporteur DB Schenker, à l'emplacement d'un site du transporteur Joyau racheté par le groupe allemand dans les années 2000[67].
Montaigu compte sur son territoire deux zones industrielles adjacentes, la zone industrielle de la Gare et la zone industrielle Nord, ainsi qu'une zone commerciale comprenant une grande surface sous l'enseigneLeclerc. Par ailleurs, sur les communes voisines mais dans la continuité du tissu urbain de Montaigu se sont développées deux autres zones commerciales autour d'une enseigne Super U à Boufféré et d'une enseigne Intermarché à Saint-Hilaire-de-Loulay, ainsi que les zones industrielles de Mirville et du Planty. Le centre-ville constitue un autre pôle où se concentrent de nombreux emplois de l'agglomération, notamment dans les commerces de proximité implantés essentiellement dans et autour de la rue Clemenceau, de la place du Champ-de-Foire et de l'avenue Villebois-Mareuil.
Enfin, plusieurs employeurs publics viennent contribuer de manière significative au rôle de ville-centre de Montaigu et au nombre important d'emploi localisés sur le territoire : la mairie de Montaigu, la communauté de communes deTerres-de-Montaigu et enfin le centre hospitalier départemental de la Vendée, qui dispose d'une antenne sur la commune.

| Blasonnement : De vair au griffon degueules. Commentaires : ce blason reprend les armes de la famille de Belleville[70]. |

Victor Adolphe Malte-Brun cite, dans son livreLa France illustrée (1884)[71], l'ancien blasonnement de la ville :D'azur, à deuxlions d'or, armés d'argent, posés debout l'un derrière l'autre.
La ville de Montaigu, est citée dans la chanson paillardeLa Digue du cul (« De Nantes à Montaigu (...) »), parue en 1922[72],[73],[74].
Communes déléguées dans la Vendée | |
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| Communes déléguées dans le département de la Vendée selon leur statut actuel (classement chronologique). | |
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Fusions de communes dans la Vendée | |
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| Anciennes communes et entités résultant de fusions dans le département de la Vendée selon le type de regroupement. | |
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| Note : La commune absorbante et l’année de fusion sont indiquées entre parenthèses à la suite du nom de l’ancienne commune ; lorsqu’une commune issue d’un regroupement est composée enitalique, cela signifie qu’une nouvelleentité est créée. | |