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Monarchie cambodgienne

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(Redirigé depuisMonarques du Cambodge)

Roi du Cambodge
(km)ព្រះមហាក្សត្រនៃកម្ពុជា
Image illustrative de l’article Monarchie cambodgienne
Armes royales du Cambodge.

Image illustrative de l’article Monarchie cambodgienne
Étendard royal du Cambodge

Image illustrative de l’article Monarchie cambodgienne
Titulaire actuel
Norodom Sihamoni
depuis le
(21 ans, 1 mois et 11 jours)

CréationIer siècle
(rétablissement)
TitreSa Majesté
MandantConseil du Trône
Durée du mandatPermanent
AbrogationDu au
Premier titulaireSoma
Résidence officiellePalais royal (Phnom Penh)
Site internetnorodomisihamoni.org

Liste des chefs d'État du Cambodge
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Leroi du Cambodge (enkhmer :ព្រះមហាក្សត្រនៃកម្ពុជា) est lechef de l'État duCambodge,monarchie rétablie en 1993. L'actuel royaume est le lointain héritier des royaumes pré-Angkoriens comme leFou-nan et leChenla. Il a connu sa plus grande expansion à l'époque de l'Empire khmer, constitué autour de sa capitaleAngkor avant d'entrer auXIVe siècle dans une période de déclin et d'être progressivement amputé de ses dépendances extérieures puis de nombreuses provinces par ses puissants voisins du nord, leLan Xang, et de l'ouest, leSiam, et enfin de l'est, l'Annam.

Rôle

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Avec l'indianisation de la péninsule Indochinoise à partir duIIe siècle, lemonarque, jusqu'alors considéré comme l'incarnation sur terre des génies du sol, devient l'intermédiaire entre ses divinités et ces sujets. À ce titre, c’est lui qui affecte les terrains vacants et gère en dernier recours les conflits fonciers. Il en va de même dans les domaines juridiques où il représente la plus haute instance et législatif où ses déclarations ne font pas seulement office de lois mais aussi de textes sacrés consignés dans desVéda. Toutefois ce pouvoir absolu ne s’applique aux royaumes périphériques inclus dans l’empire khmer que de manière épisodique en fonction du charisme et de la puissance du souverain[1].

L'avènement dubouddhisme theravāda auXVe siècle introduira un volet moral aux prérogatives royales. Mais contrairement à la doctrine prêchée parSiddhartha Gautama qui veut que les erreurs commises par un mortel soient expiées dans ses vies ultérieures, les actes d’immoralité des souverains déclenchent des cataclysmes dans le royaume. Les monarques doivent alors procéder à des cérémonies de contrition pour calmer la colère des dieux et faire revenir la prospérité sur les territoires où ils règnent s’ils ne veulent pas être déposés[2].

Le roi occupe de ce fait une place prééminente pour garantir l’harmonie entre les divinités et ses sujets qui en retour lui vouaient, il y’a encore moins d’un siècle, une totale obéissance. Toutefois, si le souverain s'avère incapable de protéger son royaume contre les fléaux de toutes sortes, la dévotion s’estompe rapidement et des prétendants au trône affirmant avoir l'oreille des dieux ne tardent pas à s’affirmer. L'histoire du Cambodge est ainsi émaillée de dépositions de souverains que des observateurs occidentaux pourraient assimiler à des périodes de troubles alors que pour les Cambodgiens il ne s'agissait que de changer un monarque qui, en ne pouvant plus intercéder en leur faveur auprès des dieux, ne remplissait plus son rôle. Pour eux les désordres étaient plus liés aux périodes de vacance du trône qu'à celles où ses titulaires étaient remplacés[3].

Même si de nos jours la Constitution de 1993 fait du Cambodge unemonarchie constitutionnelleélective où le roi« règne mais ne gouverne pas »[4], ce dernier continue de jouer un rôle prépondérant dans ces croyances populaires héritées des époques anciennes qui avec le temps se sont superposées sans vraiment s'annihiler et qui sont encore bien vivaces, notamment dans les campagnes[1].

Toutefois, si le roi conserve une totale immunité, aussi bien sur le plancivil quepénal[4], il se doit de remplir son rôle dans le respect de la constitution[5].

Ainsi, s'il doit être informé de la conduite des affaires publiques et convoque en audience deux fois par mois le gouvernement[6], la composition de ce dernier incombe au Premier ministre et doit être approuvée par au moins la moitié des membres de l’Assemblée nationale. Lechef de l’exécutif est bien pour sa part désigné par le souverain, mais la Constitution impose qu'il soit choisi parmi les députés du parti ayant remporté les élections[7]. Le roi doit également signer tous lesKret (« décrets »), mais ils doivent émaner du Conseil des ministres[8], de même que la nomination des hauts fonctionnaires[9].

Concernant l'Assemblée, c'est lui qui la convoque au début de chaque législature[10] et il est le seul mandaté à prononcer sa dissolution sur proposition du Premier ministre et après accord de son président[11]. Il signe également lesKram (« lois ») votés[8] et peut adresser des messages au Parlement qui ne peut faire l’objet d’un débat[12].

Il peut aussi saisir leConseil constitutionnel pour vérifier la conformité d’une loi en projet[13] ou déjà adoptée[14] ou consulter cet organe – dont il nomme trois des neuf membres[15] – pour tout projet de réforme des institutions[16], qu’elle soit initiée par le Premier ministre, le président de l’Assemblée nationale ou de son propre chef[17].

En tant que commandant suprême desforces armées[18], il préside le haut conseil de la défense nationale. À ce titre, il est le seul habilité à déclarer la guerre – après toutefois approbation des deux chambres du Parlement[19] – ou l'état d'urgence, après avis du Premier ministre et des présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale[20].

Enpolitique étrangère, c'est lui qui a la charge de recevoir leslettres de créance des ambassadeurs[21] et de signer lestraités internationaux une fois ceux-ci ratifiés parles deux chambres[22].

Sur le plan judiciaire, en tant que président du Conseil supérieur de la magistrature[23], il signe tous les actes« de nomination, de mutation ou de révocation » des juges et procureurs[9]. Il bénéficie également dudroit de grâce ou de commutation des peines prononcées par les tribunaux[24].

Le roi décerne également les titres honorifiques (Samdech)[25] et préside le congrès national qui se réunit une fois par an à l’invitation du premier ministre[26], permettant« aux citoyens de s'informer directement des diverses affaires d'intérêt national, de soulever des problèmes et de soumettre des vœux aux autorités de l'État »[27].

Parmi ses rôles de monarque constitutionnel figure aussi celui d'être l'arbitre« suprême pour garantir le fonctionnement régulier des pouvoirs publics »[28]. C’est à ce titre qu’il intervient par exemple après chaque élection législative, lorsque la contestation des résultats crée une crise qui bloque les institutions[29].

La couronne cambodgienne quant à elle n'est pas héréditaire maisélective. Le nouveau roi est désigné par leConseil du Trône, de nos jours constitué duPremier ministre, des chefs des ordresMaha Nikaya etDhammayuttika Nikaya ainsi que des président et vice-présidents de l'Assemblée nationale et duSénat. Le Conseil se réunit dans la semaine suivant la mort ou l’abdication du roi pour en désigner un nouveau parmi des candidats d’ascendance royale. Durant ce laps de temps, ou en cas de maladie grave du roi attestée par des médecins nommés par lePremier ministre et le président de l'Assemblée nationale, la régence est assurée par le président du Sénat ou, si celui-ci est également dans l’impossibilité d'exercer cette mission, par le président de l'Assemblée nationale[30].

Royaume du Fou-nan

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Article détaillé :Fou-nan.

Dynastie founanaise,Ire dynastie (Vayadhapura)

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OrdreRoiNom personnel Règne
01SomaLiǔyè 柳葉
(Neang Neak)
Tôt auIer siècle
02Kaundinya IHùntián 混塡
(Preah Tong)
68- fin duIer siècle
03InconnuHùnpánkuàng 混盤況IIe siècle
04InconnuHùnpánkuàng (km)IIe siècle
05InconnuPánpán (km) 盤盤début duIIIe siècle
06Srei MearaFàn Shīmàn 范師蔓205–225
07InconnuFàn Jīnshēng (km) 范金生225
08InconnuFàn Zhān (km) 范旃225-240
09InconnuFàn Xún (km) 范尋240-287
10InconnuInconnuaprès 287
11InconnuTiānzhú Zhāntán 旃檀IVe siècle
12InconnuInconnuIVe siècle
13Kaundinya II (km)Qiáochénrú 僑陳如Ve siècle-434
14Srindravarman I (km)Chílítuóbámó 持梨陀跋摩434–435
15InconnuInconnuInconnu
16InconnuInconnuInconnu
17Jayavarman KaundinyaShéyébámó 僑陳如闍耶跋摩484–514
18RudravarmanLiútuóbámó 留陁跋摩514–550
GuerreFou-nan-Chenla: 550–627
19SarvabhaumaInconnu550-?
20InconnuInconnu550–627

Ses successeurs deviennent vassaux du Royaume duChenla. Ils fuient vers l'Indonésie où ils établirent la dynastieSailendra.

Royaume du Chenla

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Dynastie du Chenla,IIe dynastie (Sambor Prei Kuk)

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Le royaume du Chenla correspond à la domination chinoise de la péninsule indochinoise. (Enkhmer,chen, chinois, etla, départ).[réf. nécessaire]

En 800, leCambodge est occupé par les Malais deJava.

Empire khmer

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Article détaillé :Empire khmer.

Dynastie du Chenla de Terre, continuité de la dynastie précédente (Vat Phou)

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Dynastie de Mahidharapurâ,IIIe dynastie (Phnom Rung)

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Angkor est officiellement abandonnée comme résidence royale en1431.

Royaume du Cambodge

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La liste des souverains du royaume du Cambodge ci-après a été établie à partir des « Chroniques Royales » souvent compilées tardivement jusqu’auXVIIIe siècle[note 1]. Si les versions des événements qu’elles rapportent sont globalement cohérentes les chronologies enregistrent des différences parfois notables d'une dizaine d'années.

Par ailleurs les rois sont nommés; par leur nom personnel « Cau Bana Tan », « Ang Em » , leurs noms de règne sous sa formekhmère « Preah Thommo Reachea IV » « Barom Reachea V » ousanskrite « Sri Dharmaraja IV », « Paramaraja V ». De plus des membres de la famille royale soutenus par les cours voisines et rivales duSiam ou duViêt Nam sont considérés par les divers documents comme des prétendants, des régents ou même de véritables souverains. Les rois et reines suivants sont tous issus de la IIIe dynastie.

MonarqueDates PersonnellesDates de Règne
Ponhea Yat ou Barom ReacheaIer1396-14711417-1462
Noreay Ramathuppdey????-14681462-1468
Reachea Ramathuppdey????-14841468-1477
SoriyoteïII????-14791472-1477
Thommo ReacheaIer1446-14941474-1494
Damkhat Sokonthor1473-15121504-1512
Neay Kan (usurpateur)1476-15291512-1529
Ang ChanIer ouBarom ReacheaII1486-15661516-1566
Barom ReacheaIII1510-15761566-1576
SathaIer ouBarom ReacheaIV1539-15961576-1584
Chey ChetthaIer1565-15961584-1596
Preah ReamIer Chung Prei (usurpateur)????-15961594-1596
ReamII (usurpateur)????-15971596-1597
Barom ReacheaV1579-15991597-1599
Barom ReacheaVI1554-16001599-1600
Kaev HuaIer1573-16111600-1603
Barom ReacheaVII1548-16191603-1618
Chey ChetthaII1573-16271618-1627
Outey (Régent)1577-16421627-1642
Thommo ReacheaII1602-16301627-1630
Ang Tong Reachea1602-16401630-1640
Ang NonIer1615-16421640-1642
RamathipadiIer1620-16591642-1658
Barom ReacheaVIII1628-16721658-1672
Chey ChetthaIII1639-16731672-1673
Kaev HuaII1652-16771673-1674
Ang Nan (Régent)1654-16911674-1675
Chey ChetthaIV (1er règne)1656-17251675-1695
OuteyIer1672-16961695-1696
Chey ChetthaIV (2e règne)1656-17251696-1699
Ang Em (1er règne)1674-17311699-1701
Chey ChetthaIV (3e règne)1656-17251701-1702
Thommo ReacheaIII (1er règne)1690-17471702-1704
Chey ChetthaIV (4e règne)1656-17251704-1707
Thommo ReacheaIII (2e règne)1690-17471707-1710
Ang Em(2e règne)1674-17311710-1722
SathaII (1er règne)1702-17491722-1729
Ang Em(3e règne)1674-17311729-1730
SathaII (2e règne)1702-17491730-1736
Thommo ReacheaIII (3e règne)1690-17471736-1747
Thommo ReacheaIV1706-17481747-1747
Ang Tong (Régent)1692-17571747-1749
SathaII (3e règne)1702-17491749-1749
Chey ChetthaV1709-17551749-1755
Ang Tong (Régent)1692-17571755-1757
OuteyII1739-17771758-1775
Ang NonII1739-17791775-1779
Ang Eng1772-17961779-1796
Pok (Régent)????-18061796-1806
Ang ChanII1792-18341806-1834
Ang Mey1815-18741834-1841
Ang Duong (1er règne)1796-18601841-1844
Ang Duong (2e règne)1796-18601845-1859
NorodomIer1834-19041859-1904
Sisowath1840-19271904-1927
Sisowath Monivong1875-19411927-1941
Norodom Sihanouk (1er règne)1922-20121941-1955
Norodom Suramarit1896-19601955-1960
Sisowath Kossamak1904-19751960-1970
Norodom Sihanouk (2e règne)1922-20121993-2004
Norodom Sihamoni1953-2004-

Notes et références

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Notes

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  1. Ces Chroniques Royales ont été traduites enfrançais dès leXIXe siècle par Jean Moura (1827-1885),Adhémard Leclère (1853-1914) etFrancis Garnier, elles sont publiées par l’École française d’Extrême-Orient

Références

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  1. a etbJean-Marie Crouzatier,Transitions politiques en Asie du Sud-Est : les institutions politiques et juridictionnelles du Cambodge, Toulouse,Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole,, 182 p.(ISBN 9782361701048,présentation en ligne), partie I,chap. 1 (« Un destin idéalisé - L'empire khmer mythifié »),p. 24-25
  2. Marie-Alexandrine Martin,Le mal cambodgien : histoire d'une société traditionnelle face à ses leaders politiques, 1946-1987,vol. 4,Hachette,coll. « Histoire des gens »,, 304 p.(ISBN 978-2-01-012251-4),p. 76-91
  3. Alain Forest,Le Cambodge et la colonisation française : Histoire d'une colonisation sans heurts (1897 - 1920),vol. 1,Éditions L'Harmattan,coll. « Centre de documentation et de recherches sur l'Asie du Sud-Est et le monde insulindien »,1er mars 1993, 546 p.(ISBN 9782858021390),chap. III (« Le roi, les génies et le Bouddha »),p. 39-42
  4. a etbConstitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 7
  5. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XV (« De la portée, de la révision et de l'amendement de la Constitution »), article 150
  6. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 20
  7. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. X (« Du gouvernement royal »), article 119
  8. a etbConstitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 28
  9. a etbConstitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 21
  10. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. VII (« De l'Assemblée nationale »), article 82
  11. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. VII (« De l'Assemblée nationale »), article 78
  12. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 18
  13. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 140
  14. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 141
  15. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 137
  16. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XII (« Du Conseil constitutionnel »), article 143
  17. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XV (« De la portée, de la révision et de l'amendement de la Constitution »), article 151
  18. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 23
  19. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 24
  20. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 22
  21. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 25
  22. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 26
  23. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XI (« Du pouvoir judiciaire »), article 134
  24. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 27
  25. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 29
  26. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XIV (« Du Congrès national »), article 148
  27. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. XIV (« Du Congrès national »), article 147
  28. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), article 9
  29. Jean-Marie Crouzatier,Transitions politiques en Asie du Sud-Est : les institutions politiques et juridictionnelles du Cambodge, Toulouse,Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole,, 182 p.(ISBN 9782361701048,présentation en ligne), partie II,chap. 3 (« Un régime politique ambigu - Un parlementarisme déséquilibré »),p. 105
  30. Constitution du Royaume du Cambodge du 24 septembre 1993 : Amendée en février 2008(lire sur Wikisource),chap. II (« Du roi »), articles 11 à 13

Annexes

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Articles connexes

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Lien externe

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Bibliographie

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v ·m
Histoire ancienne
Période coloniale
Époque contemporaine
Monarques du Cambodge
v ·m
v ·m
Chefs d'État
Membres et observateurs à l'ONU[2]
Partiellement reconnu[3]
Non-reconnu[4]
Chefs de gouvernement
Membres et observateurs à l'ONU[2]
Partiellement reconnu[3]
Non-reconnu[4]
  1. abcdefghijklmnopqrs ettParfois considéré comme partiellement ou entièrement en Europe, en fonction de la définition.
  2. a etbÉtats reconnus par lesNations unies.
  3. a etbÉtat reconnu par au moins un membre desNations unies.
  4. a etbÉtats reconnus par aucun membre desNations unies.
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