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Misère de la philosophie

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Misère de la philosophie
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Misère de la philosophie ouMisère de la philosophie. Réponse à la philosophie de la misère de M. Proudhon est une œuvre deKarl Marx parue en juin1847 àBruxelles en son exil. Son titre constitue une reprise inversée de l'ouvrage deProudhon,Philosophie de la misère. Le texte est écrit enfrançais bien que la plupart des œuvres de Marx soient écrites enallemand. Il s'agit d'une critique, reprenant point par point les arguments avancés dansPhilosophie de la misère et tentant de les démonter ou de montrer qu'ils enfoncent des portes ouvertes.

Résumé

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L'ouvrage est composé des deux chapitres : I. « Une découverte scientifique » qui traite lathéorie de la valeur, letemps de travail, lamonnaie et l'excédent de travail ; II. « Lamétaphysique de l'économie politique » qui traite les sept méthodes[1], ladivision du travail, laconcurrence, lemonopole, lapropriété, larente et lesgrèves.

Selon Marx, il faut sortir de la philosophie pour analyser le monde dans une nouvelle perspective de l'économie politique, fondée sur le désir de changer la société. La philosophie doit être l'arme intellectuelle duprolétariat.Il a aussi critiqué la théorie de Proudhon sur l'impôt sur la consommation[2], et sur son refus de lagrève[3]. Enfin le texte se termine par une citation deGeorge Sand : « Le combat ou la mort : la lutte sanguinaire ou le néant. C'est ainsi que la question est invinciblement posée. »

De son côté, Proudhon jugera ainsi laMisère de la philosophie de Marx ;

« Marx est le ténia du socialisme » (Carnet, 24 sept. 1847)

« Contradictions économiques.- Tous ceux qui en ont parlé jusqu’ici l’ont fait avec une suprême mauvaise foi, envie ou bêtise. Ch. Marx, Molinari, Vidal,Univers religieux […] » (Carnet, 20 nov. 1847).Dans les notes qu'il porte sur son exemplaire deMisère de la philosophie, le mot de « calomnie » revient à plusieurs reprises.

Notes et références

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  1. Marx y citeLa Science de la logique deHegel en première observation, et lesrapports de production en septième et dernière observation que Marx cite soi-même dansle Capital, chapitre 25 pour l'explication de l'armée de réserve de travailleurs.
  2. Chapitre II, 3 « La concurrence et le monopole »
  3. Chapitre II, 5 « Les grèves et les coalitions des ouvrières »

Voir aussi

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Articles connexes

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