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Miliana

36° 17′ nord, 2° 13′ est
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Ne doit pas être confondu avecKhemis Miliana.

Miliana
Miliana
Le centre ville; l'horloge et le musée
Noms
Nom arabe algérienمليانة
Administration
PaysDrapeau de l'AlgérieAlgérie
RégionTitteri
WilayaAïn Defla
DaïraMiliana
Code ONS44002
Démographie
GentiléMilianais
Population44 201 hab.(2008[1])
Densité804 hab./km2
Géographie
Coordonnées36° 17′ nord, 2° 13′ est
AltitudeMin. 400 m
Max. 1 500 
m
Superficie55 km2
Divers
Saint patronSidi Ahmed Benyoucef
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Algérie
Voir sur la carte topographique d'Algérie
Miliana
Géolocalisation sur la carte :Algérie
Voir sur la carte administrative d'Algérie
Miliana
Géolocalisation sur la carte :Algérie (nord)
Voir sur la carte topographique d'Algérie (nord)
Miliana
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Miliana (en arabe :مليانة) est unecommune algérienne de lawilaya d'Aïn Defla, chef-lieu éponyme dedaïra de Miliana, elle est située au sud duDahra, sur les contreforts dumont Zaccar, dominant la vallée duChelif.

Miliana est fondée auXe siècle par le princezirideBologhine ibn Ziri sur les ruines d'une ville romaine: Zucchabar. Elle perd son importance durant la période coloniale, au profit deKhemis Miliana, située dans la plaine. Sa vieille ville qui dispose de plusieurs monuments, a été classé secteur sauvegardé.

Géographie

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Localisation

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La commune de Miliana est située au nord de lawilaya d'Aïn Defla. La ville se situe à 114 km au sud-ouest d'Alger, à 50 km à l'ouest deMédéa et à 92 km à l'est deChlef.

Communes limitrophes deMiliana
Ben AllalAïn TorkiAïn Torki
Ben AllalMilianaAïn Torki
Khemis MilianaKhemis MilianaAïn Soltane

Relief

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La ville est bâtie à 740 mètres d'altitude sur une plate-forme rocheuse aux contours abrupts en saillie sur le penchant méridional dumont Zaccar qui la couvre entièrement au nord. Elle domine, à l'est et au sud la vallée duChélif et à l'ouest un grand plateau qui s’étend jusqu'à la chaîne de l'Ouarsenis[2].

Lieux-dits

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En1984, la commune de Miliana est constituée à partir des lieux-dits suivants[3] :

  • Miliana Centre ;
  • El Anasseur ;
  • Zougala ;
  • EI Hammama Korkah ;
  • Oued E'Rihane ;
  • Sidi El Ghoul ;
  • Ain SBaa ;
  • Ain El Berkouk.

Climat

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Miliana a unclimat méditerranéen. Les hivers sont doux voire frais, et les étés sont très chauds. Les précipitations atteignent ou dépassent 800 mm par an. La fraîcheur relative de la température et l'abondance des eaux courantes entretiennent une riche végétation[4].

Données climatiques à Miliana
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)5,56,27,4912,5172121,117,713,39,26,5
Température moyenne (°C)8,69,611,313,217,322,226,626,622,917,712,89,3
Température maximale moyenne (°C)11,712,915,217,42227,432,132,22821,916,412,3
Précipitations (mm)120,5124112,371,347,916,85,87,129,668,9103,3119,8827,3
Source : Hong Kong Observatory, statistiques de 1966 à 1990[5].
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11,7
5,5
120,5
 
 
 
12,9
6,2
124
 
 
 
15,2
7,4
112,3
 
 
 
17,4
9
71,3
 
 
 
22
12,5
47,9
 
 
 
27,4
17
16,8
 
 
 
32,1
21
5,8
 
 
 
32,2
21,1
7,1
 
 
 
28
17,7
29,6
 
 
 
21,9
13,3
68,9
 
 
 
16,4
9,2
103,3
 
 
 
12,3
6,5
119,8
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm
Extension de la ville sur le piémont. En arrière-planKhemis Miliana dans la plaine.

Toponymie

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Les anciens historiens commePline l'Ancien etPtolémée ont eu des divergences quant à l'origine, du toponyme de cette localité. Plusieurs appellations ont été citées telles queZucchabar ou Sugabar et Manliana ou Malliana[6].

Le toponyme Zucchabar ou Sugabar a été mentionné dans les monuments épigraphiques indiquant l'emplacement princeps de la cité[6]. Ce nom serait d'importationphénicienne oulibyco-berbère signifiant « marché du blé » .

Le nom de Manliana ou Malliana est cité dans l'antiquité pour une agglomération située à l'emplacement actuel de la ville ou dans ses environs etSaint Augustin évoque un évêque de cette cité[6]. Ce nom d'originelatine est attribué à une fille de famille patricienneromaine (Manlia) propriétaire de grands domaines dans cette région agricole de la vallée duChélif[6]. Mais selon d'autres auteurs, ce nom estberbère[6]. Pline a, quant à lui, qualifié cette cité de Colonia Augusta.

À la conquête arabe Manliana fut arabisée pour devenir "Meliana", qui signifie en arabe, « emplie", ie. pleine de richesses »[7], en somme de ressources en eau et en fruits.

Histoire

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Époque antique

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Miliana fut longtemps une capitale-refuge des roisNumides. En105 av. J.-C.Jugurtha aurait été capturé non loin de la région[8].

Une garnison romaine est fondée àZucchabar par l'empereurOctave entre27 et25 av. J.-C.. La ville est citée lors de l'insurrection du chefberbèreFirmus, en375 ; le général romainThéodose a évacuéCésarée (Cherchell) pour occuper Sugabar[6]. Les ruines de Zucchabar se voyaient au temps d’Al-Bakri, et dont quelques vestiges ont été signalés parThomas Shaw, auXVIIIe siècle, ils subsistaient encore lors de l’occupation française[4].

Elle a été l'une des grandes cités de la province deMaurétanie Césarienne et siège d'un évêché. AuVe siècle, avec le déferlement desVandales, la ville romaine s'effaça avec la plupart de ses monuments antiques.

Époque berbéro-musulmane

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L’ancienne demeure de l'Emir Abdelkader aujourd'hui musée municipal

La ville fait partie du territoire desMaghraouas[9]. Entre972 et980, le princezirideBologhine ibn Ziri fondateur d'Alger et deMédéa, construit unemédina sur les ruines de la ville romaine[10]. Durant cette période, la ville renait et connait une grande prospérité. Elle est citée par plusieursgéographesmusulmans. AuXe siècle,Ibn Hawqal est le premier à citer la ville dans ses écrits[11]. Il la qualifie de« Cité antique, pourvue de moulins que fait tourner son cours d'eau et possédant un grand nombre de canaux d'irrigation. »[11].

AuXIe siècle,Al Bakri écrit que Miliana fait partie, avecAlger etMédéa, des villes construites par Bologhine[11]. L'auteur la mentionne comme une cité prospère, bien peuplée, bien approvisionnée et possédant un bazar fréquenté[4].Al Idrissi signale l’abondance des eaux et la fertilité du pays environnant[4].

AuXIVe siècleIbn Khaldoun décrit la ville :« C'est une cité faisant partie du domaine Maghrawa Beni Warsifen dans la plaine deChélif… Et que Boluggine a tracé le plan d'El Djezaïr, deMelyana et deLemdiya. ». Au cours de cette période, Miliana était un foyer de culture. Elle abrite un grand nombre d'érudits dans différentes disciplines et notamment des hommes de sciences, tels que : Ahmed Ben Otmane El Meliani, poète et écrivain duXIIIe siècle et Ali Ben Omrane Ben Moussa El Miliani, théologien ou Ali Ben Meki El Miliani, théologien et juriste duXIVe siècle.

À l'instar des autres villes duMaghreb, Miliana a connu plusieurs conquêtes ainsi que des troubles politiques. En1081, Youssef Ibn Tachfin, chef desAlmoravides occupe Alger, Médéa et Miliana[8]. Par la suite, la ville est intégrée à l'empireAlmohade en1149, après la chute de la dynastie desHammadides[4]. En1184, lesBeni Ghania s'emparent de la ville à l'instar d'autres villes du Maghreb central. L'année suivante (1185), les Almohades contre-attaquent, les Beni Ghania se replient alors en Ifriqiya[12].

Vue générale de Miliana, moitié duXIXe siècle

En1238, lesHafsides deTunis soutiennent leurs alliés les Beni Tudjin en possession de la ville et en1261, ils assiègent la cité. En1268, le souverainZianideYaghmoracen Ibn Zyan tente d’occuper la région de Miliana. La ville ne sera occupée par les rois deTlemcen qu'en1308 ; lesAbdelwadides imposant leur autorité sur Miliana et sur presque toutes les villes duMaghreb central. Lors de la décadence du royaume Zianide, un prince de cette dynastie s'empare de Miliana,Médéa etTénès en1438, mais il est assassiné par son fils, El Mostancer qui devient roi deTénès[13]. Elle redevint par la suite une dépendance de Tlemcen[4].

En1517,Arudj Barberousse s'empare de la ville et de la vallée duChélif et Miliana devient une caïdat turc. Cependant la région connait de nombreux soulèvements contre l'autoritéottomane durant cette période, notamment la révolte de la tribu des Righas sous le commandement du chef Bouterik, ou Bou-Trek connu sous le nom de la révolte de Boutrig, ce dernier occupa toute laMetidja et bloqua Alger au premier trimestre de l'année 1544, il fut battu par le chef de la régence d'AlgerHadji Pacha à la fin du mois de mai de 1544 à l'endroit de la bataille qui se situe entreOued Djer etEl Affroun[14]. Miliana tient par la suite, son rôle urbain du khalifalik de l'est dubeylik de l'Ouest[15].

Époque coloniale

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Statue d'Ali la Pointe sur la place qui porte son nom.
Statue d'Ali la Pointe sur la place éponyme.
Plan de Miliana
Plan de Miliana à la fin des années 1950.

Après laprise d'Alger en1830, demeure d’abord indépendante[4], les Français se heurtent à la résistance de la population qui fait allégeance à l'émir Abdelkader[11] qui installe à Miliana un califat en1835[16].

Letraité de paix deDesmichels garantit à l'émir Abdelkader de prendre possession de Miliana à partir de 1835 où il fut accueilli chaleureusement par la population et les notables de la ville.

En raison de la position géostratégique de la région, Miliana devint un califat gouverné par le califeMahieddine Seghir (1835-1837) puis par le califeBen Allel (1837-1840) qui disposait de 10 440 combattants. L'émir y édifia plusieurs ouvrages dont le siège de son califat et une manufacture d'armes[8].

En 1838, les juifs de Miliana (qui forment alors une communauté importante) sont expulsés sur l'ordre d'Abdelkader. Ils n'y rentrèrent que deux ans plus tard, mais sur les trois cents familles qui en étaient parties « plus de la moitié manquait au retour »[17].

La ville est occupée en1840 par les troupes du maréchalValée, mais la garnison est assiégée à plusieurs reprises par Ben Allel et les tribus locales[16]. Des renforts furent alors dépêchés d'Alger par lemaréchal Bugeaud pour approvisionner les assiégés. Ben Allel meurt en1843 et les troupes françaises incendient la cité en1844 pour déloger les partisans de l'émir[10].

L'empereurNapoléon III vient en visite à Miliana en1865. En1901, les tribus Righa d'Aïn Torki, sous la direction de Cheikh Yakoub, se révoltent[8].

Durant cette époque, la ville sera marginalisée au profit deKhemis Miliana de création coloniale[18].

En1957 pendant laguerre d'Algérie eut lieu à Oued Guergour au sud de Miliana une bataille opposant lesmoudjahidines à l'armée française.

Démographie

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Population

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Miliana est une vieille cité, peuplée par des descendants d'Andalous, deKoulouglis et deBerbères duZaccar[7].

Évolutions

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Miliana est la quatrième commune la plus peuplée de la wilaya de Aïn Defla aprèsKhemis Miliana,Aïn Defla etEl Attaf[19], selon le recensement général de la population et de l'habitat de2008, la population de la commune de Miliana est évaluée à 44 201 habitants contre 22 528 en1977 :

Évolution démographique
1977198719982008
22 52827 18339 66244 201
(Source : recensement[20])

Culture

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Maison de style mauresque.

Miliana dispose de plusieurs groupes musicaux spécialisés dans différents stylesmusicaux citadins algériens :musique andalouse,chaâbi etzorna[21]. Elle accueille une manifestation de la musique andalouse, ce festival réunit des musiciens issus des trois écoles algériennes de la musique andalouse, laçan'a d'Alger, legharnati deTlemcen et lemalouf deConstantine[22].

La célébration duMawlid Ennabaoui (fête de la naissance du prophèteMahomet) à Miliana se distingue par la fabrication dem'narette, sortes de maquettes faites de bois et de roseaux en forme de mosquées, de tours et de bateaux[23]. À la veille duMawlid, un défilé desm'narette illuminées de bougies et achalandées de friandises et de fruits prennent le chemin depuis la mosquéeSidi Ahmed Benyoucef[23]. Lam'nara du quartier Chergua est considérée comme la meilleure, sa conception est inspirée de la flotteturque : un bateau à voiles mesurant deux mètres de long, décoré et orné de cinq canons en bronze et en bois[24].

Mausolée d'un saint

LeRekb de Miliana est une tradition de la tribuberbère des Beni Farh et de la région, c’est un pèlerinage annuel dans l'enceinte du mausolée de Sidi Ahmed Benyoucef. Des centaines de pèlerins venus de plusieurs régions du pays entament leurprocession à partir de la ville deMesselmoun (wilaya de Tipaza) jusqu'au mausolée du saint[25].

Lafête des cerises de Miliana, est une manifestation socio-culturelle annuelle instaurée pendant la colonisation. Elle se déroule durant la dernière semaine du mois dejuin, elle a été maintenue avec l'indépendance du pays. Elle permettait aux Milianais de fêter les qualités de la cerise de Miliana et aux visiteurs de découvrir les us et coutumes de la ville et de déguster les différentes confiseries faites à base de cerises. Elle a connu une rupture d'une décennie, puis a nouveau été célébrée dans le cadre d'un plan de réhabilitation des fêtes locales spécifiques à lawilaya d'Aïn Defla[26]. La production de cerises a très fortement régressé avec celle de l'horticulture. La construction et la déstructuration du patrimoine des jardins en sont la cause principale.

Patrimoine

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Article détaillé :Liste des sites et monuments classés de la wilaya d'Aïn Defla.

Quelques monuments qui remontent duXVIIIe au XIXe siècle subsistent de nos jours[27]. En 2020, la vieille ville de Miliana a été classé secteur sauvegardé[28].

L'ancienne demeure de l'émir Abdelkader est un édifice destyle mauresque situé en plein centre-ville, restauré et aménagé en musée de Miliana. Il comprend plusieurs salles d'expositions sur l’histoire de la région telle que des vestiges archéologiques d'époquesromaine etmusulmane, les résistances populaires pendant laconquête de l'Algérie par la France et également des objets ethnographiques duSud algérien[29].

La mosquée de Sidi Ahmed Benyoucef est attribuée au saint Abu El-Abbas Ahmed Benyoucef Errachidi, une figure mystique, né àKalaa des Beni Rached près deMascara au milieu duXVe siècle, mort en1526 et inhumé à Miliana en1774 par Mohamed El-Kebir, le bey d’Oran. Ce monument a fait l’objet des travaux d’aménagement[27]. Le minaret El-Batha faisait partie d’une ancienne mosquée ditedjemaâ El-Turk oudjemaâ El-Batha ; elle est détruite vers1844 pour aménager une place publique et son minaret a été transformé en horloge[27].

La manufacture d’armes de l’émir Abdelkader, est située dans la banlieue est de la ville, cette usine a été édifiée par l’émir vers1839[27]. Les remparts, selon certaines sources, sont d’origine antique, mais ils ont subi de nombreuses transformations notamment en raison de l’extension de la ville coloniale[27]. La ville dispose d'un grand jardin public créé en1890[10].

En 2001, subsistaient à la sortie de Miliana les restes d'un cimetière juif[30].

  • Les remparts et les faubourgs.
    Les remparts et les faubourgs.
  • Le belvédère place Ammar Ali.
    Le belvédère placeAmmar Ali.
  • Le minaret El-Batha.
    Le minaret El-Batha.
  • Musée de l'émir Abdelkader
    Musée de l'émir Abdelkader
  • Manufacture d'armes de l'émir Abdelkader
    Manufacture d'armes de l'émir Abdelkader
  • Mosquée de Sidi Ahmed Ben Youcef.
    Mosquée de Sidi Ahmed Ben Youcef.

Personnalités liées à la cité

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Notes et références

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  1. « Wilaya d'Aïn Defla : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
  2. Une ville, une histoire, Sidi Ahmed Benyoucef (1re partie), Info Soir du
  3. « Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya d'ain Defla », Journal officiel de la République Algérienne,(consulté le),p. 1576
  4. abcdef etgYver, G., “Milyāna”,Encyclopédie de l’Islam. Première publication en ligne: 2010.
  5. « Miliana, Algeria », surwww.hko.gov.hk(consulté le).
  6. abcde etfMon beau pays, Miliana (I), Info Soir du
  7. a etbMiliana la bienheureuse…, le Quotidien d'Algérie du 26/04/2010
  8. abc etdNotice historique de la ville au musée municipalEmir Abdelkader de Miliana
  9. Journal asiatique de laSociété asiatique (Paris, France),Centre national de la recherche scientifique (France)
  10. ab etcDanielBabo,Algérie, Méolans-Revel, Éditions le Sureau,coll. « Des hommes et des lieux »,, 206 p.(ISBN 978-2-911328-25-1),p. 45
  11. abc etdMon beau pays, Miliana (II), Info Soir du
  12. GilbertMeynier,L’Algérie, cœur du Maghreb classique : De l’ouverture islamo-arabe au repli (698-1518), Paris,La Découverte,, 358 p.(ISBN 978-2-7071-5231-2),p. 104
  13. Algérie, le passé revisité,p. 61, Chems Eddine Chitour, Casbah Éditions, 2004,(ISBN 9961-64-496-4)
  14. Revue africaine 1864  Tome 8 : Article de Berbrruger président et fondateur de la revue Africaine.
  15. « Traits généraux de l’évolution des structures urbaines dans l’histoire algérienne (19ème- 20ème siècles) », surouvrages.crasc.dz(consulté le)
  16. a etbBenjamin Stora,Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954) Collection Repères 2004, p-53(ISBN 9782707144669)
  17. Martin Claude,Les israélites algériens de 1830 à 1902, Paris, Héraklès,(lire en ligne), [en ligne] section 6 ("III-Les juifs pendant la conquête", p.1)
  18. MarcCôte,Guide d'Algérie : paysages et patrimoine, Algérie,Média-Plus,, 319 p.(ISBN 9961-922-00-X),p. 88
  19. (en)the People's Democratic Republic of Algeria - Aïn Defla (Geohive)
  20. (en)Population de Miliana (World Gazetteer)
  21. Miliana. Associations culturelles localesSous l'impulsion de Cheikh Mohamed Landjerit,El Watan du
  22. Une manifestation qui manque de souffle :3e édition de la musique andalouse de Miliana, leMidi libre du
  23. a etbMiliana : M'narette pour El Mawlid surEl Watan du.
  24. Miliana: La tradition des «m'narette», Info Soir du
  25. Entre un passé glorieux et une amère réalité Miliana (Aïn Defla),El Watan du
  26. Retour en juin de la Fête des cerises de Miliana,El Watan du
  27. abcd eteMiliana: Histoires des monuments, Info Soir du
  28. BoudjedriMounia, « La vieille ville de Miliana et la Kalâa des Beni Rached classés secteurs sauvegardés », surwww.aps.dz(consulté le)
  29. Le musée Émir Abdelkader de Miliana, en attendant celui de Mascara, le Temps d'Algérie du
  30. Claudia Moatti, « Miliana, Algérie »,La pensée de midi,‎,p. 106-111(lire en ligne)
  31. Djamel Bensmail

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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