Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Michel Poniatowski

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirPoniatowski.

Michel Poniatowski
Illustration.
Michel Poniatowski en 1979.
Fonctions
Sénateur français

(6 ans, 8 mois et 21 jours)
Élection24 septembre 1986
CirconscriptionVal-d'Oise
Groupe politiqueRI
PrédécesseurPierre Salvi
Député européen

(10 ans et 7 jours)
Élection10 juin 1979
Réélection17 juin 1984
Groupe politiqueLD(1979-1985)
LDR(1985-1989)
Ministre d'État
Ministre de l'Intérieur

(2 ans, 10 mois et 1 jour)
PrésidentValéry Giscard d'Estaing
Premier ministreJacques Chirac
Raymond Barre
GouvernementChiracI
BarreI
PrédécesseurJacques Chirac
SuccesseurChristian Bonnet
Ministre de la Santé publique et de la Sécurité sociale

(1 an, 1 mois et 22 jours)
PrésidentGeorges Pompidou
Premier ministrePierre Messmer
GouvernementMessmerII etIII
PrédécesseurJean Foyer
SuccesseurSimone Veil
Maire deL'Isle-Adam

(27 ans, 10 mois et 12 jours)
PrédécesseurLouis Hurteau
SuccesseurAxel Poniatowski
Député français

(6 ans, 1 mois et 2 jours)
Élection12 mars 1967
Réélection30 juin 1968
11 mars 1973
Circonscription1re du Val-d'Oise
LégislatureIIIe etIVe(Cinquième République)
Groupe politiqueRI
PrédécesseurCirconscription créée
SuccesseurYves de Kervéguen
Biographie
Nom de naissanceMichel Casimir Jean Pierre Guillaume Marie-André Poniatowski
Date de naissance
Lieu de naissance7e arrondissement de Paris
Date de décès (à 79 ans)
Lieu de décèsLe Rouret (France)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueFNRI(1966-1977)
PR(1977-1978)
UDF(1978-1999)
LD/DLC(1998-1999)
PèreCharles Casimir Poniatowski
EnfantsAxel Poniatowski
Ladislas Poniatowski
FamilleFamille Poniatowski
ProfessionAdministrateur civil

Image illustrative de l’article Michel Poniatowski
modifier 

Michel Poniatowski, né le dans le7e arrondissement de Paris et mort le auRouret (Alpes-Maritimes), est unrésistant,haut fonctionnaire ethomme politiquefrançais.

Il estdéputé duVal-d'Oise et maire deL'Isle-Adam,ministre de la Santé publique et de la Sécurité sociale de 1973 à 1974,ministre d'État,ministre de l'Intérieur de 1974 à 1977. Il est ensuitedéputé européen etsénateur duVal-d'Oise.

Proche deValéry Giscard d'Estaing, il est l'un des dirigeants fondateurs de laFNRI, duParti républicain et de l'UDF.

Situation personnelle

[modifier |modifier le code]

Jeunesse et études

[modifier |modifier le code]

Apparenté àStanislas-Antoine Poniatowski (1764-1795), dernier roi dePologne, àJoseph Poniatowski, maréchal deNapoléon Ier, et arrière-arrière-petit-fils deJoseph Poniatowski prince de Monte Rotondo, Michel Poniatowski est le fils du princeCharles Casimir Poniatowski et d'Anne de Caraman-Chimay.

Par son père, il descend deTalleyrand (lui-même descendant deColbert et d'Étienne Marcel[1]), duduc de Morny, demi-frère et premier ministre deNapoléon III, ainsi que de l'impératrice Joséphine (par sa filleHortense de Beauharnais) ; il compte encore, parmi ses ancêtres maternels,Pierre-Paul Riquet, ingénieur français qui, auXVIIe siècle, traça lecanal du Midi. Il descend aussi desLignages de Bruxelles[2].

D'abord élève aucours Hattemer[3], il effectue ensuite ses études secondaires aulycée Saint-Louis-de-Gonzague, où il obtient sonbaccalauréat en 1940.

Après avoir servi au1er bataillon de choc pendant laSeconde Guerre mondiale et avoir été notamment parachuté en France occupée, Michel Poniatowski poursuit après la guerre des études supérieures à l'université de Paris, où il obtient unelicence de droit. Il décroche également unhigher certificate de l'université de Cambridge[4]. Il passe avec succès le concours de l'École nationale d'administration.

Carrière professionnelle

[modifier |modifier le code]

Michel Poniatowski fait partie de l’une des premières promotions de l'ENA (1947-1948).

Affecté aux Finances, il commence sa carrière comme adjoint du directeur des finances duMaroc. Au début de l’année 1953, il y reçoit la visite deValéry Giscard d'Estaing et deson épouse, qui en reviennent convaincus que la fin de l'empire colonial n'est« pas une fatalité » : Poniatowski se distingue par une approche« plus militante » des problèmes coloniaux, qui en fera plus tard un proche des « ultras » de l'Algérie française[5]. Au ministère des Finances en tant qu’administrateur civil, Michel Poniatowski fait partie début 1955 du cabinet du ministreRobert Buron, dirigé par Roland de Villelongue[6], puis du ministre des Finances suivant,Pierre Pflimlin[7], et devient attaché financier àWashington, D.C. en 1956.

Il est ensuite le directeur de cabinet de Pierre Pflimlin, dernierprésident du Conseil de la Quatrième République avant legénéral de Gaulle[8]. De 1959 à 1962, il est directeur de cabinet du secrétaire d'État Valéry Giscard d’Estaing, puis chargé de mission (1962-1965) et enfin directeur des Assurances (1963-1967) au ministère des Finances.

Vie privée

[modifier |modifier le code]
Armoiries de la famille Poniatowski.

Michel Poniatowski se marie le, dans le16e arrondissement, avecGilberte de Chavagnac, (1925-2016), avec laquelle il a quatre enfants :

  • Ladislas, né le, homme politique et sénateur de l'Eure, marié en 1971 à Constance Guichard, journaliste et fille d'Olivier Guichard[8], avec laquelle il a trois enfants ;
  • Isabelle, née le, mariée en 1967 àBertrand de Maigret, avec lequel elle a quatre enfants dontCaroline ;
  • Axel, né le, homme politique et député-maire de L'Isle-Adam (Val-d'Oise), marié en 1977 à Anne Chatin, avec laquelle il a trois enfants ;
  • Bruno, né le, marié en 1974 à Alix de Montal, avec laquelle il a trois enfants.

Parcours politique

[modifier |modifier le code]

Débuts

[modifier |modifier le code]

Partisan de l'Algérie française, il est élu députéFédération nationale des républicains indépendants (FNRI) dans la1re circonscription du Val-d'Oise lors desélections législatives de 1967, remportées de justesse par la majorité, et réélu en 1968 lors desélections législatives de 1968. Réélu auxélections législatives de 1973, il est battu aux législatives de 1978 parAlain Richard Dans le même temps, il devient secrétaire général de la FNRI, dont il prend la présidence en 1975, après l’élection de Valéry Giscard d’Estaing à la présidence de la République. Il estprésident de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations de 1972 à 1973.

Il est élu maire deL'Isle-Adam en 1971.

Tandis que plusieurs scandales éclatent alors que le gaullisteJacques Chaban-Delmas est Premier ministre, il critique le règne« des copains et des coquins »[8],[9].

Ministre de la Santé publique et de la Sécurité sociale

[modifier |modifier le code]

Du au, il estministre de la Santé publique et de la Sécurité sociale dans les deux derniers gouvernementsPierre Messmer. Il porte un premier projet de loi prévoyant la dépénalisation de l'avortement, avant celui deSimone Veil en 1974, « en cas de risque pour la santé physique, mentale ou psychique de la femme, d’un risque élevé de malformation congénitale ou d’une grossesse consécutive à un acte de violence », et repoussé par 225 voix contre 112 le[10].

Ministre d'État, ministre de l'Intérieur

[modifier |modifier le code]
Michel Poniatowski (à gauche) avecHabib Bourguiba,en 1976.

Considéré comme le principal organisateur de la victoire deValéry Giscard d'Estaing à l'élection présidentielle de 1974, Michel Poniatowski est nommé ministre d'État, ministre de l'Intérieur le 28 mai. Il est « numéro deux du gouvernement » dans l'ordre protocolaire.

Face aux menaces terroristes qui pèsent alors, il prend pour devise de « terroriser les terroristes » (formule reprise plus tard et souvent attribuée àCharles Pasqua), avec des moyens parfois spectaculaires[précision nécessaire].

Il fait supprimer les « fiches signalétiques » qui devaient alors être remplies chaque fois qu'on séjournait dans un hôtel, comme c'est encore le cas dans certains pays.

Le, il apporte son soutien au maire deSommedieue, le docteur Jacques Barat-Dupont, qui avait décidé dix jours plus tôt de constituer unemilice après que des jeunes deVerdun avaient ravagé un restaurant de sa commune dans la nuit du au[11],[12],[13],[14],[15],[16].

En, il envoie l'armée, épaulée par des blindés, pour chasser les militants corses emmenés parEdmond Simeoni etMarcel Lorenzoni qui occupent illégalement une cave viticole àAléria. Il ordonne l'assaut au cours duquel deux gendarmes sont tués. Pour cette raison, il est accusé, avec le Premier ministreJacques Chirac, de porter une grande part de responsabilité dans l'engrenage de la violence qui suit enCorse.

Le 18 février 1976, il sort de sa réserve pour se prononcer publiquement en faveur de lapeine de mort pourPatrick Henry, un ravisseur et tueur d'enfant arrêté la veille[17].

Après l'assassinat deJean de Broglie,L'Express, en, puisLe Canard enchaîné, en 1980, publient des documents selon lesquels Michel Poniatowski aurait été au courant des menaces de mort pesant sur lui. Sans preuves, Poniatowski présentePatrick de Ribemont comme coupable dans cette affaire, acte qui a valu à la France de faire l'objet par la suite d'une condamnation par laCour européenne des droits de l'homme, Patrick de Ribemont ayant été mis hors de cause, en 1996.

Selon certains témoignages, il aurait collaboré à l'opération Condor.Manuel Contreras, chef de la police politique chilienne sous lerégime de Pinochet, déclare avoir échangé avec le ministre français des renseignements sur les « subversifs » sud-américains exilés en France et reçu l'aide de laDST pour l'arrestation de réfugiés de retour au Chili. Plusieurs assassinats d’exilés politiques chiliens se sont produits sur le sol français[18],[19].

À la suite de l'échec de la majorité auxélections municipales de mars 1977, Michel Poniatowski quitte le ministère de l'Intérieur et ne fait plus partie d'aucun gouvernement. Il participe, en 1978, à la fondation de l'Union pour la démocratie française (UDF), dont il est président d'honneur.

En 1978, il fait paraîtreL'avenir n'est écrit nulle part, qui aurait été rédigé par plusieursnègres, dontAlain de Benoist,Bruno Tellenne etPierre Vial[20].

Jusqu'en 1981, il est ambassadeur et représentant personnel du président de la République. Par la suite, le changement de majorité présidentielle fait passer sa carrière politique au second plan.

Député européen

[modifier |modifier le code]

De 1979 à 1989, Michel Poniatowski est député auParlement européen, où il préside la commission du Développement et de la Coopération (1979-1984) puis la commission de l’Énergie, de la Recherche et de la Technologie (1984). Entre 1982 et 1989, il est vice-président dugroupe libéral et démocratique[21].

Sénateur du Val-d'Oise

[modifier |modifier le code]

Il devient sénateur duVal-d'Oise en 1989, à la suite du décès dePierre Salvi. En 1995, il apporte son soutien à lacandidature présidentielle d'Édouard Balladur, contreJacques Chirac. Il ne se représente pas auxélections sénatoriales de la même année.

Partisan d’alliances avec le Front national

[modifier |modifier le code]

En, il soutient la fusion de la listeRPR-UDF avec celle duFront national lors de l'élection municipale partielle deDreux[22]. Il continue ensuite à approuver la conclusion d'ententes électorales avec le Front national, en prenant l'exemple de l'alliance entresocialistes etcommunistes. Il est désavoué par son parti en 1991, après avoir soutenu la conclusion d'accords avec le Front national pour lesélections régionales de 1992 et lesélections législatives de 1993. Il participe à la fondation deLa Droite deCharles Millon, en 1998.

En 1999, il démissionne de son mandat de maire de L'Isle-Adam, qui est repris par son fils,Axel Poniatowski.

Mort

[modifier |modifier le code]

Michel Poniatowski meurt le auRouret (Alpes-Maritimes). Leprésident de la République,Jacques Chirac, salue un « homme de conviction, profondément attaché aux idées libérales et à la construction européenne »[23].

Décorations

[modifier |modifier le code]

Publications

[modifier |modifier le code]
  • L'Avenir des pays sous-développés, SEFI, Paris, 1954.
  • Histoire de la Russie d'Amérique et de l'Alaska, Horizons de France, Paris, 1958,prix Thérouanne de l'Académie française en 1959.
  • Talleyrand aux États-Unis, 1794-1796, Presses de la Cité, Paris, 1967.
  • Les Choix de l'espoir, Grasset, Paris, 1970.
  • Cartes sur table, Fayard, Paris, 1972.
  • Conduire le changement : [entretiens avec Alain Duhamel], Fayard, Paris, 1975.
  • L'avenir n'est écrit nulle part, éd. Albin Michel, 1978.
  • Louis-Philippe et Louis XVIII : autour du journal de Louis-Philippe en, Perrin, Paris, 1980,prix Marie-Eugène Simon-Henri-Martin de l’Académie française en 1981.
  • L'Histoire est libre, Albin Michel, Paris, 1982.
  • Talleyrand et le Directoire : 1796-1800, Perrin, Paris, 1982.Grand Prix Gobert 1983.
  • Garnerin : le premier parachutiste de l'histoire, Albin Michel, Paris, 1983.
  • Lettre ouverte au Président de la République, Albin Michel, Paris, 1983.
  • L'Europe ou la mort, Albin Michel, Paris, 1984.
  • Le Socialisme à la française, Albin Michel, Paris, 1985.
  • Talleyrand et le Consulat, Perrin, Paris, 1986.
  • Les Technologies nouvelles : la chance de l'homme, Plon, Paris, 1986.
  • Talleyrand et l'ancienne France : 1754-1789, Perrin, Paris, 1988.
  • Que survive la France, Éditions du Rocher, Monaco/Paris, 1991.
  • La Catastrophe socialiste, Éditions du Rocher, Monaco/Paris, 1991.
  • Talleyrand : les années occultées (1789-1792), Perrin, Paris, 1995.
  • Mémoires, Plon (Paris)/Le Rocher (Monaco), 1997.

Dans la fiction

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Voir les ancêtres deCharles-Maurice de Talleyrand-Périgord sur la base deRoglo.
  2. Le prince Poniatowski et les Lignages de Bruxelles, dansLes Lignages de Bruxelles, Bulletin de l'Association des Descendants des Lignages de Bruxelles, janvier-juin 1981, n° 85-86, pp. 210-220.
  3. « Anciens élèves | Hattemer », surhattemer.fr(consulté le).
  4. « Biographie Michel Poniatowski Homme politique », surwww.whoswho.fr(consulté le).
  5. "Un si jeune président", parJean Bothorel, en 1995 auxÉditions Grasset[1].
  6. Le Monde du 29 janvier 1955[2].
  7. Le Monde du 15 août 1955[3].
  8. ab etcÉtienne de Montety, « Constance Guichard-Poniatowski : Je t'aime moi non plus »,Le Figaro,‎,p. 13(lire en ligne).
  9. « Le mot: "coquin" », surlemonde.fr,(consulté le).
  10. « La bataille de Simone Veil pour le droit à l’avortement », surLibération.fr(consulté le).
  11. « SOMMEDÏEUE, SON MAIRE ET SON CURÉ »,Le Monde diplomatique,‎.
  12. « M. Michel Poniatowski : " Un assassinat raciste " »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  13. « LE MAIRE DE NANCY VEUT CRÉER UN "CORPS DE SÉCURITÉ" »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  14. « DEUX MANIFESTANTS DE REDON SONT CONDAMNES POUR INFRACTION A LA LOI ANTI-CASSEURS »,Le Monde diplomatique,‎.
  15. Champ social, Paris,FeniXX, (1re éd. 1976), 320 p.(ISBN 978-2-348-00910-5,lire en ligne).
  16. Rémy Butler et Patrice Noisette,Le logement social en France (1815-1981) : De la cité ouvrière au grand ensemble, Paris,La Découverte,coll. « Fondations »,, 208 p.(ISBN 2-7071-1379-4,lire en ligne),chap. 2 (« Des villes nouvelles à la réhabilitation des grands ensembles »),p. 162.
  17. Christophe Carrière, « VIDEO. L'époque en chansons 6/8: "Je suis pour" »,(consulté le).
  18. « Amérique latine La connexion française », surL'Humanité,.
  19. SophieROSTAIN, « Tortionnaires français à l'export », surLibération,.
  20. Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent),Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII,, 701 p.(SUDOC 197696295,lire en ligne),p. 571.
  21. « Accueil - Députés », sureuropa.eu(consulté le).
  22. Il déclare : « Le danger fasciste en France ne vient pas de la droite, il vient de la gauche, dont c'est la vocation d'esprit et de méthode. Il faut donc voter contre les fascistes de gauche ».
  23. « Poniatowski passe l'arme à droite », surLibération.fr(consulté le).
  24. Décret du 12 juillet 1996.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Archives nationales

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
GouvernementsMessmer I,II etIII(5 juillet 1972 - 27 mai 1974)
Sous la présidence deGeorges Pompidou
Ministres d'État


Pierre Messmer
Défense nationale
Travail et Affaires sociales
Justice
Affaires étrangères
Intérieur
Économiques etFinancesValéry Giscard d'Estaing
Éducation nationaleJoseph Fontanet
Équipement,Logement, Aménagement du territoire etTourismeOlivier Guichard
Affaires culturelles
Agriculture et Développement rural
Développement industriel et scientifique
Santé publique et Sécurité sociale
Transports
Postes et Télécommunications
Anciens combattants et Victimes de GuerreAndré Bord
Commerce et Artisanat
Réformes administrativesAlain Peyrefitte
Protection de la nature et de l’Environnement
Relations avec le Parlement
Information
Outre-MerBernard Stasi
Fonction publiquePhilippe Malaud
Ministres délégués
Liste des secrétaires d’État
(← CHABAN-DELMAS) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHIRAC I →)
v ·m
GouvernementJacques Chirac I()
Sous laprésidence deValéry Giscard d'Estaing
Intérieur
Michel Poniatowski,ministre d'État
Secrétaire d'État(6) :Pierre-Christian Taittinger(6)

Jacques Chirac
Premier ministre
(en 1980)
Justice,garde des sceaux
Jean Lecanuetpuisministre d'État (6)
Secrétaire d'État à la Condition pénitentiaire :Hélène Dorlhac
Défense
Jacques Soufflet (dém) (5)puisYvon Bourges (5)
Secrétaire d'État (5) puis supprimé (8) :Marcel Bigeard (5) puis (dém) (8)
Réformespuis supprimé (1)Jean-Jacques Servan-Schreiber (dém) (1)
Affaires étrangères
Jean Sauvagnargues
Secrétaire d'État :Bernard Destremau
Secrétaire d'État (6) puis supprimé (7) :Jean François-Poncet (6) puis (dém) (7)
Économie et Finances
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État au Budget :Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation (6) :Christiane Scrivener (6)
Éducation
René Haby
Secrétaire d'État à l'Enseignement préscolaire puis supprimé (6) :Annie Lesur (dém) (6)
CoopérationPierre Abelin (dém) (6)puisJean de Lipkowski (6)
Équipement
Robert Galley
Secrétaire d'État au Logement :Jacques Barrot
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État (5) :Jean-François Deniau (5) puis (dém) (6)puisPierre Méhaignerie (6)
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) :Jean Tiberi (6)
Qualité de la vie
André Jarrot (dém) (6)puisAndré Fosset (6)
Secrétaire d'État à l'Environnement :Gabriel Péronnetpuis poste suspendu (4)puisPaul Granet (6)
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports :Pierre Mazeaud
Secrétaire d'État au Tourisme :Gérard Ducray (dém) (6)puisJacques Médecin (6)
Travail
Michel Durafour
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés :André Postel-Vinay (dém) (3)puisPaul Dijoud (3)
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels (6) :Lionel Stoléru (6)
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale :René Lenoir
Industrie etRecherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État aux Industries alimentaires (6) (double tutelle) :Jean Tiberi (6)
Commerce et ArtisanatVincent Ansquer
Anciens CombattantsSecrétaire d'État :André Bord
Postes et TélécommunicationsSecrétaire d'État :Pierre Lelong (dém) (5)puisAymar Achille-Fould (5) puis (dém) (6)puisNorbert Ségard (6)
TransportsSecrétaire d'État :Marcel Cavaillé
CultureSecrétaire d'État :Michel Guy
Commerce extérieurSecrétaire d'État puisministre (5) :Norbert SégardpuisRaymond Barre (6)
UniversitésSecrétaire d'État :Jean-Pierre SoissonpuisAlice Saunier-Seïté (6)
Départements et Territoires d'outre-merSecrétaire d'État :Olivier Stirn
Secrétaires d'État
auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement :René Tomasini
Secrétaire d'État à la Fonction publique :Roger Poudonson (dém) (4)puisGabriel Péronnet (4)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle :Paul GranetpuisJean-Pierre Soisson (6)
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement :André Rossi
Secrétaire d'État à la Condition féminine (2) :Françoise Giroud (2)
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Ajustement du
( MESSMER III]) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE I)
v ·m
GouvernementRaymond Barre I()
Sous laprésidence deValéry Giscard d'Estaing
Économie et Finances
Raymond Barre,Premier ministre
Ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l'Économie et des Finances :Michel Durafour
Secrétaire d'État au Budget auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances :Christian Poncelet
Secrétaire d'État à la Consommation auprès du ministre délégué à l'Économie et aux Finances :Christiane Scrivener

Raymond Barre
Premier ministre
Justice,garde des sceauxOlivier Guichard,ministre d'État
Intérieur
Michel Poniatowski,ministre d'État
Secrétaire d'État aux Départements et Territoire d'outre-mer :Olivier Stirn
Plan etAménagement du territoireJean Lecanuet,ministre d'État
Affaires étrangères
Louis de Guiringaud
Secrétaire d'État :Pierre-Christian Taittinger
DéfenseYvon Bourges
ÉducationRené Haby
CoopérationRobert Galley
Équipement
Jean-Pierre Fourcade
Secrétaire d'État aux Transports :Marcel Cavaillé
Secrétaire d'État au Logement :Jacques Barrot
Relations avec le ParlementRobert Boulin
Agriculture
Christian Bonnet
Secrétaire d'État :Pierre Méhaignerie
Travail
Christian Beullac
Secrétaire d'État aux Travailleurs immigrés :Paul Dijoud
Secrétaire d'État à la Condition des travailleurs manuels :Lionel Stoléru
Santé
Simone Veil
Secrétaire d'État à l'Action sociale :René Lenoir
Industrie etRecherche
Michel d'Ornano
Secrétaire d'État (1) :Claude Coulais (1)
Qualité de la vie
Vincent Ansquer
Secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports :Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État au Tourisme :Jacques Médecin
Commerce et ArtisanatPierre Brousse
Commerce extérieurAndré Rossi
Postes et TélécommunicationsSecrétaire d'État  :Norbert Ségard
Anciens CombattantsSecrétaire d'État  :André Bord
CultureSecrétaire d'État  :Françoise Giroud
UniversitésSecrétaire d'État  :Alice Saunier-Seïté
Secrétaires d'État
auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État à la Fonction publique  :Maurice Ligot
Secrétaire d'État  :Antoine Rufenacht
( CHIRAC I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BARRE II)
v ·m
Troisième République
(1915-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
CFLN etGPRF
(1943-1946)
Quatrième République
(1946-1958)
Cinquième République
(depuis 1959)
En italique : les ministres délégués, secrétaires d'État ou sous-secrétaires d'État seuls titulaires du portefeuille de la Santé
v ·m
Ministère de l'Intérieur
IIIe République
(1871 -1940)
Régime de Vichy
(1940 -1944)
France libre
(1941 -1944)
Gouvernement provisoire
(1944 -1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis1959)
v ·m
Chronologie des partis FNRI/PR/DL et de leurs présidents

 

1966

1974

1977

1988

1990

1995

1997

2002

 

1978

Période UDF

1998

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Michel_Poniatowski&oldid=230587306 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp