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Michel Barnier

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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBarnier.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecMichèle Bernier.

Michel Barnier
Illustration.
Michel Barnier en 2024.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(1 mois et 28 jours)
Élection28 septembre 2025(partielle)
Circonscription2e de Paris
LégislatureXVIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueDR
PrédécesseurJean Laussucq

(4 ans, 10 mois et 8 jours)
Élection5 juin 1988
Réélection21 mars 1993
Circonscription2e de la Savoie
LégislatureIXe etXe(Cinquième République)
Groupe politiqueRPR
PrédécesseurProportionnelle par département
SuccesseurHervé Gaymard

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection16 mars 1986
CirconscriptionSavoie
LégislatureVIIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueRPR

(7 ans, 11 mois et 29 jours)
Élection19 mars 1978
Réélection14 juin 1981
Circonscription2e de la Savoie
LégislatureVIe etVIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueRPR
PrédécesseurMaurice Blanc
SuccesseurProportionnelle par département
Premier ministre français
chargé de la Planification écologique et énergétique

(3 mois et 8 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
GouvernementBarnier
LégislatureXVIIe(Cinquième République)
CoalitionSocle commun
EPR(RE -MoDem -HOR -PRV -UDI)LR
PrédécesseurGabriel Attal
SuccesseurFrançois Bayrou
Négociateur en chef de l'Union européenne chargé de la préparation des relations futures avec le Royaume-Uni[a]

(4 ans, 5 mois et 30 jours)
PrésidentJean-Claude Juncker
Ursula von der Leyen
CommissionJuncker
von der Leyen
PrédécesseurFonction créée
SuccesseurFonction supprimée
Vice-président de la Commission européenne
Commissaire européen au marché intérieur et aux services

(4 ans, 8 mois et 21 jours)
PrésidentJosé Barroso
CommissionBarrosoII
PrédécesseurCharlie McCreevy
SuccesseurElżbieta Bieńkowska
Député européen

(6 mois et 27 jours)
Élection7 juin 2009
CirconscriptionÎle-de-France
Législature7e
Groupe politiquePPE
SuccesseurConstance Le Grip
Ministre de l'Agriculture et de la Pêche

(2 ans et 4 jours)
PrésidentNicolas Sarkozy
Premier ministreFrançois Fillon
GouvernementFillonII
PrédécesseurChristine Lagarde
SuccesseurBruno Le Maire
Ministre des Affaires étrangères

(1 an, 2 mois et 2 jours)
PrésidentJacques Chirac
Premier ministreJean-Pierre Raffarin
GouvernementRaffarinIII
PrédécesseurDominique de Villepin
SuccesseurPhilippe Douste-Blazy
Commissaire européen à la Politique régionale

(4 ans, 6 mois et 15 jours)
PrésidentRomano Prodi
CommissionProdi
PrédécesseurMonika Wulf-Mathies
SuccesseurJacques Barrot
Sénateur français

(2 ans et 1 jour)
Élection
CirconscriptionSavoie

(29 jours)
Élection24 septembre 1995
CirconscriptionSavoie
Ministre délégué aux Affaires européennes

(2 ans et 17 jours)
PrésidentJacques Chirac
Premier ministreAlain Juppé
GouvernementJuppéI etII
PrédécesseurAlain Lamassoure
SuccesseurPierre Moscovici
Ministre de l'Environnement

(2 ans, 1 mois et 18 jours)
PrésidentFrançois Mitterrand
Premier ministreÉdouard Balladur
GouvernementBalladur
PrédécesseurSégolène Royal
SuccesseurCorinne Lepage
Conseiller général de laSavoie

(26 ans et 8 jours)
CirconscriptionCanton de Bourg-Saint-Maurice
PrédécesseurAlexis Borrel
SuccesseurJacqueline Poletti
Biographie
Nom de naissanceMichel Jean Barnier
Date de naissance(74 ans)
Lieu de naissanceLa Tronche (France)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueUDR(jusqu’en 1976)
RPR(1976-2002)
UMP(2002-2015)
LR(depuis 2015)
Diplômé deÉcole supérieure de commerce de Paris
DistinctionsOfficier de la Légion d'honneur
ReligionCatholicisme

Signature de Michel Barnier

Image illustrative de l’article Michel Barnier
Premiers ministres français
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Michel BarnierÉcouter, né le àLa Tronche (Isère), est unhomme d'Étatfrançais. Plusieurs foisministre etcommissaire européen ainsi que négociateur en chef duBrexit pour l'Union européenne, il estPremier ministre du au.

Membre des principaux partisgaullistes successifs (UDR,RPR,UMP,LR), il s'engage en politique en 1973 enSavoie. Il est éludéputé dans ce département pour la première fois en 1978. Localement, il s'implique en particulier dans l'organisation desJeux olympiques d'hiver de 1992 àAlbertville.

Il est ministre à plusieurs reprises (Environnement, Affaires européennes, Affaires étrangères, Agriculture et Alimentation), deux foiscommissaire européen (Politique régionale ; Marché intérieur et Services financiers) etvice-président de la Commission européenne. En 2016, il est chargé par l'Union européenne de mener les négociations liées au Brexit puis de négocier lesrelations ultérieures avec leRoyaume-Uni.

Candidat aucongrès des Républicains de 2021 pour l'élection présidentielle de 2022, il est éliminé de justesse à l'issue du premier tour de cetteprimaire interne, arrivant en troisième position avec 23,9 % des voix avant de rallierValérie Pécresse.

En, en pleinecrise politique, il est nommé Premier ministre parEmmanuel Macron. Il forme ungouvernementminoritaire soutenu par lesocle commun (EPR-LR), qui estrenversé en suivant à la suite de son recours à l'article 49.3 de laConstitution pour laloi de financement de la Sécurité sociale. Avec trois mois et huit jours passés àMatignon, il est le deuxièmePremier ministre le plus éphémère de laCinquième République.

À l'occasion d'uneélection législative partielle organisée en 2025 dans ladeuxième circonscription de Paris, il retrouve les bancs de l'Assemblée nationale après 32 ans d'absence.

Biographie

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Origines et famille

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Michel Jean Barnier naît le[1] àLa Tronche (département de l'Isère), benjamin d'une fratrie de trois garçons[2],[3].

Son père est Jean Barnier, patron d'une petite entreprise industrielle degainerie[1],[b], et sa mère Denise Durand, militante d'associations sociales[c]. Son ascendanceagnatique est dauphinoise et fixée, de la quatrième à la onzième génération (début des registres auxviie siècle), àSaint-Étienne-de-Crossey, aujourd’hui dans le département de l’Isère[11].

Le, il épouse Isabelle Altmayer,avocate[1],[d], avec qui il a trois enfants[1] : Nicolas[e], Laetitia[f] et Benjamin[g].

Formation

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Après des études secondaires au lycée Jean-Moulin d'Albertville, puis aulycée du Parc àLyon, Michel Barnier fait ses études supérieures à l’École supérieure de commerce de Paris, dont il sort diplômé en 1972 (dans la même promotion queJean-Pierre Raffarin)[25]. Il étudie également à l'Institut d'études politiques de Paris[26]. Durant ses études à Paris, Michel Barnier est membre de laConférence Olivaint[27],[28].

Parcours politique

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Débuts et ascension

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Michel Barnier se consacre ensuite à la politique, après avoir adhéré dès l'adolescence à l'Union des démocrates pour la République (UDR), le parti gaulliste. Il est cadre de l'Union des jeunes pour le progrès (UJP), mouvement officiel des jeunes gaullistes[25].

Il est successivementchargé de mission au cabinet deRobert Poujade, ministre de l'Environnement (1973-1974),conseiller général de laSavoie pour lecanton de Bourg-Saint-Maurice (1973-1999) — « plus jeune conseiller général de France à 22 ans »[25] —, chargé de mission au cabinet dePierre Mazeaud, secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports (1974-1976), conseiller technique au cabinet d'Antoine Rufenacht, secrétaire d'État auprès du Premier ministre (1976-1977), puis secrétaire d'État au Commerce et à l'Artisanat (1977-1978).

À l’issue desélections législatives de 1978, il est éludéputé de la Savoie. À27 ans, il est leplus jeune député de l'Assemblée nationale[25]. Il est réélu auxélections législatives de 1981, marquées par une « vague rose » après l'élection deFrançois Mitterrand à la présidence de la République[29].

Le, il compte parmi les députés de droite qui rompent la discipline de groupe et votent en faveur de l'abolition de la peine de mort[30]. Le suivant, il fait partie des155 députés (la quasi-totalité de son groupe parlementaire) qui votent contre l'abrogation de l'alinéa 2 de l'article 331 du Code pénal réprimant toute relation homosexuelle avec un mineur de plus de quinze ans (par exception à la disposition générale qui n'interdit les relations sexuelles qu'avec mineur de moins de15 ans)[31],[32]. Le, il vote d'autre part contre leprojet de loi prévoyant le remboursement de l'IVG par la Sécurité sociale[33].

En 1982, afin de reprendre leconseil général de la Savoie à la gauche, une entente politique prenant le nom d'Union pour la Savoie entre la droite et le centre est passée, sous l'égide, entre autres, de Michel Barnier, et procède à la distribution des investitures auxélections cantonales. Il devient alors le plus jeune président de conseil général de l'histoire de la Savoie[25]. Dès son élection à la présidence de cette collectivité locale, il s'associe au triple champion olympiqueJean-Claude Killy pour porter la candidature et organiser lesJeux olympiques d'hiver de 1992, co-présidant avec lui le comité d'organisation des Jeux d'Albertville[34].

En 1995, alors qu’il est au gouvernement, il est élusénateur de la Savoie. Il n'exerce pas son mandat du fait de ses fonctions gouvernementales et est réélu en 1997. Il quitte le Sénat après sa nomination commecommissaire européen en 1999[35].

Il fait partie des sénateurs qui votent contre le projet de loi instituant lePacte civil de solidarité (PACS), union civile ouverte aux couples de sexes différents ou de même sexe, lors des séances des et[36],[37].

Premières responsabilités ministérielles

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Portrait de Michel Barnier en tant que membre de lacommission Prodi en 1999.
Ministre de l'Environnement
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Attentif aux questions écologiques, Michel Barnier engage dès 1986 une politique de protection de l'environnement en Savoie et publie, quatre ans plus tard, un rapport parlementaire intituléChacun pour tous et cent propositions pour l'environnement.

Il est nomméministre de l'Environnement dans legouvernement Balladur en et fait voter entre autres laloi Barnier, qui comprend notamment la création de laCommission nationale du débat public pour les grands projets d'infrastructures et instaure le début duprincipe de précaution. Cette loi institue également unefiscalité écologique, lataxe Barnier, afin de faire participer les passagers detransport maritime à laprotection légale d'espaces naturels[38]. Il est à l'origine du plan Loire Grandeur Nature (PLGN), adopté par lecomité interministériel du[21],[39].

Ministre délégué aux Affaires européennes
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Michel Barnier soutientÉdouard Balladur lors de lacampagne présidentielle de 1995.Jacques Chirac, vainqueur de l'élection, accepte malgré tout sa nomination dans legouvernement d'Alain Juppé[25].

La construction européenne, autre engagement fort de sa carrière, le conduit au ministère délégué aux Affaires européennes de 1995 à 1997. À ce titre, il est le chef de la délégation française pour la négociation dutraité d'Amsterdam[40]. Au sein du gouvernement, il s'attache à deux priorités : la présence française dans tous les pays d'Europe centrale,orientale etbaltes et l'explication de l’Europe aux citoyens[41].

Commissaire européen

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Michel Barnier en 2002.

Nommécommissaire européen le, Michel Barnier a la responsabilité d’animer la politique régionale et de cohésion. Il est chargé, par ailleurs, de la réforme des institutions et de laConvention sur l'avenir de l'Europe : lors duConseil européen des 14 et 15 décembre 2001, il est désigné, avec son collègueAntónio Vitorino, pour représenter laCommission européenne au sein du présidium de la Convention sur l’avenir de l’Europe, présidée parValéry Giscard d'Estaing. Cette convention se fixe pour objectif d’élaborer une proposition de constitution pour l’Union européenne,« la plus simple et lisible possible », pour lui permettre de répondre aux enjeux de l’élargissement de l'UE tout en renforçant sa dimension politique. C’est dans ce cadre que Michel Barnier se voit confier la présidence du groupe de travail sur la défense européenne.

Le, alors qu'il estinvité d'honneur desfêtes johanniques d'Orléans, il estentarté avec une assiette demousse à raser par un militant de l'Action française à la sortie de l'hôtel Groslot[21],[42].

En 2003, Michel Barnier fonde un club politique nommé « Nouvelle République », dont l'objectif est de faire dialoguer entre eux les décideurs politiques, les chefs d'entreprises et les membres de la société civile de tous bords, ainsi que d'ouvrir le débat français aux idées européennes et internationales[43].

Retour au gouvernement français

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Ministre des Affaires étrangères
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Michel Barnier etColin Powell,secrétaire d'État des États-Unis, en 2004.

Michel Barnier est nomméministre des Affaires étrangères dans letroisième gouvernement Jean-Pierre Raffarin le, lors du remaniement après la défaite de la droite auxélections régionales.

L'enlèvement de deux journalistes,Christian Chesnot etGeorges Malbrunot, par l'Armée islamique en Irak, le conduit dans les pays duProche-Orient en -, pour conduire, avec les services de l'État, les négociations afin d'obtenir leur libération, qui a lieu après124 jours de captivité, le. En tant que ministre des Affaires étrangères, il est également impliqué dans l'action diplomatique française visant la libération deFlorence Aubenas. Celle-ci est libérée après157 jours de captivité.

Le, il signe l'accord à l'origine de la création dulaboratoire P4 deWuhan[44],[45], lieu d'origine contesté de lapandémie de Covid-19[46].

Non reconduit dans legouvernement Villepin en juin 2005, il est nommé auConseil d'État à compter du, au tour extérieur par décret du[47].

Conseiller politique
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Michel Barnier,ministre de l'Agriculture et de la Pêche, en 2008.

En, Michel Barnier est nommé vice-président du groupe Mérieux Alliance (holding regroupant un ensemble de sociétés dans le domaine de la biologie). Aux côtés d'Alain Mérieux, il est chargé d'animer les relations avec les grands organismes de santé internationaux, les instances économiques et financières, les acteurs du développement mondial. Il quitte ses fonctions en, lors de son retour au gouvernement.

En 2006, il est également conseiller spécial du président de laCommission européenne,José Manuel Durão Barroso. Il présente au Conseil européen, le, un rapport proposant la création d’une force européenne de protection civile[48].

Il est membre dugroupe Amato, qui permet de rédiger un projet modificatif dutraité de Lisbonne jusqu'au.

Devenu conseiller politique de l'UMP le, il se rapproche deNicolas Sarkozy et lui apporte son soutien lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2007[49]. Entendu comme témoin dans l'affaire Clearstream en octobre 2006, il met en cause Dominique de Villepin, l'accusant de s'être livré à une sorte d'enquête parallèle dans ce dossier impliquant Nicolas Sarkozy[50].

Ministre de l'Agriculture
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Le, il est nommé, à la suite desélections législatives de 2007, ministre de l'Agriculture et de la Pêche dudeuxième gouvernement de François Fillon. En, en pleine réforme de laPAC, laFDSEA duLoiret l'accueille avec des sifflets àPolytech Orléans et lui décerne la« médaille du plus mauvais négociateur européen »[21]. Il reste en fonction jusqu'à son élection auParlement européen en juin 2009.

Il est également vice-président duParti populaire européen (PPE). Il est réélu à cette fonction en, avec l'IrlandaiseLucinda Creighton.

Nouvelles responsabilités européennes

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Député européen
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Le, Michel Barnier annonce qu'il sera candidat auxélections européennes de 2009 en France. Le, le conseil national de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) le désigne comme tête de liste pour lacirconscription Île-de-France, avecRachida Dati en deuxième position[51]. Cette liste, intitulée « Quand l'Europe veut, l'Europe peut - Majorité Présidentielle - UMP - Nouveau Centre - la Gauche moderne », arrive en tête en réunissant 29,60 % des voix[52].

Michel Barnier etAngela Merkel lors d'un congrès organisé par leParti populaire européen àVarsovie (2009).

Après son élection commedéputé européen, Michel Barnier devient président de la délégation française au groupe duParti populaire européen et rejoint lacommission des affaires constitutionnelles[53].

Commissaire européen au marché intérieur
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De 2010 à 2014, Michel Barnier estvice-président de la Commission européenne et, au sein de laseconde commission Barroso, il est commissaire européen au Marché intérieur et aux Services.

Portrait de Michel Barnier comme député européen (2014).

Il est candidat à la candidature au sein du PPE afin de mener la liste du parti auxélections européennes de 2014 et donc de briguer le poste deprésident de la Commission européenne en cas de victoire. Il est toutefois battu par l'ancienPremier ministre du LuxembourgJean-Claude Juncker[54]. Peu après sort l'ouvrageSe reposer ou être libre, qui décline le projet européen qu'il avait prévu en cas de victoire, puis il se déclare en candidat pour être tête de liste UMP lors desélections régionales de l'année suivante dans la futureAuvergne-Rhône-Alpes[55]. Le, c'est finalementLaurent Wauquiez, secrétaire général de l'UMP, qui lui est préféré par la commission d'investiture du parti[56]. Lors de la préparation de l’élection présidentielle de 2017, il soutientBruno Le Maire pour laprimaire française de la droite et du centre de 2016[57].

Conseiller spécial européen
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En, Michel Barnier est nommé parJean-Claude Juncker conseiller spécial pour la politique de défense et de sécurité auprès de laCommission européenne. Le, Jean-Claude Juncker le nomme négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec leRoyaume-Uni au titre de l'article 50 du traité sur l'Union européenne. Au vu des résultats duréférendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne, Michel Barnier est chargé de préparer et diriger les négociations sur les conditions duretrait du Royaume-Uni de l'Union européenne. Il entre en fonctions le[58]. Il ambitionne à nouveau de briguer la fonction deprésident de la Commission européenne[59].

En 2016, la juge d’instruction française Sabine Kheris demande le renvoi devant laCour de justice de la République de Michel Barnier,Dominique de Villepin etMichèle Alliot-Marie. Anciens ministres, ils sont suspectés d'avoir permis l'exfiltration des mercenaires responsables de l'attaque contre lecamp de Bouaké en 2004, faisant neuf morts parmi les soldats français. L'opération aurait visé à justifier une opération de riposte contre le pouvoir deLaurent Gbagbo dans le cadre de lacrise en Côte d’Ivoire de 2004[60]. Le, la commission des requêtes de la Cour de justice de la République rend son avis indiquant l’abandon des poursuites, rien ne montrant, après enquête, l’implication des anciens ministres[61].

Fin 2018, Michel Barnier entre en négociations avec les cadres deLa République en marche (Christophe Castaner,Stanislas Guerini,Stéphane Séjourné) pour prendre la tête de la liste du parti auxélections européennes, mais cette tentative n'aboutit pas[16].

Au cours de l’année 2019, Michel Barnier est pressenti au sein de La République en marche pour la présidence de la Commission européenne, mais la fonction revient finalement à l'AllemandeUrsula von der Leyen[62]. Après l’échec de la candidature deSylvie Goulard, proposée parEmmanuel Macron, lesecrétaire général de la présidence de la République française,Alexis Kohler, propose à Michel Barnier de redevenir commissaire européen à la condition qu’il quitte le PPE pour adhérer àRenew Europe, mais celui-ci décline l’offre[63],[64].

Négociateur de l'Union européenne lors du Brexit
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Article détaillé :Retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne.
Michel Barnier avecJean-Claude Juncker en 2015.

En 2016, Michel Barnier est nommé négociateur en chef de l'Union européenne pour mener les négociations liées auBrexit.

Le, il est nommé pour un an à la fonction de représentant de l'UE chargé de la future relation avec le Royaume-Uni.

Il est dans le même temps pressenti pour devenir commissaire européen, maisUrsula von der Leyen se montre réticente à cette idée en raison de son poids politique tandis qu'Emmanuel Macron considère son appartenance au PPE comme un obstacle à sa nomination[65].

Candidature au congrès des Républicains de 2021

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Articles détaillés :Congrès des Républicains de 2021 etÉlection présidentielle française de 2022.

À partir de début 2021, Michel Barnier manifeste des ambitions pour laprésidence de la République française. Dans cette perspective, il s'entoure d'Arnaud de Villardi de Montlaur, ancientradeur qui a supervisé le financement de la campagne de François Fillon, pour la levée des fonds auprès de donateurs[66],[67]. Il fonde et prend la présidence d’uncercle de réflexion, nommé « Patriotes et européens », réunissant une quarantaine de députés et sénateurs LR pour réfléchir aux enjeux de souveraineté, économique notamment[68].Le Canard enchaîné affirme qu’il approche des personnalités de droite afin de leur proposer des ministères au sein de son gouvernement en échange de leur soutien, offrant notamment àFrançois Baroin la fonction de Premier ministre[69]. Le, auJT de20 heures deTF1, il annonce être candidat à l’élection présidentielle de 2022[70].

Il souhaite notamment unmoratoire de trois à cinq ans sur l'immigration dans l’Union européenne, à l'exception des étudiants et des demandeurs d'asile, pour pouvoir étudier les problèmes liés à l'immigration en France[71]. En, il publie l’ouvrageLa Grande Illusion : journal secret du Brexit (2016-2021), qui retrace les négociations qu'il a menées en tant que négociateur en chef de l'UE lors du Brexit[72] ; la même année, le livre est traduit en anglais et en espagnol[73]. En, il prône une « souveraineté juridique » de la France[74], un « bouclier constitutionnel » temporaire sur les questions de migrations, afin d'éviter que les dirigeants français ne soient« menacés en permanence d’un arrêt ou d’une condamnation de laCour de justice européenne ou de laConvention des droits de l’homme, ou d’une interprétation de notre propre institution judiciaire », ce qui selonLe Monde constitue une mise en cause des fondements de l'Union européenne[75],[76]. Il affirme qu'en matière d'immigration« si on ne change rien, il y aura d’autres Brexit »[77]. Il propose de« stopper immédiatement les régularisations, limiter rigoureusement le regroupement familial, réduire l'accueil des étudiants étrangers et l’exécution systématique de ladouble peine »[78]. Il se déclare favorable à l'interdiction duvoile dans l'espace public et dans les universités[79]. Concernant les questions économiques, il propose« une baisse des taxes pour les entreprises qui produisent en France » et la création d'« un Fonds national souverain et le doublement des crédits de la recherche pour soutenir les secteurs stratégiques ». Il souhaite également« une baisse descotisations sur les salaires intermédiaires, entre 1,6 et 2,6Smics » et« la suppression de toutes les charges pendant trois ans pour le premier emploi d'un jeune »[80]. Par ailleurs, il prône l'augmentation de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à65 ans, l’augmentation de ladurée hebdomadaire du temps de travail et l'instauration d'une aide sociale unique remplaçant les aides sociales et conditionnée à une disponibilité du bénéficiaire, notamment pour« effectuer des activités utiles à la collectivité ou en entreprise »[78],[81].

En, s’il reste derrièreXavier Bertrand etValérie Pécresse dans lesintentions de vote pour la présidentielle avec environ 10 % des voix au premier tour, il est celui qui collecte le plus de signatures d’élus LR en vue ducongrès du parti. Contrairement à ses deux principaux concurrents, il bénéficie du fait de n’avoir jamais quitté LR, en proie à des difficultés électorales[82]. Au premier tour du congrès LR, le, il arrive en troisième position avec 23,93 % des voix, derrièreÉric Ciotti (25,59 %) et Valérie Pécresse (25,00 %). En vue du second tour, il appelle à voter pour Valérie Pécresse[83]. Après la victoire de cette dernière (60,95 %), il devient son conseiller international[84]. Le, Valérie Pécresse est éliminée au premier tour de l'élection présidentielle en obtenant seulement 4,78 % des suffrages exprimés, soit le plus faible score réalisé par la droite traditionnelle lors d'untel scrutin sous laVe république[85]. Le lendemain, Michel Barnier affirme au micro deFrance Inter qu'il votera« pourEmmanuel Macron sans état d'âme » au second tour face àMarine Le Pen, disant ne pas se reconnaître dans les thèses de l'extrême droite[86],[87].

Premier ministre

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Nomination et formation du gouvernement
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Article détaillé :Gouvernement Barnier.
Michel Barnier en 2023.

L'hypothèse d'une nomination de Michel Barnier à la fonction dePremier ministre commence à apparaître dans lapresse française durant l'entre-deux tours desélections législatives anticipées de juin-juillet 2024, qui ont lieu après ladissolution parlementaire décrétée par leprésident de la République,Emmanuel Macron, alors que leRassemblement national vient de remporter lesélections européennes[88],[89],[90]. Cette possibilité intervient alors que le RN est estimé en tête mais sansmajorité absolue dans les sondages[89],[90].

Le, dans un contexte decrise politique en raison d'uneabsence de majorité parlementaire, le nom de Michel Barnier est avancé par la ministre démissionnaireAurore Bergé dans un entretien auFigaro[93]. Dans la foulée, Emmanuel Macron soumet cette hypothèse à ses collaborateurs[94],[95]. De son côté, Michel Barnier se montre« très intéressé par le poste » selonL'Opinion[94]. Le, Emmanuel Macron teste cette éventualité auprès des chefs des différents partis représentés auParlement, avec qui il mène des consultations depuis deux semaines[96]. L'objectif affiché du président est alors de trouver la personnalité la moins susceptible d'être immédiatementcensurée[97].

Le, Michel Barnier est nommé Premier ministre par Emmanuel Macron, succédant àGabriel Attal, démissionnaire depuis le précédent[98],[99],[100]. À73 ans, il devient ainsi le Premier ministre le plus âgé de laVe République à la date de son entrée en fonction[88],[101]. Il forme un gouvernementminoritaire dedroite et decentre droit avecEnsemble pour la République etLes Républicains. La composition du nouveaugouvernement est annoncée le. La durée entre la nomination du Premier ministre et celle des autres membres du gouvernement (seize jours) est un record dans l'histoire du pays[102],[103].

Exercice de la fonction
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Pour son premier déplacement officiel en tant que nouveau Premier ministre, le, Michel Barnier se rend à l'hôpital Necker-Enfants malades, situé dans le15e arrondissement de Paris[104],[105]. Lors de son passage, il indique notamment que« la santé publique sera une priorité dans les campagnes et les villes » et qu'il est« sous la surveillance de tous les Français » en répondant àJordan Bardella[106],[107],[108],[109].

À partir du, il évoque une potentielle hausse d'impôts par son gouvernement, ce qui lui attire la réprobation du camp présidentiel ainsi que des oppositions[110],[111],[112].

Les négociations sont difficiles avec le président de la République, au point qu'une démission de Michel Barnier est évoquée dès la fin du mois de septembre[113]. Le, après le rejet d'une première liste de ministres par le président Macron et à la suite d'un accord entre le bloc macroniste etLes Républicains, Michel Barnier soumet une liste de trente-huit membres de gouvernement au chef de l'État[114]. Le gouvernement est ensuite annoncé le parAlexis Kohler,secrétaire général de l'Élysée : il compte trente-quatre ministres, majoritairement macronistes, et cinq secrétaires d'État[115],[116].

Michel Barnier fait sadéclaration de politique générale devant l'Assemblée nationale le[117]. Songouvernement étant soutenu par une minorité de députés, aucunvote de confiance n'est sollicité de sa part[118]. Cependant, le suivant, lorsqu'une premièremotion de censure est déposée par leNouveau Front populaire (NFP) à l'encontre du gouvernement, elle est rejetée par une majorité de députés, leRassemblement national (RN) ayant refusé de la voter et s'étant abstenu[119].

Censure du gouvernement et démission
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Article détaillé :Motion de censure du 4 décembre 2024 en France.
Michel Barnier avecUrsula von der Leyen en novembre 2024.

Le, Michel Barnier invoque l'article 49.3 de laConstitution pour faire adopter laloi de financement budgétaire de laSécurité sociale pour l'année 2025 sans soumettre le texte à unvote parlementaire[120]. Le NFP et le RN déposent chacun unemotion de censure contre songouvernementminoritaire[121],[122].

Le, lamotion du NFP est adoptée par l'Assemblée nationale avec 331 voix sur 574, dont celles du RN, faisant ainsi tomber le gouvernement de Michel Barnier. Dès le lendemain, celui-ci remet sa démission à Emmanuel Macron et se voit chargé de la gestion desaffaires courantes[123],[124].

C'est le secondgouvernement de laVe République à être censuré après lepremier gouvernement Pompidouen 1962 ; avec 99 jours, il s'agit duhuitième gouvernement le plus éphémère de laVe République et le deuxième hors période de transition électorale après letroisième gouvernement Messmer (89 jours). Avec trois mois et huit jours passés comme chef du gouvernement, Michel Barnier devient lePremier ministre le plus éphémère de laVe République.

François Bayrou lui succède àMatignon le[125].

Retour à l'Assemblée nationale

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Michel Barnier en avril 2025.

Lors ducongrès des Républicains de mai 2025, Michel Barnier soutient la candidature deBruno Retailleau, resté ministre dans legouvernement Bayrou et finalement vainqueur face àLaurent Wauquiez. L'ancien Premier ministre est dans la foulée nommé président du conseil national de LR par le nouveau président du parti[126]. Dans le cadre de la promotion de son ouvrageCe que j’ai appris de vous, il déclare alors ne pas exclure une candidature à l'élection présidentielle de 2027[127].

Michel Barnier annonce se porter candidat à l’élection législative partielle de septembre 2025 dans ladeuxième circonscription de Paris, à la suite de l'invalidation des comptes de campagne deJean Laussucq[128]. Il obtient l'investiture de LR contreRachida Dati, ministre de la Culture et maire du7e arrondissement, qui annonce maintenir sa candidature, dénonce unparachutage et se voit donnée gagnante par un sondageIfop[129],[130],[131]. Finalement investie candidate par LR auxélections municipales de 2026 à Paris, Rachida Dati se retire[132]. Michel Barnier arrive en tête du premier tour avec 45,2 % des suffrages exprimés[133]. Au second tour, dans un contexte de forte abstention (75 %), il l'emporte avec 62,6 % face à l'ancienne ministre socialisteFrédérique Bredin[134].

L'ancien Premier ministre retrouve ainsi un mandat de député 32 ans après avoir quitté les bancs de l'Assemblée nationale, alors représentant de la Savoie. Il devient le50e membre dugroupe Droite républicaine (DR), ainsi que le seul député LR de Paris[135].

Détail des mandats et fonctions

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Au gouvernement

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À l'Assemblée nationale

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Au Sénat

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Au niveau européen

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Au niveau local

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Au sein de partis politiques

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  • à partir de 1984 : secrétaire général auRPR, chargé des élus départementaux
  • jusqu’en 1999 : membre du bureau politique du RPR
  • à partir de 2003 : président fondateur du club Nouvelle République
  • à partir de 2006 : conseiller politique deNicolas Sarkozy
  • à partir du : vice-président duParti populaire européen
  • à partir de 2008 : conseiller politique à l'UMP
  • depuis le 20 mai 2025 : président du conseil national deLR

Synthèse des résultats électoraux

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Primaire présidentielle

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AnnéeParti1er tour
Voix%RangIssue
2021LR26 97023,933eÉliminé

Élections législatives

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AnnéePartiCirconscription1er tour2d tourIssue
Voix%RangVoix%Rang
1978[29]RPR2e de la Savoie22 01649,041er26 15454,371erÉlu
1981[29]22 66555,331erÉlu
1988[29]27 87164,201erÉlu
1993[29]27 65260,161erÉlu
2025LR2e de Paris8 70245,151er11 18062,621erÉlu

Élections sénatoriales

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AnnéePartiCirconscription1er tourIssue
Voix%Rang
1995[136]RPRSavoie53252,411erÉlu
19971erÉlu

Élections européennes

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Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

AnnéePartiCirconscriptionVoix%RangSièges obtenus
2009[137]UMP(NC-LGM)Île-de-France828 17229,601er
5  / 13

Publications

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Ouvrages

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  • Vive la politique,
  • Le défi écologique, chacun pour tous,
  • L'Atlas des risques majeurs,
  • Vers une mer inconnue,
  • Notre contrat pour l'alternance,
  • Sortir l'Europe des idées reçues, Librairie Académique Perrin,, 182 p.(ISBN 978-2-26202-364-5)
  • L'Atlas pour un monde durable,
  • L'Europe cartes sur table, Acropole Belfond,, 142 p.(ISBN 978-2-73570-302-9)
  • Qui va nourrir le monde ?, Acropole Belfond,, 192 p.(ISBN 978-2-73570-308-1)
  • Se reposer ou être libre, Gallimard,, 240 p.(ISBN 978-2-07014-490-7)
  • La Grande Illusion : journal secret duBrexit (2016-2020), Gallimard,, 543 p.(ISBN 978-2-07288-001-8)
  • Ce que j'ai appris de vous, Calmann-Lévy,, 437 p.

Préfaces

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Distinctions

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Décorations françaises

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Décorations étrangères

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Décorations internationales

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Ordre olympique échelon orOrdre olympique échelon or (Comité international olympique), à l'issue desJeux olympiques d'hiver d'Albertville en 1992[148]

Presse internationale

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En 2001 et en 2005, il reçoit le prix de la presse internationale décerné parLe Trombinoscope[1].

En 2019, le magazine américainForeign Policy le classe dans leTop10 des penseurs mondiaux dans le domaine « Économie et affaires »[149].

Notes et références

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Notes

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  1. Chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni jusqu'au 15 novembre 2019
  2. Jean André Marcel Barnier est né le àGrenoble et mort le àAlbertville[4],[5],[6],[7],franc-maçon, d'origineiséroise etsavoyarde[8].
  3. Denise Claire Durand est née le àLa Tronche et morte le àAlbertville[9]. Sa famille est originaire duSud de la France[8]. Elle estcatholique de gauche pratiquante[10] à l’origine d’une section en Haute-Savoie pour laLigue contre la violence routière à la suite de la mort d'un de ses petits-enfants de8 ans[3].
  4. De 2007 à 2010, Isabelle Altmayer estchargée de mission auprès deRoselyne Bachelot quand Michel Barnier estministre de l'Agriculture et de la Pêche. En 2024, elle est responsable de la communication et de la recherche de fonds pour lafondation « La Vie au Grand Air », spécialisée dans laprotection de l'enfance[12]. Elle est l'arrière-petite-fille du généralVictor Joseph Altmayer[13], la petite-fille du généralRené Altmayer[13] et la sœur des producteursÉric et Nicolas Altmayer[12] et de la femme politique Ségolène Missoffe[13], ancienne adjointe (UDI[14]) au maire deBoulogne-Billancourt etconseillère régionale d'Île-de-France[15].
  5. Nicolas Barnier, est engagé en politique. En 2009, il devientcollaborateur dusénateurUMP duHaut-RhinHubert Haenel. Par la suite, il estchargé de mission deJean Bizet, sénateur UMP de laManche. En 2017, après une parenthèse dans leprivé au sein dugroupe Bolloré (commeVRP deBlue Solutions), il devientdirecteur de campagne deGrégory Besson-Moreau lors desélections législatives. Il aide ce dernier à se faire élire député de l'Aube face au députéLR sortant, lesouverainiste de droiteNicolas Dhuicq[16]. De à, il est son collaborateur parlementaire et conseiller politique[17],[18]. En novembre 2018, il tente d'intégrer la liste deLa République en marche auxélections européennes en position éligible, mais échoue dans cette entreprise malgré le soutien de son père. Il est finalement recasé comme numéro trois de la liste duMouvement réformateur enWallonie, avec le soutien du Premier ministre belgeCharles Michel et du président françaisEmmanuel Macron. Il n'est pas élu et tente sans succès se faire recruter dans le cabinet delobbying deThierry Coste, alors conseiller officieux d'Emmanuel Macron sur la ruralité[16]. En, il devient chargé de mission dudirecteur de cabinet duprésident du Sénat, Gilles Lagarde, pour« l’agenda rural »[19]. En, il est candidat auxélections régionales en Centre-Val-de-Loire. Figurant en dixième position sur la liste LR deConstance de Pélichy dans leLoiret (où sa famille maternelle dispose d'une propriété du côté deLa Ferté-Saint-Aubin), il n'est pas élu[20],[21]. En, il est nommé directeur de l'Agence Île-de-France Ruralité, qui aide les communes rurales de la région à monter des projets[17].
  6. Laetitia Barnier, née en 1990, estpsychologue. Elle travaille au centre de crise et de soutien duministère de l'Europe et des Affaires étrangères[22],[23].
  7. Benjamin Barnier, jumeau avec Laëtitia, estagent littéraire[24].

Références

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  124. Noémie Lair, « Gouvernement : Emmanuel Macron "a pris acte" de la démission du Premier ministre Michel Barnier », surIci,(consulté le).
  125. Mathilde Siraud, « L'incontournable Monsieur Bayrou, nommé Premier ministre », surLe Point,(consulté le).
  126. https://www.lefigaro.fr/politique/bruno-retailleau-annonce-la-nomination-de-michel-barnier-comme-president-du-conseil-national-de-lr-20250520
  127. https://www.leparisien.fr/politique/michel-barnier-lambition-qui-ne-prend-pas-une-ride-2027-nest-pas-du-tout-un-tabou-pour-lui-07-06-2025-CISRD5MYWBBSLHBTKHNMBB2KIE.php
  128. « Législative partielle : Michel Barnier annonce sa candidature dans la deuxième circonscription de Paris »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  129. « Législative à Paris : Rachida Dati se déclare candidate sans attendre le résultat de la commission nationale de LR, qui a investi Michel Barnier », surLe Monde,(consulté le)
  130. https://www.leparisien.fr/politique/legislative-partielle-a-paris-un-sondage-place-dati-en-tete-face-a-barnier-24-07-2025-D7UITEBTHBD2XMGVZ7WAKMS3EE.php
  131. https://www.commission-des-sondages.fr/notices/files/notices/2025/juillet/9971-leg-paris-ifop-le-parisien-24-juillet.pdf
  132. « Municipales à Paris : officiellement investie par LR, Rachida Dati ne se présentera pas face à Michel Barnier à la législative partielle »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le)
  133. « Législative à Paris : Michel Barnier en tête du 1er tour, second tour prévu dimanche contre la PS Frédérique Bredin »,Sud Ouest,‎(lire en ligne, consulté le)
  134. https://cdn.paris.fr/paris/2025/09/28/elections-legislatives-partielles-2025-2eme-circonscription-resultats-du-second-tour-dimanche-28-septembre-2025-rKXJ.pdf
  135. https://www.lefigaro.fr/politique/legislative-partielle-a-paris-michel-barnier-redevient-depute-32-ans-apres-avoir-quitte-les-bancs-de-l-assemblee-20250928
  136. « Résultats des élections sénatoriales de 1995 : Savoie », surPolitiquemania(consulté le).
  137. « Résultats des élections européennes 2009 : Île-de-France », surarchives-resultats-elections.interieur.gouv.fr(consulté le).
  138. Décret du 31 décembre 2006 portant promotion et nomination.
  139. Au titre d'« ancien ministre des affaires étrangères »
  140. Décret du 11 juillet 1997 portant promotion et nomination.
  141. Au titre de « ancien ministre, ancien co-président du comité d'organisation des Jeux olympiques d'Albertville ; 25 ans d'activités professionnelles, de services civils, militaires et de fonctions électives. »
  142. « Article 9 - Décret n°59-729 du 15 juin 1959 RELATIF A L'ORDRE DU MERITE AGRICOLE (COMPOSITION DE L'ORDRE CONTINGENT, NOMINATIONS, PROMOTIONS, DISCIPLINE, CONTROLE) - Légifrance », surLégifrance.
  143. « Décret n° 2002-88 du 17 janvier 2002 relatif à l'ordre du Mérite maritime - article 3 », surlegifrance.gouv.fr(consulté le).
  144. « Resolución N° 939/997 », Centre d'informations officielles de l'Uruguay,(consulté le).
  145. (pl) « Postanowienie Prezydenta Rzeczypospolitej Polskiej z dnia 5 maja 1998 r. o nadaniu orderów i odznaczenia »[PDF], Actes juridiques du gouvernement polonais,(consulté le).
  146. a etb« Entidades estrangeiras agraciadas com ordens portuguesas »,Présidence de la République du Portugal,(consulté le).
  147. (en) « Michel Barnier awarded the Star of Romania National Order by president Iohannis », surstiripesurse.ro,(consulté le).
  148. « La fête est terminée »,L'Express,‎,p. 28 sur 32(lire en ligne[PDF]).
  149. « Michel Barnier – FP’s Global Thinkers », surForeign Policy(consulté le).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Députés
Sénateurs
v ·m
Présidence de
Charles de Gaulle
Georges Pompidou
Valéry Giscard d'Estaing
François Mitterrand
Jacques Chirac
Nicolas Sarkozy
François Hollande
Emmanuel Macron
v ·m
Gouvernement Édouard Balladur()
Sous laprésidence deFrançois Mitterrand
Affaires sociales,Santé etVille
Simone Veil,ministre d'État
Ministre délégué à la Santé :Philippe Douste-Blazy,porte-parole du Gouvernementà partir du 19 janvier 1995 (4)

Édouard Balladur
Premier ministre
Intérieur etAménagement du territoire
Charles Pasqua,ministre d'État
Ministre délégué à l'Aménagement du territoire etaux Collectivités locales :Daniel Hoeffel
Justice,garde des sceauxPierre Méhaignerie,ministre d'État
DéfenseFrançois Léotard,ministre d'État
Affaires étrangères
Alain Juppé
Ministre délégué à l’Action humanitaire et aux Droits de l’homme :Lucette Michaux-Chevry
Ministre délégué aux Affaires européennes :Alain Lamassoure
Éducation nationaleFrançois Bayrou
ÉconomieEdmond Alphandéry
Industrie,Postes et Télécommunications etCommerce extérieurGérard Longuet (dém) (2)puisJosé Rossi (2)
Équipement,Transports etTourismeBernard Bosson
Entreprises et Développement économique, Petites et moyennes entreprises,Commerce etArtisanatAlain Madelin
Travail,Emploi etFormation professionnelleMichel Giraud
Culture etFrancophonieJacques Toubon
BudgetNicolas Sarkozy,porte-parole du Gouvernementjusqu'au 19 janvier 1995 (4)
Agriculture et PêcheJean Puech
Enseignement supérieur etRechercheFrançois Fillon
EnvironnementMichel Barnier
Fonction publiqueAndré Rossinot
LogementHervé de Charette
CoopérationMichel Roussin (dém) (3)puisBernard Debré (3)
Départements et Territoires d'Outre-merDominique Perben
Jeunesse et SportsMichèle Alliot-Marie
CommunicationAlain Carignon (dém) (1)puisNicolas Sarkozy (1)
Anciens Combattants et Victimes de guerrePhilippe Mestre
Ministres auprès duPremier ministre
Ministre délégué aux Relations avec l’Assemblée nationale :Pascal Clément
Ministre délégué aux Relations avec le Sénat,chargé des Rapatriés :Roger Romani
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement des et
  • (3) Remaniement du
  • (4) Ajustement du
( BÉRÉGOVOY) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (JUPPÉ I)
v ·m
Gouvernement Alain Juppé I()
Sous laprésidence deJacques Chirac
Justice,garde des sceauxJacques Toubon
Alain Juppé
Premier ministre
Économie et Finances
Alain Madelin (dém) (2)puisJean Arthuis (2)
Secrétaire d'État au Budget :François d'Aubert
Secrétaire d'État aux Finances :Hervé Gaymard
Éducation nationale,Enseignement supérieur,Recherche et Insertion professionnelle
François Bayrou
Secrétaire d'État à l'Enseignement supérieur :Jean de Boishue
Secrétaire d'État à la Recherche :Élisabeth Dufourcq
Secrétaire d'État à l'Enseignement scolaire :Françoise Hostalier
Aménagement du territoire,Équipement etTransports
Bernard Pons
Secrétaire d'État aux Transports :Anne-Marie Idrac
Secrétaire d'État au Développement rural :Raymond-Max Aubert
Affaires étrangères
Hervé de Charette
ministre délégué à la Coopération :Jacques Godfrain
ministre délégué aux Affaires européennes :Michel Barnier
Secrétaire d'État chargé de la Francophonie :Margie Sudre
DéfenseCharles Millon
IntérieurJean-Louis Debré
Relations avec le ParlementRoger Romani
Travail, Dialogue social et ParticipationJacques Barrot
CulturePhilippe Douste-Blazy
Développement économique et Plan
puis supprimé (2)
Jean Arthuis
Réforme de l'État, Décentralisation et Citoyenneté
Claude Goasguen
Secrétaire d'État à la Décentralisation :Nicole Ameline
Fonction publiqueJean Puech
Santé publique etAssurance maladieÉlisabeth Hubert
Intégration et Lutte contre l'exclusion
Éric Raoult
Secrétaire d'État aux Quartiers en difficulté :Françoise de Veyrinas
Solidarité entre les générationsColette Codaccioni
Agriculture et Alimentation
puisAgriculture, Pêche et Alimentation (1)
Philippe Vasseur
Industrie
Yves Galland
Secrétaire d'État au Commerce extérieur :Christine Chauvet
LogementPierre-André Périssol
Petites et moyennes entreprises,Commerce et ArtisanatJean-Pierre Raffarin
Technologies de l'information etPosteFrançois Fillon
Outre-merJean-Jacques de Peretti
EnvironnementCorinne Lepage
Jeunesse et SportsGuy Drut
TourismeFrançoise de Panafieu
Anciens Combattants et Victimes de guerrePierre Pasquini
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État à l'Action humanitaire d'urgence :Xavier Emmanuelli
Secrétaire d'État pour l'Emploi :Anne-Marie Couderc
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement :François Baroin
( BALLADUR) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (JUPPÉ II)
v ·m
Gouvernement Alain Juppé II()
Sous laprésidence deJacques Chirac
Justice,garde des sceauxJacques Toubon
Alain Juppé
Premier ministre
Éducation nationale,Enseignement supérieur
etRecherche
François Bayrou
Secrétaire d'État à la Recherche :François d'Aubert
DéfenseCharles Millon
Équipement,Logement,Transports etTourisme
Bernard Pons
Ministre délégué au Logement :Pierre-André Périssol
Secrétaire d'État aux Transports :Anne-Marie Idrac
Affaires étrangères
Hervé de Charette
ministre délégué à la Coopération :Jacques Godfrain
ministre délégué aux Affaires européennes :Michel Barnier
Secrétaire d'État chargé de la Francophonie :Margie Sudre
Travail etAffaires sociales
Jacques Barrot
Ministre délégué pour l'Emploi :Anne-Marie Couderc
Secrétaire d'État à la santé età la Sécurité sociale :Hervé Gaymard
IntérieurJean-Louis Debré
Économie et Finances
Jean Arthuis
Ministre délégué au Budget :Alain Lamassoure,porte-parole du Gouvernement
Ministre délégué aux Finances et au Commerce extérieur :Yves Galland
Relations avec le ParlementRoger Romani
EnvironnementCorinne Lepage
CulturePhilippe Douste-Blazy
Industrie,Poste et Télécommunications
Franck Borotra
Ministre délégué à la Poste, aux Télécommunications et à l'Espace :François Fillon
Agriculture, Pêche et AlimentationPhilippe Vasseur
Aménagement du territoire,Ville et Intégration
Jean-Claude Gaudin
Ministre délégué à la Ville et à l'intégration :Éric Raoult
Petites et moyennes entreprises,Commerce
et Artisanat
Jean-Pierre Raffarin
Fonction publique,Réforme de l'État
et Décentralisation
Dominique Perben
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Ministre délégué aux anciens combattants et victimes de guerre :Pierre Pasquini
Ministre délégué à l'Outre-mer :Jean-Jacques de Peretti
Ministre délégué à la Jeunesse et aux Sports :Guy Drut
Secrétaire d'État à l'Action humanitaire d'urgence :Xavier Emmanuelli
Ordonnancement parordre de préséance
( JUPPE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (JOSPIN)
v ·m
GouvernementJean-PierreRaffarinIII()
Sous laprésidence deJacques Chirac
Économie, Finances etIndustrie
Nicolas Sarkozy,ministre d'État (dém) (4a)puisHervé Gaymard (4a) puis (dém) (5) puisThierry Breton (5)
Ministre délégué à l'Industrie :Patrick Devedjian
Ministre délégué aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat, aux Professions libérales età la Consommation puis ministre de plein exercice (4a) :Christian Jacob
Ministre délégué au Commerce extérieur :François Loos
Secrétaire d'État au Budget et à la Réforme budgétaire :Dominique BussereaupuisJean-François Copé,porte-parole du Gouvernement (4a)

Jean-Pierre
Raffarin

Premier ministre
Éducation nationale,Enseignement supérieur etRecherche
François Fillon (4b)
Ministre déléguée à la Recherche :François d'Aubert
Intérieur, Sécurité intérieure et Libertés locales
Dominique de Villepin
Ministre délégué à l'Intérieur :Jean-François Copé,porte-parole du GouvernementpuisMarie-Josée Roig (4a)
Emploi,Travail etCohésion sociale
Jean-Louis Borloo
Ministre délégué aux Relations du Travail :Gérard Larcher
Ministre déléguée à la Lutte contre la Précarité et l'Exclusion puisministre déléguée à l'Intégration,à l'Égalité des chances et à la Lutte contre l'exclusion (3) :Nelly Olin
Secrétaire d'État à l'Insertion professionnelle des Jeunes :Laurent Hénart
Secrétaire d'État au logement puissecrétaire d'État au logement età la Ville (3) :Marc-Philippe Daubresse
Secrétaire d'État à l'Intégration et à l'Égalité des Chances, puis portefeuille fusionné (3) :Catherine Vautrin
Justice,garde des sceaux
Dominique Perben
Secrétaire d'État aux Droits des Victimes :Nicole Guedj
Défense
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants :Hamlaoui Mekachera
Affaires étrangères
Michel Barnier
Ministre déléguée aux Affaires européennes :Claudie Haigneré
Ministre délégué à la Coopération, au Développement età la Francophonie :Xavier Darcos
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères :Renaud Muselier
Santé etProtection sociale
puisSolidarités, Santé etFamille (4a)
Philippe Douste-Blazy
Ministre délégué aux Personnes âgées :Hubert Falco (dém) (3)puisCatherine Vautrin (3)
Secrétaire d'État aux Personnes handicapées :Marie-Anne Montchamp
Secrétaire d'État à l'Assurance maladie :Xavier Bertrand
Équipement,Transports,Aménagement
du territoire
,Tourisme etMer
Gilles de Robien
Ministre délégué au Tourisme :Léon Bertrand
Secrétaire d'État aux Transports età la Mer :François Goulard
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire :Philippe Briand (dém) (1)puisFrédéric de Saint-Sernin (1)
Fonction publique etRéforme de l’État
Renaud Dutreil
Secrétaire d'État à la Réforme de l’État :Éric Woerth
Agriculture, Alimentation, Pêche
etAffaires rurales
Hervé GaymardpuisDominique Bussereau (4a)
Secrétaire d'État à l'agriculture, à l'alimentation, à la pêche etaux affaires rurales :Nicolas Forissier
Écologie et Développement durable
Serge Lepeltier
Secrétaire d'État au Développement durable, puis supprimé (2) :Tokia Saïfi (dém) (2)
Culture et CommunicationRenaud Donnedieu de Vabres
Famille et Enfance (4a)Marie-Josée Roigpuis portefeuille fusionné (4a)
Outre-merBrigitte Girardin
Jeunesse, Sports et Vie associativeJean-François Lamour
Parité et Égalité professionnelleNicole Ameline
PME, Commerce, Artisanat, Professions libérales etConsommation (4a)Christian Jacob (4a)
Secrétaire d'État auprès duPremier ministreSecrétaire d'État aux Relations avec le Parlement :Henri Cuq
  • Ordonnancement parordre de préséance du
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4a) Remaniement du
  • (4b) Devient numéro deux du gouvernement à l'occasion du remaniement du
  • (5) Remaniement du
( RAFFARIN II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (de Villepin)
v ·m
GouvernementFrançois FillonII()jusqu'auremaniement du
Sous laprésidence deNicolas Sarkozy
Écologie, Développement
et Aménagement durables
Jean-Louis Borloo,ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports :Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie :Nathalie Kosciusko-Morizet

François Fillon
Premier ministre
Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer :Christian Estrosi
Affaires étrangères eteuropéennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Jean-Pierre Jouyet
Secrétaire d'État chargé de la Coopération etde la Francophonie :Jean-Marie Bockel
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme :Rama Yade
Économie, Finances etEmploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur :Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargé de la Consommation et duTourisme :Luc Chatel
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Codéveloppement
Brice Hortefeux
Justice,garde des sceauxRachida Dati
Agriculture et PêcheMichel Barnier
Travail, Relations sociales etSolidarité
Xavier Bertrand
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité :Valérie Létard
Éducation nationaleXavier Darcos
Enseignement supérieur etRechercheValérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants, puissecrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants (1) :Alain Marleix
Santé,Jeunesse et Sports
Roselyne Bachelot
Secrétaire d'État chargé des Sports (2) :Bernard Laporte (2)
Logement etVille
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville :Fadela Amara
Culture et CommunicationChristine Albanel
Budget, Comptes publics etFonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique :André Santini
Secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Roger Karoutchi
Secrétaire d'État, porte-parole du Gouvernement :Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de la Prospective et de l'Évaluation des politiques publiques :Éric Besson
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté :Martin Hirsch
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III)
v ·m
GouvernementFrançois FillonII()après leremaniement du et jusqu'auremaniement du
Sous laprésidence deNicolas Sarkozy
Écologie, Énergie, Développement durable
etAménagement du territoire
Jean-Louis Borloo,ministre d'État
Secrétaire d'État chargé des Transports :Dominique Bussereau
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie :Nathalie Kosciusko-MorizetpuisChantal Jouanno (5)
Secrétaire d'État chargé de la Région capitale :Christian Blanc
Secrétaire d'État chargé de l'Aménagement du territoire :Hubert Falco

François Fillon
Premier ministre
Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales
Michèle Alliot-Marie
Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer :Yves Jégo
secrétaire d'État à l'Intérieur etaux Collectivités territoriales :Alain Marleix
Affaires étrangères eteuropéennes
Bernard Kouchner
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Jean-Pierre JouyetpuisBruno Le Maire (2)
Secrétaire d'État chargé de la Coopération etde la Francophonie :Alain Joyandet
Secrétaire d'État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme :Rama Yade
Économie,Industrie etEmploi
Christine Lagarde
Secrétaire d'État chargé de l'Emploi :Laurent Wauquiez
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie etde la Consommation :Luc Chatel,porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, duTourisme et des Services :Hervé Novelli
Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur :Anne-Marie Idrac
Immigration, Intégration, Identité nationale
et Développement solidaire
Brice HortefeuxpuisÉric Besson (4)
Justice,garde des sceauxRachida Dati
Agriculture et PêcheMichel Barnier
Travail, Relations sociales,Famille etSolidarité
puisTravail, Relations sociales,Famille,Solidarité
etVille (4)
Xavier BertrandpuisBrice Hortefeux (4)
Secrétaire d'État chargée de la Solidarité :Valérie Létard
Secrétaire d'État chargée de la Famille :Nadine Morano
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, changement de ministre de tutelle (4) :Fadela Amara
Éducation nationaleXavier Darcos
Enseignement supérieur etRechercheValérie Pécresse
Défense
Hervé Morin
Secrétaire d'État à la Défense etaux Anciens Combattants :Jean-Marie Bockel
Santé,Jeunesse, Sports et Vie associative
puisSanté etSports (3)
Roselyne Bachelot-Narquin
Secrétaire d'État chargé des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, puissecrétaire d'État chargé des Sports (3) :Bernard Laporte
Logement etVille
puisLogement (4)
Christine Boutin
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis changement de ministre de tutelle (4) :Fadela Amara
Culture et CommunicationChristine Albanel
Budget, Comptes publics etFonction publique
Éric Woerth
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique :André Santini
Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire
auprès duPremier ministre
Ministre chargé de la Mise en œuvre du plan de relance (1) :Patrick Devedjian
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Roger Karoutchi
Secrétaire d'État chargé de la Prospective, de l'Évaluation des politiques publiques etdu Développement de l'économie numérique puis secrétaire d'État chargé de la Prospective etdu Développement de l'économie numérique (4) :Éric BessonpuisNathalie Kosciusko-Morizet (4)
Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté puis égalementhaut-commissaire à la Jeunesse (3) :Martin Hirsch
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( FILLON I) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (FILLON III)
v ·m
Gouvernement Barnier()
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Justice,garde des sceauxDidier Migaud
Michel Barnier
Premier ministre
Partenariat avec les territoires et Décentralisation
Catherine Vautrin
Ministre déléguée chargée de la Ruralité,du Commerce etde l'Artisanat :Françoise Gatel
Ministre délégué chargé des Transports :François Durovray
Ministre délégué chargé de la Mer et de la Pêche :Fabrice Loher
Intérieur
Bruno Retailleau
Ministre délégué chargé de la Sécurité du quotidien :Nicolas Daragon
Secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté etde la Lutte contre les discriminations :Othman Nasrou
Éducation nationale
Anne Genetet
Ministre délégué chargé de l'Enseignement professionnel :Alexandre Portier
Europe et Affaires étrangères
Jean-Noël Barrot
Ministre délégué chargé de l'Europe :Benjamin Haddad
Ministre déléguée chargée du Commerce extérieur etdes Français de l'étranger :Sophie Primas
Secrétaire d'État chargé de la Francophonie etdes Partenariats internationaux :Thani Mohamed Soilihi
CultureRachida Dati
Armées etAnciens Combattants
Sébastien Lecornu
Ministre délégué :Jean-Louis Thiériot
Transition écologique, Énergie, Climat et Prévention des risques
Agnès Pannier-Runacher
Ministre déléguée chargée de l'Énergie :Olga Givernet
Économie, Finances et Industrie
Antoine Armand
Ministre délégué chargé de l'Industrie :Marc Ferracci
Ministre déléguée chargée de l'Économie sociale et solidaire, de l'Intéressement et de la Participation :Marie-Agnès Poussier-Winsback
Ministre déléguée chargée de l'Économie du tourisme :Marina Ferrari
Secrétaire d'État chargée de la Consommation :Laurence Garnier
Santé et Accès aux soinsGeneviève Darrieussecq
Solidarités, Autonomie etÉgalité entre les femmes et les hommes
Paul Christophe
Ministre déléguée chargée de la Famille etde la Petite Enfance :Agnès Canayer
Ministre déléguée chargée des Personnes en situation de handicap :Charlotte Parmentier-Lecocq
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes :Salima Saa
Logement etRénovation urbaineValérie Létard
Agriculture, Souveraineté alimentaire et ForêtAnnie Genevard
Travail et EmploiAstrid Panosyan-Bouvet
Sports, Jeunesse et Vie associativeGil Avérous
Enseignement supérieur et Recherche
Patrick Hetzel
Secrétaire d'État chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique :Clara Chappaz
Fonction publique, Simplification et Transformation de l'action publiqueGuillaume Kasbarian
Ministres,ministres délégués etsecrétaires d'État auprès duPremier ministre
Ministre chargé des Outre-mer :François-Noël Buffet
Ministre chargé du Budget et des Comptes publics :Laurent Saint-Martin
Ministre délégué chargé de l'Europe :Benjamin Haddad
Ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement :Nathalie Delattre
Ministre déléguée chargée de la Coordination gouvernementale :Marie-Claire Carrère-Gée
Porte-parole du Gouvernement :Maud Bregeon
(← ATTAL) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( BAYROU)
v ·m
Sous laprésidence deJosé Manuel Durão Barroso
Haut représentant *Catherine Ashton (2010-2014)
Justice, Droits fondamentaux et Citoyenneté
Concurrence
Transports
Société numérique
Industrie et Entreprises
Relations interinstitutionnelles
et Administration
Environnement
Affaires économiques et monétaires
Développement
Marché intérieur et Services
Éducation, Culture, Multilinguisme
et Jeunesse
Fiscalité, Union douanière,
Audit et Lutte anti-fraude
Commerce
Santé
Politique des consommateurs
Recherche, Innovation et Science
Affaires maritimes et Pêche
Aide humanitaire
Énergie
Politique régionale
Climat
Élargissement
et Politique européenne de voisinage
Affaires extérieures et Réaction aux crises
Emploi, Affaires sociales et Insertion
Programmation financière et Budget
Agriculture et Développement rural
Affaires intérieures
* Fonction instituée par letraité de Lisbonne (2007).
( PRODI) Commission précédente ••••• Commission suivante (JUNCKER)
v ·m
Ministère de l'Écologie sous laVe République
v ·m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
France libre
(1941-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v ·m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis1959)
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