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| Metronews | |
Logo de Metronews. | |
| Adresse | www.metronews.fr |
|---|---|
| Publicité | Oui |
| Type de site | Pure player |
| Langue | Français |
| Inscription | Facultative |
| Siège social | |
| Propriétaire | Groupe TF1 |
| Rédacteur en chef | Christophe Joly |
| Directeur de la publication | Sophie Sachnine |
| Lancement | 2002 |
| Fermeture | 29 août 2016 |
| État actuel | Redirigé versTF1 Info |
| modifier | |
Metro, devenuMetronews en 2013, était un média d'information français fondé en 2002 et disparu en 2016. À l'origine version française imprimée dujournal international d'information gratuitMetro, le quotidien papier est publié du au, date à laquelle il devient unpure player — un média actif uniquement surInternet — sous le nom deMetronews.
Devenu depuis une filiale de lachaîne de télévisionfrançaise d'informationLCI qui appartient augroupe TF1, le site est définitivement fermé le, lors d'une profonde restructuration de la chaîne et le nom de domaine redirige désormais vers celui deTF1 Info[1].
En 2003 legroupe TF1 rachète 34 % des parts de l'entreprise à Metro International pour 12 millions d'euros[2].
Outre la publication debrèves d'agences d'information, ce qui est alors le journalMetro dispose d'un contenuéditorial propre réalisé par les rédactions nationale et régionales du quotidien. Jusqu'en 2005,Metro propose des tribunes spécifiques signées par desjournalistes tels queChristine Ockrent etPhilippe Tesson. Plus tard, les tribunes quotidiennes proposées par le journal sont ouvertes à diversspécialistes,intellectuels et associations.
En 2006, l'édition française deMetro change de formule, avec une pagination que les concepteurs veulent plus claire. Le quotidien dynamise également sonsite web et le rapproche de la version papier. À partir de 2012,Metro travaille enreverse publishing, une méthode consistant à publier des informations en ligne, puis à les reprendre et les enrichir sur la version papier[3]. Avec onze éditions régionales,Metronews est alors distribué dans 33 agglomérations (Paris,Rouen,Chartres,Orléans,Tours,Strasbourg,Metz,Nancy,Lyon,Saint-Étienne,Grenoble,Annecy,Chambéry,Valence,Marseille,Toulon,Aix-en-Provence,Avignon,La Seyne-sur-Mer,Nice,Cannes,Antibes,Cagnes-sur-Mer,Montpellier,Nîmes,Toulouse,Bordeaux,Montauban,Nantes,Rennes,le Mans,Lille etLens).
En 2011 legroupe TF1 rachète à Metro International les parts restantes deMetro et possède ainsi désormais la totalité du capital[4].
Le, l'édition française deMetro devientMetronews et lance une nouvelle formule de son site internet[5].
Le, legroupe TF1 annonce une réduction du personnel ainsi que l'arrêt de l'édition papier« en raison de la crise du marché publicitaire »[6]. Diffusée en 2014 à 744 988 exemplaires en moyenne par jour[7], elle disparaît le vendredi[7].
Amputé de sa version papier,Metronews devient alors unmédia actif uniquement surInternet — unpure player. Devenu depuis une filiale de lachaîne de télévisionfrançaise d'informationLCI qui appartient au groupe TF1, le site est définitivement fermé le lors d'une profonde restructuration de la chaîne et redirige désormais vers le site de LCI[1].
Le,Metro a publié un article relatant le témoignage d'une salariée deFrance Télécom (devenueOrange en 2013), qui se présentait comme « téléconseillère à temps partiel au centre d’appels d’Ivry-sur-Seine durant dix ans » et faisait l'éloge desconditions de travail dans l'entreprise, en échoaux suicides survenus quelques années auparavant. Des salariés de France Télécom ont reconnu la salariée interviewée, qui était en réalité la rédactrice en chef duwebzine du groupe France Télécom. La direction deMetro s'est ensuite excusée, en insistant sur le fait de n'avoir « répondu à aucune consigne de la direction de France Télécom-Orange »[8].
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