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Merzig

49° 27′ 00″ nord, 6° 37′ 00″ est
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Merzig
Merzig
Blason de Merzig
Armoiries
Drapeau de Merzig
Drapeau
Administration
PaysDrapeau de l'AllemagneAllemagne
Land Sarre
Arrondissement
(Landkreis)
Merzig-Wadern
Nombre dequartiers
(Ortsteile)
17
Bourgmestre
(Bürgermeister)
Marcus Hoffeld
Partis au pouvoirCDU,SPD
Code postal66651-66663
Code communal
(Gemeindeschlüssel)
10 0 42 113
Indicatif téléphonique06861
ImmatriculationMZG
Démographie
Population30 070 hab.(2023)
Densité276 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 27′ 00″ nord, 6° 37′ 00″ est
Altitude127 m
Superficie10 879 ha = 108,79 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Allemagne
Voir sur la carte topographique d'Allemagne
Merzig
Géolocalisation sur la carte :Sarre
Voir sur la carte topographique de Sarre
Merzig
Liens
Site webwww.merzig.de
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Merzig, en françaisMercy, est une ville duLand deSarre, enAllemagne, et le chef-lieu du district deMerzig-Wadern.

Géographie

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Annexes

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Les anciennes communes suivantes ont été rattachées à Merzig en 1974 dans le cadre de la réforme territoriale de la Sarre et font aujourd'hui partie intégrante de la commune de Merzig :

Toponymie

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Martiaticum (369) ;Martia (870) ;Mertzige (1338) ;Mertzych (1478) ;Mertzig (1497) ;Mertzigh,Mertzych (1499) ;Mertzick,Merzick (XVIIIe siècle[1]).

Ensarrois :Meerzisch etMiërzësch. Enluxembourgeois :Mäerzeg. Enfrançais :Mercy.

Histoire

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Appartenances historiques

Drapeau de l'Électorat de TrèvesÉlectorat de Trèves 898-1333
Drapeau de la Lorraine Duché de Lorraine/Drapeau de l'Électorat de TrèvesÉlectorat de Trèves 1333-1776
Drapeau du Royaume de FranceRoyaume de France/Drapeau de l'Électorat de TrèvesÉlectorat de Trèves 1766-1778
Drapeau de l'Électorat de TrèvesÉlectorat de Trèves 1778-1797
Drapeau de la République cisrhénaneRépublique cisrhénane (Sarre) 1797-1802
Drapeau de la France République française (Sarre) 1802-1804
Drapeau de l'Empire françaisEmpire français (Moselle) 1804-1813
Drapeau de la PrusseRoyaume de Prusse (Grand-duché du Bas-Rhin) 1815-1822
Drapeau de la PrusseRoyaume de Prusse (Province de Rhénanie) 1822-1918
Drapeau de la république de WeimarRépublique de Weimar 1918-1920
Drapeau du Territoire du bassin de la SarreTerritoire du bassin de la Sarre 1920-1935
Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand 1935-1945
Drapeau de l'Allemagne occupéeAllemagne occupée 1945-1947
Drapeau du Protectorat de SarreProtectorat de Sarre 1947-1956
Drapeau de l'AllemagneAllemagne 1956-présent

Ancien chef-lieu dubailliage de Merzig et Saargau, Merzig fut cédé à l'électorat de Trèves par laconvention du premier juillet 1778[2].

 :Combat de Merzig pendant lesguerres de la première coalition[3].

Combat de Merzig

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« Au quartier général, àZerf, le, l'an Ier de la République.
Legénéral Beurnonville auMinistre de la Guerre.
Par une lettre d'hier,CitoyenMinistre, vous avez dû voir que j'avais à débusquer l'ennemi des hauteurs de Wawern avant de pouvoir marcher surConsarbruck. Ce premier objet est rempli d'aujourd'hui avec succès, et il ne me reste plus qu'à vous faire l'éloge des généraux et des braves troupes qui ont si bien rempli cette mission.
Legénéral Delaage, si connu à lapremière prise de Courtrai, qui commandait les grenadiers à l'affaire du et qui commande aujourd'hui le corps d'entreSarre etMoselle, l'avait disposé sur trois colonnes.
La première composée d'une brigade de grenadiers et à ses ordres, devait se diriger parBiebelhausen surWawern, et, comme elle devait monter à l'assaut à labaïonnette, elle avait pris le chemin où l'artillerie ne peut passer.
La seconde, commandée par lesgénérauxPully etLandremont, était composée d'infanterie et de cavalerie et devait se former en bataille sur la hauteur à gauche d'OEill, ayantWawern en front; elle avait toute l'artillerie avec elle.
La troisième, aux ordres dugénéral Humbert, devait surveiller les renforts qui pouvaient venir deGrevenmacher, appuyer les deux premières colonnes au besoin ou couper la retraite aux ennemis surGrevenmacher.
Les hauteurs deWawern sont très élevées, elles masquent la gorge duconfluent ; l'ennemi y était en force retranchée et avec de l'artillerie, et vous jugerez de la difficulté de cette attaque.CitoyenMinistre, quand vous observerez que cette montagne était couverte de trois pieds de neige et qu'il a fallu une heure à nos braves grenadiers pour arriver sur la hauteur. Mais vous jugerez de leur intrépidité quand je vous apprendrai qu'ils y sont montés au pas de charge, aux cris de : « Vive la Nation! Vive la République! » L'ennemi a longtemps canonné et tiré, mais, effrayé de cet élan extraordinaire, il a tellement pris la fuite que nos grenadiers ont eu le temps de s'emparer d'une pièce de canon de 7 avec son caisson.
C'est le bravelieutenant-colonelLaubadère et le bataillon qu'il commandait qui s'en est saisi le premier. On doit des éloges à tous deux. Le généralgénéral Delaage fait surtout celui de la bravoure et de la précision des mouvements du citoyendes Perrières,colonel du49e régiment, qui tournait la montagne dans un sens opposé ; il se loue singulièrement de la valeur de cette intrépide brigade.
La seconde colonne, commandée par lesgénérauxPully etLandremont a trouvé la cavalerie ennemie occupant la hauteur dont elle devait s'emparer, elle l'en a débusquée et tellement mise en déroute que nos compagnies franches et nos dragons l'ont suivie jusque dans les autres batteries ennemies; on a tiré dessus, mais les généraux ont fait mettre sur le champ l'artillerie sur les hauteurs qui les dominent; on les a démontées et dans un instant ces retranchements ont été balayés. Nos troupes avaient déjà dépassé les abattis et doublé la montagne lorsque la nuit est venue ; les généraux ont senti qu'on ne pouvait guère, de nuit, doubler avec avantage des précipices remplis deneige, ils ont décidé de passer la nuit aubivouac pour attaquer aujourd'hui de grand matin la montagne qui est entreWawern etHamm où l'ennemi s'est replié, et de suiteConsarbruck, s'ils sont heureux et s'il y a moyen.
Je ne puis que me plaindre des troupes qui composaient la troisième colonne qui n'ont pas été exactes au rendez-vous. Loin de mordre sur l'ennemi sur lequel ils pouvaient faire 400 prisonniers au dire même de huitdéserteurs qui comme tout le corps dont ils faisaient partie, ne désiraient que de se rendre, partie s'est mise en déroute à rapproche de l'ennemi et s'est sauvée jusqu'àSarrelouis, et on m'assure qu'elle murmure. La plus grande portion est dubataillon du Lot. J'ai ordonné au commandant de Sarrelouis de cantonner ce composé de crédules et de lâches à sa proximité jusqu'à ce que j'aie pris d'exacts renseignements pour sévir contre les auteurs et en faire des exemples.
Il paraît, d'après le nombre des tués et blessés que l'ennemi n'a pas eu le temps d'emporter et d'après le rapport de six déserteurs qui étaient de l'affaire, que l'ennemi a singulièrement perdu et surtout par le feu de notre artillerie. Notre perte se réduit à un grenadier de tué et deux blessés. Le brave capitaine des grenadiers du49e régiment a été blessé au bras.
L'armée n'a fait qu'un léger mouvement pour favoriser ce premier succès ; elle observe l'armée ennemie baraquée sur les hauteurs dePellingen. Je ferai vers les midi ou demain matin une attaque surWiltingen et une autre surPellingen, pendant que le corps d'entreSarre etMoselle débouchera au confluent.
Je désire,CitoyenMinistre, avoir de meilleures nouvelles à vous apprendre par mon premier courrier, mais j'en doute; l'armée ennemie s'augmente, et la mienne s'affaiblit par la désertion. A l'instant même, lebataillon des Sections de Paris [le 4e] me demande à partir, et il parait peu sensible à mes reproches.
Vous verrez d'ailleurs par la copie du mémoire du régisseur général des subsistances de l'état de détresse où je me trouve.
Le générai en chef de l'armée de la Moselle,Beurnonville »
.

Ses renseignements recueillis,Beurnonville adressa le nouveau rapport ci-après:

« Au quartier général, àSarrelouis, le, l'an Ier de la République.
Legénéral Beurnonville auMinistre de la Guerre.
Par ma lettre du,CitoyenMinistre, je vous ai annoncé un compte, après avoir pris les renseignements les plus exacts sur la conduite des troupes qui composaient la troisième colonne dans l'expédition du, entreSarre etMoselle. Maintenant que je suis parfaitement informé, je vous demande la punition des coupables.
Il était question de déposter des montagnes deBiebelhausen et deWawern un corps d'environ 4 000Autrichiens qui y étaient retranchés. LesgénérauxDelaage etPully devaient commander les deux premières colonnes de 3 000 hommes chaque et attaquer l'ennemi dans ses retranchements, et legénéral Humbert devait commander la troisième, de 2 000 hommes, pour observer et couper les secours que l'ennemi pouvait attendre deGrevenmacher.
Vous savez,CitoyenMinistre, les prodiges de valeur des deux premières colonnes. Je vous ai dit de quelle manière elles avaient mis l'ennemi en déroule et comment elles lui ont pris une pièce de 7 avec son caisson. Il me reste à vous dire ce qu'a fait la troisième, qui n'était proprement dite qu'une colonne d'observation.
Elle était composée desbataillons de Popincourt,de la Seine-Inférieure etdu Lot, et le surplus du détachement de cavalerie légère. L'ordre des rassemblements et du rendez-vous dans la position la plus défensive était pour neuf heures précises du matin. Je dois dire à l'avantage des troupes qu'elles ont été exactes au rendez-vous, et j'observe, à la charge dugénéral Humbert, qu'il n'y est arrivé qu'à midi passé, c'est-à-dire après la déroute.
Lebataillon de Popincourt a pris dès son arrivée, sonordre de bataille et l'a conservé jusqu'au moment où ceuxdu Lot etde la Seine-Inférieure l'ont abandonné. Resté seul, il a cru devoir se replier, et le seul tort qu'on pu reprocher au commandant c'est de ne pas s'être replié, comme l'ont fait les détachements de cavalerie légère, sur les deux premières colonnes victorieuses ou enfin sur la ville deSarrebourg, où il y avait forte garnison, et dont ce bataillon n'était éloigné que d'unelieue et demie.
Je dois dire, au désavantage, non pas des volontairesdu Lot etde la Seine-Inférieure, mais a celui des commandants de ces bataillons, qu'à leur arrivée au rendez-vous ils n'ont observé aucunordre de bataille, qu'ils ont dansé à cris assez bruyants au lieu d'observer le silence qu'exigeait leur mission, jusqu'au moment où un corps de 4 à 500 chevaux et environ 200 fantassins plutôt disposés à se rendre qu'à se battre et à se sauver eux-mêmes, les ont mis définitivement en déroute.
Lebataillon de Popincourt a fait feu tant qu'il a pu. Mais après avoir éprouvé quelque perte et s'être abandonné, il s'est replié avec un peu moins de désordre que les autres.
Tel est,CitoyenMinistre, le compte exact qui m'a été rendu par ungénéral aussi vrai que brave, par legénéral Delaage, dont l'intrépidité a été si utile au succès de nos armes et qui se trouvait commander le corps d'entreSarre etMoselle, et victorieux quand la colonne, qui gardait ses derrières et sur laquelle il comptait, l'a entièrement abandonné.
Je n'ai pas vu depuis cette époque legénéral Humbert, qui a constamment voyagé depuis de village en village, et que l'on m'assure être en intelligence avec les coupables deSierck. Il s'est borné a m'envoyer sa démission en me disant qu'il allait se rendre près de laConvention. Je viens de lui ordonner les arrêts provisoirement àThionville, où j'apprends qu'il se rend.
On m'assure que, de concert avec lui ou à son instigation, il est parti pour Paris une députation de ces fuyards pour dire qu'on les a trahis, cri qu'ils ont fait entendre partout où ils ont passé; si cela était,CitoyenMinistre, alors j'aurais lieu d'accuser d'une lâche méchanceté lecitoyen Humbert, de l'existence militaire duquel il est bon que je vous dise deux mots.
Legénéral Humbert estmaréchal de camp depuis 1784 et sans activité; à l'époque où laguerre a commencé, il prit le commandement d'un bataillon de volontaires; mais legénéral Kellermann croyant le rendre plus utile à la chose publique, l'avait placé avec un petit corps de 700 à 800 hommes destinés à purger lesbrigands qui pourraient tenter quelqu'entreprises sur les propriétés de la République entreSarre etMoselle. J'ai remplacé legénéral Kellermann et j'ai cru pouvoir continuer legénéral Humbert dans ce service. Partant pour l'expédition de Trèves, j'ai cru devoir doubler ce corps, afin qu'il put présenter sans cesse différentes télés de colonnes et faire la diversion à laquelle je devais m'attendre, ou porter l'armée entreSarre etMoselle, si la diversion n'avait pas lieu, et si je pouvais réussir sur l'un des deux points d'attaque que j'avais projetés.
Au moment où j'arrivais à laMontagne Verte, c'est-à-dire à unelieue deTrèves, j'appris que les trois villes de Merzig,Freudenbourg etSarrebourg et principalement le château de Sarrebourg, avaient été évacués. J'ordonnai augénéral Humbert de s'emparer sur-le-champ de Sarrebourg et l'avisai que je lui enverrais de nouvelles forces. Legénéral Humbert, au lieu de marcher, resta dans la même position en m'assurant qu'il y avait 2 400 hommes à Sarrebourg. Je lui ordonnai de marcher, qu'il serait toujours maître de sa retraite par les attaques vives et multipliées que j'allais faire. Il me répondit qu'il venait de faire une chute de cheval et me pria de le faire remplacer jusqu'à son rétablissement. Je fis partir sur-le-cbamp legénéral Pully avec ordre de prendre trois bataillons qui s'acheminaient pour l'armée et d'aller prendre le commandement du corps d'entreSarre etMoselle. Je ne sais si c'est l'arrivée dugénéral Pully qui a déterminé legénéral Humbert à marcher, mais il s'est porté à Sarrebourg le lendemain, qu'il a trouvé évacué. Legénéral Pully, extrêmement honnête, m'a demandé de servir sous les ordres dugénéral Humbert; dans le même temps, les ennemis sont venus pour reprendre Sarrebourg, et je vous ai dit de quelle manière ce brave général les avait repoussés.
N'ayant pas réussi dans les diverses attaques que j'ai faites surPellingen et laMontagne Verte, quoique j'y aie constamment fait du tort aux ennemis, ou plutôt ayant prévu ne pas pouvoir doubler un de ces points sans un sacrifice d'hommes énorme et assuré, et que la sécurité de cette frontière, où je suis seul, ne me permettait pas de faire, j'ai dû porter une grande partie de l'armée entreSarre etMoselle pour me rendre maître de ce territoire, et j'y ai envoyé alors lesofficiers générauxDelaage etLandremont, avec ordre au premier de commander le tout.
Dès le premier jour, les trois généraux ne furent pas extrêmement satisfaits des prétentions dugénéral Humbert; observez,CitoyenMinistre, que cet officier général n'ayant point obtenu duPouvoir exécutif des lettres d'activité, je n'ai jamais voulu le considérer que commelieutenant-colonel, rang qu'il avait pris en entrant en campagne et qu'un commandement de cette nature devait d'autant plus le flatter que je lui avais promis, au premier succès, de solliciter près de vous des lettres d'activité commemaréchal de camp.
La conduite qu'a tenue cet officier en manquant de trois heures au rendez-vous de sa colonne, ses menées avec les fuyards, sa démission, ses propres plaintes à laConvention ne caractérisent sûrement pas un soldat républicain,

à qui tout poste est bon quand il s'agit du salut de la République.
Je suis loin, moi, d'accuser ni lui ni autre de trahison, mais je l'accuse de prétentions fausses et ridicules, et qui, sans qu'il s'en doute, auraient pu être très funestes à nos deux colonnes victorieuses, si les troupes venant deGrevenmacher eussent été considérables et si elles les eussent coupées.
Il n'en est heureusement résulté qu'une petite déroute qui ne fait de tort qu'à ceux qui ont fui. Je suis même loin de demander la moindre punition contre eux; la triple victoire consommée les 14, 15 et 18 par le corps qu'ils ont abandonné doit suffire pour les faire revenir de leur erreur. Seulement s'il existe quelque mandataire à Paris de ces trois bataillons, qu'ils n'y reparaissent plus et faites-les punir comme agitateurs.
Je demande, quant augénéral Humbert, dont les prétentions ou la nonchalance ne peuvent convenir à notre ordre de service, que vous ayez à lui écrire de se retirer chez lui et qu'il ne soit plus occupé d'aucune autre manière.
S'il se permet quelques propos incendiaires, car il jouit de la réputation d'un vieillard méchant, alors je demanderais à laConvention qu'il soit renvoyé à 20 lieues des années, et provisoirement je le ferais arrêter; en attendant vos ordres, je lui ai ordonné les arrêts àThionville.
A l'égard des commandants en chef desbataillons du Lot etde la Seine-Inférieure, je demande formellement leur destitution absolue, car s'ils avaient tenu leurs bataillons dans l'ordre de bataille qu'a conservécelui de Popincourt, il n'est pas douteux que 2 000 hommes qui gardaient un défilé à en empêcher 10 000 d'y passer, n'auraient pas été dans le cas d'être mis en déroute par une poignée d'éclaireurs. J'estime que ces deux commandants sont coupables, après legénéral Humbert, de ce désordre et de la perte qu'a faite lebataillon de Popincourt.
Je demande vos ordres à ce sujet.
Le général d'armée de la Moselle,Beurnonville ».

Administration

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Personnalités liées à la commune

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Patrimoine

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Jumelages

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La ville de est Merzig jumelée avec[4] :

Notes et références

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  1. Dans les documents français
  2. Durival,Description de la Lorraine et du Barrois, tome troisième, Nancy, 1779.
  3. Charles Louis Chassin :Les volontaires nationaux pendant la Révolution volume III page 78 et suivantes
  4. Städtepartnerschaften

Voir aussi

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Liens externes

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v ·m
Villesarmoiries de l’arrondissement de Merzig-Wadern
Villages
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