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Meryem Aboulouafa

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Meryem Aboulouafa
Aboulouafa en concert à l'église Saint-Eustache, à Paris en 2022.
Biographie
Naissance
Nationalité
Activités
Auteure-compositrice-interprète, décoratrice d'intérieurVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
DepuisVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Label
Zerhoun Records

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Meryem Aboulouafa, (enarabe :مريم أبو الوفاء), née en 1988 àCasablanca, est une chanteusemarocaine, auteure-compositrice et narratrice.

Son premier album solo,Meryem (2020), est bien accueilli dans l’industrie musicale. Elle chante en arabe, en anglais ou en français, avec une voix remarquée et une musique d’inspiration folk et électronique, mêlée à des sonorités orientales.

Biographie

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Elle est née en 1988 àCasablanca au sein d’une famille mélomane[1],[2].

Elle passe par le Conservatoire puis par l’École des Beaux Arts de Casablanca. Puis elle travaille comme architecte d’intérieur et designer. Elle enseigne également. Elle lance en 2013 une agence de décoration intérieure, appeléeIntrospectus[3],[4]. Elle continue par ailleurs à composer des chansons et de la musique et se produit notamment en 2017 au MadJazz àMarrakech et au festivalJazzablanca, ainsi que sur des scènes indonésiennes et italiennes[2],[5]. Une reprise d’un morceau de la cantatrice algérienneFadhéla Dziria,Ya Qalbi, convainc Manu Barron, patron du label français Animal63, de lui proposer un contrat pour la produire[6].

Entourée et conseillée parPara One etKeren Ann, elle sort en 2019 unsingle sous ce label, avec un clip musical,Breath of Roma. La voix est remarquée. Le clip également. La vidéo s’ouvre sur deux frères jouant dans un paysage de forêt, en montagne, avec un loup. Les mêmes apparaissent ensuite à l’âge adulte, toujours dans ces grands espaces, jusqu’au départ de l'un d'entre eux. Les teintes automnales renforcent la poésie de ce titre et témoignent d'un imaginaire touchant. Elle se produit auxRencontres trans musicales deRennes de la même année. Puis le single est suivi d’un album et d'autres singles[4],[7],[8],[9].

Références

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  1. « Meryem Aboulouafa »
  2. a etbBasma El Hijri, « Meryem Aboulouafa enchante le public de Jazzablanca »,2M,‎(lire en ligne)
  3. « Smile »,conférence TED,
  4. a etbCharline Lecarpentier, « Meryem Aboulouafa, Ballades intérieures »,Libération,‎(lire en ligne)
  5. Zaïnab Aboulfaraj, « Meryem Aboulouafa, la voix qui envoûte le public italien et indonésien »,Yabiladi,‎(lire en ligne)
  6. Alexis Thibault, « Meryem Aboulouafa : le pari inattendu du label de The Blaze »,Numéro,‎(lire en ligne)
  7. Naomi Clément, « Entre folk, électronique et orient, Meryem Aboulouafa envoûte avec son premier album »,Les Inrocks,‎(lire en ligne)
  8. Paul Delahaye, « À voir : le premier clip envoûtant et poétique de Meryem Aboulouafa »,Tsugi,‎(lire en ligne)
  9. « Le premier album de Meryem Aboulouafa »,Radio France internationale,‎(lire en ligne)

Liens externes

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