Elle a été nommée ainsi auXIXe siècle en l'honneur du chancelierOtto von Bismarck à l'époque où les îles environnantes avec l'archipel éponyme, lesSalomon du nord et la Terre du Roi-Guillaume en Nouvelle-Guinée constituaient une colonie allemande sous le nom deNouvelle-Guinée allemande
Une compagnie nomméeNautilus Minerals dit vouloir suivre le modèle de l'exploitation offshore du pétrole et du gaz, mais pour exploiter dans les grands-fonds marins les systèmes géologiques massifs de sulfures métalliques (« SMS » pour Seafloor Massive Sulphide, sources potentielles de cuivre, d'or, de zinc et d'argent), avec des techniques provenant des secteurs pétrolier, gazier, du dragage sous-marin et des mines.
Son premier projet, ditSolwara 1[2] est en 2011 en cours de développement en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Il s'agit d'exploiter en mer de Bismarck un amas sulfuré situé à 1 600 mètres de fond qui serait selon leBRGM assez riche en or, cuivre, argent et zinc pour rentabiliser les travaux d'extraction, mais qui pourrait être source de nouvelles dégradations environnementales[3].
La société a annoncé qu'elle voulait« augmenter ses licences et applications d'exploration dans les zones économiques exclusives et les eaux territoriales de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Fidji, Tonga, les îles Salomon et la Nouvelle-Zélande à l'échelle régionale et dans le monde ».