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Memorbuch

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Memorbuch
Livre de la mémoire de Francfort(-sur-le-Main).
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UnMemorbuch (allemand « livre de la mémoire », plur.Memorbücher) est un ouvrage destiné à entretenir la mémoire des martyrs de différentes villes et régions du mondeashkénaze.

La pratique desMemorbücher commence dans leSaint-Empire romain germanique, à la suite dumassacre de Juifs lors de la première croisade àWorms,Spire,Mayence,Bonn,Cologne. UnMemorbuch se compose la plupart du temps de quatre parties : une brève partie liturgique (prières dites lors de la commémoration des défunts), un martyrologe, un nécrologe desrabbins et des bienfaiteurs de la communauté, et enfin une liste des défunts dont le souvenir doit être entretenu. Dans unMemorbuch, on trouve des noms de personnes et de localités, mais très rarement un fait historique proprement dit. LesMemorbücher sont de précieux documents pour lesgénéalogistes désireux de retracer l'histoire et les pérégrinations des familles juives rhénanes.

Leslivres du souvenir sont redevenus, après une interruption auXIXe siècle, un élément important de la mémoire juive pour commémorer la disparition duYiddishland et les victimes de laShoah. Ces livres sont généralement appelésYizker-bikher.

Les origines desMemorbücher

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Le termeMemorbuch vient d'un mot d'origine latineMemor et du mot allemandBuch. Dans la tradition juive, une place importante est réservée au rappel du souvenir des morts. Il s'agit de les extraire ainsi de lagéhenne grâce au recours de la miséricorde divine. Le rappel du souvenir des morts devient donc une obligation car les bienfaits et les aumônes des vivants permettent d'assurer le salut des morts[1]. Certains pensent aussi que l'homme pieux peut couronner son existence en faisant un don à une œuvre charitable, à la condition que celle-ci, ou la communauté, pourvoit au rappel de sa mémoire. Peu à peu, le « commémoré » ou ses héritiers, prennent l'habitude d'établir les dispositions nécessaires pour entretenir le souvenir d'un homme pieux[2]. Cette pratique est à l'origine desMemorbücher. Le plus ancien est leMemorbuch deNuremberg écrit entre1296 et1298. Il est si complet que les historiens pensent que d'autres manuscrits plus anciens ont dû servir de base de référence[3]. Les historiens ne disposent pas de l'original mais de copies duXVIIIe siècle. Le premierMemorbuch publié est un morceau d'unMemorbuch concernant les communautés deWorms et deVienne vers1880.

LeMemorbuch a aussi pour fonction de rappeler le nom des disparus lors des diverses persécutions qu'ont subies les Juifs depuis leMoyen Âge. À ce titre la prière introductive demande à Dieu de se souvenir d'eux[4]. Si Dieu se souvient de ceux qui ont été assassinés, il pourra les venger[5]. L'idée de vengeance a profondément pénétré le rituel religieux desAshkénazes du Moyen Âge[6].

Composition

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LesMemorbücher sont presque tous constitués de quatre parties[7] :

  • La première partie comporte un titre descriptif qui porte l'indication de la communauté qui l'utilise, le nom duscribe et l'année où la copie en a été effectuée.
  • La seconde partie est constituée d'un court paragraphe liturgique, qui comprend les prières qu'il est d'usage de réciter avant et après la cérémonie de commémoration: un cycle deKinot (élégies) qui relate les persécutions subies, l'Ab ha-Raḥamim, la prière pour les martyrs d'Israël, une autre prière pour les héros et bienfaiteurs d'Israël, leYizkor, la prière pour les morts[3].
  • On trouve ensuite un nécrologe, qui rappelle la mémoire de bienfaiteurs et, d'autre part, le souvenir des morts de la communauté qui ont été estimés dignes de cet honneur.
  • Enfin, un martyrologe rappelle la mémoire des martyrs dans l'ordre des villes et des régions où ils ont été tués. Le nom des martyrs n'est pas toujours donné[2].

LesMemorbücher commencent en général par la liste des martyrs de1096, lors de lapremière croisade. On y trouve aussi la liste des persécutions pendant lagrande peste en1349-1350.

LesMemorbücher sont écrits enhébreu ou dans la langue vernaculaire de la communauté, leyiddish par exemple. Ils peuvent aussi collecter le nom des victimes de massacres et de persécutions des communautés voisines. C'est le cas des plus anciensMemorbücher. Le rappel des noms des défunts, martyrs ou bienfaiteurs se faisaient généralement le jour deKippour et très souvent le jour anniversaire des massacres de la première croisade. On lisait la Loi, les prières rituelles étaient récitées ainsi que les listes des martyrs. AuXIXe siècle, le rappel des noms perd progressivement de son importance, et disparaît complètement dans de nombreuses communautés[2].

La question se pose de savoir comment le nom des victimes de massacres des autres communautés allemandes a pu être connu et consigné par les rédacteurs duMemorbuch d'une autre communauté, celle de Nuremberg par exemple.Israel Jacob Yuval, professeur d'histoire juive à l'Université hébraïque de Jérusalem, pense que ces listes de martyrs ont pu être établies grâce aux registres des impôts des différentes communautés, les survivants despogroms indiquant sur le registre ceux qui avaient été tués. La liste aurait pu être copiée et recopiée pour d'autres communautés afin de se souvenir du nom des morts[8].

LesMemorbücher célèbres

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Juif allemand portant larouelle.
(Manuscrit médiéval (v. 1476)).

LeMemorbuch deNuremberg appelé parfoisMemorbuch deMayence a commencé à être rédigé en1296. Il a été publié pour la première fois dans laRevue des études juives en1882. Il énumère la liste des massacres et leur lieu d'exécution[2]. Pratiquement toutes les villes deRhénanie et d'Allemagne du Sud sont citées. On y trouve le récit des femmes assassinées pour avoir fait circoncire leur fils, celui du meurtre d'Elazar qui avait refusé de manger du porc[9]. Le Memorbuch raconte entre autres qu'en1285, la communauté juive deMunich a été accusée de crime rituel. 180 juifs, hommes, femmes, enfants furent alors enfermés dans lasynagogue et brûlés en même temps que le bâtiment[10]. Il cite le nom des941 victimes du pogrom deWurtzbourg en1298, celui des470 victimes deRothenburg la même année[8] lors desmassacres menés par le chevalier Rindfleisch. Les massacres menés par les bandes d'Armleder entre1336 et1339 sont mentionnés[3].

Ces évocations montrent l'importance des communautés juives dans la vallée du Rhin et l'ampleur des persécutions. Des massacres ont lieu régulièrement jusqu'en1349. Un chroniqueur des massacres, Salomon bar Shimshon, écrit :

« Qui a jamais vu ni entendu de telles choses ? Demandez et voyez : y eut-il jamais uneakéda (sacrifice) comme celle-ci dans toutes les générations depuis Adam ? Y eut-il jamais onze cents akédot le même jour, toutes comparables àAbraham liant son filsIsaac pour lesacrifice ? Mais pour celui qui fut lié aumont Moriya, la terre trembla et il est dit : « Voilà que les anges se mirent à pleurer et que le ciel s'assombrit. » Mais que font maintenant les anges ? Pourquoi les cieux ne s'assombrissent-ils pas et les étoiles ne pâlissent-elles pas (...) quand en un seul jour (...) onze cents âmes pures furent sacrifiées, parmi lesquelles des nouveau-nés et des enfants ? Garderas-tu le silence, ô Éternel, notre Dieu ? »

— Salomon bar Shimshon, Harbeman,Séfer gezerot Ashkenaz ve zarfat[11]

LeMemorbuch garde aussi le nom de trente-huit Juifs, dont dix-sept femmes, accusés à tort demeurtre rituel àBlois en1171 et qui ont été brûlés vifs[12]. LeMemorbuch de Nuremberg a été acheté par un habitant de Mayence qui l'a placé dans la bibliothèque de la communauté juive de la ville, d'où le second nom deMemorbuch deMayence. Il a été emporté en Angleterre quand sa famille a fui les persécutions nazies[13].

Le premierMemorbuch deMetz (1610-1724) ne comporte que le nécrologe tenu par laHevra kaddisha Kabranim, la confrérie qui avait la responsabilité d’organiser les enterrements au sein de la communauté. Il contient 865 notices nécrologiques derabbins, de lettrés, d'officiants, de médecins, de dirigeants de la communauté, mais aussi de Juifs plus modestes[14]. Les notices citent la date du décès et de l’inhumation, l’origine du défunt s’il vient d’une autre ville, les éventuelles responsabilités dans la communauté, ses dons.

LeMemorbuch deFrancfort est un document de plus de 1 000 pages qui raconte l'histoire de la communauté juive de Francfort-sur-le-Main de1628 à1907. Il commence par un poème relatant l'incendie de la synagogue de la ville en1711[15].

LeMemorbuch deFürth en Bavière est actuellement conservé auJüdisches Museum Franken de la ville. Sa rédaction avait commencé, àVienne, quelques années après l'instauration dughetto de Vienne par l'empereurFerdinand II en1624. En1670, l'empereurLéopoldIer expulsa les Juifs deVienne. La famille Fränkel prit le manuscrit et le transporta àFürth où elle s'installa. Quand lesnazis incendièrent la synagogue de Fürth pendant laNuit de Cristal en1938, on crut le manuscrit perdu. Mais il fut retrouvé en1998, dans un appartement de la ville[16]. La communauté juive de Fürth a été anéantie par laShoah. Dans la tradition desMemorbücher, Gisela Blume a écrit en1997Zum Gedenken an die von den Nazis ermorderten Fürther Juden 1933-45[17].

EnAlsace, il existe de nombreuxMemorbücher qui attestent d'exécutions de Juifs jusqu'en1764. On cite entre autres :Rabbi Jacob b. Moïse et Rabbi Moïse b. Efraïm, assassinés entreColmar etRibeauvillé en1715 ;Moïse, fils de Salomon (sans doute deRibeauvillé), assassiné par son domestique en1764 dans les environs deMetz[2]. LeMemorbuch deDornach, datant de1798 contient des prières en la mémoire des victimes de persécutions en Allemagne, enAutriche, enBohème, enEspagne, enPologne et enHollande[18].

LeMemorbuch d'Exeter de1857 est un des rares mémoriaux qui ne concernent pas les communautés juives de Rhénanie. Il nomme les membres de la communauté d'Exeter ainsi que leurs dons. Hommes et femmes sont cités ainsi que leurs fonctions religieuses.

Les livres de la mémoire après la Shoah

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Article détaillé :Littérature de la Shoah.

LesYizker-bikher

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Leshtetl deLakhva, enPologne, en1926

Le souvenir des victimes de laShoah a conduit à la rédaction et à la publication de nouveauxMemorbücher appelésYizker-bikher. Yizker est un mot yiddish signifiant "puisse l'Eternel se souvenir"[19]. Ces livres ont le plus souvent été élaborés par les membres d'unelandsmannschaft, une association d'entraide regroupant les Juifs issus d'une même communauté en Europe avant la Shoah. LesYizker Bikher racontent l’histoire de la ville, de la communauté juive, notamment dans l'entre-deux-guerres, des membres célèbres de la communauté comme les rabbins ou les écrivains yiddish[20]. Ils sont un témoignage de la splendeur de la vie juive détruite, de l'occupation nazie et du martyre de leur ville ou de leur village, leshtetl. Ils sont pour les chercheurs des sources essentielles pour connaître la vie des Juifs en Europe centrale et orientale: les métiers pratiqués, les rites religieux, les chants et les danses, les instruments joués par les orchestres deKlezmer[21]. Les souvenirs personnels et familiaux sont très présents. Le livre traite surtout des modalités locales de la Shoah. Il se termine par la liste des victimes[20]. Le premier de ces livres est sans doute celui deŁódź, leLodzer yizker-bukh, publié àNew York en1943 par les Juifs émigrés de cette ville polonaise, même s'il échappe en grande partie à la définition desYizker-bikher puisque lors de sa parution la communauté juive de Lodz n'avait pas encore été anéantie. Il traduit la culpabilité des rédacteurs d'avoir abandonné leur famille enPologne et une crise d'identité entre leurs racines et leur nouvelle patrie[22].

Quatre cent quarante de ces livres sont, en1979, déjà publiés auxÉtats-Unis, enFrance, enArgentine principalement, mais aussi enIsraël, ce qui n'est qu'une toute petite partie desYizker-bikher rédigés. De plus, ils ont été généralement diffusés à un faible nombre d'exemplaires, rarement plus de cinq cents. Les collections les plus complètes se trouvent à l'université hébraïque de Jérusalem, à la Maison de la culture yiddish - Bibliothèque Medem à Paris et à l'Institut pour la recherche juive deNew York[23] qui détient plus de sept cents recueils. LesYizker-bikher sont le plus souvent rédigés enyiddish[24], parfois en Hébreu. Ils peuvent aussi combiner les deux langues[20]. Soixante-dix de ces Yizker-bikher ont été réunis et traduits en anglais dansFrom a Ruined Garden: the Memorial Books of Polish Jewry par Jack Kugelmass and Jonathan Boyarin en1998[25].

En, est inauguré à Paris le monument de la synagogue de la Victoire en mémoire des victimes de la barbarie nazie (Juifs mais aussi non-juifs). À cette occasion un coffret, censé renfermer les noms de toutes les victimes juives de la Shoah est déposé au pied du monument, renouant ainsi avec la tradition du Memorbuch. Mais cette initiative est sans lendemain, les familles ne faisant pas inscrire les noms des leurs déportés[26].

Les mémoriaux actuels

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Après le succès retentissant du roman d'André Schwarz-Bart,Le Dernier des Justes, en 1959, le philosopheAndré Neher et sa femme, l'historienneRenée Neher entreprennent une vaste opération appelée :Zakhor, c'est-à-dire, souviens-toi. Ils proposent un programme précis aux enseignants, organisent àStrasbourg, une série de quatre rencontres avec des témoins et des historiens dans un cycle intitulé : 'Mort et résurrection du Dernier des Justes '[27].Serge Klarsfeld reprend la tradition de Memorbuch quand il publie en 1978Le Mémorial de la déportation des Juifs de France rédigé à partir de la liste des déportés classés par convois. DansLe Mémorial des enfants, il essaie de retrouver la photo et l'identité de chacun de 11 000 enfants envoyés vers la mort[28]. Il est imité dans beaucoup de pays, quand c'est possible.Parmi lesMemorbücher récents, on peut citerLe memorbuch, mémorial de la déportation et de la résistance des juifs du Bas-Rhin deRené Gutman,Memorbuch Memorbook Sefer Yizkor: A Commemoration to Those Jews ofSchleswig-Holstein Perished in the Shoah de Miriam Gillis Carlebach[29]. En France la liste s'enrichit avec d'autres monographies sectorielles: Lorraine, Haut-Rhin, Moselle, Vosges, Dordogne, Nancy, rabbins, convoi particulier. Le souvenir de la Shoah a remis à l'ordre du jour la lecture des noms des disparus comme dans le judaïsme médiéval. Jusqu'à la fin des années 1980, les noms sont lus dans les cimetières entre Rosh-Hashana et Yom Kippour lors de cérémonies devant les caveaux des associations juives. Aujourd'hui, la lecture ne s'adresse plus à la communauté juive mais à toute la nation. Elle a lieu le. ÀParis, les noms sont égrenés à l'ancien emplacement duvélodrome d'hiver, àJérusalem devantYad Vashem[30].

Il existe aussi des mémoriaux « individualisés ».Le Memorbuch de Henryk Grynberg publié en Pologne en2000[31] raconte la vie d'une seule personne, l'éditeur Adam Bromberg, le livre sur la communauté juive deGrünstadt écrit par Kyra Schilling, Odilie Steiner, Elisabeth Weber: Jüdisches Leben in Grünstadt[32]. DansLes Disparus,Daniel Mendelsohn[33] raconte ses recherches pour retracer la vie des membres de sa famille et la manière dont ils sont morts. Il rend ainsi hommage aux morts par le biais de nombreux témoignages, à la manière desYizker Bikher[34].Enfin, le projet le plus ambitieux de collecte de noms des déportés de tous les pays est entrepris à Yad Vachem. Les listes des déportés y sont complémentées par les feuilles de témoignage « Daf Ed », remplies par des proches ou amis. Cette liste est consultable en ligne et contient plus de3 millions de noms.

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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Notes et références

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  1. (en) Salomon B. Freehof, article « Hazkarat Neshamot »,Talmudic Encyclopedia, VIII, Jérusalem, 1957,p. 603-609
  2. abcd eteRené Gutman,Le Memorbuch, mémorial de la déportation et de la résistance des juifs du Bas-Rhin, La Nuée Bleue, 2005, Introduction
  3. ab etc(en) « Memor-Book »,JewishEncyclopedia en ligne, consulté le 17 mars 2008
  4. S. Salfeld, Le Martyrologe deNuremberg, Berlin, 1898
  5. (en)Israel Jacob Yuval,Two Nations in Your Womb Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages,University of California Press,,p. 137.
  6. Yuval 2006,p. 138.
  7. (de) M. Weinberg, « Untersuchungen über das Wesen des Memorbuches »,Jahrbuch des jüdisch-literarischen Gesellschaft, Francfort, XVI, 1924,p. 253-320 ;Die Memorbücher des jüdischen Gemeinden in Bayern, I-II, Francfort, 1937-1938
  8. a etbIsrael Jacob Yuval, p. 137
  9. Collectif,Encyclopédie de l'histoire juive, Liana Levi, 1989,p. 73
  10. (en)« Recording a Lost World »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), janvier 2001
  11. Haberman,Séfer gezerot Ashkenaz ve zarfat, p. 32
  12. (en)article « Blois »,Jewish Encyclopedia en ligne
  13. (en)Rescuing the Memory of a People
  14. Le premierMemorbuch de la communauté juive de Metz
  15. (en)Tracing the Tribe: Digitized Frankfurt Memorbuch
  16. (en)Vienna Jewish Museum Exhibits Rediscovered Viennese Memory Book of the Klaus Synagogue of Fürth
  17. (de) Komitee zum Gedenken der Fürther Shoa-Opfer, Fürth, 1997
  18. (en)Le Memorbuch d'Haguenau, Central Archives for the History of the Jewish People, cité par Paula Hyman,The Emancipation of the Jews of Alsace, New Haven, 1991,p. 71-2
  19. Georges Bensoussan (dir.), Jean-Marc Dreyfus (dir.), Édouard Husson (dir.)et al.,Dictionnaire de la Shoah, Paris, Larousse,coll. « À présent »,, 638 p.(ISBN 978-2-035-83781-3),p. 333
  20. ab etcDictionnaire de la Shoah,p. 334
  21. (en)Klezmer Memories in the Memorial Books
  22. (en)Thunders of Silence:Yizker (Memorial) Books Between Rupture and Repetition
  23. (en)Site de l'YIVO
  24. Nicolas Weill etAnnette Wieviorka,La construction de la mémoire de la Shoah : les cas français et israélien, Les Cahiers de la Shoah,no 1, 1994, disponible sur[1]
  25. (en)From a Ruined Garden : the Memorial Books of Polish Jewry, édition et traduction par Jack Kugelmass et Jonathan Boyarin, avec un index géographique et une bibliographie par Zachary M. Baker, Bloomington, Indiana University Press, 1998, publié en association avec le Mémorial américain de l'Holocauste
  26. Annette Wieviorka,Déportation et génocide. Entre la mémoire et l’oubli, Plon, 1992,p. 405.
  27. Francine KAUFMANN,Les enjeux de la polémique autour du premier best-seller français de la littérature de la Shoah, Revue d'Histoire de la Shoahno 176,septembre-décembre 2002,p. 68-96 disponible sur[2]
  28. Annette Wieviorka,La mémoire de la Shoah, Cahiers français,no 303, juillet-août 2001p. 84
  29. Bar Ilan University Israel: Joseph Carlebach Institute, 1996
  30. Annette Wievorka,p. 85
  31. Henryk Grynberg,Memorbuch, W.A.B., Warsaw 2000, edition I
  32. Grünstadt, 2007
  33. Paris, Flammarion, 2007
  34. Ivan Jablonka,Comment raconter la Shoah ? À propos desDisparus de Daniel Mendelsohn
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