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Max Ingrand

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Max Ingrand
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Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Maurice Ernest Max-IngrandVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Grade militaire
Conflit
Distinctions
Œuvres principales

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Max Ingrand, né le àBressuire et mort le àNeuilly-sur-Seine, est unmaître-verrier et décorateurfrançais, l'un des plus réputés de l'après-guerre avecPierre Lardin etRobert Pansart.

Biographie

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Famille

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En premières noces, Max Ingrand épouse le à Paris (18e arrondisement)Paule, née Paulette Jeanne Rouquié, artiste peintre dont il divorce en 1945 après avoir été séparé d'elle en 1939 par la guerre. Il s'unit en secondes noces le àNeuilly-sur-Seine àMarie-Alberte-Fernande Madré-Rey, dont il eut deux enfants[1].

Jeunesse et formation

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Inscrit à l'associationscoute desÉclaireurs de France en 1917[2], Max Ingrand[1] accomplit sa scolarité au lycée àChartres puis intègre à Paris l'École nationale supérieure des arts décoratifs,rue de l'École-de-Médecine[3] où il eut pour maîtres les grands artistesJacques Gruber etCharles Lemaresquier. Diplômé en 1927, il est embauché par Jacques Gruber[4].

Il effectue son service militaire en 1929-1930.

Prisonnier de guerre

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Mobilisé en septembre 1939, il participe aux campagnes de Hollande et de Belgique et est fait prisonnier àDunkerque. Il est maintenu en captivité pendant 5 ans à l'oflag IV-D.

Carrière artistique

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Il futdirecteur artistique de Fontana Arte, vice-président de la Société des artistes décorateurs, vice-président du Syndicat des verriers d'art et cristalliers de France et président des Anciens élèves de l'École nationale supérieure des arts décoratifs.

Atelier et domiciles

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Ingrand a travaillé jusqu'à la fin de sa vie dans l'atelier situé au 8,passage Tenaille dans le14e arrondissement dans lequel il s'était établi en 1932 et auquel il avait ultérieurement annexé leno 6 pour y installer les bureaux d'étude et un espace de présentation de Fontana Arte. Il demeurait auno 3rue de la Cité-Universitaire à Paris, puis en dernier lieu au 12, rue Salignac-Fénelon à Neuilly-sur-Seine[5].

Max Ingrand meurt le d'une grippe à l'hôpital deNeuilly-sur-Seine, à l'âge de 60 ans.

Décorations

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Œuvre

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(liste non exhaustive)

En France

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À l'étranger

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Publications

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Notes et références

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  1. a etbGuy Bloch-Champfort, « Ingrand, Max - Biography » sur le siteartdecoceramicglasslight.com.
  2. Max Ingrand, notice sur le site Scoutopedia.
  3. Transférée en 1932 dans ses nouveaux bâtiments de larue d'Ulm, où elle se trouve encore (Notice d'introduction aux archives de l'École nationale supérieure des arts décoratifs sur le site das Archives nationalesfrancearchives.fr.
  4. François Maubré, « Max Ingrand et ses vitraux à l'église de Fraize », 2019 (en ligne) sur le sitelacostelle.org.
  5. Who's who in France, 1969,p. 1028.
  6. « Cote 19800035/978/13354 »,base Léonore,ministère français de la Culture.
  7. Claude Goure,À la découverte de l'église Sainte-Agnès d'Alfort, Maisons-Alfort, A.A.S.A.A EDITIONS, 1er trimestre 2018, 110 p.(ISBN 979-10-699-1765-1,lire en ligne),p. 26 - 30 à 49
  8. « Max Ingrand, une vie dédiée au verre | Magazine Barnebys », surBarnebys.fr,(consulté le)
  9. Noticeno PA62000035, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  10. AiméeRivière, « L'église Saint-Sulpice de Seraincourt »,Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Pontoise,vol. LXXXI,‎,p. 133-180 ; p. 165.
  11. Cathédrale Saint-Maclou de Pontoise, Denis Pichon, éd. SAEP
  12. « 20. Le vitrail de l’Europe de Max Ingrand »,Documentation et patrimoine DRAC Alsace(consulté le)
  13. « ...et dans la cathédrale », surwww.strasbourg-europe.eu(consulté le)
  14. Caroline Mangez,« Champs-Élysées, un rond-point 6 étoiles »,Paris Match, semaine du 28 février au 6 mars 2019, p. 66-71.
  15. « Les vitraux de l’église de Saint-Leu d’Esserent (1960) », surHeritage Lupovicien,(consulté le)
  16. « Eglise Saint-Jean-Baptiste », noticeno PA28000010, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  17. Sophie des Déserts, « Appelez-moi de nouveau France »,Vanity Fairno 27, septembre 2015, pp. 156-165.
  18. St. Dominic's Parish Art & Architecture, St. Dominic's website.

Annexes

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Bibliographie

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  • Jean-Pierre Blin etJean-Yves Andrieux,Max Ingrand(1908-1969). Un atelier de vitrail dans la France du XXe siècle,. Résumé disponible sur le site du Centre André Chastelcentrechastel.paris-sorbonne.fr (lire en ligne).
  • Pierre-Emmanuel Martin-Vivier,Max Ingrand : du verre à la lumière, Paris, Norma,, 255 p., relié(ISBN 978-2-915542-24-0)
  • Cédric Rameau Monpouillan,Catalogue de l'exposition, Max Ingrand (1908-1969), Musée du vitrail de Curzay, (1996).
Articles
  • Architectural Digest,, n° 86, p. 86.
  • Jean-Pierre Blin, « Max Ingrand, 1908-1969. Maître-verrier, décorateur »,Histoire et patrimoine du Bressuirais,no 78,‎
  • Grégory Vouhé, « Max Ingrand de Bressuire à Thouars »,L’Actualité Nouvelle-Aquitaine n° 122, automne 2018Lire en ligne

Liens externes

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