Le sous-sol de Marquise, riche en calcaire (oolithique, gris jaunâtre, solide, compact et tendre) et marbres du Boulonnais, présente une géologie remarquable. Ces roches appartiennent à l'ensemble des carrières du Boulonnais ainsi que des carrières de la Vallée Heureuse (les derniers à proposer une activité marbrière) datant du Carbonifère (terrain primaires). C'est la richesse du sous-sol de Marquise qui a rendu le bassin intercommunal renommé.
laFausse rivière qui coule vers l'ouest et rejoint leruisseau de Bazinghen[5],[6] qui constitue la limite communale ouest, cette rivière étant un affluent de la Slack ;
leCrembreux, qui coule depuis Rinxent à l'est, rejoint la Slack au sud de la ville, juste avant la confluence avec lePoché, dont les eaux proviennent du sud[7],[8] ;
leRuisseau de Quelles qui prend sa source dans la commune deWierre-Effroy et conflue dans la Slack au niveau de la commune[9] ;
leCotten qui prend sa source dans la commune et conflue dans un cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu au niveau de la commune deBeuvrequen[10] ;
et trois petits cours d'eau aux toponymes hydrographiques inconnus[11],[12],[13].
« Les prés entre deux rivières » sont une zone basse, inondable.
les « paysagesboulonnais » qui concernent66 communes, se délimitent : au nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’est, par le paysage du Haut pays d'Artois, et au sud, par les paysages Montreuillois[24].
Ces paysages, constitués d'uneboutonnière bordée d'unecuesta définissant un pays d'enclosure, sont essentiellement un paysagebocager composé de47 % de son sol en herbe ou en forêt et de31 % en herbage, avec, dans le sud et l'est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d'Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin decarrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierremarbrière dont l'extraction s'est développée auXIXe siècle[24].
La boutonnière est formée de trois ensemblesécopaysagers : le plateau calcaire d'Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d'escarpements calcaires[24].
Dans ces paysages, on distingue trois entités :
les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[24] ;
Une vue de ces « paysages des falaises d’Opale » et lecap Blanc-Nez.
les « paysages des falaises d'Opale », qui concernent30 communes, s'étendent le long de la côte, d'Équihen-Plage àSangatte, sur une bande d’environ50 kilomètres de long et d’un maximum de5 kilomètres de large, l'autoroute A 16 étant la frontière à l'est. Ils sont constitués, d’une part, par les falaises d’Opale où se trouve legrand site des Deux Caps qui, avec lecap Blanc-Nez, culmine à150 mètres, ces falaises offrent un belvédère sur lepas de Calais avec la possibilité de voir les côtes d'Angleterre, et d'autre part, vers l'intérieur des terres, avec les paysages littoraux qui jouxtent ceux des « coteaux calaisiens et du pays de Licques », d'un paysage alternant collines, vallons et bocages[25].
L’occupation des sols se répartit en43 % de cultures pour les paysages arrière-littoraux,20 % de sols artificialisés,20 % de prairies et forêts et10 % de plage[25].
Lescrans, constituent une des particularités de ces côtes à falaises. Les crans sont des vallées suspendues qui se sont retrouvées le « nez en l’air », soit du fait de l'affaissement dupas de Calais[Note 5], soit par la baisse du niveau de la mer[Note 6], comme le cran d'Escalles, le cran Mademoiselle, le cran Poulet, le cran Barbier, le cran des Sillers, le cran de Quette et le cran aux Œufs, situés, eux, sur la commune d’Audinghen[25].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF detype 1[Note 7] :
labasse vallée de laSlack. Cette large vallée est composée d’un remarquable complexe de prairies alluviales pâturées ou fauchées, plus ou moins longuement inondables et ponctuées de mares et d’étangs de chasse[28] ;
Au, Marquise est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1].Elle appartient à l'unité urbaine de Marquise[Note 8], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle estville-centre[Note 9],[Insee 2],[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 10],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[Insee 4],[Insee 5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (47,5 %), prairies (35,5 %), zones urbanisées (15 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
En 2022[Note 11], le nombre total delogements dans la commune était de 2 368, alors qu'il était de 2 224 en 2016 et de 2 119 en 2011[Insee 6], soit une progression du nombre total de logements de 11,8 % depuis 2011.
Parmi ces 2 368 logements, 92,0 % étaient desrésidences principales, (soit 2 179 logements), 1,8 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85,8 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 14,1 % desappartements[Insee 7].
Sur les 2 179 résidences principales, 62,1 % sont occupées par des propriétaires, 35,5 % par des locataires et 2,4 % par des personnes logées gratuitement[Insee 8].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Marquise en 2022 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion desrésidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) par rapport au département (6,6 %) et à la France entière (9,7 %) ainsi que d'une proportion de logements vacants (6,2 %) inférieure à celle du département (7,2 %) et de la France entière (8 %).
À la suite du passage destempêtes Ciarán,Domingos etElisa et desinondations etcoulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du, en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au, comme179 autres communes du département[33].
En 1420, le mariage du roi d'AngleterreHenry V avec Catherine de France, fille du roi de France,Charles VI le fou, a lieu dans l'église de Leulinghen (à proximité de Marquise).
En octobre 1543, les Anglais qui peuvent mener facilement des expéditions depuis Calais qu'ils possèdent ravagent Marquise etAudinghen[43].
Vers 1662, se tient larévolte des Lustucru dans le Boulonnais, en réaction à de nouveaux impôts instaurés parLouis XIV. 250 cavaliers sont envoyés. À Marquise, la cave du curé est pillée. Puis le mouvement prend fin avec l'envoi de 363 personnes aux galères et la suppression de privilèges à la région[44].
Fin septembre et début octobre2006, une opération réussie du peloton de gendarmerie local a fait parler de Marquise sur toutes les chaînes de télévision et de radio francophones grâce à la récupération à l'étranger d'un tableau deMaurice Boitel, volé quarante ans auparavant.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[61].
En 2022, la commune comptait 5 169 habitants[Note 13], en évolution de +1,13 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2022, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 25,8 % au niveau départemental.
En 2022, la commune comptait 2 484 hommes pour 2 685 femmes, soit un taux de 51,94 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2022 en pourcentage[Insee 12]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
2,0
6,4
75-89 ans
9,7
14,2
60-74 ans
15,1
20,7
45-59 ans
21,2
18,6
30-44 ans
17,8
19,6
15-29 ans
16,6
19,9
0-14 ans
17,5
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[63]
Lerevenu fiscal médian par ménage, letaux de pauvreté des ménages et la part des ménages fiscaux imposés de la commune, du département du Pas-de-Calais et de la métropole sont les suivants :
le taux de pauvreté des ménages de la commune est de17 %, de18,4 % au niveau du département et de14,9 % au niveau de la métropole[Insee 16],[Insee 17],[Insee 18] ;
la part des ménages fiscaux imposés dans la commune est de39 %, de44,1 % au niveau du département et de53,4 % au niveau de la métropole[Insee 13],[Insee 14],[Insee 15].
En 2022[Note 16], la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 203 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (66,1 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 17],[Insee 19]. En 2022, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui du département et supérieur à celui de la France métropolitaine.
Sur ces 2 140 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 577 travaillent dans la commune, soit 74 % des habitants[Insee 24]. Pour se rendre au travail, 83,8 % des habitants utilisent une voiture, un camion ou une fourgonnette, 3,5 % lestransports en commun, 7,7 % s'y rendent en deux-roues motorisé, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[Insee 25].
La commune est située dans le bassincarrier de Marquise. Ce bassin carrier est exploité, en 2025, par quatre entreprises : la société des carrières duBoulonnais créée en 1896 (granulats), la société des carrières de la Vallée Heureuse, créée en 1842 (granulats calcaire et pierre etmarbre de marquise), la société des carrières de Stinkal (sables et de granulats) et la société magnésie etdolomie de France (pierres ornementales et de construction, de calcaire industriel, degypse, decraie et d'ardoise). La société des carrières Randon (calcaire industriel, de gypse et de craie) a cessé d'exister en 1996. La production annuelle du site est de dix millions de tonnes de granulats et de57 millions dem3 de materiaux stériles[64].
En 1994, pour une durée de vingt ans, un « plan de paysage de bassin carrier de Marquise » est signé entre les sociétés exploitant les carrières, les neuf communes concernées, le parc naturel régional et les pouvoirs publics. L'objectif de ce plan est que le bassin carrier ait« les mêmes allures et pentes que les collines naturelles duBoulonnais et une base boisée avec des essences locales. Leur sommet restant en landes, milieu à la biodiversité exceptionnelle ». En 2014, un plan réactualisé est de nouveau signé par les différents acteurs pour une durée de30 ans[65],[66].
Les châteaux Mollack, de Ledquent, de la Liégette, Leducq, Desforges, d'Hardenthun.
Le moulin Taverne.
Les carrières de marbre.
Le vieux tilleul de l'église : cet arbre de plus de 600 ans a été classé remarquable et « Arbre historique de France » en 2012[69]. Selon un historien local,« l'arbre date vraisemblablement de 1412. Cet arbre […] repose sur un souterrain, découvert dans les années 50 par un puisatier »[70] La tradition veut que lescroisés aient fait escale devant lui en revenant descroisades, de même que le papeBenoît XIII[71] Il aurait été planté à l'occasion de la trêve de Leulinghen, signée entre les Français et Anglais. Endommagé par la tempête de1978 alors que son feuillage couvrait plus de 500 mètres carrés, il a été élagué et son tronc creux a été rempli de ciment. Selon un journal local de1904« Le grand portail de l'église de Marquise est abrité par un vénérable tilleul qui, paraît-il, date de 4 à 500 ans. Le tronc est creux mais les branches se couvrent chaque année d'un feuillage touffu. Naguère, c'est sous cet arbre que lesbergers des environs venaient, le dimanche, acheter et vendre deschiens. On a raconté qu'il est arrivé plus d'une fois que des gamins perdus et cachés dans les branches élevées, ont fait pleuvoir sur les bêtes et les gens une pluie qui ne tombait pas précisément du ciel »[72].
D'argent à la ruche de gueules, à deux pics de mineur de sable, emmanché d'or, passés en sautoir et un fourquet de brasseur du dernier posé en pal, les trois pièces brochant sur la ruche, elle-même accostée de deux abeilles de sable[73].
Détails
Les abeilles représenteraient la population laborieuse de Marquise, le fourquet représente les brasseurs de bière établis à Marquise et les pics de mineurs l'extraction passée de minerai de fer sur la commune. Création de Léon Pinart, datant d'entre 1863 et 1865, utilisée par la commune.
↑La DREAL distingue, dans la régionNord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent21 grands paysages régionaux.
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Marquise comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑2021 est l'année de référence des données statistiques fournies par l'Insee en 2025
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
↑2022 est l'année de référence des données statistiques fournies par l'Insee en 2025
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑« Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, surle siteGéoportail(consulté le).
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑AndréDu Chesne,Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris,(lire en ligne), p.89.
↑E. Dupeux, « Martial Herbert, maire de Marquise, va présenter sa démission jeudi soir au conseil municipal »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑« Marquise: Jean-René Bracq, devenu maire en cours de mandat, dresse le bilan des cinq années écoulées : Jean-René Bracq, 59 ans, se présentera en mars pour la première fois aux municipales de 2014. Le premier adjoint avait pris la succession de Martial Herbert, en cours de mandat en novembre 2011. Il dresse le bilan commun des cinq dernières années écoulées et évoque l’avenir notamment avec la future ZAC de la Plaine du Canet. »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Florent Caffery, « Après neuf années à la tête de Marquise, le maire Bernard Evrard a posé sa démission »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Lucile Ichi, « Marquise : Bernard Evrard crée la surprise et bat Jean-René Bracq : Avec 86 voix d’avance le conseiller municipal de l’opposition Bernard Evrard crée la surprise et devient le nouveau maire de Marquise. Les Marquisiens n’ont pas souhaité accorder leur confiance à Jean-René Bracq maire depuis novembre 2011, qui se présentait pour la première fois devant les urnes. Deception et consternation dans les rangs de la liste sortante Ensemble, agir pour tous, les Marquisiens ont choisi un « nouvel élan » pour leur commune »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Marie-Caroline Debaene, « Bernard Évrard élabore avec son équipe un projet de ville : Avec quatre-vingt-six voix d’avance, Bernard Évrard, ancien conseiller municipal d’opposition, a créé la surprise en devenant le nouveau maire de Marquise en mars 2014. Depuis, ce retraité de l’administration fiscale, âgé de 65 ans, a pris ses marques. Il évoque les projets de son mandat. »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑« Marquise : ancien conseiller de l’opposition, nouveau maire, qui est Bernard Evrard ? : Bernard Evrard fraîchement élu avec 86 voix d’avance sur le maire sortant Jean-René Bracq a créé la surprise. Mais qui est le nouvel édile marquisien ? »,La Voix du Nord, 23 mars 2013http://www.lavoixdunord.fr/region/marquise-ancien-conseiller-de-l-opposition-nouveau-ia31b49062n2014335.