Pour les articles homonymes, voirNicolle.
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Marcel Nicolle, né le àRouen[1] et mort le àParis, est unconservateur de musée etcritique d'artfrançais.
Après des études aulycée Corneille à Rouen, il obtient unelicence de droit et est élève de l'École du Louvre et du peintreLuc-Olivier Merson. Il est conservateur aumusée de Lille de 1895 à 1897 (conservateur-adjoint de 1892 à 1894) et aumusée du Louvre. En 1897, il reçoit le prix Wicar de laSociété des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille[2].
Il est critique d'art auJournal de Rouen, journal dans lequel il fera une critique virulente dufauvisme lors duSalon d'automne de 1905[3].
L’Académie française lui décerne leprix Charles-Blanc en 1924 et il reçoit laLégion d'honneur en 1926.
Il est membre correspondant de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen. Il préside le Syndicat des négociants en objets d'art, tableaux et curiosités.
Il meurt à son domicile, auno 6villa Spontini à Paris, et est inhumé aucimetière monumental de Rouen[4].
Expert en arts, sa bibliographie compte 22 livres, mémoires, rapports et plus de 300 articles de revues et de journaux.
Il est le frère deCharles Nicolle, médecin (1866-1936).