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Marcel Marceau

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Pour les articles homonymes, voirMarceau.

Marcel Marceau
Marcel Marceau en 1971.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Marcel Mangel
Surnom
Bip
Le mime Marceau
Pseudonymes
Bip, Le mime MarceauVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Strasbourg(-),Limoges(à partir de),Lille(à partir de)Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Période d'activité
Conjoint
Autres informations
Membre de
Arme
Conflit
Maîtres
Influencé par
Distinctions

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Marcel Marceau, dit lemime Marceau, nom de scène deMarcel Mangel, né le àStrasbourg et mort le àCahors, est unmime etacteurfrançais. Il a connu une célébrité internationale avec son personnage silencieux deBip, créé en1947.

Biographie

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Jeunesse

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Né àStrasbourg (Bas-Rhin) dans une famille juive, il est le second fils de Charles Mangel (né le àBędzin, dans le sud de la Pologne), un bouchercasher[1] qui aurait aimé être chanteur, et d'Anna Werzberg, une mère passionnée par les livres[2]originaire de Yabluniv, aujourd'hui en Ukraine[réf. nécessaire].

En 1926, la famille part s'installer àLille pour des raisons professionnelles. À cette époque, sa tante Fanny, sœur de son père, lui fait découvrir l'univers du cinéma et les films deCharlie Chaplin. L'influence du personnage deCharlot sur le jeune Marcel est immense et ne le quittera plus durant toute sa vie.

Son pèrebaryton l'emmène fréquemment à l'opéra ou à laboxe. Partageant son enfance entre deux régions, la famille retourne vivre à Strasbourg où, jusqu'en 1938, Marcel fait ses études aulycée Fustel-de-Coulanges. Pendant l’année scolaire 1938-1939, il a comme camaradeGermain Muller, qui, le, lui remettra unBretzel d'or[3]. L'évacuation de 1939 les sépare. Ils ne se retrouveront qu’après la guerre. SelonCharles Muller, son professeur de français[4], il était le meilleur élève en récitation et en poésie.

Sa famille d'originejuive polonaise est évacuée comme le reste de la population strasbourgeoise au début de laSeconde Guerre mondiale. Elle s’installe d’abord àChancelade puis àPérigueux, et en 1941, àLimoges où Marcel poursuit ses études aulycée Gay-Lussac pendant le second trimestre ; il y apparaît comme un bon élève ; il intègre en parallèle l’école des arts décoratifs de Limoges où il s'exerce à la céramique[5]. Leproviseur du lycée Gay-Lussac,Joseph Storck, unJuste parmi les nations, protège les élèves juifs.

En 1942, Marcel Marceau est moniteur de théâtre àMontintin (Haute-Vienne), dirigé par le docteur Raymond Lévy, de Reims, et à lamaison d'enfants du couple Hagnauer àSèvres, un internat qui cachait une centaine d'enfants juifs, où il est connu sous son nom detotem : « Kangourou »[6].Yvonne Hagnauer recevra le titre de Juste parmi les Nations en 1974. Grâce à son talent d’acteur, il donne des cours de théâtre aux enfants juifs pour leur permettre de dédramatiser une situation tendue et de conjurer leur peur[5]. En compagnie de son cousinGeorges Loinger, il participe même à la fuite d’une trentaine d’enfants juifs vers la Suisse[5]. Sous l'influence de ce cousin germain, grand résistant, et de son frère Simon Mangel, Marcel rejoint laRésistance en 1942 àLimoges au sein du secteurFTP Dordogne Nord. Il prend alors le pseudonyme de Marceau. Il raconte l'avoir« pris dans la Résistance à cause du vers deVictor Hugo, dansLes Châtiments : "Joubert sur l'Adige/Marceau sur leRhin". J'étais né dans le Bas-Rhin et je voulais bouter les Allemands hors de France »[7].

Le 19 février 1944, le père de Marcel Mangel est arrêté àLimoges dans la boucherie où il est employé[8] et déporté depuis lagare de Bobigny dans leconvoi n° 69 du 7 mars 1944[9] àAuschwitz où il est assassiné. À laLibération, Marceau s'engage dans laPremière armée du général de Lattre et fait lacampagne d'Allemagne[10].

Le mime : « Je serai mime ou rien »

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Marcel Marceau en 1962.

Après avoir fréquenté l’École nationale des arts décoratifs deLimoges, qui lui laisse le goût dudessin et de lapeinture, Marcel Marceau devient l’élève deCharles Dullin, deJean-Louis Barrault et d’Étienne Decroux qui établit la « grammaire » de l’art du mime qu’il appelait la « statuaire mobile ».

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C'est parce qu'il a une voix de gorge, sourde, voilée, très handicapante pour son futur métier de comédien qu'il décide de devenir mime[11].

Pour Marcel Marceau, l'art du mime puise sa force poétique dans cet engagement de tout le corps pour donner forme à l'invisible, créer la métaphore au travers des gestes et du regard. Authéâtre de Poche Montparnasse, le, jour du24e anniversaire de l’artiste, sort de l’ombre des coulisses un drôle de personnage, Bip, un pierrot lunaire, « hurluberlu blafard » à l’œil charbonneux et à la bouche déchirée d’un trait rouge, un drôle de haut-de-forme sur la tête, une fleur rouge tremblotante servant de panache à ceDon Quichotte dégingandé en lutte contre les moulins à vent de l’existence : « Bip » était né, aussi indissociable de Marceau queCharlot deChaplin.« La parole n'est pas nécessaire pour exprimer ce qu'on a sur le cœur » disait-il. En hommage au personnage de « Pip (en) » du romanLes Grandes Espérances deCharles Dickens[12] :« Bip est un personnage intemporel, tout en étant proche de mes rêves d'enfants. Il se cogne à la vie qui est à la fois un grand cirque et un grand mystère, et j'aime à dire qu'il finit toujours vaincu, mais toujours vainqueur… Il est tout ensemble l'homme de la rue, un vagabond du quotidien et l'homme universel affrontant le tragi-comique de l'existence… Il est l'homme tout simplement, se montrant dans la nudité et la fragilité de son être. »[13]. Inspiré par« le Paris de l'après-guerre avec ses vieilles rues, ses becs de gaz jaunis par le temps et le cri des faubourgs »[14], Marcel Marceau va enrichir son personnage en puisant expressivité des traits et personnification des caractères dans lethéâtre no, lekabuki, les masques du théâtre oriental ou de lacommedia dell'arte.

En1947, il fonde sa propre compagnie, la « Compagnie Marcel Marceau », et inscrit au répertoire des mimodrames et despantomimes :Le Manteau, d'aprèsNicolas Gogol,Le Joueur de flûte,Exercices de style,Le Matador,Le Petit Cirque,Paris qui rit, Paris qui pleure.

Marcel Marceau en Bip le Clown en 1974.

Il rencontre, à cette époque, l'un des grands décorateurs de théâtre de l'après-guerre :Jacques Noël, qui devient très vite le créateur de tous les décors et scénographies des mimodrames de la compagnie.

Marcel Marceau, enBip, en 1977.

En1952, il engage dans sa compagniePierre Verry[15] (1913-2009), élève avec lui d’Étienne Decroux, qui sera son partenaire attitré jusqu'en1979. Pierre Verry accompagne Marcel Marceau en tournée dans le monde entier, présentant ses numéros par ses célèbres pancartes. Le, les archives de Pierre Verry sont entrées à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle[16].Adriano Sinivia remplacePierre Verry en 1980 à l'occasion de l'inauguration de labiennale de Venise àla Fenice. De1969 à1971, Marcel Marceau fonde et dirige à Paris la première école internationale de mime, dont il confie la direction àPierre Verry, au théâtre de la Musique, ancienneGaîté-Lyrique. Il rencontre et engage à cette époque l'artistechilienAlejandro Jodorowsky, qui utilisait déjà le mime dans son premier filmFando et Lis. Il lui demande de publier un album sur Pietrolino, dont Jodorowsky prépare le synopsis, mais la publication n'aura lieu qu'en 2007 sur un dessin d'Olivier Boiscommun[17].

Au cours de sa longue carrière, Marcel Marceau va porter l'art du mime sur les scènes du monde entier, brisant les frontières de la langue et redonnant à cet art une envergure cosmopolite et populaire. Que ce soit d'une façon soliste ou en tant que dramaturge au travers de sa compagnie de mimodrame, il ne cessera de questionner l'art théâtral par le parti pris du silence.[réf. nécessaire][18]. Il disait :« Dans mes mimodrames et dans mes pantomimes au théâtre, je peux construire un monde tel que je voudrais qu’il soit, montrer la déchirure, le mal, en ne montrant pas l’abandon mais un cri d’espoir. Je crois à la rédemption humaine à travers le théâtre ».

Marcel Marceau a créé un personnage, mais aussi un style original, pratiqué par lui-même et par sa compagnie, puis enseigné dans son école. Son ouverture d'esprit lui a permis de rejoindre le Comité d'honneur duFestivalMimos, composé deJean-Louis Barrault,Jacques Lecoq,Bob Wilson,Kazuo Ohno, pendant quelques annéesMaguy Marin puisJosef Nadj[19]. La réunion de ces personnalités exceptionnelles, très différentes les unes des autres, montrait que le mime avait atteint les sommets de la créativité[20].

Éternellement vêtu d'un pantalon blancà pattes d’éléphant remonté au-dessus de la taille, d'unemarinière, d'uncaraco gris à gros boutons ronds et d'unchapeau claque rapiécé d'où émerge une fleur écarlate, avec son maquillage caractéristique (le visage enfariné avec du blanc qu'il fabrique lui-même, les sourcils en accent circonflexe, les yeux cerclés de noir et les lèvres de sang), le mime Marceau devient au fil des années un des artistes français les plus connus dans le monde. Ses tournées auxÉtats-Unis créent une vraie révolution théâtrale dans lesannées 1950, où a beaucoup été évoqué, notamment, son mouvement de la « marche contre le vent », à l'origine dumoonwalk deMichael Jackson.

En France, il joue en1975 dans la prestigieuse Cour d'honneur dupalais des papes pour leFestival d'Avignon.

En1978, il crée àParis une école internationale de mimodrame, située dans les sous-sols duthéâtre de la Porte-Saint-Martin auno 17rue René-Boulanger, avec la volonté et l’espoir farouche de réaliser une de ses aspirations les plus profondes : l’art comme point de rencontre de toutes les cultures où des élèves de plus de vingt nationalités, de 18 à25 ans, se côtoient. Alors que cette école devait initialement voir le jour àNew York, lemaire de ParisJacques Chirac et son conseiller culturelMarcel Landowski permettent son ouverture le[21]. Des cours de mime, dedanse classique, d'acrobatie et d'art dramatique y sont dispensés par une douzaine de professeurs dont sa femme et disciple Anne Sicco.« Il ne suffit pas d’utiliser une technique, de sortir d’une école pour devenir artiste. Il faut créer un esprit et une méthode dramatique qui fassent évoluer l’élève[22]. »

Tombe de Marcel Marceau àParis, aucimetière du Père-Lachaise (division 21).

Vingt-sept ans plus tard, en2005, l'école de Marcel Marceau ferme définitivement ses portes en raison des économies demandées par lamairie de Paris[23], ayant pour projet la création d'une autre structure (qui deviendra l'ESAD en2007 sous la direction deJean-Claude Cotillard).

Vie privée

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En avril 1959, Marcel Marceau divorce d'Huguette Mallet (1930-2010), danseuse, mime, comédienne et chanteuse, épousée le 4 septembre 1953 àPérigueux avec qui il a deux fils, Michel (né en 1950) et Baptiste (né en 1953)[24]. Il divorcera également d'Ella Jaroszewicz et d'Anne Sicco, avec qui il a deux filles, Camille et Aurélia[25].

Michel, son fils aîné, a été un temps célèbre àHollywood en y devenant, à19 ans, chanteur avec d'autres jeunes, fils et filles de stars du cinéma américain[26].

Marcel Marceau meurt le àCahors (Lot). Il est inhumé àParis aucimetière du Père-Lachaise (division 21)[27].

Dispersion de son patrimoine

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Marceau aurait voulu que sa maison àBerchères-sur-Vesgre (Eure-et-Loir) devienne, après sa mort, un musée du mime. Après des années de procédure, le tribunal de commerce de Paris ordonne, en mai et novembre2009, lavente aux enchères de tout son patrimoine artistique et de tous ses biens à l’hôtel Drouot[28]. Souhaitant que les objets lui ayant appartenu soient rassemblés dans un musée en France[29], leministère de la Culture et de la Communication a préempté certaines pièces désormais conservées à laBibliothèque nationale de France : des archives, des dessins, des maquettes et des photographies, notamment unBip sur scène[30]. D'autres ont été achetées par l'associationUn musée pour le mime[31], créée par d'anciens élèves de Marceau, qui les proposent sous forme d'expositions.

Publications

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  • Les Sept Péchés capitaux, Atelier Pons, 1965.
  • La Ballade de Paris et du Monde, Aline Elmayan Éditeur, 1968.
  • Die Weltkunst der Pantomime, entretiens de Marcel Marceau avec Herbert Jhering, Arche, Zürich, 1972.
  • L'Histoire de Bip, l'École des loisirs, 1976.
  • Le Troisième Œil, Lithoprint Delcourt, 1981.
  • Pimporello, Belfond, 1987.
  • Bip piégé dans un livre, La Martinière, 2002.

Filmographie

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Marcel Marceau interprétant La Cage, dans la 1ère partie du spectacle d'Alejandro Jodorowsky, en 1963.
Photographie parErling Mandelmann.
Films sur Marcel Marceau

Théâtre

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Marcel Marceau en 2004.

Émissions radiophoniques

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Le, Marcel Marceau passe dans l'émission radiophoniqueLe Tribunal des flagrants délires diffusée surFrance Inter. Le réquisitoire prononcé parPierre Desproges est disponible sur le disqueLes réquisitoires du tribunal des flagrants délires (volume 3) du coffret intégral aux éditionsTôt ou Tard paru en2001.

Marcel Marceau évoque longuement son maître Etienne Decroux au micro de Jean-Pierre Pagliano dans l'émission de France Culture "Profils perdus: Etienne Decroux" (5 et 12 novembre 1992).

Hommages et distinctions

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Décorations

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Récompenses

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Musique

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Jean Prodomidès a composé nombre de partitions pour La Compagnie du mime Marceau.

Notes et références

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  1. (en)Elie Feuerwerker. Words for a mime. The Jerusalem Post. 7 October 2007.
  2. Alain Vincenot,La France résistante. Histoires de héros ordinaires, Éd. des Syrtes,,p. 498.
  3. Germain Muller rend hommage au Mime Marceau.
  4. Interview deCharles Muller dansLes Dernières Nouvelles d'Alsace, 26 septembre 2007.
  5. ab etcOlfa Ayed, « Le mime Marceau : quatorze ans après sa mort, retour sur son histoire peu connue à Limoges », surfrance3-regions, 22 septembre 2021.
  6. Conseil des Communautés Juives des Hauts-de-Seine,À la mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine, juillet 2005,p. 76.
  7. Marcel Marceau, Valérie Bochenek, « Le Mime Marcel Marceau : entretien et regards avec Valérie Bochenek », surlamaisondesevres.org, Somogy,(consulté le).
  8. Doan Bui et Isabelle Monnin,Ils sont devenus Français. Dans le secret des archives, éditions Jean-Claude Lattès, novembre 2010,p. 247.
  9. Beate etSerge Klarsfeld,Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France, Paris, 1978.
  10. Christophe Ayad, « Marcel Marceau, 77 ans, mime et créateur de Bip, n'en a pas fini de faire ses adieux à la scène... », surlibération.fr,.
  11. Télé 7 Joursno 102, semaine du 3 au 9 mars 1962, pages 30 et 31, article de Patrick Le fort : "Fou de théâtre, Marceau a choisi d'être mime parce qu'il avait la voix d'Aznavour"
  12. Éric Azan,Le Monde,no 19492, 25 septembre 2007.
  13. Entretien avec François-Brice Hincker, « Marcel Marceau : L'humaniste du silence »,Saisons d'Alsace, 2003.
  14. Citation tirée de la préface de l'ouvragePimporello de Marcel Marceau.
  15. Pierre Verry sur la Revue du Spectacle.fr.
  16. « Consultation », surarchivesetmanuscrits.bnf.fr(consulté le)
  17. Yves-Marie Labé, « Bonheurs posthumes »,Le Monde des Livres,‎
  18. (de) Herbert Jhering, Marcel Marceau,Die Weltkunst der Pantomime : ein Gespräch,(lire en ligne)
  19. Programmesdu festival Mimos de Périgueux de 1992 à 2002
  20. Cf.Dictionnaire Encyclopédique du Théâtre, article "Consensus ?"
  21. ÉricAzan, « Une école de mime, le long rêve de Marceau »,Le Monde,no 19648,‎,p. 3
  22. « Marcel Marceaujour= », suracademie-des-beaux-arts.fr, Académie des Beaux-Arts(consulté le)
  23. leparisien.fr.
  24. Amis des archives des Landes et Association landaise de recherches et de sauvegarde, bulletinno 28, 2022, Regards historiques et portraits landais,p. 104-127 : "Maria Mallet (1930-2010), une vie de saltimbanque", article de Gilbert Dardey, avec la participation de Françoise Duffour.
  25. Jacques Lafitte, Stephen Taylor,Qui est qui en France, J. Lafitte,,p. 1191.
  26. Paris-Presse, L'Intransigeant, 21 février 1970,p. 19 : "Michel, le fils du mime Marceau devient célèbre à Hollywood en chantant. Michel Marceau commence une carrière aussi surprenant que rapide. Il sera pour quatre semaines l'une des vedettes de Cesar's Palace de Las-Vegas pour une revue baptisée "Le nom est le même", montée par d'autres enfants qui tiennent à faire leurs preuves après leurs parents : Gary Lewis, le fils de Jerry, Dina Martin, la fille de Dean, Tony Coogan, le fils de Jackie Coogan."
  27. « Le mime Marceau va être inhumé au Père-Lachaise », surtempsreel.nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur,(consulté le)
  28. « Les souvenirs du mime Marceau vendus pour 490 000 euros », surLibération.fr, Libération,(consulté le)
  29. « Un musée pour Bip - Accueil », surunmuseepourbip.com(consulté le).
  30. « L’État préempte des objets ayant appartenu au mime Marceau », surculture.gouv.fr, Ministère de la Culture et de la Communication,(consulté le).
  31. Un musée pour le mime
  32. La Bague surUnifrance.org.
  33. « Le mime Marcel Marceau décoré Grand Officier de l'Ordre du Mérite et... », surGetty Images(consulté le)
  34. Le Mime Marcel Marceau : De l'atelier à la scène, exposition organisée parChristian Paureilhe et Monica Regas, avec la collaboration de François-Brice Hincker
  35. « Le mime Marceau décoré à Cuba », surLibération.fr, Libération,(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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Biographies

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Varia

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Film

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Articles connexes

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Liens externes

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