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Marc Boegner

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Pour les articles homonymes, voirBoegner.

Marc Boegner
Conférence de Marc Boegner auPoët-Laval (1965).
Fonctions
Fauteuil 2 de l'Académie française
-
Président
Alliance biblique française
-
Frank Michaeli(d)
Président
Cimade
-
Président
-
Président
Fédération protestante de France
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Marc Roger BoegnerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Henri Boegner(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Parentèle
Alfred Boegner (oncle)
Tommy Fallot (oncle)
Michèle Boegner (petite-fille)
Sophie Boegner (petite-fille)
Jacqueline Gruner (nièce)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Religion
Membre de
Distinctions
Liste détaillée
Docteur honoris causa de l'université de théologie protestante de l'université Charles de Prague(d)()
Juste parmi les nations()
Docteur honoris causa de l'Université de Toronto
Docteur honoris causa de l'université d'Édimbourg
Grand officier de la Légion d'honneur‎Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Marc Boegner
Signature de Marc Boegner

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Marc Boegner, né le àÉpinal et mort le àParis, est unpasteur etthéologien protestant, responsable d'Église et essayistefrançais.

Biographie

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Famille

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Marc Boegner est issu d’une familleprotestante alsacienne. Son grand-père Charles-Henri Boegner (1800-1881) était professeur auGymnase protestant de Strasbourg. Il est le fils de Paul-Henri Boegner (1845-1918), avocat puis préfet[1], et de Marguerite Fallot (1848-1911), petite-fille deDaniel Legrand et arrière petit-fille deJean-Luc Legrand. Il est le neveu des pasteursAlfred Boegner, directeur de laSociété des missions évangéliques de Paris et deTommy Fallot, l'initiateur duchristianisme social en France. Il épouse en premières noces le Jeanne Bargeton, fille du préfet et régent de la Banque de France Louis-Ernest Bargeton[1], le couple a quatre enfants (dontPhilippe Boegner etJean-Marc Boegner). Il se remarie en 1935, avec Mary Thurneysen (1892-1951), sœur d'Eduard Thurneysen (1888-1974), théologien protestant suisse.

Jeunesse

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Marc Boegner passe son enfance à Épinal, avant de suivre sa famille à Orléans, puis à Paris où il fait ses études secondaires à l’École alsacienne. Il est élève enclasse préparatoire de l'École navale, aulycée Lakanal, mais il doit renoncer à une carrière dans la marine du fait d'un début de myopie. Il obtient une licence de droit, puis décide, sous l'effet de ce qu'il nomme sa « conversion » et très marqué par l'influence de son oncle le pasteurTommy Fallot, d'entrer à lafaculté de théologie protestante de Paris. Il y soutient en une thèse de baccalauréat en théologie, intituléeLes catéchismes de Calvin[2].

Début de carrière pastorale

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Marc Boegner est nommé pasteur àAouste-sur-Sye (Drôme), où Tommy Fallot a été pasteur pendant neuf ans. Il est nommé en 1911 professeur à laSociété des missions évangéliques de Paris. Il obtient, en 1914, une licence de théologie, en soutenant une thèse intituléeLa vie et la pensée de Tommy Fallot[3].

Il est mobilisé à Paris comme infirmier-chef en, tout en continuant à présider des cultes. À l'issue de la guerre, il est nommé pasteur de la paroisse protestante parisienne dePassy-Annonciation (1918-1953), où il est rejoint en 1934 par le pasteur et théologienPierre Maury, introducteur de la pensée deKarl Barth en France et professeur de dogmatique à lafaculté de théologie protestante de Paris[4].

Figure présidentielle

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En 1928, il inaugure les prédications ducarême protestant à la radio[5] et se prononce en faveur de l'unité des chrétiens. Cette activité radiophonique contribue à le faire connaître.

De 1929 à 1961, il est président de laFédération protestante de France. Lors de la réunification des Églises réformées en 1938, il devient le premier président du conseil national de la nouvelleÉglise réformée de France.

SelonPatrick Cabanel, l'année 1937 a vu une victoire feutrée de Boegner surFreddy Durrleman, animateur deLa Cause, qui a été contraint par le ministre des Postes de céder à la Fédération protestante son émission hebdomadaire surRadio-Paris. Habitué à présider, « chef national des protestants » comme l'avait été le marquis deRuvigny auXVIIe siècle, Marc Boegner serait une figure « épiscopalienne » voire « cardinalice »[6].

Années de guerre et d'occupation

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En, après l'armistice, la Fédération protestante souhaite que son président se fixe enzone libre et Marc Boegner s'installe àNîmes où la tradition protestante reste forte, tandis qu'André-Numa Bertrand, vice-président de la Fédération protestante et pasteur de l'Oratoire du Louvre, reste à Paris. Marc Boegner multiplie les déplacements et les interventions auprès du gouvernement de Vichy en faveur des personnes déplacées ou regroupées dans lecamp d'internement de Drancy et aucamp de Gurs et ensuite en faveur des Juifs[7].

Premières interventions contre l'antisémitisme

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Il intervient ainsi auprès dePierre Laval, mais en vain, pour lui demander de renoncer à inclure les enfants juifs de moins de seize ans dans les convois de déportation. Dès, il soutient le projet d'action de laCimade qui permet àMadeleine Barot et Jeanne Merle d'Aubigné d'intervenir au sein du camp de Gurs, afin de porter secours aux internés parmi lesquels se trouve une majorité de réfugiés juifs[8], dont l'écrivaine pacifisteAdrienne Thomas, la philosopheHannah Arendt et la peintreLou Albert-Lasard. Le, il adresse une lettre aux huit présidents de région de l'Église réformée de France de lazone libre pour rappeler notamment que« pour l'Église il n'y a pas de problème juif » et que« l'Église a le devoir de rappeler à l'État […] que son autorité, dont le fondement est Dieu, doit s'exercer pour le bien de tous ses ressortissants, dans une volonté de justice, et dans le respect des personnes »[9].

Le, il écrit deux lettres au nom de l'Église réformée de France, l’une à l’amiral Darlan, vice-président duConseil national, l’autre augrand-rabbin de FranceIsaïe Schwartz, dans laquelle il déplore la mise en place d’une législation raciste :« Notre Église, qui a jadis connu les souffrances de la persécution, ressent une ardente sympathie pour vos communautés dont en certains endroits la liberté du culte est déjà compromise et dont les fidèles viennent d’être si brusquement jetés dans le malheur. Elle a déjà entrepris et ne cessera pas de poursuivre des démarches en vue d’une refonte indispensable de la loi. » Première manifestation publique de solidarité des chrétiens français envers les Juifs, cette lettre connaît un retentissement extraordinaire, notamment grâce au journalcollaborationnisteAu Pilori qui a cru bon de la publier sous le titre « Une lettre inadmissible du chef des protestants de France »[10], ou encore àJe suis partout, qui la publie intégralement (pour la dénoncer)[11].

Prises de position des Églises françaises face à la collaboration et aux mesures anti-juives

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Le, il est nommé membre duConseil national de Vichy[12],[13] et décoré de lafrancisque[14].

À partir de, confronté à l'échec de ses interventions auprès de l'amiralFrançois Darlan, il prend contact avec lecardinal Gerlier, archevêque de Lyon et primat des Gaules. Le cardinal s'était signalé par son soutien sans faille aumaréchal Pétain lorsque celui-ci était devenu chef de l'État français. Le pasteur Boegner demande au prélat d'aborder la question raciale avec le maréchal. Après avoir reçu ces protestations conjointes des Églises chrétiennes, Pétain demande davantage de modération au secrétaire d’État aux questions juives, demande qui reste sans effet tandis que la situation des Juifs empire dès[15].

Le, après de nouvelles mesures antijuives enzone occupée et larafle du Vélodrome d'Hiver, il écrit une lettre au maréchal Pétain. Cette lettre connait à nouveau une très large diffusion, cette fois grâce à la presse et à la radio internationales. Elle présente un caractère tout nouveau par rapport à ses précédentes interventions, en ce sens qu’elle porte sur les opérations de livraison à l’Allemagne de Juifs étrangers, déjà internés dans les camps :« La vérité est que viennent d’être livrés à l’Allemagne des hommes et des femmes réfugiés en France pour des motifs politiques et religieux, dont plusieurs savent d’avance le sort terrible qui les attend […]. Je suis obligé d’ajouter, Monsieur le Maréchal, que la livraison de ces malheureux étrangers s’est effectuée, en maints endroits, dans des conditions d’inhumanité qui ont révolté les consciences les plus endurcies et arraché des larmes aux témoins de ces mesures. »[16]. Simultanément Marc Boegner obtient du cardinal Gerlier une lettre de protestation auprès du maréchal Pétain sur les mêmes questions.

Ces protestations prennent aussi la forme de lettres pastorales, souvent lues en chaire au cours des cultes dominicaux. Le dimanche, à l'issue de l'Assemblée du désert àMialet, Marc Boegner réunit les nombreux pasteurs présents pour leur faire partager sa vision sur le fait que le gouvernement de Vichy s'est désormais résolument placé du côté de l'occupant et de son idéologie[17]. Il protège également laMontagne-refuge duChambon-sur-Lignon et duMazet-Saint-Voy[18].

En 1943, Marc Bogner condamne l'envoi forcé des travailleurs en Allemagne au titre duSTO. Les Allemands le menacent et exercent un chantage sur lui, en vain[19].

Après-Guerre

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Marc Boegner est appelé à faire une déposition lors du procès de Philippe Pétain, le[12].

Il est président de la Fédération protestante de France jusqu’en 1961, date à laquelle le pasteurCharles Westphal lui succède. En 1947, il fonde l'Alliance biblique française, qu'il préside jusqu'en 1968[20]. Président du comité directeur de laSociété des missions de 1948 à 1968, il a critiqué les injustices ayant provoqué l'insurrection malgache de 1947, tout en mettant en garde contre « le risque redoutable » d'une dérive nationaliste de l'Église malgache[21].

Il s'engage en faveur de l'unité des chrétiens en participant au mouvementœcuménique[22]. Il est observateur auconcile Vatican II. Il encourage l'expérience deTaizé, où il discerne « une grande grâce », et il y prononce un sermon en 1962, à la veille de l'inauguration de l'église de la réconciliation. Il établit une relation de confiance avecRoger Schütz[23].

Convaincu de l'importance des moyens de communication modernes, il est à l'origine de la création, en 1955, par la Fédération protestante de France, de l'émission télévisée hebdomadairePrésence protestante dont le pasteur Marcel Gosselin prend la direction[24].

Marc Boegner est élu membre de l’Académie des sciences morales et politiques en 1946, et à l’Académie française en 1962. C'est la première fois qu'un pasteur protestant siège à l'Académie[12]. Il occupe par« coïncidence » le fauteuil dont le« premier titulaire en 1634 », est« le huguenot Valentin Conrart, l’un des fondateurs et le premier secrétaire perpétuel de l’Académie »[25]. Il meurt le à Paris, et il est inhumé aucimetière du Montparnasse[12].

Responsabilités institutionnelles

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Publications

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  • 1905 :Les Catéchismes de Calvin : Étude d'histoire et de catéchétique (thèse de baccalauréat),.
  • 1914 :The Unity of the Church  : thesis presented to the free Faculty of protestant theology, Paris, and... maintained the 3d of March 1914... to obtain the degree of licenciate in theology
  • 1914-1926 :La Vie et la Pensée de Tommy Fallot, vol. 1,La préparation (1844-1872) : d'après sa correspondance et d'autres documents inédits, Paris, Berger-Levrault, Fischbacher, 386 p. ; vol. 2,L'achèvement (1872-1904), Berger-Levrault, Nancy, 1926, 466 p. (texte remanié d'une thèse de Théologie)
  • 1924: Francis Monod 1891-1914
  • 1926 :L'Influence de la Réforme sur le développement du droit international.
  • 1928 :Le Christianisme et le Monde moderne, recueil de prédications.
  • 1929 :Les Missions protestantes et le Droit international.
  • 1929 :Dieu, l'éternel tourment des hommes, recueil de prédications.
  • 1930 :Jésus-Christ, recueil de prédications.
  • 1931 :Tommy Fallot : L'Homme et l'Œuvre.
  • 1931 :Qu'est-ce que l'Église ?, recueil de prédications.
  • 1932 :L'Église et les questions du temps présent, recueil de prédications.
  • 1933 :La Vie chrétienne.
  • 1935 :Le Christ devant la souffrance et devant la joie, recueil de prédications.
  • 1939 :L'Évangile et le Racisme, recueil de prédications.
  • 1947 :Le Problème de l'unité chrétienne, recueil de prédications.
  • 1951 :La Prière de l'Église universelle, recueil de prédications.
  • 1953 :La Vie triomphante, recueil de prédications.
  • 1955 :Le Chrétien et la Souffrance, recueil de prédications.
  • 1955 : l’Église , recueil de prédications.
  • 1957 :Les Sept Paroles de la Croix, recueil de prédications.
  • 1958 :Notre vocation à la sainteté, recueil de prédications.
  • 1958 : Certitudes de la foi , recueil de prédications.
  • 1960 :Ténèbres et lumières aux abords du Calvaire, recueil de prédications.
  • 1965 : Où en est l'oecuménisme, à la veille de la 4e session du Concile ? : dialogue entre M. le pasteur Marc Boegner,... et le R. P.Jean Daniélou, ... le... 20 mai 1965 au Théâtre des Ambassadeurs
  • 1967 : Entre hier et demain, l'oecuménisme d'aujourd'hui : dialogue entre M. le pasteur Marc Boegner,... et le R. P.Yves Congar,... le 24 janvier 1967
  • 1967 : Guide religieux de la France (en collaboration avecJacob Kaplan,Muhammad Hamidullah etMaurice Feltin)
  • 1968 :L'Exigence œcuménique des Églises : Souvenirs et perspectives.
  • 1968: L'Homme et l'atome (en collaboration avecWerner Heisenberg, Marie Ossowska,Emmanuel d'Astier de la Vigerie,Daniel Bovet,Louis Leprince-Ringuet etDominique Dubarle), Éditions de la Baconnière, 368p.(BNF 41654895)
  • 1992 : Carnets (1940-1945) présentés et annotées par Philippe Boegner
  • 2023 : « Correspondance 1953-1969 »Marguerite Hoppenot et le pasteur Marc Boegner
Discours à l'Académie française
  • Discours de réception ()[27].
  • Discours lu à l’occasion de la mort deRobert d'Harcourt ()[28].
  • Rapport sur les prix de Vertu ()[29].

Hommages et distinctions

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Distinctions

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Hommages

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Plaque de rue à Strasbourg.

Notes et références

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  1. a etbVincent Wright,Les préfets de Gambetta(lire en ligne)
  2. « Les catéchismes de Calvin : étude d'histoire et de catéchétique », surSUDOC(consulté le)
  3. Thèse de licence en théologie, notice Sudoc, consultée en ligne le 11 août 2015.
  4. « Pierre Maury (1890-1956) », surMusée protestant(consulté le)
  5. Historique sur le site careme-protestant.org, consulté en ligne le 4 mars 2021[lire en ligne].
  6. Patrick Cabanel, « Marc Boegner, ou de la figure du chef en protestantisme français, particulièrement au cours des années 1940 »,Revue d'histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 540 et p. 555.
  7. Patrick Cabanel, « Marc Boegner, ou de la figure du chef en protestantisme français, particulièrement au cours des années 1940 »,Revue d’histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 535-556(lire en ligne, consulté le).
  8. Roger Mehl,p. 143.
  9. Roger Mehl,p. 142.
  10. Roger Mehl,p. 144.
  11. Lucien Rebatet (Rebatet écrit : « ce texte est d’une bouffonnerie amère quand on songe aux dispositions si timides qu’il stigmatise ».), « Piliers de synagogue »,Je suis partout,‎(lire en ligne)
  12. abcdefghijklmn etoFrançois Boulet, « Chronologie. Marc Boegner (1881-1970) »,Revue d'histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 713-723(lire en ligne, consulté le).
  13. « La francisque et le Conseil national de Vichy », surlemonde.fr,Le Monde,(consulté le).
  14. Jean-Claude Streicher,Onze généraux alsaciens et Vichy, Le Verger,, 185 p..
  15. Roger Mehl,p. 145.
  16. Roger Mehl,p. 147.
  17. Roger Mehl,p. 147. Ce geste a été commémoré lors de l'assemblée du désert 2012 :« L'Appel du pasteur Boegner en faveur des Juifs ».
  18. François Boulet, « Le pasteur Marc Boegner et la Montagne-refuge entre Haute-Loire et Ardèche (1940-1944) »,Cahiers de la Haute-Loire,‎,p. 251-272.
  19. François Boulet, « Pasteur Marc Boegner (1939-1945) »,Le Lien. Bulletin des Amitiés de la Résistance,vol. 26,‎,p. 34-46.
  20. [compte rendu]André Encrevé, « Roger Mehl. Le pasteur Marc Boegner. Une humble grandeur. Paris, Pion, 1987. »,Revue d'histoire de l'Église de France,vol. 75,no 194,‎,p. 242-243(lire en ligne, consulté le).
  21. Jean-François Zorn, « Marc Boegner, une conscience missionnaire à l'épreuve des événements »,Revue d'histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 611-652(lire en ligne)
  22. Jean-Paul Willaime, « Le pasteur Boegner : Un missionnaire de l’œcuménisme »,Revue d'histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 689-712(lire en ligne, consulté le).
  23. François Boulet, « Taizé, les protestants français et Marc Boegner (1940-1970) »,Revue d'histoire du protestantisme,vol. 5,no 4,‎,p. 653-687(lire en ligne)
  24. Souvenirs du pasteur Gosselin (Marcel Gosselin et Jean Cabriès,La Télévision et les protestants, les protestants et la télévision), cités par Roger Mehl,p. 181.
  25. « Marc Boegner », notice biographique sur le site de l'Académie française,[lire en ligne].
  26. « Marc Boegner », surmuseeprotestant.org(consulté le)
  27. « discours de réception de Marc Boegner », suracademie-francaise.fr,(consulté le)
  28. « discours lu à l’occasion de la mort de Robert d’harcourt », suracademie-francaise.fr,(consulté le)
  29. « rapport sur les prix de vertu », suracademie-francaise.fr,(consulté le)
  30. « Cote 19800035/1044/20411 »,base Léonore,ministère français de la Culture
  31. Françoise Gaspard etGérard Grunberg,« Les titulaires de la Francisque gallique », dansLe Gouvernement de Vichy : 1940-1942, institutions et politiques, Paris, Armand Colin,coll. « Travaux et recherches de science politique » (no 18),(BNF 35373102),p. 71-85
  32. abc etd« marc-Roger Boegner », surcths.fr(consulté le)
  33. « marc Boegner », surcomité français pour Yad vashem(consulté le)
  34. Jean Bossu,« Rue Pasteur-Boegner », dans Jean Bossu,Chronique des rues d'Épinal,vol. 2, Épinal, Jeune chambre économique d'Épinal,,p. 47-50.
  35. Catalogue mondial de cotation Yvert & Tellier, « Timbres de France »,t. 1.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Précédé parSuivi par
Émile Morel
Marc Boegner
1929-1961
Charles Westphal
Précédé parSuivi par
François Albert-Buisson
Marc Boegner
1962-1970
René de Castries
v ·m
Composition de l'Académie française au jour de son élection(8 novembre 1962)
Par numéro
de fauteuil
Par date
d'élection
v ·m
Composition de l'Académie française au jour de sa mort(18 décembre 1970)
Par numéro
de fauteuil
Par date
d'élection
v ·m
Histoire et mémoire
Concepts
Personnalités
Par pays
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