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Maisons-Alfort

48° 48′ 21″ nord, 2° 26′ 16″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirMaisons.

Maisons-Alfort
Maisons-Alfort
L'hôtel de ville.
Blason de Maisons-Alfort
Blason
Image illustrative de l’article Maisons-Alfort
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementVal-de-Marne
ArrondissementNogent-sur-Marne
IntercommunalitéMétropole du Grand Paris
EPT Paris-Est-Marne et Bois
Maire
Mandat
Marie-France Parrain (LR)
2021-2026
Code postal94700
Code commune94046
Démographie
GentiléMaisonnais
Population
municipale
57 422 hab.(2022en évolution de +3,86 % par rapport à 2016)
Densité10 733 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 48′ 21″ nord, 2° 26′ 16″ est
AltitudeMin. 24 m
Max. 47 
m
Superficie5,35 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Maisons-Alfort
(bureau centralisateur)
LégislativesHuitième circonscription
Localisation
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Maisons-Alfort
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Maisons-Alfort
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Maisons-Alfort
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Maisons-Alfort
Liens
Site webhttps://maisons-alfort.fr/
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Maisons-Alfort est unecommune française duVal-de-Marne, enÎle-de-France. Elle se situe dans la banlieue sud-est deParis, à trois kilomètres de la capitale (et à600 mètres du Bois de Vincennes,Paris12e), sur la rive sud de laMarne.

Son positionnement lui permet un accès rapide à plusieurs axes majeurs de communicationsfranciliens que sont l'A4 au nord ou l'A86 au sud. Sa population actuelle en fait la sixième ville la plus importante du département derrièreVitry-sur-Seine,Créteil,Champigny-sur-Marne,Saint-Maur-des-Fossés etIvry-sur-Seine. Ses habitants sont appelés lesMaisonnais.

Géographie

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Carte
Les limites communales de Maisons-Alfort et celles de ses communes adjacentes.

Localisation

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Maisons-Alfort est située sur laplaine de Créteil, entité topographique plate et basse formée par laSeine et laMarne.

Autrefois plus étendue, elle perditpartie de son territoire quand la commune d'Alfortville fut créée en1885.Maisons-Alfort est l'une des47 communes duVal-de-Marne, dont le chef-lieu estCréteil.

Elle a la forme d'un triangle :

  • voir la légende ci-après
    Localisation sur la carte de Paris et de la « Petite Couronne ».
  • voir la légende ci-après
    Localisation dans le Val-de-Marne.
  • voir la légende ci-après
    OpenStreetMap limite communale.

Maisons-Alfort est entourée des six communes suivantes en commençant au nord et en tournant dans le sens des aiguilles d'un montre :Charenton-le-Pont,Saint-Maurice,Joinville-le-Pont,Saint-Maur,Créteil etAlfortville.

Communes limitrophes deMaisons-Alfort[1]
Charenton-le-PontCharenton-le-Pont,Saint-MauriceJoinville-le-Pont
AlfortvilleMaisons-Alfort[1]Saint-Maur-des-Fossés,Créteil
AlfortvilleCréteilCréteil

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat du Val-de-Marne.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[2]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueSud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,4 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 631 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée par la station météorologique la plus proche, située àJoinville-le-Pont, à 3 km àvol d'oiseau[4], est de12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 654,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records JOINVILLE (94) - alt : 37m, lat : 48°48'49"N, lon : 2°27'45"E
Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)2,52,54,77,110,613,915,815,612,49,35,63,18,6
Température moyenne (°C)5,269,212,415,819,121,321,117,413,38,75,612,9
Température maximale moyenne (°C)7,99,513,717,62124,326,826,522,517,411,78,117,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,6
17.01.1985
−12,1
07.02.1991
−6,6
01.03.05
−2,5
12.04.1986
1
08.05.1997
4,8
04.06.1991
7,5
14.07.08
6,8
29.08.1986
4
18.09.10
−1
28.10.03
−6,8
24.11.1998
−9,5
29.12.1996
−15,6
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,3
27.01.03
22,5
27.02.19
27,5
31.03.21
31
20.04.18
33,4
27.05.05
38,9
21.06.17
42,5
25.07.19
41
12.08.03
35,9
08.09.23
31
03.10.11
22,5
08.11.15
17,2
17.12.15
42,5
2019
Précipitations (mm)5247,146,345,462,954,259,155,949,956,259,265,8654
Source :« Fiche 94042001 », surdonneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au, Maisons-Alfort est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[I 4],[I 5].

Maisons-Alfort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[I 6],[9].Elle appartient à l'unité urbaine deParis, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[I 7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de labanlieue[I 8],[I 9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[I 10],[I 11].

La ville ne respecte pas le rythme et l'objectif de la loi SRU (votée en 2000), atteindre 25 % de logements sociaux/HLM (de tous types, y compris logements étudiants ou maisons de retraite abordables), elle doit payer des amendes à l'État[10],[11].

Structure de la ville

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De la Renaissance auXXe siècle

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Fief et châteaux

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Château d'Alfort et ferme de Maisonville - École vétérinaire

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En 1312, il est fait mention d'un bâtiment que l'on nommait hôtel d'Harrefort ; il relevait de l’abbé de Saint-Maur. Sur un titre de l’an 1495, il est question de Jean de Harcourt, comte de Vaudémont - il semble bien que Harcourt et Harrefort ne devaient faire qu’un. Plus tard, en 1612, on trouve le château d'Hallefort. M. Mallet de la Cour des comptes, en était possesseur. Plus tard, on peut encore lire :

Louis de Falcony, seigneur d'Alfort, possédait plusieurs pièces de terre ; la moitié de labasse-cour d'Alfort, le tout jusqu’à la concurrence de 64 arpents 1/2, ayant compris 16 arpentsque M. l’Archevêque venait de lui inféoder dans la censive de Maisons ; mais M. l’Archevêqueérigea cette portion d'Alfort en fief, à la prière de Falcony, par acte, devant Dupuis et NicolasBoucher, notaires à Paris, le.

En 1765, Jean-Louis de L'Héraud ou Lhéreau, seigneur de la baronnie de Bormes, vendit cette propriété pour qu'y soit fondée l’École Vétérinaire parClaude Bourgelat. La ferme de Maisonville restée en dehors de l'opération, comprenait, outre les bâtiments d’exploitation, 500 arpents de terres et prés.

Château et domaine de Charentonneau

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Article détaillé :Château de Charentonneau.
Vestiges de l'orangerie de l'ancienchâteau de Charentonneau.

Charentonneau semble être d'origine aussi ancienne que le village de Maisons. C'est parfois Charentonnellum, Carentoniolo, ou Charentonnet que l'on rencontre.

Il est vaguement question en 1240 et 1246 de Charentonnellum. En 1281, l'abbé de Saint-Maur était propriétaire du moulin de Charentonneau, auquel les hommes de Maisons étaientbanniers[12]. Le, le roiCharles V acheta à Nicolas Braque, son maître d’hôtel, « la maison qu'il avait à Charentonnel près du pont de Charenton, et ses dépendances » pour3 200 livres d'or. Il la donna àPhilippe de Mézières, chancelier de Chypre. Cette charte est datée de Beauté-sur-Marne, 1377. À cette époque, le pont de Charenton est parfois désigné sous le nom de pont de Charentonneau.En 1444, à Nicolas Duru, huissier au Parlement, achète le fief de Charentonneau avec mention d'un manoir près du pont. En 1641,M. de Falcony devient possesseur des domaines de Charentonneau, d'Alfort et de la ferme de Maison Ville. Par la suite, René Gaillard, propriétaire du château voisin, en fait l'acquisition en 1671.Le domaine est saisi et vendu commebien national sous la Révolution et remanié à la fin duXVIIIe siècle. Il est acquis le par le baronRodier Saliège et revendu àCharles-François Grimoult en 1832. Le domaine passe ensuite à ses descendantsDelalain[Lequel ?],Jouët etJouët-Pastré puis partagé en lotissement à la fin duXIXe siècle.Le château est mentionné auXVIIe siècle sur une gravure d'Albert Flamen datée de 1646 et auXVIIIe siècle parPiganiol de La Force. Il fut détruit à la fin des années 1950 et il ne subsiste actuellement que deux murs de l'orangerie[13].Le château, alors encore debout, et la cité de Château-Gaillard, alors en construction, furent en 1958, le cadre du tournage de quelques scènes au début du filmArchimède le clochard, avecJean Gabin. On aperçoit brièvement le château dans ce film.

Château de Reghat

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Article détaillé :Château de Réghat.

Le château de Reghat a été construit auXVIIIe siècle, c'est l'une des demeures les plus anciennes de Maisons-Alfort[14]. Il a été utilisé comme rendez-vous de chasse deLouis XV et a servi de lieu de séjour pour laMarquise de Pompadour. Ses façades sur jardin et ses toitures sont inscrites depuis 1979 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. À partir de1872, il est devenu la propriété de la société defabrique de levures fondée par le baron Max von Springer, devenue depuis Bio-Springer (groupe Lesaffre).

Dans le cadre d'un mécénat de Bio-Springer, le château abrite depuis2003 le Musée de Maisons-Alfort[15].

Organisation actuelle

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Carte des quartiers.

(en faisant le tour de la ville, dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant du nord)

Ce n'est qu'à partir de1880 que l'on construisit les premières maisons que l'on peut assimiler à nos lotissements actuels. Au milieu duXXe siècle, seuls ces deux derniers quartiers étaient urbanisés. Le reste du territoire de la commune était occupé par des terrains maraîchers.

Voies de communication et transports

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Réseau de communication

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La ville est traversée par l'ancienneroute nationale 6, qui contourne le centre-ville, et l'ancienneroute nationale 19, ainsi que par l'autorouteA86.

Elle est desservie au nord par l'autoroute A4 (qui passe de l'autre côté de la Marne, àCharenton-le-Pont).

Les deux anciennes routes nationales partent ducarrefour de la Résistance, situé à l'entrée nord-ouest de la ville en venant dupont de Charenton.

Durant sa traversée de Maisons-Alfort, la RD 6(ex-RN 6), prend successivement les noms d'avenue du Général-de-Gaulle, puis avenue du Professeur-Cadiot, puis avenue Léon-Blum, puis rue Jean-Jaurès. Elle est orientée vers le sud le long de la voie de chemin de fer sur la plus grande partie de son tracé, mais elle s'en écarte provisoirement pour contourner la partie du centre-ville où se situe la mairie. Dans le passé, cependant, la route principale, correspondant globalement à l'actuelle départementale, pénétrait dans le centre-ville (partie sud de l'avenue du Général-de-Gaulle) et se dirigeait directement sur l'église Saint-Rémi, ce qui est un signe de l'ancienneté du tracé (sans doute unevoie romaine).

La RD 19 (ex-RN 19), sous le nom d'avenue du Général-Leclerc, est orientée transversalement vers le sud-est en coupant la ville en deux parties. La partie est de la RN 19 est surtout résidentielle avec des quartiers pavillonnaires et les bords de Marne, tandis que la partie ouest abrite la plus grande part des équipements urbains (École vétérinaire,Fort de Charenton, mairie,cimetière, terrains de sport, établissements d'enseignement supérieur, usines Bio-Springer et Aventis,grands ensembles d'habitation, voie ferrée).

Transports en commun

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Le RER D et la ligne 8 enjambant laMarne à Maisons-Alfort.

Vélo

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Maisons-Alfort bénéficie d'une situation géographique favorable à l'usage duvélo avec la proximité immédiate des quais de la Marne, aménagés à Saint-Maurice envéloroute de Joinville-le-Pont à Paris. Despistes cyclables séparées du trafic motorisé sont aménagées le long des deux principaux axes de circulation en direction de Paris, la RD19 et la RD6, toutefois ce n'est pas le cas du principal axe traversant la ville de l'ouest au nord-est, l'avenue de la République.

Vélib'

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En 2018, l'extension duSAVM Vélib aux communes de laMétropole du Grand Paris permet à la Ville d'y adhérer. Sept stations Vélib' sont implantées à Maisons-Alfort :

RER Vélo

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En 2019, leCollectif Vélo Île-de-France présente un projet de réseau cyclable structurant à l'échelle de la région Île-de-France, leRER V. Construit par les militants associatifs, il intègre la RD19 (avenue du Général Leclerc) dans la "ligne" D, reliant Paris à Tournan-en-Brie. En 2020, laRégion Île-de-France adopte le projet de RER V et définit les axes à aménager prioritairement. La ligne Paris-Tournan devient la ligne E et est programmée pour la première phase de l'aménagement du réseau, à partir de 2025[18].

Baromètre des villes cyclables

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Depuis 2017, laFédération des Usagers de la Bicyclette organise tous les deux ans une enquête en ligne afin de connaître leressenti des cyclistes sur les communes où ils circulent. Les répondants sont invités à répondre à une cinquantaine de questions et à noter, sur une échelle de allant de 1 à 6, différents aspects des conditions de circulation, de stationnement, d'efforts de leur collectivité menés depuis la précédente édition pour améliorer la place du vélo.

  • En 2017, 66 réponses sont collectées à Maisons-Alfort[19].
  • En 2019, Maisons-Alfort obtient la note globale de 3,11 et est donc classée parmi les villes « moyennement favorables » à la pratique du vélo. 121 réponses ont été collectées, en augmentation de 83% par rapport à 2017[20].
  • En 2021, laFUB propose aux associations locales de poser des questions adaptées aux contextes locaux. L'antenne maisonnaise de l'associationMieux se Déplacer à Bicyclette (MDB) s'intéresse ainsi au ressenti des cyclistes à propos de l'aménagement sur les axes longeant les bords de Marne ainsi qu'à ce qu'ils considèrent comme étant la priorité pour développer l'usage du vélo dans la ville, parmi plusieurs propositions identifiées. 218 réponses ont été collectées, en augmentation de 80% par rapport à l'édition précédente. Les résultats généraux seront connus au mois de février 2022.

Toponymie

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Panneau d'entrée depuis Alfortville.

L'origine du nom de la ville serait lié au fait que les premiers habitants se seraient installés à la confluence de laMarne et de laSeine et qu'au fil du temps, le bourg aurait pris l'appellation de « les Maisons ». Il est possible qu'il s'agissait à l'origine d'unemansio, c'est-à-dire un lieu de repos le long de lavoie romaine. Le site desMansiones est mentionné dès l'an mil ; il a alors déjà pris de l'importance et s'est doté d'une église paroissiale[21].

La deuxième partie du nom apparaît auXIVe siècle sous la forme deHareford ouHarefort[21] ; elle vient d'un hameau de la commune qui à l'origine (auXIIe siècle) était un domaine dePierre d'Aigueblanche, seigneur d’Herefort – francisation deHereford (Angleterre), où le savoyardPierre d'Aigueblanche a été intronisé en1240Bishop of Hereford, c'est-à-direévêque d'Hereford. Le temps passant, le nom évolua enHallefort (attesté en1612) et enfinAlfort à partir duXVIIIe siècle[21].

Dès la fin duXVIIe siècle,Maisons et son hameauAlfort ont été assemblés sous la désignationMaisons-Alfort[21].

Histoire

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Préhistoire et Antiquité

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Les fouilles archéologiques réalisées à Maisons-Alfort en 1994 ont livré les vestiges d'une occupationpréhistorique,néolithique et protohistorique, datée entre 200 000 et 160 000 ans. Sur les rives de la Marne on retrouve des restes d'une sépulture, unmégalithe, quelques vestiges plus à l'est et quelques outils. Dans les années1990, lors de fouilles près du pont de Charenton, un important habitat néolithique, avec une sépulture, a été exhumé par le LDA (Laboratoire Départemental d'Archéologie 94) puis par l'AFAN (Association pour les fouilles archéologiques nationales)[22]. Ces vestiges archéologiques ont donné des indices importants et inédits sur le mode de vie de l’Homme de Néandertal dans le Bassin parisien. Les fouilles de 1997 et 1998 ont permis de découvrir des restes osseux d’uncheval de Mosbach, d’uncerf élaphe, d’un jeunemammouth, d’unauroch et d’un grand canidé[23].

Lors de la construction du fort de Charenton auXIXe siècle, on fit la découverte d'une structure en bordure d'un ancien chemin, probablement identifiable à untumulus, relief visible appelé « Butte de Grammont ». On y découvrit plusieurs sépultures dont certaines présentent un certain apparat. Elles sont datables dela Tène ou de l'époque romaine[24].

Moyen Âge

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Donation par Hugues Capet en 988 du domaine de Maisons-Alfort à l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés (Archives nationales).

Dès 988, on trouve mention au sein d’une charte, de l’expression d’un village dénommé Mansiones ou encore Maisons. Cette charte énonce la donation des terres de Maisons-Alfort deHugues Capet vers l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. À la suite de quoi, quatre ans après ce don en992, le papeJean XV fonde la cure de Maisons appelée église « ecclesium Mansionibus ».

Par sept chartes successives des années 1262, 1269, 1287, 1291, 1301, 1324 et 1325, les abbés de Saint-Maur « affranchirent de toutes servitudes 143 chefs de ménage et leur postérité née et à naître (…) ». En comptant cinq personnes par ménages, la population est alors estimée à 715 habitants. Cette estimation ne prenant pas en compte les seigneurs, le curé et les serfs qui n'ont pas été affranchis, si toutefois il en reste. Cependant, s’agissant de ce recensement, on ignore s'il n’est question que des serfs de Maisons. En effet, il est plausible que ceux deCréteil, qui appartenaient également aux abbés de Saint-Maur, soient, eux aussi, compris au sein du comptage de la population. Ainsi au vu de ces données, on peut raisonnablement avancer un total approximatif d’environ 800 personnes, soit environ 400 pour Maisons, ce qui semble vraisemblable d’après les informations que l’on dispose et de par la comparaison que l’on puisse faire avec d’autres hameaux de taille comparable contemporains à cette période.

Par cet écrit : « (…) cependant, par une charte du samedi avant la Chandeleur, en 1295, l'abbé de Saint-Maur amortit à la confrairie lesdits deux quartiers de vigne (…) ». On apprend que du vin y est produit, ce qui constitue un témoignage des aspects économiques et sociaux de Maisons-Alfort durant leMoyen Âge.

En 1358, lors de laguerre de Cent Ans, les Anglais et Charles de Navarre prennent le pont de Charenton. Toutefois, on ignore tout du sort des habitants.

En 1465, l'armée de laLigue du Bien public, formée par des seigneurs contre le roi de France Louis XI, campe dans le voisinage du pont. De nombreux combats y sont livrés. Maisons-Alfort est durant un temps un champ de bataille où s'expriment les belligérants de cette guerre seigneuriale[25].

Temps modernes

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Lors des guerres de religion, en 1567, lescalvinistes s'emparent du pont de Charenton. Point de passage stratégique, en 1590, une nouvelle bataille a lieu pour la possession de ce même pont ;Henri IV l'enlève aux soldats de laLigue catholique pendant le siège de Paris.

En raison du coût de la guerre, le roi décida de faire payer à nouveau, en 1652, le droit d'amortissement[26]. Il y a lieu de remarquer que si, d’un côté ; les abbés de Saint-Maur contestaient aux habitants de Maisons la propriété complète des quelques champs dont ils jouissaient en commun, et leur réclamaient de ce fait un impôt sous forme de corvées, le roi reconnaissait leurs droits sur ces mêmes champs, afin de pouvoir à son tour exiger d'eux la taxe demainmorte[27].

Maisons-Alfort sur lacarte de Cassini datant du XVIIIe siècle.

En1674, Maisons compte parmi les terres etseigneuries réunies en unduché de Saint-Cloud.En 1680, il est question depuis quelque temps de prés communs entre Maisons et Créteil. Ces prés faisaient partie de ceux concédés par les abbés aux habitants pour le pacage de leurs bestiaux. Ces terres avaient été surnommées Prés des pailles, parce que les habitants de Maisons qui fournissaient depuis longtemps les pailles et litières pour la grande écurie du roi, affectaient le revenu qu'elles produisaient à l'acquisition de cette paille quand elle n'avait pas pu y être récoltée ou qu'elle venait à manquer. C'est de l'une de ces livraisons qu'il s'agit, lorsqu'on parle de l'octroi de Paris. Cette paille était plus généralement livrée à Carrières-Charenton, dans les écuries royales au Séjour du roi. En échange de cette fourniture, depuis le roi Jean, en 1351, jusqu'à Louis XV, en 1717, il leur avait été octroyé dix-huit chartes comportant des privilèges dont on peut lire la dernière :

« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir salut. Nos bien-aimés les habitants de Créteil, Maisons et villages qui en dépendant, nous ont fait remontrer qu'ils sont obligés de fournir à leurs dépens toutes les pailles et litières nécessaires pour les chevaux de notre grande écurie, et de les conduire en quelque lieu que notre dite écurie soit commandée… Pour les indemniser, il leur a été accordé l'exemption de tout port, péage, passage, barrage, travers pour eux leurs chevaux et voitures. »

On les exemptait également de fournir des chevaux ou voitures pour l’armée et l'artillerie, de loger des troupes, et de tout impôt et taxes diverses. Ce qui n'empêche pas qu'à diverses reprises il soit constaté des dépenses occasionnées par l'hébergement de troupes ou de leur passage.

Selon les dénombrements de l'élection de Paris de1709, la commune abrite 95 feux[28], elle compte 450 habitants en 1726 et 92 feux en 1745[25].

En1766,Claude Bourgelat crée l'école vétérinaire

Le, l'école d'Alfort fut transformée en un camp militaire par les jeunes élèves vétérinaires, après avoir fortifié le château et crénelé les murs de l’école et du parc. Soutenus par quelques troupes régulières et des canons, ils défendirent vaillamment le passage dupont de Charenton contre les Alliés.

Époque contemporaine

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XIXe siècle

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« La section d'Alfortville, qui n'obtenait pas toutes les satisfactions auxquelles elle croyait avoir droit, s'était décidée à s'ériger en commune distincte. »[29]

Par la Loi du, dont voici le texte intégral, la commune est amputée d'environ 40 % de son territoire avec la création de la commune d'Alfortville :

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l’État.

À Paris, le.Le ministre de l'Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau».

Laligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes.

XXe siècle

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Lacrue de la Seine en 1910 (mois de janvier, février) a presque entièrement[30] inondé la commune d'Alfortville et une partie[31] de la commune de Maisons-Alfort dans une zone délimitée par la voie ferrée à l'ouest et l'avenue du Général-de-Gaulle, la rue Victor-Hugo, la rue Georges-Médéric à l'est (Le rapport Picard - analyse de la crue de 1910[32] - Carte d'inondation des environs de Paris[33])

Pendant l'Occupation, Maurice Lissac (commandant) et l'industriel Roland Deplanque (capitaine) créent en 1942 à Maisons-Alfort un groupe de résistance qui comptera une centaine de membres[34]. Le 9 juin 1944, le commandant Maurice Lissac est arrêté puis déporté au camp de concentration deBuchenwald dont il ne reviendra pas, le capitaine Roland Deplanque le remplace alors. Il est lui aussi arrêté puis fusillé le 22 août 1944 au carrefour de la Croix de Villeroy[35] (entreTigery etQuincy-sous-Sénart). Les rues « Maurice Lissac » et « Capitaine Roland Deplanque » leur rendent hommage.

Le, le tout premier tir opérationnel d'unmissile de type V2, développé par l'Allemagne nazie, tombe sur la ville, et plus précisément sur des immeubles situés 25, rue des Ormes et 35, rue des Sapins. L'objectif était la ville deParis[36]. Le premiermissile balistique opérationnel de l'histoire fit six morts et 36 blessés[37].

Le en début de soirée se produisait unaccident dans lagare de banlieue souterraine de Paris-Lyon faisant 56 morts et 57 blessés. Le train de banlieue à l'arrêt qui avait été percuté était un omnibus pourMelun (actuel RER D) desservant Maisons-Alfort. De ce fait de nombreuses victimes habitaient la ville, parmi lesquelles le conducteur du train. Cette tragédie causa une très grande émotion parmi les habitants de Maisons-Alfort.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Jusqu'à la loi du[38], la commune faisait partie du département de laSeine. Le redécoupage des anciens départements de laSeine et deSeine-et-Oise fait que la commune appartient désormais auVal-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le, et fait partie de l'arrondissement de Créteil.

Depuis la création du département du Val-de-Marne, la commune était divisée entre les cantons deMaisons-Alfort-Nord et deMaisons-Alfort-Sud. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune constitue désormais lecanton de Maisons-Alfort.

Concernant les circonscriptions législatives, les Maisonnais dépendent de lahuitième circonscription du Val-de-Marne qui constitue l'une des 12 circonscriptions législatives françaises que compte le département du Val-de-Marne.

Intercommunalité

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Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le, lamétropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[39].

Laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière depolitique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[40] créé par un décret du[41].

Articles détaillés :métropole du Grand Paris,établissement public territorial etétablissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois.

Tendances politiques et résultats

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Lors du référendum sur letraité constitutionnel pour l’Europe du, les Maisonnais ont majoritairement voté en faveur du texte proposé (51,48 % de Oui contre 48,52 % de Non avec un taux d’abstention de 29,65 % - France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %). Ces chiffres ne sont pas conformes à la tendance nationale, celle-ci se trouvant en opposition[42].

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Article détaillé :Élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne.

Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste d'union de la droite menée par le maire sortantOlivier Capitanio (LR) — qui avait succédé en 2017 àMichel Herbillon, qui, réélu député, avait du démissionner de son mandat de maire en application de la législation limitant lecumul des mandats en France — remporte le scrutin avec 10 467 voix (74,13 % des suffrages exprimés et 40 sièges), suivie par les listes menées par Cécile Panassac (union de la gauche, 2 367 voix, 16,76 %, 4 sièges) et Thomas Maubert (union du centre, 790 voix, 5,60 %, un siège), l'abstention s'étant élevée à 60,01 %[43]

Article détaillé :Élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne.

Administration municipale

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Le conseil municipal de Maisons-Alfort est composé, compte tenu du nombre d'habitants de la commune, de 45 conseillers municipaux, qui élisent en leur sein le maire et ses adjoints[44].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[45],[46]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17901791Antoine Roger  
17911793François Bernard  
1793 M. Poret  
17931795Edmé Christophe Roger Fils d'Antoine Roger
18001813Edmé Christophe Roger Nommé à nouveau maire après la période des municipalités de canton
18131855Claude Laurent Marie
Dodun de Kéroman[47],[48]
 Marquis
Ancien officier d’état major, ancien secrétaire d’ambassade
Décédé en fonction
18551870Adolphe Véron Ancien auditeur auConseil d’État
18711878François Augustin Bourguignon  
18781878Jean-Baptiste Faitot Démissionnaire
18781881[49]Pierre Philippot Maraîcher àAlfortville
Démissionnaire
18811884Isidore Busteau  
18841896Christian Edmond Durst[50] Négociant
18961901Amédée Chenal[51],[52]Rad.soc.Patron d'une menuiserie
Député de la Seine (1909 → 1914).
Conseiller général de la Seine(1900 → 1909)
19011935Léon ChampionRad.Caissier à la Caisse d’épargne de Paris, propriétaire
Conseiller général de la Seine(1919 → 1935)
1935octobre 1939[53]Albert Vassart[54],[55]PCFMétallurgiste.
Conseiller général de la Seine(1935 → 1940)
Résistant durant laSeconde Guerre mondiale
Suspendu par legouvernement Daladier à la suite de la signature duPacte germano-soviétique[56]
octobre 1939[53]1944Francis Léon Maugé[57] Fonctionnaire de la préfecture de la Seine
Maire de Sèvres(1929 → 1932)
Nommé président de ladélégation spéciale, puis, en 1941, maire par legouvernement de Vichy[58] .
19441944Jean-Marie Marceau[59]PCFComptable
Président du comité local de libération
19441947André Léon Jules Saulnier[60]PCFMétreur-vérificateur,résistantFTP
19471949Jean Antoine Justin MaupasRPFCarrière dans l'Enregistrement et les Domaines
Démissionnaire
10 mai 1949[61]27 juin 1965Arthur Hévette[62]RPFpuisUDTReprésentant en vins
Décédé en fonction
8 octobre 196523 mai 1992[63]René Edmond Nectoux[64]RIpuis
UDF-PR
Contrôleur principal à laSNCF[65], syndicalisteCFTC
Conseiller général de Maisons-Alfort-Sud(1967 → 1989)
Conseiller régional[Quand ?]
Chevalier de la Légion d’honneur
Démissionnaire
23 mai 1992[63]2 juillet 2017Michel Herbillon[66],[67]UDF-PR
puisDL
puisUMP[68]
puisLR
Cadre supérieur
Député du Val-de-Marne (8e circ.)(1997 → )
Conseiller général de Maisons-Alfort-Sud(1989 → 1998)
Vice-président de lamétropole du Grand Paris(2016 → )
Démissionnaire à la suite de sa réélection comme député.
2 juillet 2017[69]8 juillet 2021Olivier Capitanio[70]LRCadre, ancien attaché parlementaire deMichel Herbillon
Conseiller général de Maisons-Alfort-Nord(2004 → 2015)
Conseiller général de Maisons-Alfort(2015 → )
Président de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois(2020 → 2021)
Devait démissionner à la suite de son élection comme président duconseil départemental du Val-de-Marne; pour le moment il en est toujours le Président .[71]
8 juillet 2021[72]en cours
(au 9 juillet 2021)
Mary-France ParrainLRFonctionnaire retraitée
Conseillère générale de Maisons-Alfort-Sud(2011 → 2015)
Conseillère départementale de Maisons-Alfort(2015 → )
Conseillère de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois
Michel Herbillon, maire de Maisons-Alfort de 1992 à 2017.

Depuis sa rénovation faite début 2013, sont affichés dans la salle de réunion du conseil municipal les noms et les photos (disponibles) de tous les élus municipaux et maires, ainsi que ceux des élus décédés en cours de mandat.

Jumelages

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Le monument aux morts de Maisons-Alfort après la cérémonie du 11 novembre 2018, avec les drapeaux français et allemands.

La ville de Maisons-Alfort estjumelée[73] avec une seule ville étrangère :Drapeau de l'Allemagne Moers (Allemagne).

Le serment de jumelage a été signé le par René Nectoux, maire de Maisons-Alfort, et Albin Neuse, bourgmestre de Moers.

En 2016, à l'occasion du cinquantième anniversaire du jumelage, un groupe de Maisons-Alfort se rend à Moers ; le, le serment de jumelage est de nouveau signé par Michel Herbillon (maire de Maisons-Alfort) etChristoph Fleischhauer (de) (maire deMoers) réaffirmant les liens entre les deux communes.

En, pour le centenaire de l'Armistice de laPremière Guerre mondiale, un groupe de la ville deMoers a été invité par la ville de Maisons-Alfort[74]. Lors de cette venue, une visite duPalais Bourbon, siège del'Assemblée nationale, a été organisée[réf. nécessaire] ainsi qu'un dépôt de fleurs àl'Arc de Triomphe, réunissant des élèves du collège Condorcet et leurs correspondants allemands duGrafschafter Gymnasium. Le lendemain, dimanche, une cérémonie a eu lieu au cimetière, puis au monument aux morts où des gerbes de fleurs ont été déposés par les deux villes, donnant l'occasion, fortement symbolique, de voir les drapeaux allemands et français réunis sur le monument aux morts.

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[75],[Note 6].

En 2022, la commune comptait 57 422 habitants[Note 7], en évolution de +3,86 % par rapport à 2016 (Val-de-Marne : +3 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 0778079006151 2571 5151 8921 5901 812
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
2 3173 7484 0495 8907 6199 1747 0347 8539 479
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
10 54713 40916 46620 99725 10831 01234 38436 48540 358
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
51 18653 14954 14651 06553 37551 10353 23353 26555 289
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
58 06857 422-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[76] puisInsee à partir de 2006[77].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Écoles Maternelles
  • Écoles publiques Paul-Bert, Saint-Exupéry, Raspail, Les Planètes (créée en 1959, elle a fêté son cinquantenaire en), Parmentier, George-Sand, Édouard-Herriot, Georges-Pompidou, Alphonse-Daudet, Hector-Berlioz, Charles-Péguy[78]
  • Groupes scolaires Jules-Ferry et Condorcet
Écoles Primaires
  • Écoles publiques Georges-Pompidou, Victor-Hugo, Parmentier, Raspail, Saint-Exupéry, Édouard-Herriot, Charles-Peguy, Les Planètes
  • École publique Louis-Pasteur
  • École privée Notre-Dame
  • École privée Sainte-Thérèse
  • Groupes scolaires Jules-Ferry et Condorcet
  • École privée Saint-François
  • Groupe scolaire Paul-Bert
Collèges
Lycées
  • Lycée général public Eugène-Delacroix
  • Lycée professionnel public Paul-Bert
Établissement d'enseignement supérieur
  • Façade arrière du groupe scolaire Jules-Ferry.
    Façade arrière du groupe scolaire Jules-Ferry.
  • Groupe scolaire Condorcet.
    Groupe scolaire Condorcet.
  • Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort.
    Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort.

Culture

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Théâtres

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Le théâtre Claude-Debussy se trouve place de la mairie et dans le quartier de Charentonneau se trouve le NECC (Nouvel Espace Culturel Charentonneau) qui propose des pièces de théâtre et de documentaires[79].

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Cinéma

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Maisons-Alfort compta trois cinémas[80] :

  • Le Rio situé au coin de la départemental D 19 et de la rue Marc-Sangnier qui a fermé au début des années 1970 ;
  • Le Pompadour situé à l'angle de l'avenue de la République et de la rue Jean-Jaurès, face à la mairie. Il a fermé à la fin des années 1980.
  • Le Club 123, qui devient l'Espace Panorama, situé face à la gare SNCF et qui a fermé au début des années 90.

Deux fois par an (en mai et novembre), le nouvel espace culturel Charentonneau (NECC) propose un festival de films sur un thème donné.

À la mi-, le théâtre Debussy acquiert un nouvel équipement spécialisé de projection. À l'occasion de l'inauguration de cet équipement[81] parMichel Herbillon, est mis en place un nouveau cycle[82] de projections cinématographiques sur un rythme de deux films différents récents en quatre séances hebdomadaires, redonnant ainsi un cinéma à Maisons-Alfort.

Médiathèques

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En 2020, Maisons-Alfort possède une médiathèque, deux bibliothèques et un bibliobus[83]:

  • dans le quartiers de Juilliottes, la médiathèque André Malraux, propose des livres, CD, DVD, des activités pour les adultes, les enfants et les adolescents. Ouverte en 1976, c'est la plus grande de la commune[84].
  • dans le quartier du Centre, la bibliothèque du Centre, récemment rénovée[85], propose des livres et des CD, des activités pour les adultes et les enfants.
  • dans le quartier Charentonneau, la bibliothèque René Coty propose des livres et des CD, des activités pour les adultes et les enfants.
Bibliothèque du Centre.

Enfin le bibliobus dessert depuis 1982, les quartiers les plus éloignés des bibliothèques: les Planètes, Vert-de-Maisons etc. par des arrêts réguliers et des lectures dans les écoles.

Sports

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Principaux clubs

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  • Le RCMASM : LeRugbyCharenton Maisons-AlfortSaint-Maurice, est le club de rugby de l'intercommunale, il va du niveau enfant avec une école de Rugby aux séniors avec une équipe en régionale 3.
  • La JAMA : La JAMA (Jeanne d'Arc Maisons-Alfort) est une association sportive et culturelle créée en1913. Elle abrite actuellement les sections suivantes : pétanque, volley-ball et badminton. Au cours de son histoire elle a encadré d'autres activités : football, basket, colonies (puis « centres ») de vacances, gymnastique, troupe théâtrale, danses folkloriques, judo, rugby, boxe française. La section football a été fusionnée en 1992 avec celle de l'ASA (Association sportive amicale) pour former le FCMA (Football Club de Maisons-Alfort), tandis que la section judo a pris son autonomie en devenant le JCMA (Judo Club de Maisons-Alfort).
  • L'ASA (Association Sportive Amicale) abrite les sections suivantes : athlétisme, boules lyonnaises, cyclotourisme, gymnastique, handball, karaté, self défense, pétanque (« Les Joyeux Pétanqueurs »), plongée, volley-ball. Sa section d'escrime a fusionné avecLa Française SA en1977. La section d'athlétisme organise tous les ans depuis 2009, une course intituléeLa Maisonnaise qui comprend un parcours en boucle de 5 km le long des berges de la Marne et à travers la commune. Selon leur catégorie, les participants font un ou deux tours (5 ou 10 km). L'arrivée se déroule au stade Delaune.
  • Judo : Le JCMA (Judo Club de Maisons-Alfort) est un des clubs dejudo les plus réputés au niveau français et même européen.
    Quatremédaillés olympiques ont été licenciés au JCMA :David Douillet,Patrick Vial,Christine Cicot etChristophe Gagliano[86].
    Le, le JCMA remporte la Coupe d'Europe des Clubs Champions, c'est alors la première fois qu'un club français remporte une compétition européenne sénior de clubs champions, tous sports confondus.
    Le JCMA abrite également une section qui permet la pratique dukendo, dunaginatajutsu et duchanbara.
  • Escrime : Le club d'escrime de Maisons-Alfort, l'ASALF résulte de la fusion en1977 de deux entités : la section escrime de l'ASA (Association Sportive Amicale) etLa Française AC du célèbre maître Augustin Parent[87].
    Augustin Parent avait aménagé une piste d'escrime dans le grenier de son pavillon, rue de Mars à Maisons-Alfort (quartier des Planètes). Il a formé plusieurs grands champions d'escrime dontJean-François Lamour etHervé Granger-Veyron.
  • Natation : Le CNMA (Club de Natation de Maisons-Alfort)[88] a accueilli plusieurs champions en son sein, notammentGuylaine Berger, première nageuse française à descendre sous la minute sur le 100 mètresnage libre en compétition officielle etVincent Rupp, Champion d'Europe Handisport 2006 sur 100 mètres brasse. L'actrice françaiseCyrielle Clair a également été licenciée au CNMA dans les années 1980.
  • Football : Le club de football du FCMA est issu de la fusion ds ex-JAMA et ex-ASA.
  • Rugby : Le club de rugby local porte le nom de « RCMASM Rugby Charenton Maisons-Alfort Saint Maurice ».
  • Basket-ball : Le club de basket-ball maisonnais porte le nom d'ASLMA (Association Sportive Liberté Maisons-Alfort).
  • Équitation : Le club équestre de Maisons-Alfort qui se trouve dans l'école vétérinaire porte le nom de SHEVA (Société Hippique de l'École Vétérinaire d'Alfort). Le club est désormais fermé.

Équipements sportifs

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Le stade Auguste-Delaune.
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  • Gymnases
    • Gymnase Charles-Péguy
    • Gymnase Des Julliottes (Refait)
    • Gymnase Saint-Exupéry
    • Ensemble sportif Pompidou
    • Palais des Sports
  • Stades
    • Stade Auguste-Delaune
    • Stade de Charentonneau
    • Stade des Julliottes
    • Stade Cubizolles
    • Stade Hébert
  • Centre Aquatique
    • Centre Aquatique ARTHUR-HÉVETTE[89]

Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 33 495 € ce qui plaçait Maisons-Alfort au 8 488e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[I 12].

Emploi

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La commune dispose de structures pour aider les chercheurs d'emploi dans leurs démarches et leur parcoursprofessionnel ainsi que pour l'orientation.

Un Bureau Information Jeunesse (BIJ) y est présent. Celui-ci propose notamment une bourse de mobilité à destination des jeunes Maisonnais effectuant un stage à l'étranger[90] .

Une mission locale offre, quant à elle, de nombreux services aux entreprises locales, guide les projets professionnels, organise des forums et des évènements autour de nombreuses thématiques comme l'emploi, desdroits sociaux…

La mission locale comprend une Permanence de laCaisse primaire d'assurance maladie (CPAM), une PermanenceJuridique du CIFF (Centre Information Féminin et Familial) ainsi qu'une Permanence du centre d'accueil et d'écoute.

Industries et entreprises notables

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Principaux monuments et bâtiments remarquables

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  • LeFort de Charenton, un temps occupé par différentes unités de l'armée était le siège du commandement des écoles de la Gendarmerie Nationale jusqu'au début des années 2000. Construit entre1841 et1845, il abrite depuis 2012 le siège régional de la gendarmerie d'Île de France après avoir accueilli plusieurs services de la direction de lagendarmerie nationale et de la Force de Gendarmerie Mobile et d'Intervention.
  • LeCentre des hautes études du ministère de l'Intérieur (CHEMI) y est implanté dans le fort depuis 2010.
Article connexe :Fortifications de Paris aux XIXe et XXe siècles.
  • L'École nationale vétérinaire d'Alfort : créée sous le règne deLouis XV. Sa renommée est internationale.
  • Lemusée Fragonard de l'École vétérinaire[91] : Au sein de l'École vétérinaire, ce musée unique au monde est ouvert au grand public depuis 1994. Il présente des collections d'écorchés, de squelettes et d'anatomie animale et humaine. Attention certaines pièces peuvent impressionner les jeunes enfants.
  • Le Moulin brûlé, sur l'île de Charentonneau en bord deMarne, qui est aujourd'hui une salle où ont lieu diverses réceptions, concerts…
  • Les vestiges de l’Orangerie de Château Gaillard situés sur les bords de Marne, dans le quartier de Charentonneau, en face du Moulin Brûlé. L’ancien château s’élevait à cet endroit jusque dans les années 1950.
  • Lesgroupes scolaires Jules-Ferry et Condorcet ont obtenu une inscription à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1994 et 2002 pour l'originalité de leur architecture desannées 1930 :
  • Jules ferry : façade en briques rouges, sculpture en bas-relief à l'entrée illustrant les contes de Perrault par Paulo, peintures d'Émile Beaume.
  • façade en briques rouges, statue représentant le Petit Chaperon rouge au milieu.
  • Lacité d'habitations à bon marché du square Dufourmantelle, dit square Dufourmantelle[92], conçeu par les architectesAndré Dubreuil et Roger Hummel, qui ont également réalisé le groupe scolaire Jules-Ferry ;
    Elle est construite dans lesannées 1930 à l'initiative de l'Office départemental d'habitations à bon marché de la Seine (HBM). À l'époque où les familles vivaient dans une pièce unique, les 560 logements du square bénéficiaient d'une salle d'eau et d'une cuisine séparées de la pièce de vie)[93].
    Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis le[94].
Articles connexes :HBM du département de la Seine etLes cités-jardins de l'Office HBM de la Seine.
  • Entrée du Fort de Charenton.
    Entrée du Fort de Charenton.
  • La Marne et l'île de Charentonneau (à droite).
    La Marne et l'île de Charentonneau (à droite).
  • Mur d'eau salle du Moulin brûlé.
    Mur d'eau salle du Moulin brûlé.

Monuments religieux

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Liste non exhaustive des principaux monuments religieux de la ville :

  • L'église Saint-Rémi.
    L'église Saint-Rémi.
  • Clocher de l'église Saint-Rémi.
    Clocher de l'église Saint-Rémi.
  • Façade de Notre-Dame-du-Sacré-Cœur.
    Façade de Notre-Dame-du-Sacré-Cœur.
  • Clocher de l'église Sainte-Agnès vu depuis l'avenue du Général Leclerc.
    Clocher de l'église Sainte-Agnès vu depuis l'avenue du Général Leclerc.

Espaces verts

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Le parc du Moulin Brûlé sur l'Ile de Charentonneau.

La ville de Maisons-Alfort bénéficie d'environ34 hectares d’espaces verts ouverts au public. Une promenade piétonnière est aménagée en bord deMarne sur une longueur de 4 km dont certaines parties sont constituées de passerelles au-dessus de la rivière. Ces espaces verts ont permis à la ville de bénéficier du label Ville fleurie : quatre fleurs Grand Prix attribué en2006 par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris[101] de France auConcours des villes et villages fleuris.

Les bords de Marne constituent depuis longtemps un lieu de promenade renommé, c'était notamment le cas à la fin duXIXe siècle et durant la première moitié duXXe, où les fameusesguinguettes, attractions incontournables à l'époque, attiraient de nombreux badauds. Les Maisonnais aiment bien maintenir le souvenir de ces lieux de réjouissances.

La rue Condorcet (située entre la rue Marc-Sangnier et le bord de Marne) est bordée de cerisiers dont la floraison à mi-avril offre un beau spectacle.

Maisons-Alfort dans les arts et la culture

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Plusieurs scènes de films ont été tournées à Maisons-Alfort :

  • En1947,Claude Autant-Lara tourne des scènes de son filmLe Diable au corps au Moulin brûlé et près de l'Orangerie à Charentonneau.
  • En1955,Gilles Grangier tourna avenue du Général-de-Gaulle une très courte scène du filmGas-Oil, avecJean Gabin etJeanne Moreau ;
  • En1958, Gilles Grangier a tourné à Maisons-Alfort un second film,Archimède le clochard, toujours avec Gabin. Le film comprend plusieurs scènes où l'on peut voir diversgrands ensembles de logements alors en construction ;
  • En2004, des scènes en extérieur d'un épisode de la sérieJulie Lescaut,Le Mauvais fils (Treizième saison), ont été tournées dans le quartier des Planètes[102].
  • En 2000, une scène du film Baise-moi de Virginie Despente est tournée à la gare de Maisons-Alfort Alfortville.
  • « Allée 8, numéro 30 aucimetière de Maisons-Alfort » est une réplique culte du film de 1990 Nikita, réalisé par Luc Besson.

Plusieurs chansons évoquent Maisons-Alfort :

  • La chansonBouge De Là du chanteurMC Solaar (dans l'albumQui sème le vent récolte le tempo) évoque Maisons-Alfort dans son premier vers :Tout a commencé là-bas, dans la ville qu'on appelle Maisons-Alfort.
  • La chansonBienvenue à Bord du groupeSoldat Louis fait également référence à la ville dans son refrain :Bienvenue à bord à tous les marmots / D'Maisons-Alfort à Puteaux.
  • la chanson « 94 » deRohff, fait référence à Maisons - Alfort: « c’est pas net au planètes Maisons - Alfortville »

Personnalités liées à la commune

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  • Tariq Abdul-Wahad, pseudonyme d'Olivier Saint-Jean, basketteur, né en 1974 à Maisons-Alfort.
  • Marcel Balsa, pilote automobile, mort en 1984 à Maisons-Alfort.
  • Big Ali, rappeur américain, possède un appartement à Maisons-Alfort.
  • Buffalo Bill, figure mythique de laconquête de l'Ouest, a résidé à Maisons-Alfort en1905 pendant deux mois, durant la tournée à Paris de son spectacle leBuffalo Bill’s Wild West Show.
  • Jean-Louis Borg, entraîneur de basket, né en 1964 à Maisons-Alfort.
  • Pierre Buraglio (né en 1939), artiste peintre, vit et travaille à Maisons-Alfort.
  • Alice Dona (née en 1946 à Maisons-Alfort), chanteuse et compositrice.
  • David Douillet, licencié au club de judo de la ville[103].
  • Fabrice Éboué, humoriste, né en 1977 à Maisons-Alfort.
  • René Gabriel, décorateur spécialisé dans le meuble de série, né le à Maisons-Alfort, mort le à Paris.
  • L'acteurDaniel Jégou (1950-1988) ainsi que son ami l'écrivainJacky Pop (1949-2007, de son vrai nom Jacky Paupe) ont vécu à Maisons-Alfort dans le quartier de Charentonneau.
  • Marc Jolivet etPierre Jolivet habitaient dans les années 1960 la résidence de Château Gaillard à Charentonneau (dans les caves de laquelle ils avaient fondé un club, le « Thélème »).
  • Jul (nom de plume de Julien Berjeaut), né en 1974 à Maisons-Alfort, dessinateur de presse et auteur de bande dessinée français.
  • Jean Laurent (1906-1995), international français de football né le à Maisons-Alfort.
  • Christian Marin a vécu à la résidence de Château Gaillard, quartier de Charentonneau, dans les années 1960.
  • MC Solaar, rappeur français, a vécu à Maisons-Alfort et lui a dédié la chansonBouge de là.
  • Thomas Ngijol, humoriste, a vécu à Maisons-Alfort dans le quartier de Vert de Maisons.
  • Xavier Niel (né en 1967 à Maisons-Alfort), homme d'affaires français.
  • Edmond Nocard, médecinvétérinaire, chercheur.
  • Maxime Old, architecte d'intérieur, décorateur, créateur de meubles est né en 1910 à Maisons-Alfort et y a vécu jusqu'en 1955.
  • Ferdinand Parpan (1902-2004), sculpteur, a vécu au Groupe Georges-Guyon et est décédé à Maisons-Alfort.
  • Marc Raquil, athlète français, a vécu à Maisons-Alfort.
  • Georges Rose (né en 1910 à Maisons-Alfort, mort en 1997), international de football français.
  • Ildefonse Rousset (1817-1878), éditeur, photographe et journaliste français.
  • Marine Vacth (née en 1991), actrice, a grandi à Maisons-Alfort[104].
  • Gabriel Volland (1881-1947), poète et écrivain.
  • Yodelice, chanteur-auteur-compositeur, a vécu à Maisons-Alfort.
  • Sandrine Rousseau (1972- ), économiste et femme politique française, y est née.
  • Samir Amirèche (1972- ) est un ancien footballeur international algérien qui a grandi à Maisons-Alfort dans le quartier de Vert de Maisons.

Héraldique, logotype et devise

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Pour un article plus général, voirArmorial des communes du Val-de-Marne.

Logotype.
Blason de Maisons-AlfortBlason
D’azur à la champagne degueules, à la ruche d’or ouverte du champ, les pieds brochant sur la champagne, accompagnée de neuf abeilles d’or volant vers la ruche[105].
Devise / Cri
« mansionibus ».
Détails
La ruche et les abeilles l’entourant évoquent la laborieuse activité de la commune (Commission héraldique de 1962).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. L'ancien site est devenu le parcL'Alsacienne qui accueille un ensemble immobilier résidentiel. Des plaques apposées à l'entrée du parc rappellent l'existence passée de l'entreprise.

NotesINSEE

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  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  6. « Commune urbaine - définition », surle site de l’Insee(consulté le).
  7. « Unité urbaine 2020 de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  8. « Base des unités urbaines 2020 », surle site de l'Insee,(consulté le).
  9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », surle site de l'Institut national de la statistique et des études économiques,(consulté le).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Institut national de la statistique et des études économiques(consulté le).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Institut national de la statistique et des études économiques,(consulté le).
  12. « Revenus fiscaux localisés par ménages-Année 2010 », sursite de l'Insee,(consulté le).

Références

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  2. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
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  12. Dictionnaire de l'Ancien Régime et des abus féodaux - 1830 - Anonyme Un sujet bannier était lié à labanalité.
  13. a etbLe château de Charentonneau.
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  31. La Grande Crue de la Seine de janvier 1910 à Maisons-Alfort.
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  33. Voir Carte d'inondation des environs de Paris.
  34. Fiche concernant Maurice Lissac sur le site internetMemorialGenWeb.org.
  35. Notice sur la stèle à la mémoire du capitaine Roland Deplanque sur le site internet du Musée de la Résistance en ligne.
  36. Site CDG43, page "Un missile s’écrase à Maisons-Alfort", consulté le 16 avril 2021.
  37. T. D.Dungan,V-2 : a combat history of the first ballistic missile, Yardley, Penn. Garsington, Westholme Windsor distributor,coll. « Weapons in history »,, 250 p.(ISBN 978-1-59416-012-7 et1-594-16012-0,OCLC 59355583),p. 115.
  38. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne.
  39. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance.
  40. C.N., « Oubliez le T10, nommez-le Paris-Est-Marne et Bois »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎(lire en ligne).
  41. Décret n° 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne surLégifrance.
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  46. Archives départementales du Val-de-Marne.
  47. « DODUN de Kéroman Claude Laurent Marie »,Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort,(consulté le).
  48. Dodun de Kéroman a vécu au domaine de Château-Gaillard de Maisons-Alfort.
  49. Pierre Philippot est un libre penseur convaincu, il démissionne 6 mois après sa réélection.
  50. Christian Edmond Durst est né de parents Suisses, il fut naturalisé après laGuerre franco-allemande de 1870.
  51. « Amédée, François Chenal (1852 - 1919) », surSycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  52. Amédée François Chenal est l'auteur de :A. Chenal,Histoire de Maisons-Alfort et d'Alfortville depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Paris, Asselin et Houzeau (réimpr. 2014) (1re éd. 1898), 288 p.(ISBN 9782013503655,lire en ligne), il meurt en 1919.
  53. a etb« Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais »,Le Populaire,no 6076,‎,p. 4(lire en ligne, consulté le).
  54. « 24 mai 1898 – Albert Vassart »,Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort,(consulté le).
  55. Claude Pennetier, « VASSART Albert [VASSART Auguste, Albert] : Né le 24 mai 1898 à Apremont-sur-Aire (Ardennes), mort le 12 février 1958 à Paris (XVIe arr.) ; ouvrier métallurgiste ; syndicaliste et militant communiste, secrétaire de la Fédération CGTU des Métaux, membre du comité central, du bureau politique et du secrétariat du Parti communiste ; conseiller général, maire de Maisons-Alfort (Seine, Val-de-Marne) ; secrétaire général de la Fédération des municipalités communistes »,Le Maitron en ligne, 17/7/2009 mis à jour le 28/5/2021(consulté le).
  56. Le 4 octobre 1939, le Président de la République, Albert Lebrun, suspend par décret les conseils municipaux de 27 communes de la banlieue parisienne à majorité communiste, dont celui de Maisons-Alfort. La « Loi » du 20 janvier 1940 entrainera la déchéance de 423 conseillers municipaux communistes.
  57. G. Blanc-Cesan, « 10 mars 1875 – Francis Léon Mauge (Maire) »,Les maires de Maisons-Alfort, Cercle Généalogique de Maisons-Alfort,(consulté le).
  58. « Maires des communes suburbaines de la Seine »,Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris,no 131,‎,p. 391(lire en ligne, consulté le), lire en ligne surGallica.
  59. Notice MARCEAU Jean-Marie par Claude Pennetier, version mise en ligne le 2 septembre 2009, dernière modification le 27 octobre 2009.
  60. Notice SAULNIER André, Léon, Jules par Paul Boulland, Claude Pennetier, version mise en ligne le 6 octobre 2009, dernière modification le 15 décembre 2019.
  61. « Le R.P.F. conserve la mairie de Maisons-Alfort »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  62. Arthur Hévette légua à la municipalité sa propriété de Vaulxfins, pour en faire un centre de vacances communal.
  63. a etb« Deux nouveaux maires »,Le Monde,‎(lire en ligne)« M. Herbillon (UDF-PR) à Maisons-Alfort :
    M. Michel Herbillon, UDF-PR, a été élu maire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), samedi 23 mai, par 33 voix contre 5 à M. Raymond Riquier, PS, et 4 à M. Philippe Olivier, FN. Il y a eu deux bulletins blancs et un nul (le conseil municipal comprend 33 élus de droite, 5 PS, 1 PC, 3 FN et 3 divers).
    M. Herbillon succède à M. René Nectoux, UDF-PR, dont il était le premier adjoint. Maire depuis 1965, M. Nectoux, âgé de soixante-quatorze ans, s'est démis de son mandat à la suite de sa réélection au conseil régional d'Ile-de-France, et il a manifesté l'intention d'abandonner également celui de conseiller municipal. (Corresp.)
    [Âgé de quarante et un ans, diplômé de sciences politiques, licencié en droit, M. Michel Herbillon, directeur du développement et de la communication d'une filiale du groupe Générale des eaux, est premier adjoint au maire de Maisons-Alfort et conseiller général depuis 1989. Il préside le groupe UDF du conseil général du Val-de-Marne.] »
  64. Notice NECTOUX René, Edmond par Michel Gorand, Annie Pennetier, version mise en ligne le 3 décembre 2013, dernière modification le 18 décembre 2013.
  65. « Dans les cabinets ministériels »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  66. Corinne Nèves, « Michel Herbillon grand favori à Maisons-Alfort »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎(lire en ligne).
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  68. « Michel Herbillon élu président de l'UMP »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎(lire en ligne).
  69. Denis Courtine, « Maisons-Alfort : grosse émotion pour le passage de témoin à la mairie : Olivier Capitanio a été élu maire ce dimanche. Il succède à Michel Herbillon après 25 ans à la tête de la ville »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎(lire en ligne, consulté le).
  70. Réélu pour le mandat 2020-2026 :« Compte-rendu de la séance publique du Conseil Municipal du jeudi 28 mai 2020 »[PDF],Comptes rendus du Conseil Municipal, surmaisons-alfort.fr(consulté le).
  71. C. Dubois, « Qui pour succéder à Olivier Capitanio à Maisons-Alfort et Paris Est Marne et Bois ? : Alors qu’Olivier Capitanio a été élu ce jeudi président du conseil départemental du Val-de-Marne, Maisons-Alfort va devoir se trouver un nouveau ou une nouvelle maire »,94citoyens.com,‎(lire en ligne, consulté le).
  72. « Mary France Parrain (LR), première femme maire de Maisons-Alfort : Âgée de 69 ans, cette ancienne fonctionnaire est élue depuis 2014. Proche du député Michel Herbillon et de l’ancien maire Olivier Capitanio, démissionnaire depuis son élection à la présidence du Val-de-Marne, elle promet de se «consacrer pleinement» à la ville »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le)« Ce jeudi soir, Mary France Parrain (LR) est devenue la première maire femme de l’histoire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). Elle succède à Olivier Capitanio (LR), tout juste élu à la présidence du département, dont elle était la première adjointe depuis 2017, lorsqu’il a succédé au député Michel Herbillon (LR). Elle reste son binôme au sein de l’assemblée départementale ».
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  80. Il y avait également le cinéma situé devant la gare SNCF qui s'appelait le CLUB 123. Fermé dans les années 1990 il a été rasé et à la place s'est construit un immeuble.
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  92. Coordonnées géographiques : 48°47'22,16" N ; 2°26'2,49" E.
  93. Conseil d’architecture, de l’urbanisme et de l’environnement du Val de Marne et le Centre départemental de documentation pédagogique du Val-de-Marne,Maisons-Alfort : Square Dufourmantelle / Ecole Lules-Ferry : Modernité en banlieue rouge dans les années 30…,, 38 p.(ISBN 2-86918-179 5,lire en ligne).
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  95. Fiche sur le sitetopic-topos.com.
  96. Marc Mimram, « Passerelle de Saint-Maurice - Maisons-Alfort »,Formes et structures,no 127,‎,p. 60-61(ISSN 1140-5597).
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    Repris dansRobert Dulau et Jean-Robert Pitte,Géographie des odeurs, L'Harmattan,(ISBN 2-7384-6974-4,lire en ligne),p. 159-165.
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  100. Chapelle Saint-Gabriel.
  101. Conseil National des Villes et Villages Fleuris.
  102. Article du journal Le Parisien du 23 février 2004 "Le feuilleton « Julie Lescaut » à Maisons-Alfort".
  103. Par Le 29 septembre 2008à 07h00, « David Douillet fête les 50 ans de son ancien club », surleparisien.fr,(consulté le)
  104. Qui est Marine Vacth ?.
  105. « L'Armorial des Villes et des Villages de France - Maisons-Alfort, Val-de-Marne ».
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