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Métiers du bâtiment

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Chantier auKenya : une technicienne du bâtiment non sujette au vertige.

Lesmétiers du bâtiment (ou simplementbâtiment) regroupent les corps demétiers intervenant dans laconstruction, la rénovation, la réhabilitation et la maintenance, de bâtiments privés ou publics. Dans le cadre du marché, ils regroupent sous la maîtrise de l'architecte, toutes lesingénieries,techniques et, tous lescorps de métiers exécutants, nécessaires à laconstruction, laréhabilitation, ou larénovation d'un ouvrage d'habitation,tertiaire, ouindustriel.

Histoire

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Article connexe :Histoire de la construction.

Les romains mettent en œuvre une architecture monumentale qui doit pour beaucoup à la maîtrise acquise dans la confection de l'opus caementicium. Ce conglomérat réalisé à partir d'un mélange de mortier de chaux et de tout venant, lescaementa, coulé dans un coffrage en bois ou entre deux parois de petit appareil a le grand avantage de ne nécessiter aucune qualification de lamain-d'œuvre et une bonne partie desmatériaux sont employés sans préparation préalable[1]. Les corps de métiers sont surtout constitués d'esclaves, et quand ils sont constitués d'artisans libres, ils sont souvent méprisés et abrutis de dettes, lenexum étant dans la loi romaine un droit sur le corps exercé par un créancier sur le débiteur appelé nexus, ils se retrouvaient souvent pour ainsi dire également esclaves.

Au temps de laféodalité, les métiers s'organisent encorporations dont le rôle de protéger ses membres dans une société où la force fait seule le droit. Le plus ancien acte d'organisation pour les maçons en France, fait partie duLivre des métiers d'Étienne Boileau, rédigé en1268; nomméPrévôt de Paris par le roiLouisIX :Il est question « Des Maçons,Tailleurs de pierre, lesPlastriers et desMortelliers[2] » (fabricants d'auges de pierre qu'on appelle mortiers et ensuite celui qui brise certaines pierres dures pour en faire du ciment[3], le termemortier désigne de la manière l'auge du maçon et son contenu).

Les maçons et les plâtriers doivent leguet et lataille ; mais les mortelliers ainsi que les tailleurs de pierre sont dispensés du guet, dès le temps deCharles-Martel, suivant la tradition que constatent les statuts. Leur juridiction est dès lors dans l'enclos du palais, elle était connue sous le nom demaçonnerie[4].

Le chantier des cathédrales, met en valeur une distinction entremétiers qui va s’accentuant. Mis à part le cas particulier de l'architecte et de l'appareilleur, une véritable supériorité est accordée auxmaçons,tailleurs de pierre, lescharpentiers, et, à un autre degré, les métiers du fer et du feu, lesserruriers et lesverriers[5].

L'apparition des premières sociétéscompagnonniques se situe dans les derniers siècles duMoyen Âge. D'abord clandestin, leTour de France du compagnonnage s'affirme de plus en plus comme la voie de promotion professionnelle et sociale. Les premiers ouvriers itinérants posent les fondations du compagnonnage désireux de s'émanciper descorporations etconfréries. Les premiers métiers acceptés entre le commencement duXIIIe siècle et la fin duXIVe siècle furent lestailleurs de pierre, lescharpentiers, lesmenuisiers et lesserruriers. Toutes les listes de préséances en circulation dans les diversCompagnonnage confirment l’ancienneté et la primauté de cescorps d'état qui couvrent les trois matériaux de base indispensables à toutes construction : pierre,bois etfer. Sans pouvoir être daté de manière précise, le compagnonnage émerge à l'époque de l'histoire associantcorporations,cathédrales etcroisades[5].

En 1767, on distingue douze sortes d'ouvriers servant à la construction des édifices[6] :

L'architecte établit les plans, fait la description de tous les matériaux nécessaires, fixe les prix de tous les ouvrages qui entrent dans la construction d'un édifice :« Les Matériaux ne font pas tous d'une même qualité. L’étude d'unarchitecte doit avoir pour but d'en connaître toutes les propriétés, toutes les différences, et de s'en faire une pratique ; de manière qu'au toucher et au coup-d'œil, il en porte un jugement sûr, et à l'abri de toutes les fraudes des Marchands[6] ».

En1776, l'édit Turgot initie le mouvement vers une économie plus libre en proposant unédit, qui prévoit de supprimer les corvées, les maîtrises et les jurandes (autres noms des corporations). Le, ledécret d'Allarde supprime lescorporations et proclame ainsi le principe deliberté de commerce et d'industrie. Cela implique que, sous réserve du respect de l'ordre public institué par laloi, l'exercice des professions est désormais libre. Il peut toutefois, dans certains cas, être soumis à déclaration.

L'avènement de lamachine comme instrument de production, va nécessiter une étude approfondie des procédés de fabrication. En réponse à cette exigence, l'industrie va donner naissance à un nouveau type d'intellectuel : l'ingénieur; C'est à lui que seront dévolues la recherche et l'innovation technologique[7]. L'ingénieur prend une part de plus en plus importante dans l'étude des matériaux, des structures, des techniques spéciales, etc.

Métiers et anciens métiers associés à la construction

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Charpenterie
Fontainerie
Maçonnerie
Marbrerie
  • Carreleur - Ouvrier qui prépare et qui pose les carreaux pierre ou en marbre, ordinaires ou à compartiments[E 1].
  • Marbrier - Ouvrier qui taille et monte les pièces de marbre sur la pierre, les raccorde et les pose[E 2].
  • Scieur - Ouvrier qui débite en tranches et à la scie les blocs de marbre et qui fait les coupes pour mettre les bandes de longueur et largeur[E 3].
Menuiserie
Miroiterie
  • Adoucisseur - Ouvrier qui adoucissait les glaces[R 1].
  • Batteur - Ouvrier qui prépare les feuilles d'étain propres à l'étamage des glaces[R 2].
  • Miroitier - Ouvrier qui met les glaces au tain, les coupe pour les mettre de mesure, fait leurs joints et les pose, et en refait le poli lorsqu'il a été gâté[R 3].
Treillage
  • Treillageur - Raccroché au corps des menuisiers, le treillageur est l'ouvrier qui plane, dresse et attache les tringles ou échalas pour former letreillage[L 1].

La maîtrise d'ouvrage

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Article détaillé :Maîtrise d'ouvrage.

Le motmaîtrise d'ouvrage renvoie au client final du bâtiment à construire. Certains maîtres d'ouvrages utilisent une maîtrise d'ouvrage déléguée.

La maîtrise d'œuvre

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Article détaillé :Maîtrise d'œuvre.

Lamaîtrise d'œuvre est assurée en principe par l'architecte, éventuellement associé à un ou plusieursbureau d'études techniques (BET), un économiste. Par dérogation, elle peut être assurée sans le concours d'un architecte par un bureau de maîtrise d'œuvre, par un bureau d'études techniques, ou même par un entrepreneur du bâtiment.Dans la pratique, il s'agit de la réalisation des études d'un projet de construction, dans leurs dimensions esthétiques et techniques.

Il arrive que lamaîtrise d'œuvre soit assurée par lemaître d'ouvrage (le client) lui-même.

Nouveaux enjeux

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En raison de la pression foncière, parfois de laspéculation le prix des terrains et des logements tend à fortement augmenter. La diminution des coûts de matériaux, celle de leur mise en œuvre et surtout celle de fonctionnement sont des enjeux importants.

Le secteur du bâtiment est en Europe le premier consommateur d'énergie primaire (40 % de l'énergie totale consommée) avant lestransports (30 %) et l'industrie (30 %), en étant responsable de plus de 40 % des émissions totales de CO2 (avec d’importantes différences régionales liées à l’âge des constructions et au climat).

Les économies d’énergie sont un enjeu économique et écologique majeur pour ce secteur. Des maisons passives et même énergiquement positives existent par milliers en Allemagne et Suisse, mais d’autres pays ont fait peu d’efforts, bien que le prix du pétrole et de l’énergie soient inéluctablement amenés à augmenter (manque depétrole, manque d’uranium à partir de 2024, selon l’AIEA). Unedirective européenne sur laperformance énergétique des bâtiments vise à réduire leur consommation énergétique de 22 % d'ici 2010.L'urbanisme et lesroutes génèrent d'importants impactsécologiques et paysagers, en particulier defragmentation écologique et en termes de gaspillage d'énergie et de surexploitation de ressources pas, peu difficilement ou coûteusement renouvelables. Ce sont des impacts que laHQE (Haute qualité environnementale) contribue à réduire significativement.

L'économiste de la construction doit analyser un projet dans sa globalité afin d’établir l’étude technique et financière la plus pertinente. Legéotechnicien est un ingénieur, chargé de l'étude des caractéristiques mécaniques du sol. Les études qu'il mène permettent de conseiller le maître d'œuvre dans le choix desfondations et le type de plancher inférieur. L'ingénieur des sites et sols pollués est chargé de l'étude du sol, de l’eau et de l’air afin d’évaluer les risques sanitaires et environnementaux.

L'entreprise de bâtiment est désignée par laMaîtrise d’œuvre pour réaliser les travaux. Elle regroupe habituellement leconducteur de travaux, lechef de chantier et l'ouvrier.

Le contrôle technique

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Article détaillé :Contrôle technique de la construction.

La présence d'un contrôleur technique (souvent appelé bureau de contrôle) est obligatoire pour la construction de nombreux ouvrages (voir l'article détaillé). Son rôle consiste à contrôler les documents émis par les entreprises et la mise en œuvre sur le chantier de façon à prévenir les aléas techniques susceptibles d'entraîner des sinistres, et de vérifier le respect des règles de l'art en matière de construction.

Les techniques du bâtiment et les métiers associés

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Travaux de terrassement

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Article détaillé :terrassement.

Le travail du terrassier. Autrefois aussi le travail dupuisatier

Il s'agit d'adapter le terrain au bâtiment à construire, soit en enlevant de la terre (déblai) soit en en rajoutant (remblai). Les travaux de terrassement font appel à des engins de chantier, notamment des pelles mécaniques, des camions. Les métiers associés sont majoritairement des métiers de conducteur d'engins.

Travaux associés : Blindage - Descente - Dressement - Enlèvement des terres - Excavations ou déblais - Fouilles de puits - Pilonnage - Remblais - Repiquage - Retroussis de terre végétale - Rigole ou tranchée - Talutage - Transport.

Fondations

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Article détaillé :Fondation (construction).

Les fondations sont les éléments architecturaux qui assurent la reprise de la masse du bâtiment par le sol sur lequel il est assis. Elles peuvent être profondes (pieux de fondation) ou non (fondations superficielles par semelles ou puits).

Égouts

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Articles détaillés :égout etcanalisation.

Le travail du terrassier. Anciennement le travail dufontainierTravaux associés : Branchement d'égout.

Gros œuvre

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Article détaillé :Gros œuvre.

Le gros œuvre consiste en la construction de la structure (ou ossature) d'un bâtiment, d'un ouvrage, ...La structure d'un bâtiment démarre une fois lesfondations et terrassements réalisés. Il comprend les parties enterrées (l'infrastructure d'un bâtiment) et les parties non enterrées (la superstructure).La structure d'un bâtiment peut être en divers matériaux : de façon la plus classique en béton armé, mais aussi en parpaings, en bois, en métal (beaucoup aux États-Unis), en pierre, en briques, enpisé (terre crue mélangée).

L’ossature des ouvrages se décompose généralement :

  • en éléments verticaux : murs (voiles béton par exemple), poteaux
  • et horizontaux : radiers, poutres, planchers, paliers, balcons pour les bâtiments et tabliers pour les ponts.

Ouvrages de maçonnerie

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Article détaillé :maçonnerie.

Construction en béton

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Article détaillé :béton.

On distingue habituellement les ouvrages neufs des ouvrages à rénover. Les techniques dans les deux cas sont très différentes :

  • dans le cas de constructions neuves en béton, les entreprises utilisent en France des coffrages métalliques (appelés banches) pour les murs et des coffrages pour les planchers (étais + bois). Dans ce cas une ou plusieurs grues sont utilisées pour approvisionner le chantier en matériaux (béton et acier), pour déplacer outils et machines. Les murs peuvent aussi être réalisés en maçonnerie (parpaings, briques, voire pierre de taille, réservée pour des questions de coûts aux bâtiments historiques).
  • dans le cas de construction en réhabilitation, les ouvrages béton sont plus rares. Il est fréquent d'utiliser des techniques ou des matériaux spécifiques comme les planchers mixtes acier/béton.

Les métiers associés au Gros Œuvre sont les spécialisations ouvrières suivantes : boiseur ; coffreur-bancheur ; ferrailleur.

Charpente

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Article détaillé :charpente.
Charpente métallique

La structure d'un bâtiment ou d'un ouvrage peut être réalisée en éléments métalliques. Dans ce cas, les éléments sont usinés et découpés en usine et envoyés par camion sur le chantier. La charpente métallique est ensuite assemblée sur le site de construction, souvent à l'aide de grues mobiles (car la construction métallique est très rapide).Les charpentes métalliques doivent être portées comme tout bâtiment par des fondations. Elles sont reliées aux fondations ou au bâtiment sur lequel elles sont posées par des platines métalliques chevillées dans la structure porteuse.Les métiers de la charpente métallique sont les métiers d'ingénieur et de dessinateur, d'ouvrier du métal (soudeur, usinage), et de poseur (souvent dissocié des métiers de l'usine).

Charpente bois

De la même façon que pour la charpente métallique, la structure d'un bâtiment ou d'un ouvrage peut être réalisée en bois (très à la mode pour les maisons individuelles). Cette technique a l'avantage d'être encore plus rapide que la construction métallique, et beaucoup plus écologique. Les métiers sont les mêmes que ceux de la charpente métallique (avec une spécialisation bois).

Second œuvre

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Lesecond œuvre comprend tous les corps d'état habillant la structure, qu'elle soit en béton, en bois, en acier ou en tout autre matériau.On distingue habituellement les travaux relatifs au Clos et Couvert, les travaux de finition et les lots techniques.

Clos et Couvert

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Le Clos et Couvert vise à mettre le bâtiment hors d'eau (étanche à l'eau) et hors d'air (étanche à l'air), ce qui permet de démarrer les corps d'état de finition.

Métallerie
Article détaillé :métallerie.

(Charpente métallique, bardage-couverture, serrurerie).

Après la révolution industrielle auXIXe siècle, où la construction métallique utilisa principalement du fer puddlé (de Puddlage : Métallurgie. Ancien. Procédé que l'on utilisait pour obtenir du fer ou un acier à basse teneur en carbone, par brassage d'une masse de fonte liquide avec une scorie oxydante dans un four à réverbère.)[8], comme avec laTour Eiffel par exemple, l'acier laminé fit sa généralisation. Les gratte-ciels américains furent parmi les premiers exemples à être construits sur une ossature métallique, sur lesquels viennent se fixer les façades non porteuses.De nos jours, la construction métallique va de la petite serrurerie jusqu'à la grosse charpente de tablier de pont ou d'immeubles (ex. :Viaduc de Millau, structure mixte acier-béton des gratte-ciels), tout en passant par les hangars industriels, agricoles, les bâtiments commerciaux, de bureaux, etc.

Les métiers, tout comme d'autres corps d'états, se résument à des techniciens et ingénieurs enbureau d'études techniques (dessins, calculs de résistance des matériaux et des structures, nomenclatures, etc.), les ateliers de fabrication (machines à commandes numériques, soudages, conformage) et enfin les métiers de montages sur chantier.

Bois

La maîtrise d'œuvre veille sur la qualité du bois utilisée dans la construction. En général, il est demandé de mettre en œuvre une qualité classée "1er choix". Ainsi le type du bois utilisé pour le façonnage des cadres pour fenêtres, portes et ouvrants est le sapin rouge, en raison de sa résistance et son esthétique. Les dimensions sont données par les études suivant les exigences techniques et climatiques de la zone d'étude.

Composite

Les toits entuiles sont également très courants dans le sud de la France.

Couverture-Plomberie

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Article détaillé :couverture (construction) etPlomberie.

Fumisterie

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Article détaillé :Fumisterie.

Travaux de finition

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Cloisonnement

Il s'agit des séparations intérieures des différentes pièces d'un bâtiment sous forme de :

  • Cloisons dites traditionnelles à base de briques plâtrière (technique peu utilisée aujourd'hui) enduite de plâtre par la suite.
  • Cloisons à base de plaques de plâtre à bords amincis (Ex : BA 13) qui peuvent être fixée sur rails métalliques avec isolant type laine de verre/roche ou en sandwich sur complexe alvéolaire. Le carreau de plâtre est aussi une technique de cloisonnement, mais aujourd'hui plus utilisé pour des travaux de rénovation de petite envergure (manutention aisée).
  • Cloisons amovibles à base de structure métallique et de panneaux type bois, mélaminé, stratifié, ou même verre, essentiellement utilisées pour les cloisonnements de bureaux.
Faux plafond
Article détaillé :Faux plafond.

Le faux plafond est utilisé dans la construction d'un bâtiment. Disposé à environ 60 cm de la toiture ou du plancher supérieur, maintenu en place par différents rails, monture et ossature métallique, il est utilisé pour des qualités d'isolation et par souci d'esthétisme. En effet, on ajoute dans l'espace entre toiture et faux plafond (le plénum), de la laine de verre ou d'autres matériaux isolants. On peut également y passer tous les réseaux des lots techniques (câbles électriques, canalisations, gaines de ventilations, etc.) de façon à les masquer. Il existe différents types de faux plafond, soit en dur (plaques de BA13 en général) ou enstaff, soit avec des dalles de faux plafond, plus légères et permettant un accès plus facile aux éventuelles installations techniques.

Revêtement de sol
Article détaillé :Revêtement de sol.

Le revêtement de sol correspond au type de sol intérieur utilisé pour l'aménagement d'une pièce. Il peut s'agir de carrelage, de moquette, de parquet, ou encore de PVC (rouleaux, dalles ou lames, stratifié, etc.). Les méthodes de pose et de préparation varient en fonction des différents métiers, et chacun des métiers, requièrent des compétences différentes. Néanmoins, quelques préparations communes sont nécessaires pour un sol bien posé : une chape bien lisse, un ragréage si nécessaire lisse également, une bonne coupe des matériaux (carrelage, bois ou moquette) et des compétences bien sûr !

Peintures
Article détaillé :Peinture (construction).

Techniques

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Chauffage / Ventilation / Climatisation (CVC)

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Articles détaillés :Chauffage,Ventilation,Climatisation etChauffage, ventilation et climatisation.
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Électricité

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Articles détaillés :Installation électrique etélectricien.

Lesélectriciens en bâtiment sont lesprofessionnels incontournables en la matière.Ils maîtrisent lestechniques et sont au fait des dernièrestechnologies,normes etrèglements concernant les installations électriques. D'autre part, ils sont les seuls légalement à pouvoir assurer laconformité des installations qu'ils effectuent. Des contrôles réguliers sont effectués par des bureaux de contrôle (SOCOTEC, DEKRA ou INOVI par exemple) concernant les installations électriques des lieux publics.

  • Courants forts - Par opposition aux courants faibles, Il s'agit d'un terme définissant l'ensemble des alimentations électriques nécessaires au bon fonctionnement d'une installation (éclairage, prises de courant, alimentations diverses). La tension étant supérieure à 50V.
  • Courants faibles - Il s'agit des travaux imputés à l'électricien concernant la téléphonie, la sécurité (détection et alarme incendie, anti-intrusion, contrôle d'accès...), le réseau informatique et la domotique.

Le câble utilisé est généralement du multipaire SYT1 ou 4 paires catégorie 6 pour l'informatique.

Domotique

Le métier de spécialiste en domotique commence à apparaître sous l'impulsion des nouvelles technologies (intégration et convergence des médias de transport pour voix/données/image, technologie de pilotage et contrôle...). Ce récent spécialiste peut être conduit à mettre en place des systèmes de contrôle et de pilotage (chauffage et climatisation, délestage secteur, pilotage des petits automatismes de la maison), des systèmes de réseau (type réseaux LAN/WiFi, coaxiaux TV/SAT/FM, interphonie distribuée dans le bâtiment ...). Les compétences mises en œuvre sont multiples, ce qui explique l'évolution d'une partie de ces professionnels à partir d'autres métiers comme électricien, téléphoniste, installateur d'alarme ...

Plomberie

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Articles détaillés :Installation sanitaire etplombier.

Notes et références

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  1. Stefano Camporeale, Hélène Dessales, Antonio Pizzo.Arqueología de la construcción. CSIC, 2008Google books
  2. Étienne Boileau, Georges-Bernard Depping. Règlements sur les arts et métiers de Paris, rédigés auXIIIe siècle, et connus sous le nom du Livre des métiers d'Étienne Boileau. Crapelet, 1837.Numérisé par Google
  3. Dictionnaire de Français Littré
  4. Ange de Saint-Priest.Encyclopédie du dix-neuvième siècle : répertoire universel des sciences, des lettres et des arts avec la biographie de tous les hommes célèbres. Imprimerie Beaulé, Lacour, Renoud et Maulde, 1851 (Consulter en ligne)
  5. a etbFrançois Icher.Les Compagnons ou l'amour de la belle ouvrage. Découverte Gallimard.
  6. a etbJean Raymond de Petity.Encyclopédie élémentaire ou introduction à l'étude des lettres, des sciences et des arts, Volume 2. 1767.Consulter en ligne
  7. René Vittone.Bâtir : Manuel de construction. Presses polytechniques et universitaire romandes. 2010.
  8. Petit Larousse 2009

Voir aussi

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Bibliographie

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  • MorisotJ.M.,Tableaux détaillés des prix de tous les ouvrages du bâtiment. Vocabulaire des arts et métiers en ce qui concerne les constructions (Charpente)., Carilian,(lire en ligne)
  1. p. 39
  2. p. 43
  1. p. 9
  1. p. 36
  2. p. 50
  3. p. 51
  4. p. 52
  5. p. 70
  6. p. 75
  7. p. 21
  8. p. 83
  9. p. 94
  10. p. 89
  1. p. 3
  2. p. 12
  3. p. 18
  1. p. 38
  1. p. 1
  2. p. 2
  3. p. 6
  1. p. 4

Articles connexes

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