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Lycée en France

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Lycée en France

Description de cette image, également commentée ci-après
Lycée Maurice-Janetti àSaint-Maximin-la-Sainte-Baume.
Histoire et statut
Fondation
TypeÉtablissement public local d'enseignement (EPLE)
Administration
ComposanteLycée général,lycée technologique,lycée professionnel
DirecteurMinistère de l'Éducation nationale
Études
Diplômes requisDNB ou CFG (Niveau 3)
Diplômes délivrésBaccalauréat général,baccalauréat technologique,baccalauréat professionnel,BMA,BP
Niveaux délivrésBac + 0 (Niveau 4)
Localisation
PaysFrance
Données clés

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Lycée Jules-Verne àLimours.
Lycée Colbert àLyon.
Lycée Jean-Zay àOrléans.

Lelycée en France correspond au second cycle desétudes secondaires[1]. Le nom vient duLycée, ungymnase d'Athènes près duquelAristote enseignait. L'origine de cette appellation serait due à la proximité d'unsanctuaire dédié àApollon Lykeios[2].

Ce second cycle peut être général, technologique ou professionnel[1]. Il correspond principalement aux trois dernières années de l'enseignement secondaire (seconde,première etterminale), pour des adolescents âgés, généralement, de 15 à18 ans (du début de la seconde à la fin de la terminale). Par extension, le lycée est l'établissement scolaire de cet enseignement. Les enseignements au lycée aboutissent à des examens finaux et nationaux : lebaccalauréat ou leCAP. Pourtant, un certain nombre de filières relevant de l'enseignement supérieur, comme lesBTS, lesCPGE et les classes préparatoires auDCG, sont en partie prises en charge par les lycées. En 2013, il y a 1 513lycées généraux ettechnologiques, 1 086lycées professionnels dont 218 lycées professionnels agricoles et 12 lycées professionnels maritimes, 6lycées de la Défense.

Jusqu'en 1959, le terme « lycée » désignait des établissements financés par l'État couvrant l'ensemble de l'enseignement secondaire long (de la sixième à la terminale).

L'organisation des cursus au sein des lycées français a été partiellement modifiée lors de la « réforme du lycée » créée par les ministèresDarcos etChatel de 2007 à 2009, et dont l'application a commencé à la rentrée 2010 pour les secondes, 2011 pour les premières et 2012 pour les terminales. En 2018, le ministre de l'Éducation nationaleJean-Michel Blanquer présente uneréforme afin de faire du lycée un véritable « tremplin vers la réussite » dans l'enseignement supérieur. Les dispositions entrent en vigueur au fur et à mesure, à la rentrée 2019 pour les secondes et les premières et à la rentrée 2020 pour les terminales. Les nouvelles épreuves du baccalauréat sont déployées pour la première fois lors de la session 2021.

Histoire

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Période napoléonnienne

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Créé à l'origine parNapoléon Bonaparte par laloi du 11 floréal de l'an X () pour former « l'élite de la nation », le lycée, selon l'expression de Napoléon, fait partie avec leCode civil ou encore laLégion d'honneur, des « masses de granit ».

Les lycées de garçons ont été créés en1802 à partir des plus importantesécoles centrales. Le lycée assure une formation enlettres (français,latin,grec ancien (trois professeurs)) et ensciences (trois professeurs). L'article 5 dudécret du 17 mars 1808 en fixe ainsi le programme : « Les langues anciennes, l'histoire, la rhétorique, la logique, et les éléments des sciences mathématiques et physiques ». Le régime usuel est l'internat ; les lycées sont marqués par un encadrement de type militaire et les élèves portent un uniforme. Peu nombreux (il était prévu en théorie un lycée par département), les lycées sont entièrement pris en charge par l'État. Le fonctionnement est assuré par un proviseur, aidé par uncenseur[3] et un économe ; l'enseignement est fait par des professeurs agrégés dont la fonction apparaît dans l'enseignement, après l'institution des « agrégés » créés par le roi Louis XV, en 1766, afin de compléter alors les professeurs déjà recrutés dans les collèges royaux. L'accès au lycée se fait après passage d'un examen de contrôle des connaissances apprises auparavant et la scolarité est aussi payante, même s'il est prévu d'accorder des bourses aux élèves qui en auraient besoin, vu les revenus de leurs parents.

Par la loi Chaptal du1er mai 1802, diteloi du 11 floréal de l'an X, les neuf premiers lycées impériaux sont créés, sur les quarante-cinq qui seront instaurés durant la même année, selon une répartition géographique précise (un par arrondissement possédant un tribunal d’appel sur le territoire français de l’époque)[4]. Ces neuf premiers lycées sont situés dans les villes suivantes : Bruxelles,Marseille, Mayence[5],Lyon,Bordeaux,Strasbourg,Rouen, Turin etParis. Le lycée impérial deMontpellier, actuellycée Joffre, est considéré comme l'un des plus anciens lycées de France (avec lelycée Henri-IV de Béziers, datant de 1598) car directement issu de l'enseignement médiéval et, par la suite, universitaire[6].

À l'origine, ces quarante-cinq lycées portaient le nom de leur ville (excepté pour les lycées parisiens, au nombre de quatre). La liste ci-dessous les présente sous leur nom actuel. Les lycées des villes aujourd'hui étrangères n'existent plus.

Alfred de Falloux.

Avec laRestauration, les lycées prennent le nom de « collèges royaux ». Ils reprennent le nom de lycée sous laDeuxième République, ce que confirme laloi Falloux[7]. Les lycées comprenaient également des « petites classes », dont l'enseignement se rapprochait duprimaire, classes connues sous le nom depetit lycée.

Lycées de jeunes filles

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Camille Sée.

Leslycées de jeunes filles voient le jour avec la loi proposée parCamille Sée et votée le. Cette loi instaure un enseignement secondaire féminin qui peut se dérouler dans des lycées de jeunes filles qui sont au nombre de 36 dès 1896[8]. Le premier lycée de jeunes filles en France fut créé à Montpellier en 1881 : c'est l'actuellycée Georges-Clemenceau. Les lycées et collèges publics deviennent gratuits (sauf pour les élèves internes) entre1926 et1930 et certains sont restés non-mixtes (essentiellement dans le privé) jusqu'au début duXXIe siècle.

Émergence des filières classique et moderne

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Originellement, l'enseignement dans les lycées et collèges est uniquement classique, dans le sens où les langues latine et grecque sont enseignées. Cependant, dans un contexte deRévolution industrielle et afin de former aux métiers du commerce et de l'industrie intermédiaires, c'est-à-dire compris entre le cadre et le manœuvre, l'idée d'un enseignement intermédiaire situé entre le primaire et le classique, semblable à laRealschule en Allemagne, prend forme.

Victor Duruy.

Le, le ministreVictor Duruy institue l'enseignement spécial, prenant place dans les collèges afin de répondre à ces besoins ; cet enseignement est organisé en trois années et son programme est concentrique (l'on part du programme de l'année précédente et on approfondit) et plus tourné vers la pratique, comportant du dessin et de la menuiserie. Les professeurs sont formés à l'école normale de Cluny[9].

L'enseignement spécial se rapproche de plus en plus de l'enseignement classique : sa durée s'allonge de trois, quatre et six, la nomenclature des classes est reprise et les débouchés se rapprochent de ceux du classique :Saint-Cyr,Polytechnique. En 1891, l'enseignement spécial devient l'enseignement moderne.

L'enseignement secondaire est réformé en 1902 : dans les enseignements classique et moderne, quatre années de tronc commun (6e-3e) sont suivies par deux années de préparation du premier bac, dont il existe quatre formes : A : latin-grec, B : latin-langues, C : latin-sciences, D : langues-sciences. A, B et C sont de l'enseignement classique alors que D est de l'enseignement moderne. Dans l'enseignement classique, le grec pouvait être commencé en5e. Ce premier bac donnait droit à pouvoir préparer, en une année, la seconde partie du bac (Mathématiques élémentaires et Philosophie)[10]. L'enseignement moderne accède ainsi à une forme d'égalité avec le classique, bien que perçu comme d'un niveau inférieur. Leprimaire supérieur reprit le flambeau et les élèves issus du moderne.

Vers la démocratisation du cycle secondaire

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De 1802 à 1959, le terme « lycée » désignait des établissements financés par l'État couvrant l'ensemble de l'enseignement secondaire long (de la sixième à la terminale), par opposition aux « collèges », qui pouvaient également couvrir l'ensemble du cycle secondaire long, mais étaient financés par la municipalité ou par le département. De 1959 à 1963, l'ensemble des collèges et lycées couvrant l'intégralité de l'enseignement secondaire long prirent la dénomination de « lycée ». À partir de 1963, le terme prend sa signification actuelle, le premier cycle de l'enseignement secondaire (de la6e à la3e) se transformant progressivement en « collège d'enseignement secondaire »[11].

Le décretno 59-57 du établit des « lycées classiques, modernes et techniques » ; les anciens collèges techniques et lesécoles nationales professionnelles sont transformés en lycées techniques[12]. En 1963, les petites classes des lycées sont supprimées et assimilées au primaire. En1977 sont institués, par le décretno 76-1304 du, les lycées d'enseignement professionnel, devenuslycées professionnels en1985 par le décretno 85-1267 du. Les lycées généraux et les lycées techniques sont alors regroupés sous le nom de lycée d'enseignement général et technologique. Très souvent, les sections générales, technologiques et professionnelles de lycée coexistant dans ce qu'on appelle deslycées polyvalents.

Jean-Pierre Chevènement en 1989.

En 1985,Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l'Éducation nationale lance le mot d'ordre : « 80 % d'une classe d'âge au baccalauréat », objectif repris de manière presque identique par son successeur,René Monory et repris par la loi d'orientation scolaire de 1989 deLionel Jospin, alors ministre de l'Éducation Nationale. S'ensuit une décennie de fort développement des lycées et des premiers cycles universitaires[13]. L'innovation la plus marquante de la période est la création du baccalauréat professionnel en 1985. Il permet aux titulaires d'unBEP ou d'unCAP de compléter leurs études secondaires et même d'envisager des classes post-bac. De 1987 à 1995, le nombre de bacheliers passe de 300 000 à 500 000. 40 % de cet accroissement s'explique par le succès des bacs professionnels[14].

Réformes depuis les années 1990

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Jean-Michel Blanquer en 2017.

Jusqu'en 1994, les filières du lycée s'appelaient A (littérature, philosophie, langues), B (économique et sociale), C (mathématiques), D (biologie), E (mathématiques & technique), F1, F2, F3, F4… F12 (regroupe les sections technologiques actuelles parmi lesquelles musique et danse, STI, SMS), G1, G2, G3 (tertiaire : secrétariat, commerce, comptabilité) et H (Techniques informatiques).

Laréforme engagée en 2019 par Jean-Michel Blanquer, alorsministre de l'Éducation nationale, a modifié en profondeur le parcours au sein du lycée général et technologique comme suit[27].

Caractéristiques

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Lycée général et technologique

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Articles détaillés :Lycée général,Baccalauréat général,Lycée technologique etBaccalauréat technologique.

Lelycée général ettechnologique prépare aux baccalauréatsgénéral ettechnologique.

Seconde générale et technologique

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Article détaillé :Seconde générale et technologique.

La classe deseconde générale et technologique est dite indifférenciée : indépendamment de la filière à laquelle ils se destinent, les élèves suivent le même enseignement de tronc commun, qui est composé des matières suivantes :

MatièreTemps par semaine
Français4h
Mathématiques4h
Langue vivante A (ou 1)3h
Langue vivante B (ou 2)2h30
Physique - Chimie3h (dont 1h30 de travaux pratiques)
Sciences de la vie et de la Terre1h30
Histoire - Géographie3h
Enseignement moral et civique30 min
Sciences économiques et sociales1h30
Sciences numériques et technologiques1h30
Education physique et sportive2h

Les élèves bénéficient également d'environ 2h par semaine d'accompagnement personnalisé dans certaines matières (souvent en mathématiques et en français, ainsi que dans deux autres matières). Le professeur peut constituer plusieurs groupes, par exemple en fonction de leur niveau, auxquels il fera cours de manière alternée.


Les élèves peuvent compléter ce tronc commun s'ils le souhaitent par des enseignements optionnels généraux ou technologiques :


Les élèves peuvent également postuler pour entrer dans plusieurs sections. Il existe tout d'abord la section européenne, renforçant l'enseignement linguistique, par exemple en anglais ou en allemand. Les élèves peuvent profiter d'une heure supplémentaire d'enseignement de la langue concernée, ainsi que l'étude d'une autre matière dans cette langue, telle que l'Histoire - Géographie ou la SVT.

Il existe également la section orientale pour les langues éponymes, elle suit le même fonctionnement que la section européenne.

Ces deux options donnent lieu à une épreuve orale au baccalauréat, permettant d'obtenir la mention "section européenne/orientale + langue étudiée".

Les élèves intéressés par les arts peuvent suivre la section éponyme, ils bénéficient de deux heures d'arts plastiques ainsi que d'une heure d'histoire des arts.

Ces options sont poursuivies jusqu'en terminale.


À la fin de l'année de seconde, l'élève choisit de continuer en voie générale ou en voie technologique.

Lycée général

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Articles détaillés :Lycée général etBaccalauréat général.
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Première générale
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Article détaillé :Première générale.

À son entrée enpremière, l'élève dispose d'un tronc commun auquel s'ajoutent trois enseignements de spécialité qu'il a choisis. À ces enseignements peuvent s'ajouter des enseignements optionnels. 3 enseignements de spécialité au choix parmi :

  • Arts : Arts du cirqueou Arts plastiquesou Cinéma-audiovisuelou Danseou Histoire des artsou Musiqueou Théâtre
  • Biologie-écologie (uniquement dans leslycée d'enseignement général et technologique agricole)
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques
  • Humanités, littérature et philosophie
  • Langues, littératures et cultures étrangères : Allemandou Anglaisou Espagnolou Italien
  • Littérature et Langues et cultures de l'Antiquité : Grecou Latinou Enseignement commun en langues anciennes (ECLA)
  • Mathématiques
  • Numérique et sciences informatiques
  • Physique-chimie
  • Sciences de la vie et de la Terre
  • Sciences de l'ingénieur
  • Sciences économiques et sociales

1 enseignement optionnel au choix parmi :

Terminale générale
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Article détaillé :Terminale générale.

La classe determinale est celle du baccalauréat. L'élève dispose d'un tronc commun auquel s'ajoutent 2 des 3 enseignements de spécialité choisis en première. À ces enseignements peuvent s'ajouter des enseignements optionnels : 2 enseignements de spécialité au choix parmi :

  • Arts : Arts du cirqueou Arts plastiquesou Cinéma-audiovisuelou Danseou Histoire des artsou Musiqueou Théâtre
  • Biologie-écologie (uniquement dans leslycée d'enseignement général et technologique agricole)
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques
  • Humanités, littérature et philosophie
  • Langues, littératures et cultures étrangères : Allemandou Anglaisou Espagnolou Italien
  • Littérature et Langues et cultures de l'Antiquité : Grecou Latinou Enseignement commun en langues anciennes (ECLA)
  • Mathématiques
  • Numérique et sciences informatiques
  • Physique-chimie (avec 2 h en plus de physique-chimie)
  • Sciences de la vie et de la Terre
  • Sciences de l'ingénieur
  • Sciences économiques et sociales

Un premier enseignement optionnel au choix parmi :

  • Mathématiques complémentaires (pour les élèves n'ayant pas choisi la spécialité Mathématiques en terminale)
  • Mathématiques expertes (pour les élèves ayant choisi la spécialité Mathématiques en terminale)
  • Droits et grands enjeux du monde contemporain

Un deuxième enseignement optionnel au choix parmi :

Au terme de ces trois années, l'élève obtient unbaccalauréat général annoté des deux spécialités suivies en terminale.

Lycée technologique

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Articles détaillés :Lycée technologique etBaccalauréat technologique.
Première technologique
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Pour accéder aux sériesSciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration etTechniques de la musique et de la danse, l'élève doit effectuer une classe de seconde spécifique indépendante de la classe générale et technologique. La classe de première technologique s'organise comme son homologue générale. Les élèves suivent un tronc commun auquel s'ajoutent 3 enseignements de spécialité. Ils peuvent également compléter leur formation par des enseignements optionnels. La seule différence est le choix des enseignements de spécialité. Contrairement à la voie générale, ils sont directement déterminés par la série choisie. L'élève ne choisit donc pas ses enseignements de spécialité mais la série dans laquelle il veut évoluer. Pour certaines séries, des enseignements spécifiques sont au choix de l'élève. La série TMD n'est pour l'instant pas encore concernée par la réformeBlanquer, elle possède donc de dispositions spéciales. Séries technologiques proposées :

Pour chaque série, peut être choisi un enseignement optionnel au choix parmi :

  • Arts : Arts plastiquesou Cinéma-audiovisuelou Danseou Histoire des artsou Musiqueou Théâtre (sauf STAV et juste Arts plastiques pour TMD)
  • Éducation/Pratiques physique et sportive (sauf TMD)
  • Langue vivante C (uniquement STAV et STHR)
  • Hippologie et équitation (uniquement STAV)
  • Pratiques sociales et culturelles (uniquement STAV)
  • Pratiques professionnelles (uniquement STAV)
  • Harmonieou solfègeou chorégraphie (uniquement TMD)
Terminale technologique
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La classe de terminale technologique s'organise comme son homologue générale. Les élèves suivent un tronc commun auquel s'ajoutent 2 enseignements de spécialité. Ils peuvent également compléter leur formation par des enseignements optionnels. De la même manière que la classe de première, les enseignements de spécialité sont définis par la série choisie. Pour certaines séries, des enseignements spécifiques sont au choix de l'élève. La série TMD n'est pour l'instant pas encore concernée par la réformeBlanquer, elle possède donc de dispositions spéciales. Séries technologiques proposées :

Pour chaque série, peut être choisi un enseignement optionnel au choix parmi :

  • Arts : Arts plastiquesou Cinéma-audiovisuelou Danseou Histoire des artsou Musiqueou Théâtre (sauf STAV et juste Arts plastiques pour TMD)
  • Éducation/Pratiques physique et sportive (sauf TMD)
  • Langue vivante C (uniquement STAV et STHR)
  • Hippologie et équitation (uniquement STAV)
  • Pratiques sociales et culturelles (uniquement STAV)
  • Pratiques professionnelles (uniquement STAV)
  • Harmonieou solfègeou chorégraphie (uniquement TMD)

Au terme de ces trois années, l'élève obtient unbaccalauréat technologique de la série choisie (STAV-STD2A-STHR-STI2D-STL-STMG-ST2S-TMD).

Lycée professionnel

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Article détaillé :Lycée professionnel.
Lycée professionnel agricole de La Cardinière àChambéry.

La voie professionnelle est la troisième possibilité offerte après le collège. L'enseignement est dispensé enlycée professionnel (LP) et débouche sur unCertificat d'aptitude professionnelle (CAP), unbac professionnel en trois ans, un brevet technique (BT) voire unbac technologique (qui se faisait par le biais d'une classe depremière d'adaptation maintenant supprimée). Lebrevet d'études professionnelles (BEP) est un diplôme intermédiaire, obtenu avec la validation de la première de baccalauréat professionnel[28].

En général, les lycées professionnels regroupent des sections cohérentes entre elles au niveau des formations. Ainsi, certains lycées professionnels concentrent des sections tertiaires, d'autres des sections industrielles, etc.

Leslycées des métiers sont des établissements dont l'identité et la formation sont construites autour d'un ensemble cohérent de métiers. Ces lycées s'engagent à se conformer pendant cinq ans renouvelables à uncahier des charges.

Filières d'enseignement supérieur

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Certains lycées comprennent aussi dessections de techniciens supérieurs ; desclasses préparatoires aux grandes écoles ; des classes préparant audiplôme de comptabilité et de gestion[29].

En tant qu’établissement

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Il existe environ 4 300 lycées en France (dont 1 700 professionnels).

Lycées publics

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Article détaillé :Établissement public local d'enseignement.
Lycée général et technologique deBoulogne-sur-Mer.

Les lycées publics sont des établissements de type EPLE. Les bâtiments appartiennent à larégion, qui assure l'entretien, le fonctionnement, la restauration scolaire, l'internat, ainsi que la maintenance informatique. Le budget lycées des régions représente chaque année 5 milliards d'euros. De nouveaux établissements voient le jour, en particulier en région Occitanie, du fait du développement démographique croissant.

L’équipe de direction du lycée est constituée duproviseur, d'un ou plusieurs adjoints pédagogiques, ainsi qu'un adjoint gestionnaire. Ce dernier pouvant également être à la fois adjoint gestionnaire etagent comptable. On parlera alors de gestionnaire-comptable. Elle est complétée le cas échéant d'un chef de travaux pour le pilotage des enseignements technologiques et professionnels. Leconseil d’administration est composé de30 membres et règle les affaires de l’établissement (projet, budget…)[30].

Leslycées agricoles (218 en France), ou, pour les établissements publics, établissements publics locaux d’enseignement et de formation professionnelle agricoles (EPLEFPA), dépendent duministère de l'Agriculture. Au niveau régional, laDirection régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt est responsable de l’enseignement agricole public. Ce service est l’équivalent du rectorat de l’Éducation nationale[31].

Leslycées professionnels maritimes (12 en France) dépendent duministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie. Au niveau inter régional, laDirection inter régionale de la mer est responsable de l’enseignement maritime public.

Il existe en France sixlycées de la Défense, autrefois nommés « lycées militaires », répartis entre les trois armées. Réservés prioritairement aux enfants de militaires dans le but de leur offrir une scolarité stable et de haut niveau, ils accueillent, chaque année, environ 4 000 élèves en internat, de la classe de6e jusqu’auxclasses préparatoires militaires.

La démocratisation de l'enseignement secondaire s'est appuyée sur un accroissement considérable des ressources allouées à cet enseignement. La dépense a crû de 5 % par an de 1987 à 1993, soit cinq fois plus vite que dans les périodes antérieures et postérieures[32]. Le coût annuel moyen d'un lycéen est d'environ 10 000 euros, et les dépenses ont augmenté de 50 % entre 1990 et 2004[33].

Lycées privés

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Article connexe :Enseignement privé en France.
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Statistiques

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Évolution du nombre d’établissements du second degré
(France métropolitaine + DOM)[34]
1960-61[N 1]1970-711980-811990-912000-012001-022002-032003-042004-052005-062006-072007-082008-09
Public
Collèges3 3724 1434 8915 0195 1285 1395 1685 1835 2005 2205 2385 2475 260
Lycées pro.9061 1501 3531 3621 1081 0961 0831 0721 0611 0501 0431 0271 012
Lycées généraux et technologiques1 2031 1711 1341 2941 5131 5271 5311 5381 5451 5511 5541 5631 567
EREA82808080808080808080
Total Public5 4816 4647 3787 7577 8297 8427 8627 8737 8867 9017 9157 9177 919
Privé
Collèges1 8101 2941 7571 8141 8081 8021 8031 8041 7881 7901 7731 7781 771
Lycées Pro.1 3001 642978809647650647644641658653660660
Lycées généraux et technologiques1 8991 6761 1941 2901 1021 0941 0771 0821 0691 0741 0691 0631 063
Total Privé5 0094 6123 9293 9133 5573 5463 5273 5303 4983 5223 4953 5013 494
Total Public + Privé10 49011 07611 30711 67011 38611 38811 38911 40311 38411 42311 41011 41811 413

Palmarès des lycées d'enseignement général et technologique

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Les différents classements d'établissements publiés par les médias utilisent les taux de réussite et/ou de mentions au baccalauréat publiés par le ministère de l'Éducation nationale[35] ainsi que sur des indicateurs propres.

L'Étudiant

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L'Étudiant publie en 2023 un classement qui s'appuie sur le taux de réussite au bac, la capacité à faire progresser les élèves, l'indice de stabilité (à compter de l'admission en première), le taux de mention au bac, la valeur ajoutée du taux de mention. Les dix meilleurs établissements français sont[36] :

Le palmarèsL'Étudiant 2023 des meilleurs lycées
Nom du lycéeVille
1Lycée Louise-WeissSainte-Marie-aux-Mines
2Lycée Notre-DamePeltre
3Lycée Erea-Toulouse-LautrecVaucresson
4Lycée Germaine-TillionLe Bourget
5Lycée MontgeraldLe Marin
6Lycée La ProvidenceBlois
7Lycée international Lucie-AubracPantin
8Lycée hôtelier international de LilleLille
9Lycée Jean-Paul-De-Rocca-SerraPorto Vecchio
10École Lucien-de-HirschParis19e

Le Figaro Étudiant

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Le Figaro Étudiant publie en 2023 un classement qui s'appuie sur le taux de réussite au bac, le taux de mentions, la capacité de l'établissement de conserver ses élèves de la classe de seconde jusqu'au bac, et un indicateur original de valeur ajoutée. Les dix meilleurs établissements français sont[37] :

Le palmarèsLe Figaro 2023 des meilleurs lycées
Nom du lycéeVille
1Lycée Louis-le-GrandParis5e
2Lycée StanislasParis6e
3Lycée Henri-IVParis5e
4Lycée Bossuet-Notre-DameParis10e
5Lycée Saint-Jean-de-PassyParis16e
6École Jeannine-ManuelParis15e
7Lycée Henri-MatisseMontreuil
8Lycée général privé Notre-Dame-de-FranceParis13e
8 ex aequoLycée L'AlmaParis7e
10Lycée FénelonParis8e

Les deux premiers établissements du classementLe Figaro Étudiant n'appartenant pas à l'Île-de-France sont classés respectivement quatorzième et dix-neuvième. Ce sont[38] :

Le palmarèsLe Figaro 2023 des meilleurs lycées (hors région parisienne)
Nom du lycéeVille
14Lycée de l'École supérieure des arts appliqués et du textileRoubaix
19Ecole Collège LycéeLandser

Le Parisien

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Le Parisien - Aujourd'hui en France publie en 2023 un classement dont il ne précise pas tous les critères, tout en indiquant qu'il s'appuie en partie sur les indicateurs IVAL. Les dix meilleurs établissements français sont[39] :

Le palmarèsLe Parisien 2023 des meilleurs lycées
Nom du lycéeVille
1Lycée ThiersMarseille
2Charles de FoucauldParis 18e
3Lycée Hélène-BoucherParis20e
4Lycée CharlemagneParis4e
5Lycée Louis-le-GrandParis5e
6Lycée Albert-ChâteletDouai
7Lycée VaugelasChambéry
8Lycée Claude-MonetParis13e
9Lycée Pierre-Marie-ThéasMontauban
10Lycée Victor-HugoParis13e

Par département

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Voir aussi :Lycées en Alsace,Lycées de Saint-Étienne etLycées de Strasbourg.

Notes et références

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Notes

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  1. Données France métropolitaine, hors DOM.

Références

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  1. a etb« REPÈRES RÉFÉRENCES STATISTIQUES sur les enseignements, la formation et la recherche », surmedia.education.gouv.fr(consulté le)
  2. Lykeios renvoie aussi bien à un souvenir « oriental » (la Lycie) qu'à l'idée de lumière (cf. latin lux, luna) ou au nom qui en grec désigne le loup : Ð lÚkoj. Apollon devient ainsi « dieu-au-loup », « tueur de loups », mais aussi « dieu-loup ».Académie de Nancy
  3. chargé de maintenir le bon ordre et la discipline, équivalent d'un actuelConseiller principal d'éducation
  4. Loi générale sur l'instruction publique du 1er mai 1802 (11 Floréal An X),(lire en ligne)
  5. Arrette qui ordonne l'établissement d'un lycée à Mayence - de 24 vendémiaire an 11, sur Recueil des loix de la République française et des actes des autorités constituées, depuis le Régime constitutionnel de l'an VIII : servant de suite au Recueil des loix, proclamations, arrêtés, etc. émanés depuis… le 21 Messidor, l'an 2 de la Républ, tome 10
  6. Louis Secondy (1934-2021), Jean Coubès (col.) et Étienne Verley (col.) (préf. Rémy Chastel (1927-2002),ill. Gabriel Mutte),Histoire du Lycée de Montpellier : de l’ancien Collège des jésuites à la Citadelle, 1630-1988, Montpellier, Les Presses du Languedoc / Max Chaleil,, 350 p., 24 cm(ISBN 2-85998-055-5 et9782859980559,OCLC 462642883,BNF 35007909,SUDOC 001433350,présentation en ligne).
  7. Texte surWikisource.
  8. A. Prost, « Des lycées pour les filles », dans Id.,Regards historiques sur l'éducation en France (XIXe – XXe siècles),p. 113-116.
  9. FerdinandBuisson,Lycées et collèges,coll. « Dictionnaire de pédagogie »,(lire en ligne)
  10. A quoi sert le baccalauréat ? : La réforme de 1902, Sénat, 2007-2008(lire en ligne)
  11. Jean-Michel Chapoulie,Les professeurs de l'enseignement secondaire : Un métier de classe moyenne, page 3.
  12. A. Léon, P. Roche,Histoire de l'enseignement en France,p. 110.
  13. Éric Maurin,La nouvelle question scolaire, Seuil, 2007,p. 132
  14. Éric Maurin,p. 133
  15. HenriAron, « La réforme des lycées : grandes ambitions ou grands renoncements ? Regard sur les propositions du Conseil national des programmes »,Raison présente,vol. 98,no 1,‎,p. 93–104(DOI 10.3406/raipr.1991.2933,lire en ligne, consulté le)
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  25. https://www.afae.fr/wp-content/uploads/2017/02/L_AP_transgression_incertitude.pdf
  26. CamilleGiraudon, « "Une école pour chacun" ? L'autonomie enseignante face à l'injonction à la personnalisation. Enquête ethnographique au sein de trois lycées sur la réforme Chatel »,theses.hal.science, Université de Rennes 1,‎(lire en ligne, consulté le)
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  29. « Classes préparant au diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) dont le fonctionnement est autorisé pour l'année universitaire 2011-2012 », surenseignementsup-recherche.gouv.fr
  30. « Les collèges et les lycées (E.P.L.E.) », sureducation.gouv.fr,
  31. educagri.fr
  32. Éric Maurin,p. 134
  33. Source : rapports d'audits consacrés à « La grille horaire des enseignements », cité dans Marie-Estelle Pech, Anne Rovan, « Éducation : la facture flambe, les notes stagnent » dansLe Figaro du 17/10/2006,[lire en ligne]
  34. DanielVitry (dir.),Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche : édition 2009,, 426 p.(ISSN 1635-9089,lire en ligne),p. 41 (2.3 Collèges et lycées : évolution par type d’établissement)
  35. « INDICATEURS DE VALEUR AJOUTÉE DES ÉTABLISSEMENTS », sureducation.gouv.fr (DEPP)
  36. « Classement 2023-2024 des meilleurs lycées (généraux et technologiques) », surL'Etudiant,
  37. « Classement 2023 des meilleurs lycées : Louis le Grand en tête », surLe Figaro Etudiant,
  38. « Classement 2023 des meilleurs lycées: liste détaillée », surLe Figaro Etudiant
  39. « Palmarès des lycées 2023 : comment Marseille a raflé la première place », surLe Parisien,

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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