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Lycée Jules-Ferry (Paris)

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Pour les articles homonymes, voirLycée Jules-Ferry.

Lycée Jules-Ferry

Histoire et statut
Fondation (décret de création)
(première rentrée scolaire)
TypeÉtablissement public local d'enseignement (EPLE)
Cité scolaire
Administration
AcadémieParis
ProviseurChristel Boury
Études
Population scolaire1500
Étudiants765 et 734
Enseignants150
FormationCollège,Lycée,Classes préparatoires littéraires
Langue(s) des coursAnglais,Russe,Allemand,Espagnol,Italien.
Localisation
VilleParis
PaysFrance
Site weblyc-jules-ferry.scola.ac-paris.fr
Données clés
Coordonnées48° 53′ 03″ nord, 2° 19′ 48″ est
Géolocalisation sur la carte :Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Lycée Jules-Ferry (Paris)

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Lelycée Jules-Ferry est un établissement public de l'enseignement du second degré français, situé au 77 duboulevard de Clichy, dans le9e arrondissement de Paris.

Ouvert en 1913 commelycée de jeunes filles, le lycée Jules-Ferry est emblématique de l'architecture scolaire de laTroisième République et empreint des principes hygiénistes qui ont présidé à sa conception. Il accueille entre 1917 et 1923 la première classe préparatoire à l'École centrale des arts et manufactures pour jeunes filles de France. Après 1945, il eut pour annexes les actuelslycée Honoré-de-Balzac (1948-1955) etcollège Stéphane-Mallarmé (1959-1964). Comme beaucoup de lycées, il accueille un jardin d'enfants (ou11e), des classes préparatoires (10e-9e) et élémentaires (8e-7e), fermés entre1936 et1957. Les premiers garçons sont admis dans lesclasses préparatoires aux grandes écoles au cours des années 1960. Le premier cycle secondaire devient mixte à la rentrée1975 et le second à la rentrée1980.

Cité scolaire mixte non partitionnée, le lycée Jules-Ferry comprend uncollège, unlycée et desclasses préparatoires littéraires.

Histoire

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Avant le lycée (1869-1912)

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En1869, la congrégation des Dames Zélatrices de la Sainte-Eucharistie achète un terrain situé à l'angle de l'actuelboulevard de Clichy et de larue de Douai ; elle y bâtit un couvent et une chapelle.

En1901, la congrégation est dissoute en vertu des dispositions de laloi sur les associations puis, expropriée en vertu des dispositions de laloi de 1904 sur les congrégations enseignantes. Les premières ébauches du projet de lycée remontent à1906 ; ce projet est ajourné plusieurs fois en raison de la crise des inventaires, consécutive à l'application de laloi de séparation des Églises et de l'État (1905).

Laissée à l’abandon, la chapelle du couvent a servi de cinéma que fréquentaPablo Picasso[1].

La première pierre est posée en mai1912. Les plans sont l'œuvre dePierre Paquet, architecte en chef des monuments historiques et ancien architecte diocésain.Camille Boignard réalise les frises peintes qui donnent leurs noms aux salles de classe et qui décorent circulations et bureaux. L'entreprise d'Émile Robert réalise quant à elle la ferronnerie d'art. À son ouverture, le lycée associe de nouveaux bâtiments, construits en forme de V le long de la rue de Douai et du boulevard de Clichy, et un corps de l'ancien couvent.

Les débuts d'un lycée parisien de jeunes filles (1913-1930)

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Le lycée dans les années 1910.

Les premiers temps (1913-1914)

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Le lycée ouvre ses portes le avec 327 élèves. Il est inauguré le parLouis Barthou, président du Conseil et ministre de l'Instruction publique,Louis Liard, vice-recteur de l'académie de Paris,Lucien Poincaré, directeur de l'enseignement secondaire auministère de l'Instruction publique etMmeJules Ferry.

Dès1914, avec la collaboration de professeurs dulycée Carnot, une préparation aubaccalauréat C (latin-langues) est organisée pour les jeunes filles qui le désirent, même si la sanction officielle de l'enseignement secondaire des jeunes filles demeure jusqu'en1924 lediplôme de fin d'études secondaires, qui ne permet pas de poursuivre des études supérieures à l'université.

La Première Guerre mondiale (1914-1918)

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Même si le lycée n'est pas réquisitionné par l'armée, la vie quotidienne est modifiée par le déclenchement de laPremière Guerre mondiale : des œuvres sociales sont créées, des vêtements produits en couture sont envoyés au front ; les matières premières sont financées par les collectes de fonds des élèves dulycée Condorcet et dulycée Voltaire.Anne Amieux, la directrice, organise des enseignements qui visent à permettre aux lycéennes d'aider leurs familles à subvenir à leurs besoins, alors que les pères, les époux et les frères tombent au front.

Malgré la guerre, le lycée est agrandi à deux reprises : l'aile donnant sur la rue de Douai est construite en deux tranches, en 1914-1916 et 1917-1919.

En1917, Anne Amieux obtient la création d'une classe préparatoire à l'École centrale des arts et manufactures, la première de France pour les jeunes filles. Des professeurs-hommes des lycéesCondorcet,Henri-IV,Buffon etRollin assurent les cours, avec l'aide deGeorges Fontené, mathématicien de renom et inspecteur général de l'Instruction publique. Un internat privé dirigé par la directrice est ouvert pour accueillir les candidates, rue Nollet (17e). Au concours 1918, six candidates sont admises, dontSébastienne Guyot qui poursuivra pendant l'Entre-deux-guerres une carrière d'ingénieure aéronautique et de sportive de haut niveau.

En1919, les lycéennes organisent une collecte pour offrir un bouquet de fleurs àGeorges Clemenceau, victime d'une tentative d'attentat ; la collecte est telle qu'elles lui remettent un stylogramme d'or, utilisé pour signer le traité de paix à laconférence pour la paix de Versailles[2].

Retour à la vie normale (1919-1930)

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En 1923, la classe préparatoire àInstitut agronomique, à l'École de physique et de chimie de la ville de Paris, à laManufacture nationale de Sèvres et les jeunes filles sont admises à suivre ces cursus dans les lycées de garçons.Anne Amieux, la directrice, considérait que la formation de femmes ingénieures était un devoir patriotique : il s'agissait de former les cadres qui remplaceraient temporairement les hommes pendant les classes creuses engendrées par laPremière Guerre mondiale.

Afin d'accueillir les nouvelles élèves, toujours plus nombreuses, des bâtiments provisoires en bois sont érigés dans lesannées 1920 afin d'augmenter le nombre de classes ; malgré ces aménagements de fortune, les locaux sont surchargés pendant une grande partie de l'Entre-deux-guerres.

Du lycée d'élite à la démocratisation (1930-1975)

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La fin de l'Entre-deux-guerres (1930-1939)

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En 1928, l'établissement compte 1 120 élèves et les locaux provisoires édifiés pendant les années 1920 ne suffisent plus pour répondre aux demandes d'inscription. Des travaux sont entrepris en 1931 grâce au crédit de 15 millions defrancs alloué par leParlement dans le cadre du2e plan d'outillage national décidé par le gouvernement pour relancer l'économie française, gravement atteinte par la crise économique. Les travaux durent cinq ans : le corps de l'ancien couvent est détruit et l'établissement est achevé, prenant la forme d'un losange. La coupole en briques de verre etciment armé qui coiffe la salle polyvalente est achevée en 1934. Elle présente la particularité de n'être que posée sur un joint de caoutchouc qui se dilate et se rétracte selon la température pour prévenir les fissures. La grande horloge du beffroi qui surplombe la coupole est l'œuvre du ferronnier d'art hongroisAldabert Szabo. Le gymnase, bâti sur un toit-terrasse, est construit en1935.

À partir de la rentrée1930, la gratuité des études est instaurée en commençant par la sixième dans l'enseignement secondaire. La clientèle jusque-là composée de jeunes filles appartenant essentiellement aux classes supérieures de la société s'ouvrent à celles des classes intermédiaires et, dans une bien moindre mesure, des classes modestes. Ainsi, la proportion de filles d'employés parmi les nouvelles élèves inscrites passe de 14,2 à 22 % entre 1930 et 1935[3].

La Seconde Guerre mondiale (1939-1945)

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Au début de laSeconde Guerre mondiale, les classes enfantine et primaires sont fermées et les autres transférées provisoirement aulycée Carnot. À la rentrée1940, l'établissement rouvre en entier et deux professeurs sont révoquées en application de laloi du 18 octobre 1940 sur le statut des Juifs. Un comité de résistance s'organise progressivement avec des professeures de toutes tendances politiques :Cécile Angrand (Philosophie),Jeanne Gaillard (Histoire-Géographie) sont membres duFront national universitaire (proche duParti communiste) etGeorgette Sers (Histoire-Géographie) aurait appartenu à un réseau gaulliste. En1944, le comité de résistance compterait une douzaine de professeures.

Sur les 103 élèves répertoriées par l'administration comme étant de confession juive en 1941[4], 25 sont arrêtées puis déportées en juillet 1942 lors de larafle du Vélodrome d'Hiver. Une plaque commémorative a été apposée en leur mémoire en2009[5].

Après lalibération, trois professeures sont déférées devant le Comité académique d'épuration deParis ; la procédure n'aboutit à aucune sanction pour deux d'entre elles, soupçonnées "d'attitude anti-alliée" mais la troisième, professeure d'histoire en classes préparatoires, est déplacée d'office dans un autre département.

L'après-guerre (1945-1975)

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À partir de1941, date de la nationalisation desécoles primaires supérieures et de leur érection en collèges, les effectifs de l'enseignement secondaire croissent beaucoup. Le lycée avait d'ailleurs ouvert pendant la guerre des classes desixième annexe à l'école primaire élémentaire de jeunes filles de larue Antoinette (18e) et rue des Poissonniers (18e). Entre 1941 et 1958, le nombre d'élèves accueillies par le lycée passe de 1492 à 2290. Afin de réduire les effectifs, une première annexe est créée en 1948 sur leboulevard Bessières[6] ; elle devient indépendante en1955 sous le nom delycée Honoré-de-Balzac, une fois les bâtiments achevés. En1958, une deuxième annexe est ouverterue de la Jonquière (17e) ; elle devient indépendante en 1964 sous le nom delycée Stéphane Mallarmé, ultérieurement transformé en collège.

Enmai 1968, des lycéennes participent aux mouvements sociaux et l'activité politique est soutenue et surveillée par l'administration, sans qu'aucun incident n'ait lieu.

Aux élections des représentants du personnel au conseil d'administration de 1969, la liste duSyndicat national des enseignements de second degré (SNES) reste majoritaire malgré la constitution parmi les professeurs d'un groupe autonome. De nombreux changements sont décidés : le port du pantalon est autorisé pour les jeunes filles, unfoyer socio-éducatif est créé, les compositions trimestrielles supprimées, les notes chiffrées remplacées par une gamme de cinq appréciations (très satisfaisant, satisfaisant, moyen, insuffisant, très insuffisant), tandis que sanctions et distinctions sont supprimées dans le second cycle et les classes préparatoires. La notation par lettres est vite abandonnée entroisième, enpremière et enterminale en raison des formalités liées aux examens et à l'entrée dans l'enseignement supérieur ; elle est définitivement rétablie à tous les niveaux en1977 avec l'approbation de 85 % des professeurs.

Le lycée dans le temps présent (1975 à nos jours)

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L'arrivée des garçons (1975-1983)

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En1957, les dernières classes primaires sont fermées. La partition du collège et du lycée, prévue par l'application de laloi Haby, est combattue par les personnels et parents d'élèves à partir de 1974 ; ils sont soutenus parLouis Baillot[7], député communiste du18e arrondissement et obtiennent définitivement gain de cause en1979.

Entre1975 et1979, les classes du collège deviennent progressivement mixtes, en commençant par lasixième. À la rentrée 1979, les garçons représentent moins d'un quart des effectifs ; à la rentrée1980, le lycée devient mixte à son tour en commençant par la classe deseconde. Des garçons étaient déjà présents dès l'Entre-deux-guerres dans les classes enfantines et dès les années 1960 dans les classes préparatoires.

Dans le temps présent (1983 à nos jours)

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En1986, le mouvement contre leprojet de loi Devaquet suscite un important mouvement social[8], le lycée est occupé et lance un appel à la coordination lycéenne.

L'établissement est rénové entre1986 et1991 puis restructuré entre1996 et2002[9] ; la surélévation sur larue de Douai est bâtie à cette occasion.

En2013, le lycée Jules-Ferry célèbre son centenaire ; une cérémonie est organisée pour le100e anniversaire de la première rentrée scolaire, le1er octobre, en présence deGeorge Pau-Langevin, ministre déléguée auprès duministre de l'Éducation nationale, chargée de la réussite éducative[10]. L'établissement participe auxjournées européennes du patrimoine 2013, à laNuit blanche et à lafête de la musique 2014.

Depuis, l'établissement est inscrit en totalité au titre desmonuments historiques[11],[12] et reçoit lelabel « Patrimoine duXXe siècle ».

Évolution des effectifs

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Effectif au début de l'année scolaire1913192019301941195019581960196419701980199020002010
Lycée Jules-Ferry

77 boulevard de Clichy (9e)

3271275121114921680229021592021????~1500
Annexe Bessières (1948-1958)

118 boulevard Bessières (17e)

3052283Lycée Honoré-de-Balzac (1958-...)
Annexe Jonquière (1959-1964)

29 rue de la Jonquière (17e)

9891417Lycée, puis collège Stéphane Mallarmé (1964-...)
TOTAL3271275121114921985457331483438

Directrices (1913-1975) et proviseurs (1975 à nos jours)

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DébutFinChef d'établissementObservations
19131919Anne AmieuxEn 1917, nommée membre de la commission extraparlementaire chargée d'examiner les modifications à apporter à l'organisation des études et aux sanctions de l'enseignement secondaire public des jeunes filles[13]. Nommée directrice de l'École normale supérieure de jeunes filles (Sèvres) en 1919.
19191922Marguerite CaronPrécédemment directrice dulycée Lamartine. Nommée directrice dulycée Fénelon en 1922.
19221934Anna CaronPrécédemment directrice dulycée de jeunes filles de Nantes.
19341941Jeanne MarquignyMise à la retraite par lerégime de Vichy en raison de ses origines polonaises, réintégrée en1945.
19411948Albertine BottreauPrécédemment directrice du lycée de jeunes filles de Strasbourg.
19481950Marcelle Jayles
19501957Jeanne Goupil
19571966Geneviève Souquès
19661972Mme Mortessagne
19721975Odette BarenneDernier chef d'établissement à porter le titre de directrice.
19751981Mme Coti-RoberdetConduit l'instauration de la mixité, premier chef d'établissement à porter le titre deproviseur.
19811987M. LienhartPremier homme nommé à la tête de l'établissement.
19871991Roger-François Bansard
19912000Jacqueline Bierer
20002009Marie-Ange HenrySecrétaire duSNPDEN de l'académie de Paris. En 2003, auditionnée par la mission d'information de l'Assemblée nationale sur la question du port des signes religieux à l'École[14].
20092017Annick Fourno
2017Christel Boury

Inscription au titre des monuments historiques

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Le préfet de Paris et de la région Île-de-France, [...]

Considérant que le lycée Jules Ferry, œuvre de l'architecte Pierre Paquet en collaboration avec le peintre-décorateur Camille Boignard et l'entreprise de ferronnerie d'art d'Émile Robert, présente au point de vue de l'histoire de l'art un intérêt et des qualités suffisantes pour en rendre désirable la préservation, tant par son architecture à la fois fidèle aux critères de la Troisième République et témoin des premières audaces de la modernité, que par son décor intérieur, sa technique de construction (système Cottancin), son unité de programme et qu'il représente un jalon dans l'architecture scolaire duXXe siècle ;

Arrête :

Article1er - Est inscrit au titre des monuments historiques, en totalité, le lycée Jules Ferry, sis 77 boulevard de Clichy et 62-66 rue de Douai, à Paris (9e arrondissement), y compris le sol de la parcelle et à l'exception de la surélévation contemporaine du pavillon donnant sur le 62 de la rue de Douai [...][11]

Classements

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Classement du lycée

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En 2017, le lycée se classe83e sur 112 au niveau départemental quant à la qualité d'enseignement, et 1221e sur 2277 au niveau national[15]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et lavaleur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[16].

Classes préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE)

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Le lycée accueille une classe préparatoire littéraire en filièreENS Lyon. Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans lesgrandes écoles. En 2015,L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2014 :

FilièreÉlèves admis dans
unegrande école*
Taux
d'admission*
Taux moyen
sur 5 ans
Classement
national
Évolution
sur un an
Khâgne LSH[17]1 / 85 élèves1 %3 %35e
sur 73
en diminution 5
Source : Classement 2015 des prépas -L'Étudiant(Concours de 2014).
* le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. Par exemple, en filièreECE etECS,
ce sontHEC,ESSEC, et l'ESCP ; enkhâgne, ce sont l'ENSAE, l'ENC, les 3ENS, et 5 écoles de commerce.

Personnalités liées au lycée

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Direction et professeurs

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Voir la catégorie :Enseignant au lycée Jules-Ferry (Paris).

Élèves

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Voir la catégorie :Élève du lycée Jules-Ferry (Paris).

Au cinéma

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Le lycée Jules-Ferry a servi de décor à :

Clips musicaux

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Le lycée Jules-Ferry a servi de décor à :

Accès

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Le lycée est desservi par les lignes de métro2 et13 à la stationPlace de Clichy.

Notes et références

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  1. « À propos du cliché JMC 216 ».
  2. Excelsior,, 5 p.(lire en ligne)
  3. Pierre Porcher,Histoire du lycée Jules-Ferry, des arts domestiques à l'informatique (1913-2013), Paris, Association historique du lycée Jules-Ferry,, 157 p.(ISBN 978-2-7466-6171-4),p. 93
  4. Archives de la ville de Paris, Livre de classe (1941-1943), 1447W W 230.
  5. « Conseil pour la mémoire des enfants juifs déportés »(consulté le)
  6. « Rentrée des classes et inauguration d'une annexe au lycée Jules Ferry », surwww.ina.fr,(consulté le)
  7. « Journal officiel de la République française, débats parlementaires, Assemblée nationale », surarchives.assemblee-nationale.fr,(consulté le)
  8. « Rapport fait au nom de la commission d'enquête sur la préparation, l'organisation, le déroulement et la présentation des événements de novembre et décembre 1986 (p. 126) », sursenat.fr,(consulté le)
  9. « 5 - Discussion budgétaire (Discussion générale). », surparis.fr,(consulté le)
  10. « Discours de George-Pau Langevin, ministre déléguée auprès du ministre de l'Éducation nationale, chargée de la réussite éducative, lors de la cérémonie d'inauguration du centenaire du lycée Jules-Ferry », suryoutube.com,(consulté le)
  11. a etb« Recueil des actes administratifs », surPréfecture de Paris et d'Île-de-France,(consulté le)
  12. « Lycée Jules Ferry », noticeno PA75090008, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  13. « Informations. A l'Instruction publique », surgallica.bnf.fr,(consulté le)
  14. « Rapport fait au nom de la mission d'information sur la question du port des signes religieux à l'École », surassemblee-nationale.fr,(consulté le)
  15. Classement Départemental et National des lycées français sur le site deL'Express.
  16. Pierre Falga,« Palmarès des lycées 2017: notre méthodologie »,L'Express, 22 mars 2017.
  17. Classement 2015 des prépas LSH
  18. Maitron en ligne,(lire en ligne)
  19. a etbMaitron en ligne,(lire en ligne)
  20. Maitron en ligne,(lire en ligne)
  21. a etbMaitron en ligne,(lire en ligne)
  22. Maitron en ligne,(lire en ligne)
  23. Maitron en ligne,(lire en ligne)
  24. Le Figaro,(lire en ligne)
  25. Yves Verneuil, « La Société des agrégées, entre féminisme et esprit de catégorie (1920-1948) »,Histoire de l'éducation,‎,p. 195-224(lire en ligne)
  26. Maitron en ligne,(lire en ligne)
  27. Maud de Belleroche,Le Ballet des crabes, Filipacchi, 1975.
  28. « Anne Chopinet », sur3aljf.free.fr, Association des anciennes et anciens du lycée Jules Ferry,(consulté le).
  29. Loukia Efthymiou,« Le genre des concours »,Clio. Histoire‚ femmes et sociétés, n°18, 2003, p. 91-112.
  30. Benjamin Locoge, « La nouvelle députée du Loiret Caroline Janvier veut être à la hauteur », surLa République du Centre,(consulté le).
  31. Sébastienne, Marie, Henriette Guyot,base de données des médaillés de la Résistance française, Mémoire des hommes, ministère des Armées.
  32. a etbThierry Dugeon, « Diabolo menthe, toujours vert »,Vanity Fair n°48, juillet 2017, pages 90-97.
  33. « biographie de Dominique Lagrou-Sempère », surgala.fr(consulté le)
  34. Armelle Héliot,« Alexis Michalik, le "wonder boy" du théâtre »,Le Figaro, encartLe Figaro et vous, samedi 10 / dimanche 11 octobre 2015, page 41.
  35. Ludivine Bantigny, Aline Benain et Muriel Le Roux (dir.),Printemps d'histoire : la khâgne et le métier d'historien : pour Hélène Rioux, Paris,Perrin,(ISBN 2-262-02263-1), p. 366.
  36. « VIALLE Jane », sursenat.fr, fiche mise à jour le 12 janvier 2021(consulté le).
  37. Benjamin Locoge, « Julie Zenatti et Benjamin Bellecour : leur union fait la force », surParis Match,(consulté le).
  38. « 1963 au lycée Jules Ferry avec Diabolo Menthe », surwww.parisfaitsoncinema.com(consulté le)
  39. « Ciné-club : Mia Hansen-Love », surwww.cineclubdecaen.com(consulté le)
  40. LaurenceHansen-Löve,Cours particulier de philosophie,Belin,, 303 p.(ISBN 978-2-7011-4445-0)
  41. AlloCine, « Seize Printemps »(consulté le)
  42. « Barbara Pravi - Notes pour trop tard (réécriture) x Le malamour »(consulté le)
  43. « LOU & LENNI-KIM | Ce mur qui nous sépare | Miraculous [CLIP OFFICIEL?] »(consulté le)

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrages
Sources imprimées
  • Anatole de Baudot,L'architecture, le passé, le présent, 1916. (p. 149-153)
  • La Science et la Vie - -La France pour rester forte doit protéger la santé de ses citoyens (Article illustré en partie avec le lycée Jules-Ferry, construit l'année précédente)

Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
3e arrondissement
4e arrondissement
5e arrondissement
6e arrondissement
7e arrondissement
8e arrondissement
9e arrondissement
10e arrondissement
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15e arrondissement
16e arrondissement
17e arrondissement
18e arrondissement
  • Lycée Auguste-Renoir
  • Lycée Charles-de-Foucauld
  • Lycée Rabelais
  • Lycée Sinaï
19e arrondissement
20e arrondissement
v ·m
Instances nationales
Instances déconcentrées
Établissements publics
Personnel
Études en France
Nom du
diplôme
(niv.RNCP/
CEC,
sauf (-))
Années
9 et +DE
Médecin

DES
(-)
HDR (-)DESV (-)
+8Doctorat
(8)
DSA
DPEA

(-)
DEC
(-)
+7
+6DE
Dentaire
(-)
DE
Pharmacie
(-)
DFASM
(7)
HMONP
(-)
DE
Vétérinaire
(-)
+5DFASO
DFASP
DEMK
DESF
(7)
Master
(7)
DEA
(7)
DSCG
(7)
DNSEP(7)
DSAA
(-)
CCO
DE IA
DE IPA
(7)
CA (7)
CNSMD(7)
CNSAD
(-)
MSc
MBA
MS
Diplovis
(-)
ENC (-)
ENS (-)
INP
(-)
ENS (-)
IAE (7)
ESC
(-)
EI (7)
ENS (-)
DEFV (7)
+4
+3DFGSM
DFGSO
DFGSP
DFGSMa
(6)
Licence
(6)
LP
BUT
(6)
DEEA
(6)
DCG
(6)
DN
MADE

DNA
(6)
DE I (6)
IFPS
IRFSS
(-)
DNSP
(6)
IRTS
(3-6)
Bachelor
Diplovis (-)
+2BTS
(5)
AL/BL
LSH (-)
ECG
D1
D2
(-)
BC
MP
PC
PSI
PT
MPI
TSI
(-)
Filière, discipline ou spécialité+1L.AS
PASS

(-)
Médecine
Odontologie
Pharmacie
Maïeutique
Kinésithérapie
Arts - Commerce, économie - Droit - Enseignement - Lettres et langues - Sciences humaines - Sciences et technologiePro ou TechnoArchitecteComptabilitéArts
Design
Mode
Paramédical et santéMusique
Danse
Comédie
Social
Sports
Libre
Technique
STSLettresÉconomieScientifique
Université, École délivrant
un diplôme national
ÉcoleÉcole
Privée
École,Lycée
CPGE
Niv 4
Bac
+0
17
Baccalauréat général
Arts, SES, SVT, HGGSP, Humanités,
LCA, LLCE, Maths, PC, NSI, SVT, SI
Terminale générale
Baccalauréat technologique
STAV,ST2S,STD2A,STMG,
S2TMD,STI2D,STHR,STL
Terminale technologique
Baccalauréat professionnel
Alimentaire, Vente, Beauté, Bâtiment,
Santé, Design, Véhicules, Numérique
Terminale professionnelle
BMABPCS5
CS4
CS3
BMBTM
Niv 3
16
Première généralePremière technologiquePremière professionnelleCAP2e année
15
Seconde générale et technologique
Seconde professionnelleCAP1re année
RNCP
Âge
Lycée généralLycée technologiqueLycée professionnelCentre de formation d'apprentis (CFA)
Niv 3
14
Diplôme national du brevet (DNB)
Troisième
DNB etCertificat de formation générale (CFG)
Troisième Prépa-Métiers,SEGPA,ULIS,UPE2A
13QuatrièmeQuatrièmeSEGPA,ULIS,UPE2A
12CinquièmeCinquièmeSEGPA,ULIS,UPE2A
11SixièmeSixièmeSEGPA,ULIS,UPE2A
Collège
Niv 2
10
Cours moyen2e année (CM2)Cours moyen2e annéeULIS,UPE2A (CM2)
9Cours moyen1re année (CM1)Cours moyen1re annéeULIS,UPE2A (CM1)
8Cours élémentaire2e année (CE2)Cours élémentaire2e annéeULIS,UPE2A (CE2)
7Cours élémentaire1re année (CE1)Cours élémentaire1re annéeULIS,UPE2A (CE1)
6Cours préparatoire (CP)Cours préparatoireULIS,UPE2A (CP)
École élémentaire
Niv 1
5
Grande section (GS)
4Moyenne section (MS)
3Petite section (PS)
2Toute petite section (TPS)
École maternelle
RNCP
Âge
Système éducatif en France
v ·m
Économiques et commerciales
Littéraires
1re année
2de année
Scientifiques
1re année
2de année
Liste des classes préparatoires aux grandes écoles
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