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Lucien de Samosate

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Pour les articles homonymes, voirLucien etSamosate.

Lucien de Samosate
Gravure du buste de Lucien de Samosate parWilliam Faithorne (détail)
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
Λουκιανὸς ὁ ΣαμοσατεύςVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
Activités
Autres informations
Maître
Genre artistique
Œuvres principales
Histoires vraies,Dialogue des dieux(d),Dialogues des morts,Dialogues marins(d),Pseudologista‏(d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Lucien de Samosate (engrec ancien :Λουκιανὸς ὁ Σαμοσατεύς /Loukianòs ho Samosateús), né vers 120 et mort après 180, est unrhéteur et auteursatirique originaire deSamosate (Turquie actuelle), principale ville deCommagène, région alors intégrée à laprovince romaine de Syrie, qui écrivait en grec, dans un stylenéo-attique.

Biographie

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Sources

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Comme pour bien d'autresauteurs antiques, notre connaissance de la biographie de Lucien est lacunaire et les informations en notre possession parfois incertaines[1]. Les auteurs antiques, tant grecs que latins, parlent très peu de lui. Toutefois, Lucien a laissé dans ses textes plusieurs passages qui relèvent de l'autobiographie, dans laquelle il se met directement en scène, si bien que son œuvre constitue une source importante pour connaître sa vie[2]. Cependant, il faut voir que ces passages au ton plus personnel ne nous apportent que des éléments dispersés et éclatés, que la critique s'efforce de relier afin de dégager une vue cohérente de sa vie[3]. Il n'en demeure pas moins, qu'il n'est pas simple d'évaluer cette matière et les spécialistes sont partagés sur la place qu'il faut lui accorder[4].

À ces éléments, on peut encore ajouter un court article consacré à Lucien dans laSouda, une encyclopédiebyzantine duXe siècle[2],[5],[6]. On précisera encore que Lucien n'a pas été retenu parPhilostrate dans sesVies des sophistes, et qu'il n'a en outre pas été reconnu comme unphilosophe par ceux qui portaient cette appellation[7].

Vie

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Formation

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Lucien naquit à Samosate, ville située sur les bords de l'Euphrate et capitale de la Commagène, province de Syrie. Selon laSouda, il est né vers la fin du règne deTrajan (98-117) et il est sans doute mort vers la fin de celui deMarc Aurèle (161-180)[8]. Samosate était une ville sur la route entre l'Asie Mineure et l'Inde, annexée à l'Empire romain par l'empereurVespasien. Dans cette ville florissante, on parlait beaucoup de langues, et il est bien possible que la langue maternelle de Lucien ait été l'araméen. Il connaissait probablement lelatin sans que cela soit sûr et apprit très jeune legrec. Il devint ainsi finalement« un intellectuel grec, citoyen romain de l'Empire, sans jamais oublier ses origines syriennes »[9].

À l'en croire, il vient d'un milieu modeste et selon l'opusculeLe Songe ou la Vie de Lucien[10], ses parents le destinaient à la profession desculpteur, jugeant cela suffisant pour leur fils. Mais il quitta le maître à qui on l'avait confié, un frère de sa mère, dès son premier jour d'apprentissage, car celui-ci l'avait frappé, Lucien ayant brisé en deux le marbre qu'il devait préparer. Lerêve qu'il fit la nuit suivante le place au centre d'une confrontation entre l'allégorie de laSculpture et celle de l'Instruction (paideia), et Lucien choisit cette dernière[Note 1]. Après cela, Lucien quitta ses parents pour apprendre le grec et suivre les enseignements donnés dans les écoles de rhétorique enIonie[6],[11].

Carrière

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LaSouda nous apprend qu'une fois sa formation terminée, il fut avocat àAntioche entre 162 et 165[12], un travail qui ne semble pas lui avoir plu si bien qu'il commença à voyager dans lesprovinces romaines, de l'Asie Mineure à laGaule[6] (où il se serait considérablement enrichi grâce à ses talents de rhéteur[13] et à l'enseignement de la rhétorique, un poste très bien payé[6]). Il était donc devenu unsophiste itinérant, fonction dont il avait fait son métier[12]. Après quoi, il se rend àAthènes, nouvelle étape qui marque un tournant dans sa carrière en abandonnant la sophistique et devient unpamphlétaire, se spécialisant dans le genre auquel il devra l'essentiel de sa gloire, le dialogue satirique[6]. Enfin, il se fixa enÉgypte, où l'empereurMarc Aurèle lui assigna d'importantes fonctions administratives et judiciaires.

Avant d'arriver aux honneurs, il avait déjà acquis fortune et renom. Ses écrits rencontraient du succès, et il recevait des sommes considérables pour les leçons et lesdéclamations qu'il faisait sur son passage, à la manière des sophistes et des rhéteurs de son temps. Après avoir raconté le songe qui avait déterminé, disait-il, sa vocation littéraire, il termine ce récit par ces mots[14]:

« (...) si je vous ai raconté mon songe, c'est pour que les jeunes gens prennent le meilleur parti et s'adonnent à l'étude, surtout ceux que la pauvreté inspire mal et incline vers le pire et qui sont prêts à gâter un naturel qui n'est pas sans noblesse. Ceux-là, j'en suis sûr, se sentiront encouragés par mon récit, ils se proposeront mon histoire comme un exemple qui s'applique à eux, en considérant de quel point de départ je me suis élancé vers la plus belle carrière et me suis attaché à l'étude, sans me laisser décourager par la pauvreté qui me pressait alors, et quel enfin je suis revenu vers vous, non moins illustre, pour ne rien dire de plus, qu'aucun tailleur de marbre. »

Il mourut probablement àAlexandrie, dans les premières années du règne deCommode[réf. souhaitée].

Œuvre

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Lecorpus comprend 86 textes, bien que plusieurs d'entre eux soientapocryphes. Lesphilologues et les savants sont divisés sur la liste des textes authentiques et apocryphes. Ainsi, les hypercritiques duXIXe siècle classaient un tiers de l'œuvre commepseudépigraphe[15]. Les textes considérés comme douteux sont l'Alcyon, lesAmours, l'Âne ou Loukios, leCharidemus, leCynique, lesLongues Vies, l'Okypous, leTraité sur la danse, l'Éloge de Démosthène,Néron etPhilopatris, leSoléciste[15],[16].

Un ouvrage important écrit en dialecteionien,De Dea Syria (La Déesse syrienne), décrit ce que Lucien savait du culte d'Atargatis à l'époque romaine, dans la ville sacrée d'Hiérapolis de Syrie. D'autre part, Lucieninventa la forme du dialogue humoristique[précision nécessaire], entre le dialogue philosophique et la comédie.

Ses dialogues les plus connus sont lesDialogues des dieux etDialogues des morts. Il a aussi écrit de nombreux dialogues pour ironiser en un style proche descyniques contre les philosophes. Il se moqua des chrétiens et deJésus dansLa Mort de Pérégrinus, en les présentant comme naïfs, idolâtres, séditieux et crédules. Il composa aussi des exercices derhétorique comme des élogesironiques (Éloge de la calvitie — réponse à l'Éloge de la chevelure deDion ChrysostomeÉloge de la mouche, etc.).

Lucien est parfois considéré comme un des pères de l'esprit critique. Loin de s'en prendre aux seuls chrétiens, il démonte toutes sortes d'impostures magico-religieuses et de charlatanisme[17]. Ainsi, dans sonAlexandre, ou le faux prophète, il décrit et explique les pratiques et les tours de passe-passe d'Alexandre d'Abonotique[18].

SonHistoire véritable[19], dans laquelle le personnage voyage sur laLune, est parfois considérée comme une des premières œuvres descience-fiction[20], même s'il s'agit plutôt d'un conte facétieux sans aucune base scientifique.

Liste des textes

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La présente liste est celle qui figure dans la traduction d'Émile Chambry, révisée par Alain Billault et Émeline Marquis et parue chezR. Laffont, coll. « Bouquins » , en 2015. Comme l'indiquent les deux éditeurs, elle se fonde sur le manuscrit de laBibliothèque Vaticane adopté dans les meilleures éditions scientifiques[21] et repris par Émile Chambry ainsi queJacques Bompaire dans son édition publiée par lesBelles Lettres (v. la bibliographie). Billault et Marquis ont écarté les sept textes généralement considérés comme apocryphes soit les six derniers du manuscrit et leno 75 (Sur les danseurs) qui est une œuvre deLibanios[21].

  1. Philaris I
  2. Philaris II
  3. Hippias ou les Bains
  4. Dionysos
  5. Héraclès
  6. De l'ambre ou Des cygnes
  7. Éloge de la mouche
  8. Nigrinos
  9. Vie de Démonax
  10. La Salle
  11. Éloge de la patrie
  12. Exemples de longévité
  13. Histoires vraies I
  14. Histoires vraies (Lucien)|Histoires vraies II
  15. Qu'il ne faut pas croire à la calomnie à la légère
  16. Le jugement des voyelles
  17. Le Banquet ou lesLapithes
  18. Le Pseudosophiste ou le Soléciste
  19. L'arrivée aux Enfers ou le Tyran
  20. Zeus confondu
  21. Zeus tragédien
  22. Le Songe ou le Coq
  23. Prométhée ou le Caucase
  24. Icaroménippe ou le Voyage aérien
  25. Timon ou le Misanthrope
  26. Charon ou les Contemplateurs
  27. Les Sectes à l'encan
  28. Le Pêcheur ou les Ressuscités
  29. La Double Accusation ou les Tribunaux
  30. Sur les sacrifices
  31. Contre un bibliomane ignorant
  32. Le Songe ou la Vie de Lucien
  33. Le Parasite ou Que le métier de parasite est un art
  34. Les Amis du mensonge ou l'Incrédule
  35. Le jugement des déesses
  36. Sur les salariés des Grands
  37. Anacharsis ou des exercices du corps
  38. Ménippe ou la Nécycomancie
  39. Loukios ou l'Âne
  40. Du deuil
  41. Le Maître de rhétorique
  42. Alexandre ou le Faux Prophète
  43. Les portraits
  44. La Déesse syrienne
  45. De la danse
  46. Lexiphanès
  47. L'Eunuque
  48. De l'astrologie
  49. Les Amours
  50. Défense des portraits
  51. Le Pseudologiste ou Sur le mot aphorax
  52. L'Assemblée des dieux
  53. Le Tyrannicide
  54. Le Fils déshérité
  55. Sur la mort dePérégrinos
  56. Les Fugitifs
  57. Toxaris ou l'Amitié
  58. Éloge deDémosthène
  59. Comment il faut écrire l'Histoire
  60. Les Dipsades
  61. Les Fêtes de Cronos
  62. Hérodote ouAétion
  63. Zeuxis ou Antiochos
  64. Sur un lapsus commis en saluant
  65. Apologie
  66. Harmonidès
  67. Conversation avecHésiode
  68. Le Scythe ou leProxène
  69. La Tragédie de lagoutte
  70. Hermotimos ou les Sectes
  71. À celui qui m'a dit: Tu es un Prométhée dans tes discours
  72. L'Alcyon ou sur les métamorphoses
  73. Le Navire ou les Souhaits
  74. Ocypous
  75. [Sur les danseurs] (apocryphe)
  76. LeCynique
  77. Dialogues des morts
  78. Dialogues marins
  79. Dialogue des dieux
  80. Dialogue des courtisanes

Postérité

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La Calomnie d'Apelle, tableau deBotticelli, d'après un texte de Lucien.Florence,Offices.

Lucien influença l'Histoire comique des États et Empires de la Lune deCyrano de Bergerac[22] et leMicromégas deVoltaire[23]. L'ensemble de son œuvre trouva auXIXe siècle son meilleur écho dans lesPetites œuvres morales deLeopardi[24].

Son texteDialogues des morts a inspiré lePhalarismus (1517) du polémisteUlrich von Hutten,Les Héros de roman (1688) deBoileau ainsi que lesDialogues des morts (1712) deFontenelle et l'œuvre du même titre (1712) deFénelon, et encore leDialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu deMaurice Joly en 1864[réf. souhaitée].

En 1606,Volpone, unecomédie du dramaturge anglaisBen Jonson, est influencée par le chapitreDialogues des morts, qui met en scène le personnage dePolystratos[25].

Les Amis du mensonge ou L'incrédule, qui vise à ridiculiser la tendance des philosophes à croire au surnaturel, met en scène unscribe égyptien capable de donner vie à des objets inanimés par des formules magiques, ce qu'il fait en transformant un balai en serviteur. Cette œuvre inspirera le poème deGoethe intituléL'Apprenti sorcier[26], publié en 1797 ;Paul Dukas composera, en 1897, unpoème symphonique portant le même titre, qui sera repris dans une célèbre séquence du filmFantasia deWalt Disney, sorti en 1940. La description d'un tableau (perdu) d'Apelle consacrée à la calomnie, que donne Lucien aux paragraphes 1 et 2 deQu'il ne faut pas croire à la calomnie à la légère a inspiréBoticelli pour sa toileLa Calomnie d'Apelle[27].

La bande dessinéeDe cape et de crocs d'Alain Ayroles etJean-Luc Masbou met en scène brièvement plusieurs créatures desHistoires vraies de Lucien en même temps que le personnage du Maître d'armes, lui-même inspiré de Cyrano de Bergerac dont l’Histoire comique des États et Empires de la Lune s'inspirait déjà de Lucien[28].

Notes et références

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Notes

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  1. Tant Billaut (2015,p. 431) que Bompaire (2018, § 12) relèvent le caractère conventionnel et rhétorique d'une telle confrontation au cours d'un songe. Il ne s'agit donc pas, selon Billault (ibid.), d'une « simple confession anecdotique » mais du cadre d'un récit qui est « un discours réfléchi où Lucien revient sur son passé (...), en prenant ses distances avec la réalité. »

Références

  1. Billault, 2015,p. 7 (v. Bibliographie)
  2. a etbBillault, 2015,p. 431-433;p. 9.
  3. Bompaire, 2018, § 9.
  4. Saïd, 2018, § 2.
  5. Renault 2004.
  6. abcd etePanayotis MOULLAS, « Lucien de Samosate »Accès limité, suruniversalis.fr(consulté le).
  7. Suzanne Saïd,Monique Trédé,Alain Le Boulluec,Histoire de la littérature grecque, Paris,PUF,coll. « Quadrige Manuels », 2019 4e éd. mise à jour, 724 p.(ISBN 978-2-130-82079-6),p. 460-466 ; 428-430
  8. Billault, 2015,p. 7-8
  9. Billault, 2015,p. 8.
  10. Œuvres complètes, Laffont, Bouquins, 2015,p. 433-437
  11. Billault, 2015,p. 387.
  12. a etbAlain Billaut,« Lucien de Samosate et son œuvre », dans Émeline Marquis, Alain Billault (dir.),Mixis : Le mélange des genres chez Lucien de Samosate, Paris, Demopolis,(DOI doi.org/10.4000/books.demopolis.2127),p. 13-21
  13. La Double Accusation ou les Tribunaux, § 27, Laffont, Bouquins, 2015,p. 403.
  14. Trad. Chambry, Billault, Marquis, Laffont, coll. « Bouquins », 2015, p. 437.
  15. a etb« Lucien, Œuvres complètes, une édition d'exception », surLe Blog des Belles Lettres, et l'Introduction générale du premier tome des œuvres dans la collection Budé
  16. Billaut 2015,p. 13.
  17. Maurice Sartre, « La modernité paradoxale de Lucien de Samosate »,Le Monde,‎(lire en ligneAccès libre, consulté le)
  18. Catherine Virlouvet (dir.), Nicolas Tran et Patrice Faure,Rome, cité universelle : De César à Caracalla 70 av J.-C.-212 apr. J.-C, Paris, Éd. Belin,coll. « Mondes anciens »,, 880 p.(ISBN 978-2-701-16496-0,présentation en ligne),chap. 9 (« Vivre dans l'empire des Césars »),p. 612 ss.
  19. Voir le texte sur le site remacle.org. Page consultée le 14 août 2010.
  20. Notamment parPierre Versins (Encyclopédie de l'utopie, des voyages extraordinaires et de la science-fiction, 1972),Jacques Van Herp (Panorama de la science-fiction, 1973),Jacques Sadoul (Histoire de la science-fiction moderne, 1974), et parJacques Baudou (La Science-fiction, 2003).
  21. a etbBillault, 2015,p. 5
  22. Christian Biet, « L'Autre Monde ou les États et Empires de la Lune, et les États et Empires du Soleil », suruniversalis.fr(consulté le).
  23. « Lucien de Samosate / Revue Ecrire l’histoire », surFrance Culture,(consulté le).
  24. Émeline Marquis (dir,) et Alain Billault (dir.),Mixis. Le mélange des genres chez Lucien de Samosate, Paris, Demopolis,, 293 p.(ISBN 978-2-354-57123-8,lire en ligne)
  25. Jean-ClaudeMargolin, « L'influence de Lucien sur les "Propos de table" d'Alberti »,Revue belge de Philologie et d'Histoire,vol. 51,no 3,‎,p. 582–604(DOI 10.3406/rbph.1973.2978,lire en ligne, consulté le)
  26. (en) George Luck (dir.),Witchcraft and Magic in Europe : Ancient Greece and Rome, Philadelphie,University of Pennsylvania Press,, 384 p.(ISBN 0-8122-1705-5),p. 141
  27. « La Calomnie d'Apelle - Botticelli », surUtpictura18.
  28. M. Dal Zotto, « Tératomachies et métamorphoses burlesques chez Lucien de Samosate et quelques illustres continuateurs », dans Omar Coloru et Giuseppe Minunno (éd.),L’Umorismo in prospettiva interculturale: Immagini, Aspetti e Linguaggi. Atti del II convegno internazionale di studi sull' umorismo, Lucca, 2009,p. 37-42.

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Édition du texte avec traduction

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