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Lucien Lacaze

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Pour les articles homonymes, voirLacaze.

Lucien Lacaze
Lucien Lacaze en 1915.
Fonctions
Président
Conservatoire national des arts et métiers
-
Fauteuil 40 de l'Académie française
-
Président
Académie de marine
-
Vice-président
Conseil de la Marine
-
Préfet maritime de Toulon
-
Ministre de la Marine
-
Ministre de la Guerre
15 -
Ministre de la Marine
-
Ministre de la Marine
-
Secrétaire de l'Institut de France
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Marie Jean Lucien LacazeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Militaire(-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Honoré Lacaze(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Maurice Lacaze(d)
Georges Lacaze(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Arme
Grade militaire
Conflits
Distinctions

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Lucien Lacaze, né le àPierrefonds (Oise) et mort àParis (Seine) le, est unamiral et homme politique français.

Il joue un rôle important dans la rénovation de la Marine française peu de temps avant le déclenchement dupremier conflit mondial, puis devient ministre de la Marine de 1915 à 1917, fonction pendant laquelle il oriente résolument la flotte vers la lutte contre les sous-marins. Retiré du service en 1922, il exerce jusqu'à sa mort de multiples fonctions officielles et honorifiques liées à la mer, aux sciences et à la culture.

Ses débuts et son ascension

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Lucien Lacaze en 1916.

Fils d'un médecin d’origineariégeoise et d'une Créole descendante d'un officier de marine, Lucien Marie Jean Lacaze nait à Pierrefonds, dans l’Oise, le[1]. Il passe son enfance àLa Réunion dans le domaine paternel situé près deSaint-Denis. À l'âge de douze ans, il rentre enFrance métropolitaine pour poursuivre ses études chez lesjésuites deSarlat. Il entre à l’École navale en, à 17 ans. Il est aspirant de deuxième classe en et reçoit une médaille d’argent pour avoir sauvé un de ses camardes tombé à la mer dans legoulet de Brest[1]. Embarqué sur laFlore et sur laRésolue à la division volante d’instruction, il passe en sur laReine-Blanche avec laquelle il prend part à lacampagne de Tunisie. Il passe en 1882 surLa Galissonnière auLevant, et est faitenseigne de vaisseau. En, il est transféré sur leBeautemps-Baupré dans l’océan Indien et commande la compagnie de débarquement lors des combats qui ont lieu dans la région deTamatave àMadagascar en novembre-[1].

Second de l’aviso à rouesCigale au Sénégal en,lieutenant de vaisseau en, breveté torpilleur en 1887, il commande l’année suivante un torpilleur àCherbourg[1]. Il passe ensuite auSénégal où il commande laMésange en. En, il est second sur le croiseurD’Estrées enTunisie. En 1891, il commande le torpilleur 130 à Cherbourg puis sert comme officier de manœuvre sur les cuirassésRichelieu etFormidable en escadre de Méditerranée (1892-1893)[1]. En 1894, il est envoyé àFiume dans l’Adriatique en mission de renseignement au sujet destorpilles autopropulsées de lamarine austro-hongroise. Il commande ensuite la canonnièreEstoc auTonkin (1894-1896). Chargé en des torpilleurs en réserve àAlger, il sert l’année suivante commeaide de camp de l’amiralGustave Besnard,ministre de la Marine, puis de l’amiralJules de Cuverville, chef d’état-major général.Capitaine de frégate en, commandant le croiseurChasseloup-Laubrat à Cherbourg, il est nommé en chef d’état-major de l’escadre de Méditerranée et se distingue à la fin de 1901 par une mission diplomatique auprès du gouverneur de l’île grecque deMytilène[1]. Chef d’état-major de la division de Tunisie en 1902, il aide activement son chef, le contre-amiralJoseph-Henri Merleaux-Ponty, dans la construction et l’aménagement de la rade et du port deBizerte[2]. En, il commande le croiseurDu Chayla en Méditerranée, puis est second duChâteaurenault enescadre du Nord en. En, il effectue sa deuxième mission diplomatique en tant qu'attaché naval àRome et, en, sa troisième mission comme délégué à la conférence navale deLa Haye.

Capitaine de vaisseau en, chef d’état-major du vice-amiralPaul-Louis Germinet à l’escadre de Méditerranée en, il contribue à la réorganisation et à l’entrainement de cette force navale, puis commande la cuirasséMasséna à la division des écoles[1]. En, il est faitcontre-amiral et entame véritablement sa carrière politique en devenant chef de cabinet deDelcassé, ministre de la Marine. Il met au point la théorie de la collaboration des flottes franco-anglaises en cas de conflit (LaRoyal Navy devant se concentrer en mer du Nord face à l’Allemagne et laMarine nationale en Méditerranée face à l’Autriche-Hongrie)[3]. Il poursuit en parallèle la rénovation du matériel et de la flotte en s’efforçant de pousser les constructions neuves, dont des sous-marins de haute-mer[3]. En, il prend le commandement de la2e division de la1re escadre sur leMirabeau, puis en sur leVoltaire et préside la Commission permanente d’artillerie de l’armée navale. Il a, à ce moment-là, de sérieux conflits avec son supérieurBoué de Lapeyrère qui l’accuse d’indiscipline[1]. Néanmoins, en 1914, c’est l’un des amiraux français les plus en vue[2].

Son action pendant la Grande Guerre

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Conférence des Alliés de mars 1916. Lacaze y participe en tant que ministre de la Marine et cherche à développer la coopération interalliée en mer (assis au fond, entre Briand, à gauche et Joffre, à droite).

En, il commande la marine àMarseille et organise le transport de troupes vers l’armée d’Orient pour lesDardanelles[1]. En, soutenu parDelcassé etLéon Bourgeois, il devient ministre de la Marine, fonction qu’il va exercer dans quatre gouvernements jusqu’en (voir Annexes)[1]. Homme d’autorité et de décision, Lacaze donne alors unevigoureuse impulsion à la guerre navale qui avait pris une forme très différente de celle qui avait été prévue par les états-majors (qui pensaient voir les cuirassés jouer un rôle décisif dans une guerre courte alors que la menace principale passe dans les sous-marins sur une guerre d’usure longue)[1]. Il crée la Direction générale de la guerre sous-marine, achète de nombreux chalutiers qu’il constitue en escadrilles pour la chasse aux sous-marins, fait armer les bâtiments de commerce malgré l’opposition des Américains, réorganise les commandements maritimes enManche et en Méditerranée, fait reprendre les constructions neuves arrêtées depuis 1914 en commandant 22avisos en France, 12torpilleurs au Japon, 15sloops en Angleterre et en faisant achever une partie des cuirassés français sur cale en 1914[1]. Il fait poser de nombreux champs de mines et filets anti-sous-marins et s’attache à développer une très importante aviation navale ainsi que de nombreuxballons captifs pour protéger les côtes[2]. Pour mieux faire connaitre l’action de la flotte en guerre –largement ignorée de l’opinion qui ne regarde que les combats terrestres– il crée le Service cinématographique de la marine[1].

Conscient des limites de la Marine nationale dont le « poids militaire » est très inférieur à celui de la marine anglaise, Lacaze cherche à développer la coopération interalliée, tâche difficile, car en dépit des accords signés en 1912, les amiraux anglais continuent souvent d’agir sans concertation avec leurs collègues français en Méditerranée[2]. Néanmoins, il réussit à mettre sur pied un embryon de commandement interallié sous forme d’une commission présidée par l’amiral Ronarc’h[1]. Le point le plus épineux réside dans la protection des lignes de commerce et de ravitaillement menacées par les sous-marins. Lacaze soutient très tôt l’idée qu’il faut organiser la navigation en convois escortés pour tenir en échec lesU-Boote. Londres, qui a pourtant testé cette tactique en 1914 pour protéger les renforts venus de l’Empire, n’envisage pas d’aller plus loin et finit même par se montrer hostile aux convois car elle estime que cela immobiliserait beaucoup trop de navires[4]. Il faut attendre lespertes catastrophiques du début de 1917 (sous les effets de laguerre sous-marine à outrance) pour que l’idée s’impose enfin à tous, mais Lucien Lacaze n’en verra pas les effets victorieux pendant sa fonction[4]. Membre de gouvernements faibles régulièrement contestés (Briand,Ribot), son action est continuellement critiquée à laChambre par les députés de gauche ou d’extrême gauche[1]. Excédé, il démissionne le, « ne voulant pas accepter de commission d’enquête sur la marine de guerre » alors que sa stratégie anti-sous-marine commence à porter ses fruits et que les pertes en mer –françaises comme alliées– sont en diminution sensible[2]. Vice-amiral en septembre, il est nommépréfet maritime de Toulon en octobre, commandant supérieur des patrouilles enMéditerranée occidentale et termine la guerre en installant la base américaine de Toulon[1].

L’après-guerre et ses honneurs

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En 1919, encore en poste àToulon, il se distingue par sa fermeté et son tact lors des incidents survenus dans la base à la suite desmutineries de la mer Noire[1]. Cette même année, il devient vice-président duConseil supérieur de la Marine et représentant naval de la France à laSociété des Nations[2]. Il participe à laconférence de Lausanne en 1922 et quitte le service actif en juin de cette même année. Il va cumuler ensuite les présidences et les fonctions d'administrateur de différentes organisations.

Membre de l’Académie de marine en 1921, il la préside en 1928-29[5] puis en devient le secrétaire perpétuel à partir de 1932[1]. Il préside laSociété centrale de sauvetage des naufragés de 1930 à, peu de temps avant son décès[6]. Il préside la Société des Œuvres de Mer de 1931 à 1939[7].

Membre de l’Académie des sciences coloniales à partir de 1925, il préside l'Institut colonial français, de 1924[8] à sa disparition en 1942[9]. Cet institut, fondé en 1920, est un centre privé de documentation, de réflexion et de propagande en faveur des colonies. Il préside aussi le conseil d'administration duMonde colonial illustré[10]. Il préside en 1940 le Centre de l'entraide pour les soldats et les travailleurs d'outre-mer dans la métropole[11]. Il est président d'honneur du Comité Central de la France d'Outre-Mer, héritier de l'Institut colonial, dans les années 1950. Il préside alors le Comité France-Afrique du Nord, favorable auprotectorat français au Maroc et hostile au sultan[12].

Il siège à partir de 1922 au conseil de l'Association des dames françaises, une des sociétés formant laCroix-Rouge française[13]. Il est élu président en 1928 de la Ligue nationale contre l'alcoolisme[14]. Il est élu en 1931 membre du conseil de direction duMusée social[15]; il en est ensuite le vice-président jusqu'à son décès. Il siège au conseil d'administration de l'Office central des œuvres de bienfaisance dont il est l'un des vice-présidents à partir de 1935[16]. Il est élu au Conseil supérieur de l'assistance publique.

Il préside au début des années 1930 le comité diocésain de secours, constitué fin 1931 par lecardinal Verdier,archevêque de Paris[17]. En 1931, il est chargé de présider le comité laïque qui doit assurer la participation desMissions catholiques à l'Exposition coloniale de Vincennes[18]. Il préside d'ailleurs l'association Les Amis des Missions[19]. Il préside en outre le comité Saint-Louis et Saint-Ferdinand, qui appuie l'Espagne catholique après la fin de laguerre civile espagnole[20]. Ce comité, toujours présidé par l'amiral, reprend en 1948 ses pèlerinages aux sanctuaires d'Espagne[21].

Vice-président duCercle de l'Union interalliée à partir des années 1920[22], il en est le vice-président délégué en titre de 1943 à 1945. Il préside en 1933 la fondation Carnegie, qui récompense les actes de courage civil[23].

Il est élu en 1925 membre du conseil d'administration de l'Alliance française[24]; il est ensuite vice-président[25]. Il est élu en mai 1940 président duComité France-Amérique pour l'année 1941 ; il avait été élu membre de son conseil de direction en 1925[26]. Il préside un Comité de rapprochement franco-espagnol, de la seconde moitié des années 1920 jusqu'en 1936[27]. Il siège au conseil d'administration de laCasa de Velázquez[28].

Il préside à partir de 1932 la Ligue française pour la défense des intérêts vitaux de la France et de ses colonies[29]. Il préside en 1934-1936 le Comité d'entente des grandes associations pour l'union nationale, fondé au lendemain du6 février 1934, pour soutenir le gouvernement deGaston Doumergue[30]. Ce comité fédère en réalité des petites associations de notables :Comité Dupleix, Conférence au village, Front français, Ligue civique du professeurJean-Louis Faure, Ligue française, qu'il préside,Ligue des patriotes,Ordre et bon sens,Redressement français, Union civique. Lacaze est alors membre du comité directeur de l'Union pour la nation, créée en 1933 à l'initiative d'Henri Franklin-Bouillon[31]. Le comité d'entente adresse avant les élections législatives de 1936 un appel contre les communistes[32]. En 1946, il est membre du comité de l'Union gaulliste pour la IVe deRené Capitant[33]. Il est membre en 1948 du comité d'honneur pour la libération dumaréchal Pétain[34].

Il est élu en 1935 à l’Académie des beaux-arts et en à l’Académie française[1].

Il est lié à deux riches familles, lesSchneider et les Fraissinet. Il est ainsi membre du conseil de surveillance deSchneider et Cie à partir de 1928[35] et administrateur de sociétés liées aux Schneider (Union industrielle et financière)[36]. Ami de l'armateur marseillais Alfred Fraissinet, il entre dans les conseils d'administration de ses affaires: la Société danubienne, qu'il préside à la mort de ce-dernier en 1927, laCompagnie Fraissinet, qu'il administre jusqu'à son décès. Il reste lié à son fils,Jean Fraissinet, et préside ainsi la société du quotidienMarseille-Matin[37]. Il administre aussi d'autres firmes, comme leCrédit foncier de Madagascar, à partir de 1926[38], lesMessageries maritimes (vice-président), à partir de 1923[39], laSociété Provençale de Constructions Navales[40].

Lucien Lacaze meurt célibataire à Paris le à près de 95 ans. Ses obsèques sont célébrées en l'égliseSaint-Louis des Invalides[41].

Annexes

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Fonctions ministérielles

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Autres fonctions

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Académie française

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L'amiral Lacaze est élu au premier tour à l'Académie française le, le même jour que le futurcardinal Grente etJacques de Lacretelle. Il s'était déjà porté candidat la même année au même fauteuil, mais l'élection avait été blanche. Il succède àJules Cambon, mort le, aufauteuil 40. Sa réception officielle a lieu le.Jacques Chastenet lui succèdera le.

Décorations et distinctions

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Par ailleurs l'amiral Lacaze est Membre et secrétaire de l'Académie de marine. Membre de l'Académie des sciences coloniales ainsi que Membre libre de l'Académie des beaux-arts.

Autres hommages

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Publications

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Lucien Lacaze n'a publié aucun ouvrage, mais il est l'auteur de quelques brochures, telle queLa Politique maritime de la France, parue en 1936, ainsi que de plusieurs discours et de nombreuses préfaces d'ouvrages sur des sujets maritimes et historiques.

Notes et références

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  1. abcdefghijklmnopqr etsTaillemite 2002,p. 284-285.
  2. abcde etfRémy Porte,Cochet et Porte 2008,p. 619-620.
  3. a etbMichèle Battesti, dansVergé-Franceschi 2002,p. 822.
  4. a etbRémy Porte,Cochet et Porte 2008,p. 275.
  5. Le Temps, 14 novembre 1929,Notice sur le site de l'Académie ( Secrétaire perpétuel en 1953-55 selon cette notice )
  6. Le Monde, 10 février 1955
  7. societe-oeuvres-mer.fr: liste des présidents
  8. Le Temps, 29 mars 1924
  9. Notice sur le site des Archives nationales d'outre-mer. L'Institut fusionne à cette date avec l'Union coloniale française et le Comité de l'Indochine et l'Institut colonial français pour devenir le Comité de l'Empire français, qui prend le nom en 1948 de Comité central de la France d'Outre-mer
  10. Revue des questions coloniales et maritimes, novembre 1933
  11. Le Temps, 7 février 1940,Le Matin, 8 février 1943
  12. Le Monde, 6 novembre 1953,Le Monde, 25 janvier 1954
  13. Bulletin de l'Association des dames françaises, novembre 1922
  14. Le Temps, 30 décembre 1928
  15. Le Temps, 25 juin 1931
  16. Bulletin de l'Office central des œuvres de bienfaisance, février 1926
  17. Le Temps, 6 juin 1932,La Croix, 20 décembre 1931,Bulletin de l'Office central des œuvres de bienfaisance, février 1933
  18. Catherine Hodeir et Michel Pierre,1931 L'ESPOSITION COLONIALE, Editions complexe,, 160 p.(ISBN 978-2-87027-382-1,lire en ligne),p. 52
  19. La Croix, 13 avril 1937,Ibid., 24 décembre 1936
  20. Le Petit Parisien, 5 décembre 1939,Journal des débats, 27 avril 1940,Ibid., 17 mai 1940,La Croix, 27 août 1940,Ibid., 30 novembre 1943
  21. Le Monde, 16 décembre 1948
  22. Annuaire des grands cercles, 1927,Le Gaulois, 9 novembre 1928
  23. Le Temps, 18 décembre 1933
  24. Le Temps, 27 avril 1925
  25. Le Temps, 10 juin 1929
  26. Le Gaulois, 6 avril 1925,Le Temps, 3 mai 1940
  27. Le Gaulois, 2 septembre 1927,Académie des beaux-arts, juillet 1928,Journal des débats, 25 mars 1931,Le Temps, 27 mars 1936
  28. Jean-Marc Delaunay,Des palais en Espagne: l'Ecole des hautes études hispaniques et la Casa de Velázquez au cœur des relations franco-espagnoles du XXe siècle (1898-1979), Casa de Velázquez, 1994,p. 603
  29. Le Temps, 30 juin 1932,Ibid., 10 novembre 1932,Ibid., 16 juin 1933,Ibid., 14 juillet 1933,Journal des débats, 21 mai 1932,Journal des débats, 26 mai 1938
  30. La Croix, 16 juin 1934,La Croix, 20 juillet 1934,Les Documents politiques, novembre 1934,Revue des questions coloniales, novembre 1934 (déjeuner du comité Dupleix, présidé par l'amiral, avec Franklin-Bouillon),La Croix, 13 juillet 1935,Ibid., 17 décembre 1935
  31. Collectif,Militaires en République, 1870-1962: les officiers, le pouvoir et la vie publique en France, Publications de la Sorbonne, 1999 ,p. 336
  32. Le Temps, 8 avril 1936
  33. Bernard Lachaise, « L'Union gaulliste pour la IVe République », dansLa genèse du RPF: Table ronde organisée par la Fondation Charles de Gaulle, 3 avril 1997,La Défense, 13 septembre 1946
  34. Le Monde, 14 avril 1948
  35. L'Europe nouvelle, 8 décembre 1928
  36. Journal des finances, 6 juillet 1934
  37. Jean Fraissinet,Au combat à travers deux guerres et quelques révolutions, La Table ronde, 1968,p. 68 etp. 71,Annuaire-Chaix: les principales sociétés par actions, 1946, Jacques Boudet,Le monde des affaires en France de 1830 à nos jours, Société d'édition de dictionnaires et encyclopédies, 1952,p. 316,Le Populaire, 12 janvier 1931,Maroc magazine, mars 1936,p. 50,"Rouge-Midi, 27 février 1937
  38. Les Documents politiques, diplomatiques et financiers, octobre 1926
  39. Les Annales coloniales, 7 juin 1923
  40. Le Temps, 7 octobre 1929
  41. Le Monde, 28 mars 1955
  42. « FICHE QUESTION », surquestions.assemblee-nationale.fr(consulté le)
  43. Home of heroes en anglais.
  44. La Croix, 21 novembre 1937
  45. Décret du Commandant en chef L. 2956 de 1921 r.(Dziennik Personalny z 1922 r. Nr 1, s. 11)
  46. « Archives municipales de Lorient (vue n° 84, page 165) », surarchives.lorient.bzh(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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