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Longecourt-en-Plaine

47° 11′ 56″ nord, 5° 09′ 00″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour l’article homonyme, voirLongecourt-lès-Culêtre.

Longecourt-en-Plaine
Longecourt-en-Plaine
Blason de Longecourt-en-Plaine
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionBourgogne-Franche-Comté
DépartementCôte-d'Or
ArrondissementDijon
IntercommunalitéCommunauté de communes de la Plaine Dijonnaise
Maire
Mandat
Paul Murano
élections municipales partielles de 2022 à 2026
Code postal21110
Code commune21353
Démographie
Population
municipale
1 185 hab.(2022en évolution de −3,11 % par rapport à 2016)
Densité118 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 11′ 56″ nord, 5° 09′ 00″ est
AltitudeMin. 193 m
Max. 203 
m
Superficie10,01 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionDijon
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Genlis
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Longecourt-en-Plaine
Géolocalisation sur la carte :France
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Longecourt-en-Plaine
Géolocalisation sur la carte :Côte-d'Or
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Longecourt-en-Plaine
Géolocalisation sur la carte :Bourgogne-Franche-Comté
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Longecourt-en-Plaine
Liens
Site webwww.longecourtenplaine21.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Longecourt-en-Plaine est unecommune française située dans ledépartement de laCôte-d'Or, enrégionBourgogne-Franche-Comté. Elle est connue mondialement pour ses deux lavoirs.

Géographie

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Communes limitrophes

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Rose des ventsThorey-en-PlaineRose des vents
Saulon-la-ChapelleNMarliens
Tart-le-Haut
O   Longecourt-en-Plaine   E
S
IzeureAisereyÉchigey

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Bourgogne-Franche-Comté etClimat de la Côte-d'Or.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique altéré et leclimat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Dijon-Longvic », sur la commune d'Ouges à 9 km àvol d'oiseau[3], est de11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Longecourt-en-Plaine est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7].Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (67,9 %), forêts (21,9 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Histoire

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L'histoire du village de Longecourt-en-Plaine est très liée à celle de la seigneurie de Longecourt et de sonchâteau, notamment pour la période d'Ancien Régime[12].

Article connexe :Château de Longecourt-en-Plaine.

La maison forte et les premiers seigneurs (XIIIe siècle -XVe siècle)

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La seigneurie de Longecourt est citée dès leXIIIe siècle. Le domaine appartient alors à Robert de Boisleux[13], seigneur d'origineartésienne qui vit dans l'entourage duduc de Bourgogne. Une première maison forte de plaine, avec fossés et pont-levis, est construite sur les fondations d'une ancienne motte féodale. En 1298, cette seigneurie est acquise par le ducRobert II. Sa fille,Marie, épouseÉdouardIer,comte de Bar, en 1310. Cependant, la dot promise tarde à venir.Eudes IV, frère de Marie, devenu duc au décès de son frère aînéHugues V, décide de régler le problème. En 1323, il transfère la seigneurie de Longecourt, avec les domaines deTart et de Potangey, à son beau-frère. Un dénombrement de 1372 rapporte alors 50 feux à Longecourt, 15 à Potangey et 60 à Tart.

Lors de laguerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, la famille de Bar s'oppose parfois auparti bourguignon. SiÉdouard III de Bar se réconcilie avec le duc du Bourgogne, son décès lors de labataille d'Azincourt en 1415 relance la suspicion. Son fils,LouisIer de Bar, un clerc, est trop proche de son petit-neveu, le« roi René », farouche adversaire des ducs bourguignons. Finalement, la seigneurie est provisoirement rattachée à la châtellenie ducale voisine deRouvres (1415-1436). Le problème est résolu par René en 1436 avec la vente de la seigneurie à Jean de Fribourg, maréchal de Bourgogne, seigneur àChamplitte. Selon le dénombrement de 1445, le château, alors délaissé, est en très mauvais état : seules les parties agricoles, protégées d'une seconde enceinte, sont entretenues. Le comte de Fribourg et Neuchâtel concentre uniquement ses efforts sur le domaine seigneurial (construction d'un moulin sur le canal d'évacuation des eaux, par exemple).

La seigneurie de Longecourt

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La seigneurie possède alors sa physionomie définitive assez homogène ; les seigneurs suivants se concentreront plus sur le château lui-même ou sur la remise à l'ordre du jour de droits tombés en désuétude. Le maître des lieux dispose de la totalité des droits de justice. Cela nécessite la présence sur place d'un juge (qui migrera à Dijon auXVIIe siècle). Celui-ci est assisté d'un greffier, d'un procureur et de sergents. Des prisons sont établies au château[14], quant au gibet, il est élevé à la limite du domaine, sur la route deSaint-Jean-de-Losne, au niveau de Potangey. La surveillance des moissons est assurée par unmessier désigné conjointement par le seigneur et les habitants. D'autres privilèges, relevant desbanalités, sont dus au seigneur : pesée des marchandises,banvin, corvées diverses (aux propriétaires de charrues, de charrettes...). Longecourt abrite alors un petit hôpital ainsi qu'une chapelle dédiée à sainte Marguerite sur la grande route de Dijon[15].

Le temps des Baissey

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La famille de Baissey[16] hérite de la seigneurie en 1459. Jean de Baissey était alors déjà seigneur d'Izeure ; il meurt à labataille de Morat (). Son fils, Antoine (v.1460-1509[17]), également baron deTil-Châtel, connait une carrière militaire conséquente. D'abord au service des ducs de Bourgogne, il est fait prisonnier par les Français et, après le rattachement de la Bourgogne (1477), passe à leur service.Bailli deDijon, colonel desgardes suisses et deslansquenets pendant lesguerres d'Italie, il entre avec deux mille Suisses dansGênes (1494) et fait partie de l'avant-garde à la bataille duTaro (1495). Parlantbas-allemand, il sert d'intermédiaire dans les négociations avec les Suisses. Ce seigneur influencé par sa campagne italienne commande la reconstruction, en brique, de son château (vers 1495)[18]. Celle-ci est terminée en 1539, sous Claude de Baissey, colonel des lansquenets et« pensionnaire » des roisLouis XII etFrançoisIer.

Longecourt participe à l'histoire troublée de la fin duXVIe siècle. Le,Catherine de Médicis, accompagnée du jeune roiCharles IX, fait étape au château lors de son« grand tour de France ». Venant de Dijon, elle se dirigeait versPagny-le-Château pour y rencontrerChabot-Charny. Le, lesLigueurs prennent la forteresse, forçant les partisans d'Henri de Navarre à se replier surVergy. Le dernier seigneur de la famille de Baissey est Gaspard ; par un contrat de 1586 (confirmé en 1616), il institue comme héritier le marquis de Varennes tout en assurant l'usufruit à sa tante, Chrétienne de Baissey[19].

LesXVIIe et XVIIIe siècles

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François de Nagu, marquis de Varennes, reprend le fief en 1620. Lors de laguerre de Trente Ans, les soldats impériaux du généralGallas, en route versSaint-Jean-de-Losne, brûlent le village (1636). Roger de Nagu, maréchal de camp des armées du roi, en poste de gouverneur d'Aigues-Mortes, succède à son père en 1644. Cependant, au milieu du siècle, peut-être en raison de l'éloignement de ce dernier, la seigneurie est un temps propriété de Gilles Berthet,maître d'hôtel du roi puis trésorier général desÉtats de Bourgogne (attesté entre 1646 et 1651). Le fief est repris en 1654 par Alexandre de Nagu, prieur commendataire de Saint-Marcel-lès-Chalon et tuteur du jeune Joseph, marquis de Varennes. En 1666, l'enquête de l'intendant Bouchu dénombre 51 feux et rappelle les nombreuses corvées toujours en vigueur (curée des fossés du château, banalités, etc). Le, Alexandre-Joseph de Nagu-Varennes revend la seigneurie à Jacques Berbis pour80 000 livres.

La famille de Berbis domine alors, grâce à cette seigneurie, les villages de Longecourt, Potangey etThorey-lès-Époisses. Elle possède aussi un petit fief àGemeaux. Par testament, Jacques Berbis laisse sa femme, Catherine de Mucie, désigner un héritier parmi ses enfants encore mineurs. Elle choisit Philippe, à l'occasion de son mariage en 1713 avec Madeleine de Thésut, fille de Jean de Thésut, le notable sire de Ragy. Ce dernier offre en dot les trois villages de Tart (Tart-le-Haut,Tart-le-Bas etTart-l'Abbaye) qu'il avait acquis auparavant (1705). En 1753, Nicolas-Philippe Berbis, capitaine de cavalerie au régiment de Grammont, succède à son père. Tout au long de cette période, les Berbis transforment le château en une véritable demeure de plaisance dans l'air du temps : un corps de bâtiment est abattu, le cours de l'Oucherotte modifié. L'embellissement est bientôt achevé au milieu duXVIIIe siècle. À laRévolution, un projet prévoit un temps d'y implanter une manufacture d'étoffes de laine (1793).

L'époque contemporaine

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AuXIXe siècle, lecanal de Bourgogne, achevé partiellement en 1808, est définitivement ouvert en 1832. Il borde la limite est de la commune. Pendant la guerre franco-prussienne, le village et surtout le château sont occupés par les Allemands (1870).

Durant leXXe siècle, une nouvelleoccupation a lieu entre 1940 et 1944. Le château ainsi que quelques maisons voisines sont réquisitionnés par les Allemands du« KG55 » de labase aérienne militaire voisine deLongvic afin de loger officiers et services. Le, lors d'un vol d'entrainement de nuit, un bombardierHeinkel 111 est abattu au nord de la commune par unMosquito allié : ses cinq passagers sont tués[20],[21]. Les occupants allemands sont remplacés de à par les Américains du« 320th Bomber Group » qui installent leur quartier général au château alors que la troupe du 441th Squadron est logée sous des tentes dans les jardins[22],[23],[24].

En 1961, Longecourt devient administrativement « Longecourt-en-Plaine ».

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2014 en Côte-d'Or.
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Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
20012008Claude Cornier  
20082020Daniel BaudronLR 
20202022Éric de Lamarlière  
20222026Paul Murano Retraité de la fonction Publique

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2022, la commune comptait 1 185 habitants[Note 2], en évolution de −3,11 % par rapport à 2016 (Côte-d'Or : +0,82 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
326372405545546589620652680
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
697703715656671614607605594
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
610533544512519479417464494
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
5605825627131 0231 1891 2541 2251 223
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
1 2021 185-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puisInsee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Article connexe :Armorial des communes de la Côte-d'Or.
Blason de Longecourt-en-PlaineBlason
D'azur au pal cousu de gueules chargé de trois chevrons d'argent et accosté de deux bars d'or affrontés en pal.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Lieux et monuments

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Château de Longecourt

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En bordure du village de Longecourt-en-Plaine, dans un joli parc de 40 ha, à proximité de l'Oucherotte et entouré de douves que franchissent trois ponts dormants.

Article détaillé :Château de Longecourt.

Église Saint-Didier

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Église Saint-Didier.

L'église paroissiale Saint-Didier de Longecourt-en-Plaine conserve certaines dalles funéraires remarquables[29] :

  • dalle funéraire de Jeanne deSaulx(« Jehane de Saulx »), épouse de Jean de Baissey, morte en 1490 ;
  • dalle funéraire de Jeanne deLenoncourt(« Jehanne de Lenoncourt »), épouse d'Antoine de Baissey, morte en (son épitaphe indique donc 1522, la nouvelle année commençant à Pâques).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  3. « Orthodromie entre Longecourt-en-Plaine et Ouges », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Station Météo-France « Dijon-Longvic », sur la commune d'Ouges - fiche climatologique - période 1991-2020. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  5. « Station Météo-France « Dijon-Longvic », sur la commune d'Ouges - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  7. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  8. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dijon », surinsee.fr(consulté le).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  12. Courtépée (Abbé) et Beguillet,Description générale et particulière du duché de Bourgogne, (écrit vers 1775),3e édition, Avallon, 1967.
  13. À la fin duXIIe siècle et au début duXIIIe siècle, on connait un Robert de Boisleux, ancien sénéchal d'Hugues IV de Campdavaine (comte de Saint-Pol, mort en 1205 àConstantinople au lendemain de laquatrième croisade). Ce Robert de Boisleux épouse une fille(non identifiée) d'Eudes II (1118-1162), duc de Bourgogne. Par ailleurs,Courtépée, source "pas toujours très fiable", signale qu'en 1298,"Robert Beaulieu" ("Boisleux" ?) vend Longecourt au duc de Bourgogne pour 6000 livres.
  14. La garde des prisonniers est assurée par les habitants aux frais du prisonnier ou, à défaut, à ceux du seigneur.
  15. Ces édifices ont aujourd'hui disparu.
  16. La famille deBaissey, héritière de Jean de Fribourg (décédé en 1459), tirerait son nom soit deBaissey, aujourd'hui dans laHaute-Marne, mais à l'époque en Bourgogne, soit du village proche deBessey-lès-Cîteaux.
  17. Antoine de Baissey meurt le 7 janvier 1509 : son épitaphe indique donc 1508, la nouvelle année commençant à Pâques.
  18. Rosen (Jean),"À la charnière du Moyen Age et de la Renaissance : Longecourt-en-Plaine", inDossier de l'Art (La faïence française duXIIIe au XVIIe siècle),no 70 du 02/10/2000, Faton, pp. 24-27.
  19. Chrétienne de Baissey décède le 26 février 1620.
  20. Le bombardier Heinkel 111, codé« GI+KW Werk nr 4709 » appartenait au"12/KG55" basé à Longvic. Les cinq tués allemands sont les pilotes « Ofw » Rudolf Dantert et « Ofw » Rolf Lindner (matricule 53616/143), le bombardier « Uffz » Reinhold Keinath (matricule 58280/293), le radio « Ofw » Helmuth Pilch (4°Üb. Staffel Timsit) et le mécanicien « Ogfr » Julius Fangmann. Le Mosquito appartenait au 29 Squad Fl-Off Crome.
  21. « Lien Histavia21 (crashs en Côte-d'Or) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  22. http://www.ba102.fr/LIEUX-HISTOIRE/BA-102/320th%20Bomber%20Group%20Dijon.htm
  23. « B-26 320th Bomb Group Dijon History », sur320thbg.org(consulté le).
  24. Photographie de l'hiver 1944
  25. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  29. Lien vers la baseMistral
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