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Loire-Atlantique

47° 20′ nord, 1° 40′ ouest
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Loire-Atlantique
Blason de Loire-Atlantique
Loire-Atlantique
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionPays de la Loire
Création du département(235 ans)
Chef-lieu
(Préfecture)
Nantes
Sous-préfecturesChâteaubriant
Saint-Nazaire
Président du
conseil départemental
Michel Ménard (PS)
PréfetFabrice Rigoulet-Roze
Code Insee44
Code ISO 3166-2FR-44
Code Eurostat NUTS-3FR511
Démographie
Gentilépas de nom officiel[1],[2]
Les termes Ligérien, Nantais, Mariligérien sont parfois utilisés[3]
Population1 473 156 hab.(2022)
Densité214 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 20′ nord, 1° 40′ ouest
Superficie6 874 km2
Subdivisions
Arrondissements3
Circonscriptions législatives10
Cantons31
Intercommunalités16
Communes207 + 33 sous-communes
Liens
Site webwww.loire-atlantique.fr
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LaLoire-Atlantique (/lwa.ʁat.lɑ̃.tik/[Note 1]), dénomméeLoire-Inférieure jusqu'en 1957, est undépartement français de larégionPays de la Loire, dont le nom vient de laLoire qui se jette dans l'océan Atlantique. L'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) etLa Poste lui attribuent le code 44. Sapréfecture estNantes.

La Loire-Atlantique est au sud de laBretagne. Son territoire faisait majoritairement partie de laprovince de Bretagne. La question d'un éventuelrattachement à la régionBretagne fait l'objet d'un débat récurrent.

Comme dans le reste de laHaute-Bretagne, lalangue vernaculaire y fut, jusque dans la seconde moitié duXXe siècle, legallo, sauf dans lapresqu'île guérandaise, où lebreton était prédominant et a été parlé jusqu'au début duXXe siècle.

Le département a été créé en 1790, par démembrement de la province de Bretagne, sous le nom de Loire-Inférieure et a conservé cette appellation jusqu'en 1957. Il porte le numéro44 dans la numérotation départementale française.

Histoire

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Article détaillé :Histoire de la Loire-Atlantique.

Préhistoire

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La présence de l'homme dans les Pays de la Loire est attestée dès leNéolithique[4],[5].

Moyen Âge

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Les premiers marais salants apparaissent au début duMoyen Âge[5].

Époque moderne

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LeXVIIIe siècle marque l'apogée du commerce colonial dans la région de Nantes[6].

Révolution et création du département

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Article connexe :Histoire des départements français.

Le, un décret officialise la création du département de Loire-Inférieure[7]. Cette décision est une application dudécret du 22 décembre 1789.

Le siège du département est fixé à Nantes et est d'abord divisée en neufdistricts :Ancenis,Blain,Châteaubriant,Clisson,Guérande,Machecoul,Nantes,Paimbœuf etSavenay[8]

La création des départements vise à remplacer les provinces de l'Ancien régime et entraîne la mise en place de nouvelles entités. Le découpage territorial a fait l'objet de négociations.Rennes ayant obtenu queRedon soit rattachée au département dont elle va devenir le chef-lieu,Vannes exige en échangeLa Roche-Bernard et six paroisses rurales. En contrepartie, l'Assemblée concède aux Nantais la baronnie deChâteaubriant et la vicomté deFercé, qui contiennent onze paroisses. Les frontières des « pays » sont imprécises à l'est.La Remaudière etLa Boissière-du-Doré sont englobées dans le même département queNantes sans raison historique et sans consultation des habitants[9].

La Loire-Inférieure dispose d'un conseil départementale[10]. Sa superficie est de 6 500 km2 pour une population de 419 669 habitants, dont 89 000 pour la seule ville de Nantes[7].

Durant l'an II, le département comprend 207 communes[11].

En 1800, les districts sont remplacés par lesarrondissements. Cinq sont établis dans le département :Ancenis,Châteaubriant,Nantes,Paimbœuf etSavenay[réf. nécessaire].

Le département a repris la quasi-totalité de la partie bretonne du territoire de l'ancienévêché de Nantes, recevant une petite partie du sud de l'évêché de Rennes et perdant une partie du paysMitau, au nord-ouest, lecanton de La Roche-Bernard rattaché auMorbihan etcelui du Grand-Fougeray rattaché à l'Ille-et-Vilaine. Il a été constitué à partir de :
  • 215 paroisses de laprovince deBretagne (héritière duduché de Bretagne) ;
  • 8 paroisses (devenues 6 communes) issues desmarches de Bretagne-Poitou ; sept de ces paroisses attribuées à la Loire-Inférieure relevaient du diocèse de Nantes, 1 du diocèse de Luçon (Legé). Dans le même temps, 7 paroisses de ces mêmes marches communes ont été attribuées à la Vendée (4 relevant du diocèse de Luçon et 3 de celui de Nantes) ;
  • 1 paroisse issue desMarches d'Anjou et de Bretagne ; il s'agit deLa Boissière-du-Doré, qui relevait également du diocèse de Nantes sur le plan spirituel ;
  • 1 paroisse (Remouillé), issue des marches Bretagne-Poitou, qui relevait du diocèse de Nantes sur le plan spirituel. De son côté la Vendée s'était vue attribuer 2 paroisses « avantagères » à la Bretagne (Saint-André-Treize-Voies,La Bernardière) qui relevaient également du diocèse de Nantes.
[réf. nécessaire]
Carte du département en 1790.

XIXe siècle

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Article détaillé :Guerre de Vendée et Chouannerie de 1815.

Après la victoire descoalisés à labataille de Waterloo (), le département est occupé par les troupesprussiennes de mi-août à[12].

En 1872, descarlistes sont internés à Nantes[13].

XXe siècle

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Pendant laPremière Guerre mondiale, 128 000 hommes originaires du département sont mobilisés. Soixante mille réfugiés originaires du nord de la France, de la Belgique, de Pologne et de Serbie sont hébergés. Les premières troupes américaines débarquent en. Elles s'établissent à Saint-Nazaire, Montoir, Le Croisic, Paimboeuf et contribuent à la lutte contre la guerre sous-marine[14].

Des Autrichiens et des Allemands habitants du département et suspectés de travailler par les puissances centrales sont internés au camp de concentration de Guérande[15].

D'après l'archiviste Émile Gabory, 26 400 soldats originaires du département sont morts. Le Mémorial virtuel des morts pour la France de Loire-Atlantique au cours de la Première Guerre mondiale parle de 25 994 soldats[16],[17].

Le, il prend son nom actuel de Loire-Atlantique[18],[19], préféré à Loire-Océan et Loire-Maritime[20].

Le conseil général de l'époque jugeait que le nom de Loire-Inférieure nuisait à l'image économique et touristique du département et suivait l'exemple de deux autres départements, la Seine-Inférieure et la Charente-Inférieure, qui étaient respectivement devenues laCharente-Maritime en 1941 et laSeine-Maritime en 1955. LeConseil d'État avait d'ailleurs une préférence pour le nom de Loire-Maritime[21].

XXIe siècle

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Le, le territoire de la commune duFresne-sur-Loire (Loire-Atlantique) est rattaché au département deMaine-et-Loire, décision préalable à la création de la commune nouvelleIngrandes-le-Fresne-sur-Loire, située enMaine-et-Loire[22].

Le, les arrondissements d'Ancenis et de Châteaubriant fusionnent en un seul : l'arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, avec pour sous-préfectureChâteaubriant[23].

Le, le territoire de la commune deFreigné (Maine-et-Loire) est rattaché au département de la Loire-Atlantique, décision préalable à la création de la commune nouvelleVallons-de-l'Erdre, située dans la Loire-Atlantique[24].

Politique et administration

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Articles détaillés :Conseil départemental de la Loire-Atlantique,Liste des députés de la Loire-Atlantique,Liste des sénateurs de la Loire-Atlantique,Liste des conseillers départementaux de la Loire-Atlantique etListe des préfets de la Loire-Atlantique.

Organisation administrative

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L'administration du département est assurée par leconseil départemental de la Loire-Atlantique, dont le président estMichel Ménard[25].

Lechef-lieu du département estNantes, égalementpréfecture de la région Pays de la Loire.

Fabrice Rigoulet-Roze est le préfet de région Pays de la Loire depuis le 30 janvier 2023[26].

Les trois arrondissements de la Loire-Atlantique, dont celui de Nantes en rouge.

Districts et arrondissements

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Article détaillé :Arrondissements de la Loire-Atlantique.

Le département de Loire-Atlantique est divisée en trois arrondissements :Nantes,Saint-Nazaire etChâteaubriant-Ancenis[27].

Identité visuelle

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Héraldique

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Armes de la Loire-Atlantique

Reprenant les blasons dePaimbœuf,Ancenis,Châteaubriant,Saint-Nazaire etNantes, les armes de la Loire-Atlantique se blasonnent ainsi :« Écartelé, au premier d'azur au navire équipé d'or, soutenu d'une mer d'argent, au second de gueules à trois quintefeuilles d'hermine, au troisième de gueules semé de fleurs de lys d'or, au quatrième d'azur à la nef équipée et habillée d'argent voguant sur une mer du même mouvant de la pointe, la voile chargée d'une clef de sable posée de fasce, au chef d'argent chargé de cinq mouchetures d'hermine de sable et d'une clef d'or brochant en fasce sur les mouchetures, le panneton à sénestre vers la pointe, sur le tout de gueules au vaisseau équipé d'or, habillé d'hermine, voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe et ondée d'argent, au chef aussi d'hermine[28]. »

Un autre blason, non officiel, fut proposé par l'héraldisteRobert Louis. Il se blasonne ainsi :« D'hermine à la fasce ondée d'azur »

Armes de la Loire-Atlantique selon Robert Louis

Logos

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  • Ancien logo du département.
    Ancien logo du département.
  • Logo du conseil général jusqu'en 2012.
    Logo du conseil général jusqu'en 2012.
  • Logo actuel.
    Logo actuel.

Drapeau

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  • Drapeau non-officiel de la Loire-Atlantique, combinant l'hermine bretonne à un tracé bleu symbolisant la Loire.
    Drapeau non-officiel de la Loire-Atlantique, combinant l'hermine bretonne à un tracé bleu symbolisant la Loire.

Nom

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Engallo, le nom du département estLouérr Atlântiq[29] (enécriture MOGA, prononcé/lwe.ra.tlɑ̃ː.tik/), et enbretonLiger-Atlantel[30] (prononcé/ˈliː.ɡɛ.rat.ˈlãn.tɛl/).

Géographie

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Article détaillé :Géographie de la Loire-Atlantique.

Située sur lacôte atlantique française, la Loire-Atlantique est limitrophe des départements duMorbihan au Nord-Ouest, d'Ille-et-Vilaine au Nord, deMaine-et-Loire à l'Est et deVendée au Sud. La côte ouest est bordée par l'océan Atlantique. Le département est traversé par laLoire qui, à partir deNantes constitue unestuaire et se jette dans l'océan au niveau deSaint-Nazaire. La vallée de la Loire est ici appeléeBasse-Loire.

  • Paysages de la Loire-Atlantique :
  • Campagne nantaise dans le centre.
    Campagne nantaise dans le centre.
  • Plage grande falaise à La Turballe, dans l'ouest.
    Plage grande falaise àLa Turballe, dans l'ouest.
  • Paysage de Brière, dans l'ouest.
    Paysage deBrière, dans l'ouest.
  • Lac de Grand-Lieu, dans le sud.
    Lac de Grand-Lieu, dans le sud.

Géologie

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Le département fait partie duMassif armoricain ; sa géologie est variée (schistes et grès primaires, faluns tertiaires)[31]. Lebassin houiller de Basse Loire s'étend dans l'est du département[32].

Relief

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Article connexe :Liste des départements de France par altitude.

Avec unealtitude moyenne de seulement34 mètres, la Loire-Atlantique présente la particularité d'être le département le plus plat deFrance[33].

Le relief de la Loire-Atlantique est donc globalement très peu marqué. Au nord-est de la Loire, on trouve leBocage angevin, qui correspond approximativement aux Pays deChâteaubriant et d'Ancenis, et qui fait partie d'unerégion forestière nationale portant le même nom. Il s'étend également sur les départements deMaine-et-Loire et de laMayenne. Il s'agit d'un ensemble de plateaux d'altitude voisine de 100 mètres : le point culminant du département est lacolline de la Bretèche (116 mètres), située sur la commune deFercé.

Au sud du fleuve, vers lepays de Retz, le paysage se caractérise plutôt par une succession de collines atteignant30 mètres. Tandis qu'au nord-ouest du fleuve, leSillon de Bretagne, une suite de collines, traverse le département selon une direction nord-ouest/sud-est.

Hydrographie

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Article détaillé :Réseau hydrographique de la Loire-Atlantique.
Marais salants de Guérande.

La Loire-Atlantique est le deuxième département français en surface de marais (72 000 hectares)[34]. Le département dispose de grandes zones humides. Les principales sont l'estuaire de la Loire, lesmarais de Brière et leLac de Grand-Lieu mais aussi de nombreuses petites zones humides dont le rôle est essentiel[35].

L'estuaire de la Loire comprend22 000 hectares d'espaces naturels dont5 000 hectares de fleuve[36].

LaLoire constitue un élément géographique majeur ; on considère généralement que son estuaire commence en aval de la ville et les variations de niveau liées à l'influence océanique desmarées y sont perceptibles (l'Acheneau, un de ses affluents situé au sud de l'estuaire, voit parfois son cours s'inverser lors de fortes marées). Le Nord du département est traversé d'est en ouest par les vallées de laChère, duDon et de l’Erdre, de laChézine, duGesvres, au sud par celle de laSèvre Nantaise.

Littoral

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La Loire-Atlantique possède 133 kilomètres de côtes le long de l'océan Atlantique, dont 68 de plages[37]. Le littoral se divise entre laCôte d'Amour à l'ouest de Nantes et au sud-ouest de Guérande[38] et lacôte de Jade au sud de celui-ci.

Carte

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Climat

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Article détaillé :Climat de la Loire-Atlantique.

Avec sa façade océanique orientée vers l'ouest et un relief peu accentué, leclimat de la Loire-Atlantique est de typetempéréocéanique, humide, doux et change peu d'un endroit à l'autre du département.

La température moyenne annuelle est de l'ordre de11 °C. Les hivers y sont doux (températures moyennes de°C à°C) et pluvieux, les étés moyennement chauds (24 °C en moyenne) et ensoleillés. Lebrouillard est fréquent, surtout l'hiver.

Les précipitations, dont la moyenne annuelle varie entre 650 et 800 mm, sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes ; le chiffre moyen de 820 mm de pluie par an masque par ailleurs une irrégularité des précipitations d'une année sur l'autre. Lecrachin est fréquent durant l'hiver.

L'ensoleillement de la Loire-Atlantique est d'environ 2 000 heures par an. Sur la côte, l'ensoleillement est plus élevé qu'à l'intérieur du département.

Sous l'influence majeure de l'océan Atlantique, la météo peut être très variable au fil des heures dans une journée, surtout sur la côte du département.

Climatologie de la Loire Atlantique de 1958-2008
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température moyenne (°C)5,796,488,5510,6614,1217,2419,2419,1616,8813,198,766,1812,19
Ensoleillement (h)699313917017921421222320511588881 796
Précipitations (mm)87,2468,2264,2153,5362,9742,6946,1447,8764,0385,5159,45174,02801,85
Source :Météo à Nantes


Données climatiques de la station de Nantes (1981-2010)
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)3,12,94,86,49,912,614,414,211,99,45,73,48,3
Température maximale moyenne (°C)99,91315,519,222,724,82522,117,512,49,316,7
Source : données climatiques météo France[39]


Urbanisme

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Logement

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Résidences principales

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Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Résidences secondaires

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En 2018, les résidences secondaires représentent plus de la moitié des logements sur le littoral[40].

Voies de communications et transports

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Article détaillé :Transports dans la Loire-Atlantique.

La gestion du réseau routier est assurée par la direction interdépartementale des routes Ouest[41].

Économie

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Articles détaillés :Économie de la Loire-Atlantique etTransports dans la Loire-Atlantique.

L'économie de la Loire-Atlantique est laquinzième enFrance en termes deproduit intérieur brut par habitant[42].

Agriculture

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Le département dispose d'une forte tradition maraîchère[43].

Grandes entreprises

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Au, le département compte 396 entreprises publiant un chiffre d'affaires annuel de plus de 20 millions d'euros[44].

Tourisme

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Article détaillé :Tourisme dans la Loire-Atlantique.
Tourisme balnéaire : la plage deLa Baule-Escoublac.

La Loire-Atlantique est la6e destination touristique des Français avec24,5 millions denuitées, et fournit de l'emploi à 20 000 personnes[45],[46].

Démographie

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Article détaillé :Démographie de la Loire-Atlantique.


En 2022, le département comptait 1 473 156 habitants[Note 2], en évolution de +6,68 % par rapport à 2016 (France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179118011806182118261831183618411846
-369 305417 124433 815457 090470 093470 768486 806517 265
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185118561861186618721876188118861891
535 664555 996580 207598 598602 206612 972625 625643 884645 263
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
189619011906191119211926193119361946
646 172664 971666 748669 920649 691651 487652 079659 428665 064
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
195419621968197519821990199920062011
733 575803 372861 452934 499995 4981 052 1831 134 2661 234 0851 296 364
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201620212022------
1 380 8521 457 8061 473 156------
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[47] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[48] puis population municipale à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Les zones urbaines du département.

Sa densité moyenne est de 216,2 hab./km2, mais ce nombre masque des disparités importantes. Les agglomérations de Nantes et de Saint-Nazaire concentrent à elles seules 55 % de la population de Loire-Atlantique, sur seulement 12% du territoire du département. La métropole Nantes Saint-Nazaire compte selon l'Agence urbanisme de l'agglomération nantaise (AURAN), 901 000 habitants et représente ainsi la5e métropole française derrière Paris, Marseille-Aix-en-Provence, Lyon, et Lille (hors partie belge). De fait, les trois-quarts des Ligériens résident le long de la Loire (principalement sur la rive droite), depuisAncenis jusqu'à l'estuaire. Les deux aires urbaines les plus importantes qui n'appartiennent pas à cet ensemble,celle de Nantes etcelle de Saint-Nazaire, sont l'aire urbaine de Châteaubriant (24 132 habitants répartis dans dix communes en 2013), l'unité urbaine de Clisson (17 882 habitants répartis sur quatre communes en 2012), et l'aire urbaine deVarades (6 614 habitants répartis dans deux communes en 2013).Saint-Mars-la-Jaille est également considéré comme une aire urbaine monocommunale par l'INSEE.

Entre 1990 et 1999, le département a gagné plus de 82 000 habitants (soit une progression annuelle de 0,84 %), l'un des plus forts accroissements en France pendant cette période, autant dû au solde naturel qu'au solde migratoire. Avec près de 600 000 habitants, l'agglomération de Nantes se situe au8e rang national ; la population de son aire urbaine est estimée en 2009 à 862 111 habitants.

Entre 1999 et 2009, le département croît de 132 000 habitants, soit une progression annuelle de 1,06 %.

Entre 2008 et 2018, la population du département croît de 164 500 habitants, soit une progression annuelle moyenne de 1,32 % (5ème plus forte croissance de France Métropolitaine); la population de l'aire urbaine de Nantes est estimée en 2018 à 986 300 habitants.

Communes les plus peuplées

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Liste des quinze communes les plus peuplées du département
NomCode
Insee
IntercommunalitéSuperficie
(km2)
Population
(dernièrepop. légale)
Densité
(hab./km2)
Modifier
Nantes44109Nantes Métropole65,19325 070(2022)4 987modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Nazaire44184CA de la Région Nazairienne et de l'Estuaire46,7973 111(2022)1 563modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Herblain44162Nantes Métropole30,0250 561(2022)1 684modifier les donnéesmodifier les données
Rezé44143Nantes Métropole13,7843 349(2022)3 146modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Sébastien-sur-Loire44190Nantes Métropole11,6628 373(2022)2 433modifier les donnéesmodifier les données
Orvault44114Nantes Métropole27,6728 341(2022)1 024modifier les donnéesmodifier les données
Vertou44215Nantes Métropole35,6826 048(2022)730modifier les donnéesmodifier les données
Couëron44047Nantes Métropole44,0323 541(2022)535modifier les donnéesmodifier les données
Bouguenais44020Nantes Métropole31,5020 590(2022)654modifier les donnéesmodifier les données
Carquefou44026Nantes Métropole43,4220 535(2022)473modifier les donnéesmodifier les données
La Chapelle-sur-Erdre44035Nantes Métropole33,4220 483(2022)613modifier les donnéesmodifier les données
Pornic44131CA Pornic Agglo Pays de Retz94,1818 382(2022)195modifier les donnéesmodifier les données
Guérande44069CA de la Presqu'île de Guérande Atlantique81,4416 684(2022)205modifier les donnéesmodifier les données
La Baule-Escoublac44055CA de la Presqu'île de Guérande Atlantique22,1916 613(2022)749modifier les donnéesmodifier les données
Sainte-Luce-sur-Loire44172Nantes Métropole11,4516 227(2022)1 417modifier les donnéesmodifier les données

Densité de population dans le département

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La densité de population moyenne de la Loire-Atlantique était de 212,1 habitants par km2 en 2021[50].

Densité de population en Loire-Atlantique en 2024

Culture

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Leconseil départemental est le propriétaire et le gestionnaire[51] d'unpatrimoine architectural classé qui comprend lemusée Dobrée, les châteauxde Châteaubriant etde Clisson, ledomaine de la Garenne Lemot (Gétigné), dû àFrançois-Frédéric Lemot etMathurin Crucy, et l'église du Vieux-Bourg deSaint-Sulpice-des-Landes, remarquable pour sonensemble peint de l'époque gothique.

Par ailleurs,Le Grand T[52], auparavant connu sous le nom de Maison de la culture de Loire-Atlantique (MCLA), est unescène conventionnée missionnée par le conseil général et qui accueille des pièces dethéâtre et des spectacles dedanse et dechant. Située rue duGénéral-Buat, la salle de spectacle propose879 places tandis que la chapelle peut accueillir80 personnes.

Le département accueille lefestival demetalHellfest[53], qui se tient àClisson tous les ans au mois de juin[54].

Langues

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Article détaillé :Langues en Loire-Atlantique.

En plus dufrançais, plusieurs langues sont ou étaient traditionnellement parlées en Loire-Atlantique :

  • Legallo, langue d'oïl pratiquée enHaute-Bretagne, est parlé dans la majeure partie de la Loire-Atlantique. L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) classe le gallo comme « sérieusement en danger » d'extinction[55]. Le nombre de locuteurs du gallo est difficile à cibler. L'enquête socio-linguistique déclarative portée par larégion Bretagne et l'institut TMO en 2025 estime le nombre de gallophones à 132 000 en moyenne (pour 191 000 en 2018). Selon cette enquête, 2,2 % des habitants du département parleraient le gallo. Le taux de locuteurs est plus haut dans le nord du département avec 5 % dans le pays d'Ancenis, 11 % dans le pays deChâteaubriant et 7 % dans le pays deRedon. Six pour cent des habitants du département entendraient parler gallo autour d'eux au moins une fois par mois. Cependant, ces données sont biaisées par la méconnaissance du terme « gallo » ou même « patois » et l'absence de conscience linguistique chez une grande partie des locuteurs. Cinquante-cinq pour cent des personnes enquêtées en Loire-Atlantique déclarent ne pas connaître le terme « gallo »[56]. Bien qu'enseigné du premier degré à l'université dans le reste de la Haute-Bretagne, en Loire Atlantique, le gallo n'est enseigné depuis la rentrée 2019 qu'à l'école primaire privée deSion-les-Mines. Le gallo parlé en Loire-Atlantique présente des variations dialectales qui lui sont propres qui le démarquent du reste de l'aire linguistique. L'une des plus remarquables est l'absence de distinction phonétique entre les formes du singulier et celles du pluriel (exemple : « un chapéo/des chapéos » ou un « chapiao/des chapiaos »). Les particularités phonologiques, lexicales et syntaxiques sont renseignées par plusieurs travaux, notamment leDictionnaire du patois du Canton de Blain de Louis Bizeul, leDictionnaire du Parler deBouvron d’Arthur Maillard, le travail de thèse de Serge Jouin sur le gallo d'Abbaretz ainsi que les nombreux lexiques parus dans le périodiquePihern deGuémené-Penfao.
Panneau routier dans lapresqu'île guérandaise souhaitant la bienvenue en français et en breton.
  • AuIXe siècle lalangue bretonne était parlée dans le tiers ouest du département, jusqu'àMarsac-sur-Don,Blain,Donges etPornic. Son recul fut progressif, les îlots de « persistance » les plus importants ayant été lapresqu'île guérandaise et laBrière[57]. Dans la presqu'île deGuérande, la langue bretonne fut utilisée jusqu'au début duXXe siècle[57] et la dernière locutrice native mourut àBatz-sur-Mer, au village de Kermoisan, en 1965. Il est probable que l'emploi du breton chez les paludiers et saulniers subsista par la nécessité de vendre du sel dans le Morbihan et le Finistère.
    Par ailleurs, certains quartiers populaires de Nantes commeChantenay furent également bretonnants jusque dans les années 1920 à 1930, conséquence de l'immigration de personnes originaires de parties de la Bretagne où l'on parlait breton.
    De nos jours, les effectifs pondérés que fournit l'enquêteÉtude de l'histoire familiale menée par l'Insee en1999 sont de plus de 6 500 locuteurs du breton de plus de 18 ans pour ce seul département[58].
    À la rentrée2019, 0,5 % des enfants de la Loire-Atlantique étaient scolarisés en filière bilingue français-breton dans le primaire, 0,8 % dans le pré-élémentaire et 0,1 % au collège (il n'existe pas d'offre d'enseignement bilingue au lycée dans le département, les parents doivent envoyer leurs enfants dans un autre département breton). Cet enseignement rassemble 0,3 % du total des effectifs[59].
Article détaillé :Breton de Batz-sur-Mer.
  • Dans la partie du département située au sud de la Loire, allant duPays de Retz auVignoble nantais, était parlé un dialectegallo influencé par le dialectepoitevin. On retrouve cette situation également dans lesMauges (Maine-et-Loire) où le parlerangevin reçoit aussi une influence poitevine, laquelle se fait encore plus sentir en allant dans le sud de cette région, au contact duBas-Poitou.
  • D'aprèsAbel Hugo, en 1835, la langue française était la seule généralement usitée dans les villes, mais avec une prononciation traînante sur les finales. L'accent caractéristique des cantons était encore plus fortement marqué que celui des villes. On distinguait facilement un habitant de la rive gauche de la Loire d'un habitant des environs de Châteaubriant, de Blain ou de Batz. Dans les environs de Guérande, les paysans parlaient également le français et le bas-breton. L'usage de ces deux langues leur était nécessaire pour la « troque » ou le commerce d'échanges qu'ils faisaient avec les départements d'au-delà de la Vilaine[60].

Politique

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Article détaillé :Politique en Loire-Atlantique.

Sensibilités politiques

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Comme une grande partie du reste de l'Ouest de la France, la Loire-Atlantique a la réputation d'être un département conservateur. En effet, de tradition catholique (à l'exception de la région ouvrière deSaint-Nazaire), le département a voté à droite tout au long de laIIIe République, en opposition à la gauche anticléricale. Dans leTableau politique de la France de l'Ouest sous la Troisième République,André Siegfried oppose le couloir républicain de la Basse-Loire au reste du département (les quatre cinquièmes), catholique conservateur.

Entre 1935 et 1953, l'assemblée départementale est dominée par la droite. Le poids des cantons ruraux de tradition catholique explique la permanence de ce choix[61].À la fin de laSeconde Guerre mondiale, l'électorat du département se tourne vers leMouvement républicain populaire (MRP)[62].

Dans lesannées 1950, les catholiques se situant plus à gauche que le MRP se retrouvaient dans plusieurs petites organisations, dont la plus importante dans le département est le MLP (Mouvement de libération du peuple). Ses principaux responsables (Raymond Viaud et André Coutant) sont plus tard parmi les fondateurs duPSU. Toutes ces petites formations fusionnent le pour former la fédération départementale de l’UGS[63].

Au cours de l’été 1958, la gauche non communiste opposée au gaullisme se rassemble sous l’étiquette d’Union des forces démocratiques. En Loire-Atlantique, l’UFD se manifeste à deux reprises dans des élections : aux législatives de novembre 1958 à Saint-Nazaire, et aux municipales à Nantes en 1959. À Saint-Nazaire, l’UFD présenta la candidature de l’ancien secrétaire des métaux CGT, Jean Ramet dont le suppléant, René Chatal, avocat très connu et conseiller municipal de Saint-Nazaire, adhéra plus tard au PSU. Dans un contexte très difficile, le candidat UFD obtint un score non négligeable : 9,73 % des voix. La défaite du député socialiste sortant, Jean Guitton, au profit du MRP Nestor Rombeaut, n’arrangea pas les relations entre la SFIO et l’UFD[63].

À Nantes se constitua pour l’élection municipale de 1959 une liste UFD emmenée par Henri Forget. Pour la première fois, des militants laïques et des militants catholiques se retrouvent ensemble sur une liste de gauche à côté des partis habituellement en lice[63].

En 1977 les socialistes nantais s’allient au PCF sur une liste d’Union de la gauche et remportent la mairie. À l’issue des municipales de 1977, soixante villes de plus de 30 000 habitants sont conquises par l’Union de la gauche dont Nantes[64].

Après lesélections municipales de 2014, la gauche perd plusieurs communes du département (Blain,Clisson,Donges,Trignac,Thouaré-sur-Loire,Saint-Philbert-de-Grand-Lieu,Sainte-Luce-sur-Loire,Vallet,La Turballe,Le Pellerin,Sucé-sur-Erdre etVigneux-de-Bretagne)[65].

Auxdépartementales de 2015 , le binôme Union de la Droite obtient 48,89 des suffrages et 30 sièges[66].

Lors desélections législatives de 2024, leNouveau Front populaire (NFP) arrive en tête avec 46.16 % des voix[67].

Question du rattachement à la Bretagne

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Article détaillé :Question du rattachement de la Loire-Atlantique à la région Bretagne.

Le,Étienne Clémentel, ministre du commerce et de l'industrie de Georges Clemenceau, instaure 15 groupements d'intérêts régionaux autour des principales chambres de commerce. Dans ce découpage, les villes de Rennes et Nantes ont toutes les deux leur propre groupement[68].

Depuis 2004 et le passage dePatrick Mareschal à la présidence du conseil général, ledrapeau de la Bretagne flotte devant l'hôtel du département.
Panneau installé à l'entrée du département.
Graphique réalisé suivant les données recueilli parSkol Breizh sur le rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne.

SelonMarc Le Fur, la Loire-Atlantique aurait été rattachée à la région d'Angers via un décret dugouvernement de Vichy du[68]. Cette idée est défendue parAlan Stivell[69].

Un autre découpage, celui de la France en provinces, défini par leConseil national en, établit une province de Bretagne en cinq départements, dont les limites auront suscité un arbitrage dumaréchal Pétain lui-même mais qui n'aura guère d'existence effective[70].

Cependant, le décret du séparant la Loire-Inférieure du reste de la Bretagne devait rester provisoire[68].

Le décret Pflimlin du a créé lesrégions de programme qui avaient pour objectif d'optimiser l'aménagement du territoire : selon des considérations économiques, la Loire-Atlantique est placée dans la région Pays de la Loire[71].

La création despréfets de région en 1964, des établissements publics régionaux en 1972 et desrégions en 1982 a entériné ce découpage et lui a donné une légitimité. Dans cette même période, l'identité bretonne s'est affirmée et l'attribution de la Loire-Atlantique aux Pays de la Loire s'est trouvée contestée. En 1972, le conseil général du département a émit le vœu d'être rattaché à une région incluant les cinq départements bretons mais en y associant les départements voisins[72].

En 2007, plusieurs associations, groupes de pression et partis politiques militant pour la réunification sontBretagne réunie (ex CUAB), l'Union démocratique bretonne (UDB), leParti breton (en),Les Verts et leModem (dont les élus auconseil régional de Bretagne se sont exprimés en faveur de la réunification)[73], tout comme certains élus ou responsables FN, UMP, PS, PRG et PCF qui se sont prononcés favorablement[74].

En 2014, dans la commune deSaint-Viaud a été organisée unevotation sur la question du rattachement à la Bretagne. Deux cent quarante sept votants sur 1 566 inscrits ont votés « oui »[75]. La même année Yann Queffélec, Alan Stivell, plusieurs chefs d'entreprises et parlementaires sont venus à l'Assemblée à l'invitation de l'association "Bretagne réunie" pour défendre le rattachement de Nantes à la Bretagne[69].

Selon un sondage commandé à l'Institut français d'opinion publique (IFOP) par les associations « À la bretonne », « Unis pour un grand Val de Loire » et « Décidons en Vendée » en 2021, 66 % des habitants des Pays de la Loire jugent légitime que les habitants de Loire-Atlantique puissent décider par référendum du rattachement éventuel de leur département à la région Bretagne. Dans l'hypothèse où un tel référendum serait organisé, 67 % des Ligériens voteraient « pour »[76].

En 2023, dans le respect de son programme de campagne aux municipales de 2020, la municipalité de Nantes a créé une instance pour réclamer un référendum sur le rattachement de la Loire-Atlantique à la région Bretagne, un courrier a été envoyé au premier Ministre en ce sens, de nombreuses autres collectivités sont également signataires[77].

Notes et références

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Notes

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  1. Prononciation enfrançais de France standard retranscrite phonémiquement selon la normeAPI.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

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  24. Décretno 2017-1757 du 26 décembre 2017 portant modification des limites territoriales de cantons, d’arrondissements et de départements dans la Loire-Atlantique et le Maine-et-Loire.
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  33. L'altitude moyenne est calculée grâce au logiciel Quantum GIS avec les MNT ASTER de 30 m pour l'Outre-Mer (sans l'île de la Réunion) et les Pyrénées-Orientales (pour ce département l'erreur vient du fait que, côté espagnol, les données d'altitude ne sont pas présentes). (ASTER GDEM est un produit de METI and NASA) et la BD ALTI au pas de 75 m pour la métropole et l'île de la Réunion et les polygones des départements (issus d'Openstreetmap, excepté pour la Guyane où le contour du département est issu de la version gratuite de GeoFLA).
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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Bernard Rio,Les Sentiers d’Émilie en Loire-Atlantique, 25 promenades pour tous
  • Stéphane Pajot :
    • Personnages pittoresques de Nantes et de Loire-Atlantique, éditions d'Orbestier, 1999,
    • Histoires extraordinaires de Nantes et de Loire-Atlantique, éditions d'Orbestier, 2004,
    • Les Mystères de Nantes et de Loire-Atlantique, éditions d'Orbestier, 2001
  • Jean-Yves David,Des Orchidées sauvages en Loire-Atlantique
  • Erwan Balanca,Loire-Atlantique, sauvage et secrète, éditions Coiffard
  • Préface de Michel Chaillou,Balade en Loire-Atlantique, sur les pas des écrivains, Éditions Alexandrines, 2009.

Articles connexes

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Liens externes

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