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Lisbourg

50° 30′ 27″ nord, 2° 13′ 04″ est
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Lisbourg
Lisbourg
L'église Saint-Omer.
Blason de Lisbourg
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementPas-de-Calais
ArrondissementArras
IntercommunalitéCC du Ternois
Code postal62134
Code commune62519
Démographie
GentiléLisbourgeois
Population
municipale
591 hab.(2022en évolution de +0,51 % par rapport à 2016)
Densité33 hab./km2
Géographie
Coordonnées50° 30′ 27″ nord, 2° 13′ 04″ est
AltitudeMin. 103 m
Max. 184 
m
Superficie17,77 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionFruges
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Lisbourg
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Lisbourg
Géolocalisation sur la carte :Pas-de-Calais
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Lisbourg
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Lisbourg
Liens
Site webwww.lisbourg.fr
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Lisbourg[lisbuʁ] est unecommune française située dans ledépartement duPas-de-Calais enrégionHauts-de-France. Ses habitantssont appelés lesLisbourgeois. La commune est membre de lacommunauté de communes du Ternois.

La commune de Lisbourg (nom officiel depuis 1801), où laLys prend sa source, est située dans le centre du département du Pas-de-Calais à 6 km, à vol d'oiseau, à l'est de la commune deFruges. C’est une commune de type commune rurale à habitat dispersé selon l'Insee avec une population de 591 habitants au dernier recensement de 2022, la population qui a décru depuis 1841 (1 171 habitants) se stabilise depuis les années 2000.

La commune est située à la jonction dedeux paysages tels qu'ils sont définis dans l'atlas de paysages : les « paysages du Ternois » et les « paysages des hauts plateaux artésiens ».

Sur le territoire communal se trouve lamotte féodale et la basse-cour qui font l’objet d’une inscription au titre desmonuments historiques.

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le centre du département duPas-de-Calais, Lisbourg est une commune où laLys prend sa source et qui est située,à vol d'oiseau, à 6 km à l'est de la commune deFruges (aire d'attraction) et à 46 km au nord-ouest de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement etpréfecture du Pas-de-Calais)[1].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes.Les communes limitrophes sontBeaumetz-lès-Aire,Crépy,Équirre,Hézecques,Laires,Prédefin etVerchin.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 1].

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 17,77 km2 ; son altitude varie de103 à 184 mètres[2].

Au nord-est de la commune, on peut observer desdolines, phénomènegéomorphologique relativement rare dans le nord de la France, souvent associé à la présence decreuses.

Hydrographie

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Article connexe :Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais.

Le territoire de la commune est situé dans lebassin Artois-Picardie[3].

À une altitude de114,7 mètres, laLys, d'une longueur de 134,01 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune deGand, enBelgique[4]. Dans la nuit du, à la suite d'éboulements souterrains, la Lys abandonne sa source historique pour jaillir sous une route communale en formant un geyser de quelques dizaines de centimètres de haut. Depuis cette nouvelle source a été aménagée par la communauté de communes et de l’associationLys sans frontières[5].

La commune est également traversée par quatre cours d'eau :

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Lisbourg[Note 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat du Nord-Pas-de-Calais.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[12] et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,1 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 902 mm, avec12,9 jours de précipitations en janvier et8,7 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deFiefs à8 km àvol d'oiseau[16], est de10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−18,5 °C, atteinte le[Note 3].

Paysages

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Pour un article plus général, voirPaysage en France.

La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l'atlas des paysages de la régionNord-Pas-de-Calais, conçu par ladirection régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 4],[19] :

  • les « paysages du Ternois », qui concernent138 communes avec trois pôles d'attraction que sontHesdin-la-Forêt à l'ouest,Saint-Pol-sur-Ternoise à l'est et, dans une moindre mesure,Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d'eau : laCanche au sud et laTernoise au nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre150 à 160 m[20].
Le territoire d'une vingtaine de kilomètres du nord au sud et d'est en ouest, est traversé par laD 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin-la-Forêt, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par laligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l'absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural[20].
Au niveau de l'occupation des sols de ces « paysages du Ternois », les surfaces cultivées représentent 66,80 % de la surface totale et sont omniprésentes sur les plateaux avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, les prairies naturelles, permanentes 19 %, les forêts, comme la forêt d'Hesdin, et milieux semi-naturels 7,26 %, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, les espaces artificialisés 3,22 % avec principalement les communes de Saint-Pol-sur-Ternoise, Hesdin-la-Forêt et Frévent, les espaces industriels 0,52 % et les cours d'eau et plans d'eau 0,21 %[20] ;
  • les « paysages des hauts plateaux artésiens », qui concernent77 communes duPas-de-Calais, se situent à l'extrémité ouest descollines de l'Artois qui traversent le Pas-de-Calais d'Arras auBoulonnais. L'altitude de ces paysages dépassent les180 mètres. Ces dimensions sont modestes, d'une quinzaine de kilomètres du sud-est au nord-ouest et d'une vingtaine de kilomètres dans sa dimension la plus grande[21].
Les « paysages des hauts plateaux artésiens », appelés aussi « Haut Artois », se caractérisent par trois ensemblesécopaysagers :
    • l'ensemblemésophile ouvert du plateau artésien calcaire ;
    • l'ensemblealluvial des fonds de vallée de la Lys et de l'Aa ;
    • l'ensemblecalcicole des versants calcaires des vallées[21].
Le « Haut Artois » dispose d'une importante densité decorridors biologiques bien interconnectés[21].
Dans le « Haut Artois », pas de villes, c'est une des rares terres rurales de la région, les communes les plus importantes sont, du nord au sud,Lumbres,Fauquembergues etFruges. Le « Haut Artois », drainé par l'Aa et laLys, constitue le sommet de l'anticlinalartésien, paysage ventée, froid et aux précipitations importantes qui en font le château d'eau régional[21].
Leș cultures représentent 59,66 % des sols, les prairies 29,96 %, les forêts et milieux semi-naturels de 6,81 %, les espaces artificialisés 6,09 % avec les communes principales de Lumbres, Fruges et Fauquembergues, les espaces industriels 0.41 % et les cours d'eau et plans d'eau 0.08 %[21].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Article connexe :Liste des ZNIEFF du Pas-de-Calais.

L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF detype 1[Note 5] :la Haute Lys et ses végétations alluviales en amont de Thérouanne. D'une altitude variant de38 à 153 m et d'une superficie de1 053 ha, ce site correspond au fond de vallée et à quelques versants, depuis les sources jusqu’à la commune de Thérouanne[22].

et une ZNIEFF detype 2[Note 6] :la haute vallée de laLys et ses versants en amont deThérouanne. L’entité paysagère de la haute vallée de la Lys et ses versants s’étire sur une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud pour moins de dix d’Est en Ouest dans le Haut Artois[23].

  • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 sur la commune
  • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
  • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espècesfaunistiques etfloristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[24].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Lisbourg est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25].Elle est située hors unité urbaine[26]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[26]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (63,8 %), prairies (30,7 %), zones urbanisées (4,7 %), forêts (0,9 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Article connexe :Toponymie française.

Le nom de la localité est attesté sous les formesLiegesborth (844) ;Liegesburch (IXe siècle) ;Liegesburh,Ligesburth (Xe siècle) ;Lisburg (1119) ;Lisburgus (1179) ;Lisborg (1226) ;Lisborc (1232) ;Lieborc (1269) ;Liebourt (1325) ;Libourc (1326) ;Liesbourc (1375) ;Liebourg (1430) ;Libourcq (1474) ;Libourg (vers 1512) ;Lysbourg (1635) ;Liscours-en-Gruseliers (1720)[30] ;Lisbourg en 1793 et depuis 1801[2].

L'origine du nom vient de la rivièreLys et duflamandgeboorte (« naissance »), « source de la Lys »[31]. LaLys prend sa source à Lisbourg.

Le nom de la commune s'écritLiegesboort enflamand[32].

Histoire

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Lisbourg est le cadre d'un épisode curieux auIXe siècle :Hugues l'Abbé, fils deCharlemagne, abbé de plusieurs abbayes, conçoit l'idée de ramener à l'abbaye du Mont Saint-Quentin, les restes de saint Omer (Audomar de Thérouanne) conservés àSaint-Omer. Cette action provoque une vive réaction de saint Folquin (Folquin de Thérouanne) alorsévêque de Thérouanne, qui envoie une troupe armée pour récupérer la relique. Les ravisseurs sont rattrapés à Lisbourg, ils fuient en abandonnant les saints restes. Folquin organise alors le retour en grande pompe de la relique à Saint-Omer[33].

Baugeois de Gribauval, Gilbert de Gribauval, le Ploutre de Gribauval, tous trois sur la commune actuelle de Lisbourg, combattent et trouvent la mort lors de labataille d'Azincourt en 1415[34].

Le, la seigneurie de Lisbourg-en-Artois est érigée enmarquisat, par lettres données à Madrid[35] au bénéfice de Jacques de Noyelles, comte deCroix, vicomte de Noyelles, gouverneur duchâteau de la Motte-au-Bois, chef des finances, commissaire au renouvellement des lois ducomté de Flandre, qui s'est acquitté de ses fonctions à l'entière satisfaction du roi. Jacques de Noyelles est ainsi chevalier,marquis et châtelain de Lisbourg, comte deCroix, vicomte de Nielle,baron deMaldeghem, trésorier et commissaire du roi pour le changement des magistrats de Flandre[36].

Eugène de Noyelles, sans doute un des descendants de Jacques de Noyelles, est après lui marquis de Lisbourg, comte deMarle, vicomte de Nielle, baron de Rossignol, seigneur de divers lieux, et gouverneur, comme Jacques avant lui, duchâteau de La Motte-au-Bois[36].

En, par lettres données à Versailles, la terre de Lisbourg, située aucomté de Saint-Pol est de nouveau érigée en marquisat. Elle possède toute lajustice seigneuriale, elle consiste en censives (terres concédées contre paiement d'uncens) foncières et seigneuriales, bois, moulins, prairies, etc. En dépendent plusieurs terres à clocher commeVerchin,Radinghem, Tilly, Capelle, (sans douteTilly-Capelle)(Senlis,Ambricourt,Crepy et Surplois, et quarante beaux fiefs. Elle a toujours eu entrée auxÉtats d'Artois. Elle est égalementchâtellenie en septembre 1694. Jean-François Volant de Berville, chevalier de justice de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, seigneur de Berville, de la terre, bourg et châtellenie de Lisbourg, Grosilliers, Derghinheuze, La Vallée, Le Breuil,Grincourt, Courcelles-le-Leu en partie, est ainsi fait marquis de Lisbourg[37].

Politique et administration

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Découpage territorial

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Article connexe :Arrondissements du Pas-de-Calais.

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département duPas-de-Calais[38].

Commune et intercommunalités

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Article connexe :Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.

La commune faisait partie de la petitecommunauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

Dans le cadre de laréforme des collectivités territoriales françaises, par la loide réforme des collectivités territoriales du[39] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le lacommunauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[40]. À l'initiative des intercommunalités concernées[41], lacommission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- lacommunauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[42] ;
- lacommunauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de lacommunauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Leschéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du[43],[44].

Lacommunauté de communes du Ternois[38], qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le[45]. Elle regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021

Circonscriptions administratives

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Articles connexes :Liste des cantons du Pas-de-Calais,Conseil départemental du Pas-de-Calais etListe des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.

La commune faisait partie ducanton d'Heuchin[2]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée aucanton de Saint-Pol-sur-Ternoise[38].

Circonscriptions électorales

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Articles connexes :Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais etListe des députés du Pas-de-Calais.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de lasixième circonscription du Pas-de-Calais[46].

Élections municipales et communautaires

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Articles connexes :Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais,Histoire des maires de France etNomination des maires sous la Troisième République française.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
juillet 1855[47]avril 1876Jean Baptiste Defebvin  
avril 1876[47]mai 1984Maxime Desmons  
mai 1884[47]mai 1896Jules Lemoine  
mai 1896[47]mai 1908Raymond Blondel  
mai 1908[48]décembre 1919Alexandre Toulotte  
décembre 1919[49]mai 1929François Defebvin  
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1947[50] Adolphe Billet  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959mars 1989François Baude Entrepreneur, négociant de matériaux
mars 1989mars 2001Daniel Baude[51] Entrepreneur de travaux publics
mars 200121 octobre 2011[52]Jean-Marie Guilbert Responsable commercial retraité
Décédé en fonction
4 décembre 2011[53]juillet 2020[54]Bernard Crohem[55],[56],[57] Retraité
juillet 2020[58]janvier 2021[59]Olivier Delbé[60]Ext. Dte.Conseiller régional des Hauts-de-France(2010-2021)
Décédé en fonction
juin 2021en cours
(au 10 juin 2021)
Willy Gallet Commerçant et assimilé
Ancien premier maire-adjoint d'Olivier Delbé[61]

Équipements et services publics

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La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de lazone B.

Elle administre uneécole primaire[62].

Équipements municipaux

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La commune a aménagé une salle multifonctions dans l'ancienpresbytère, qui se révèle trop exigu. Une nouvelle salle, d'environ 350 m2, doit être construite au même emplacement. Son ouverture est escomptée fin 2017[63].

Population et société

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Démographie

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Les habitantssont appelés lesLisbourgeois[64].

Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[66].

En 2022, la commune comptait 591 habitants[Note 8], en évolution de +0,51 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 0051 0581 0811 1171 1331 1471 1711 1401 075
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 0131 0761 0331 0281 000960961912892
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
900892872782712677672645667
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
682656678706655587566563571
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
591591-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puisInsee à partir de 2006[67].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait304 hommes pour296 femmes, soit un taux de 50,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[68]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
2,0 
9,7 
75-89 ans
10,9 
16,7 
60-74 ans
17,7 
14,7 
45-59 ans
17,1 
21,1 
30-44 ans
16,1 
15,4 
15-29 ans
16,1 
22,2 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[69]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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La commune est dans le « Haut-pays d'Artois », une petiterégion agricole dans le département du Pas-de-Calais[70]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est lapolyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].

1988200020102020
Exploitations62432420
SAU[Note 10] (ha)1 4931 4741 4561 221

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 62 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 43 en 2000 puis à 24 en 2010[72] et enfin à 20 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 68 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 65 % de ses exploitations (passant de 16 556 à 5 736)[73],[Carte 4]. Lasurface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de1 493 ha en 1988 à1 221 ha en 2020 (soit - 18,22 %)[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à61 ha[72],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Article connexe :Armorial des communes du Pas-de-Calais.
Blason de LisbourgBlason
D'argent à la fasce d'azur chargée de trois croisettes pattées d'or, accompagnée de trois merlettes de sable[77].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Ouvrages consultables auxarchives départementales du Pas-de-Calais[78] :

  • M. Champagne, Terriers 1540 à 1637. Rôle des centièmes de 1570. Table patronymique. Mariages 1679 à 1737. Classement alphabétique, Wambrechies, Groupement Généalogique de la Région du Nord, 2000.
  • J.-M Delebeau et J.-P. Jessenne, Lisbourg : une communauté rurale d'Artois sous l'Ancien Régime, Lille, Université de Lille, 1971.

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

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Notes et références

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Notes

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. La DREAL distingue, dans la régionNord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent21 grands paysages régionaux.
  5. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[71].
  12. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  13. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations par département », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  5. a etb« Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).

Références

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  1. « Distance, à vol d'oiseau, entre deux communes », après avoir lancé la recherche de la commune, sur la droite de la page d'accueil, choisir : Accéder aux outils cartographiques/Mesures/Mesurer une distance, surle siteGéoportail(consulté le).
  2. abc etdDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Données de la commune », surle site duservice d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre)(consulté le).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lys (E3--0120) »(consulté le)
  5. « La source de la Lys », surdestinationcotedopale.com(consulté le).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé d'Équirre (E5400630) »(consulté le)
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lisbourg (E3511490) »(consulté le).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Chêne (E3511270) »(consulté le).
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Équirre (E5401380) »(consulté le)
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  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
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  18. « Station Météo-France « Fiefs », sur la commune de Fiefs - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
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  20. ab etcDREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », surhauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
  21. abcd eteDREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des hauts plateaux artésiens », surhauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
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  23. « ZNIEFF 310007270 - La haute Vallée de la Lys et ses versants en amont de Thérouanne », surLe site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  24. « statistiques des espèces recensées sur la commune », surLe site de l’Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  25. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  26. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Lisbourg ».
  27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », surle site de l'Insee(consulté le).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  30. « Dictionnaire topographique de la France », surdicotopo.cths.fr(consulté le).
  31. Toponymie générale de la France - Ernest Nègre.
  32. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
  33. Mr Bergerot, « Vie de Saint-Folquin », dansMémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855,p. 90 à 131,lire en ligne.
  34. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  35. Amédée le Boucq de Ternas,Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 247,lire en ligne.
  36. a etbLouis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 35,lire en ligne
  37. Amédée le Boucq de Ternas,Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59,lire en ligne.
  38. ab etc« Rattachements administratifs de la commune », surl'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee)(consulté le).
  39. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales surLégifrance, et notamment son article 35.
  40. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, surLégifrance
  41. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne).
  42. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont despopulations totales, ausens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant lapopulation municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute lapopulation comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que lespopulations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  43. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »[PDF],SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais(consulté le).
  44. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale »,L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais,(consulté le).
  45. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois »,Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme,nos 2016-069,‎,p. 37-39(lire en ligne).
  46. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », surdata.gouv.fr(consulté le).
  47. abc etd« Etat civil Lisbourg 1815-1896 »Accès libre, surArchives départementale du Pas-de-Calais.
  48. « Etat civil Lisbourg 1883-1913 »Accès libre, surArchives départementale du Pas-de-Calais.
  49. « Etat civil Lisbourg 1914-1922 »Accès libre, surArchives départementale du Pas-de-Calais.
  50. Archives départementales du Pas-de-Calais, 1405 W 370 : notices de renseignements sur les maires du Pas-de-Calais (1947-1953)
  51. David Derieux, « Lisbourg: le chef d’entreprise et ancien maire Daniel Baude est décédé : Les habitants du village et les élus du conseil municipal ont appris avec tristesse et émotion la disparition de l’ancien maire Daniel Baude, survenue ce jeudi à l’âge de 81 ans »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  52. « Décès de trois maires et d'un ancien maire : En ce dernier trimestre de 2011, quatre figures du Ternois nous ont quitté »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  53. « La nouvelle équipe va travailler dans la continuité des actions entreprises auparavant par l'ancien maire Jean-Marie Guilbert : Quelques semaines après le décès de Jean-Marie Guilbert, c'est à une cérémonie émouvante que les habitants ont assisté dimanche »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  54. « Lisbourg : le maire Bernard Crohem ne sera pas candidat au second tour »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le)« Conseiller municipal depuis 1989 et maire depuis 2011 à la suite du décès de Jean-Marie Guibert, dont il était le premier adjoint, Bernard Crohen ne sera pas candidat ce dimanche ».
  55. :Aline Chartrel, « À Lisbourg, deux années de mandat « dans la continuité » de l’ancien maire : Bernard Crohem a connu vingt-deux douces années en tant que conseiller avant d’être propulsé sur le fauteuil de maire en décembre 2011. C’était au décès du premier magistrat, Jean-Marie Guilbert. Ayant pris goût à la fonction, il envisage aujourd’hui de se représenter. »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  56. « Lisbourg: Bernard Crohem entame un nouveau mandat de maire »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  57. Aline Chartrel, « Lisbourg – Aux prémices d’un projet éolien, le premier dans la commune : Les projets des maires. Bernard Crohem avait pris la tête de la commune en décembre 2011, à la suite du décès de son prédécesseur. L’ancien premier adjoint a fait ses preuves, et obtenu la confiance de l’électorat en mars. Pour ce mandat, il misera sur l’éclairage public et l’implantation d’un parc éolien. »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  58. David Derieux, « Le conseiller régional Olivier Delbé élu maire de Lisbourg : Grand vainqueur des élections municipales dès le premier tour le 15 mars, le conseiller régional est devenu maire de son village »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  59. Sophie Morlans, « Le maire de Lisbourg meurt dans un accident de la route : Le maire de Lisbourg dans le ternois est mort mercredi soir dans un accident de la route.Olivier Delbé avait 53 ans »,France Bleu Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  60. David Derieux, « Lisbourg : Olivier Delbé, le conseiller régional devenu maire de son village natal : Conseiller régional depuis dix ans, et élu local depuis vingt-cinq ans, Olivier Delbé a été élu maire de son village de cœur, qu’il n’a quitté que très temporairement en plus d’un demi-siècle »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  61. David Derieux, « Willy Gallet succède à Olivier Delbé dans les fonctions de maire de Lisbourg : Le conseil municipal s’est réuni jeudi soir à l’espace multifonctions pour procéder à l’élection du nouveau maire et de ses adjoints »,La Voix du Nord,‎(lire en ligne, consulté le).
  62. « Établissement scolaire de la commune », surle site duministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse(consulté le).
  63. Anthony Hoyer, « Une salle multifonctionnelle avant des éoliennes »,L'Abeille de la Ternoise,nos 8594-1643,‎,p. 24.
  64. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », surtresordesregions.mgm.fr(consulté le).
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  67. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
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  75. « Le monument aux morts », surmonuments-aux-morts.fr(consulté le).
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  77. « Blason », surarmorialdefrance.fr(consulté le).
  78. « La commune de Lievin », surarchives départementales du Pas-de-Calais(consulté le).
v ·m
Communes de l’arrondissement d’Arras
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Canton d’Arras-3
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Canton d’Avesnes-le-Comte
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Canton de Brebières
Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
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v ·m
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