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Limousin (dialecte)

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Limousin
lemosin
Image illustrative de l’article Limousin (dialecte)
Carte linguistique du Limousin avec occitan limousin etmarchois (au nord)[1],[2].
PaysFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
Nombre de locuteurs10 000
TypologieSVO,syllabique
Classification par famille
Statut officiel
Régi parConselh de la Lenga Occitana
Codes de langue
IETFoc-lemosin
Linguasphere51-AAA-gj
Glottologlimo1246
État de conservation
Éteinte
EXÉteinte
Menacée
CREn situation critique
SESérieusement en danger
DEEn danger
VUVulnérable
Sûre
NENon menacée
Languesérieusement en danger (SE) au sens de l’Atlas des langues en danger dans le monde
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Lelimousin (Lemosin enoccitan), aussi appelé« langue d'or »[3], est le dialecte de l’occitan parlé dans leLimousin, enCharente occitane, dans une grande moitié nord de laDordogne. Il fait partie de l'ensemblenord-occitan[4].

AuMoyen Âge, sous l’influence culturelle de l’abbaye Saint-Martial de Limoges et des tout premierstroubadours dontBernard de Ventadour, on pouvait appelerlimousin l’ensemble des dialectes de lalangue d’oc. Cet usage a parfois perduré jusqu’auXVIe siècle, par exempleen Catalogne.

Définition

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Lelimousin est un dialecte de l'occitan ou langue d'oc, comme l'auvergnat et levivaro-alpin (avec lesquels il forme l'ensemble nord-occitan), lelanguedocien et leprovençal (qui constituent eux l'ensemble sud-occitan) et legascon.

Les premiers troubadours écrivaient en limousin (GuillaumeIX d’Aquitaine,EblesII de Ventadour (oc),Bernard de Ventadour,Bertran de Born,Arnaut Daniel,Giraut de Bornelhetc.) et le plus souvent aussi leurs héritiers. On considère généralement que les premiers documents en occitan ont été rédigés dans ce dialecte, notamment leBoecis, écrit vers l'an 1000. C'était aussi la langue natale des grands seigneurs d'Aquitaine ou du Limousin tels par exempleAliénor d'Aquitaine ouRichard Cœur de Lion, qui a composé des poèmes en dialecte limousin (poétiquement appelé "langue limousine").[réf. souhaitée]

Répartition géographique

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Selon leLinguasphere Observatory et une majorité de linguistes (Yves Lavalade, Paul-Louis Grenier, etc.) il est parlé dans les trois départements de la région française duLimousin auquel s'ajoute le tiers oriental de laCharente (Charente occitane, qui comprend laCharente limousine, la bordure orientale de l'Angoumois et une frange sud-est du département en limite de la Dordogne), toute la moitié Nord de laDordogne, jusqu'à une ligne ouest-est allant du sud deMussidan au sud deMontignac.

L'ajout dumarchois, pratiqué dans la zone de transition duCroissant, permet aussi d'y rattacher des parties méridionales duBerry dans l'Indre avec ses parlers marchois ainsi que lesCombrailles à l'ouest de laSioule et la région deMontluçon dans l'Allier[5].

Usage de la langue

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Ledialecte limousin était jusqu’auXVIe siècle la langue officielle de la province et resta la langue orale dominante jusqu’au début duXXe siècle, y compris dans certains quartiers populaires de milieux urbains (Limoges,Saint-Junien), époque à partir de laquelle le français prit le dessus. En 2010, l’UNESCO le classait « sérieusement en danger » dans sonAtlas des langues menacées[6].

Le limousin est surtout employé par les habitants des zones rurales âgés de plus de 70 ans. Tous ses locuteurs sont également francophones et son utilisation a encore tendance à décliner. Mais la plupart desLimousins de naissance connaissent, même lorsqu’ils ne comprennent pas parfaitement la langue, des expressions, proverbes ou autres chansons en langue occitane qui font partie de leurpatrimoine culturel.

Occitan et ses dialectes

Il existe deux écoles maternelles/primaires immersives occitanes (calandretas) dans la zone du dialecte limousin : l’une àLimoges et l’autre àPérigueux. Elles sont laïques, gratuites et utilisent une pédagogie active et participative issue desthéories de Freinet. Elles sont ouvertes à tous sans exception, y compris aux enfants dont les parents ne parlent pas l’occitan[réf. nécessaire]. Elles participent à la transmission et à la continuité du dialecte limousin de la langue occitane en éduquant des enfants dans lebilinguisme occitan-français. Trois professeurs enseignent l'occitan limousin dans les collèges, les lycées et lesIUT en Limousin.

On trouve encore la trace de l’occitan limousin dans de nombreux patronymes et noms de lieux. La langue a également laissé sa trace dans les tournures de phrases des Limousins (limousinismes) ainsi que dans leuraccent lorsqu’ils s'expriment en français.

AuXVIe siècle, auPays valencien et àMajorque, l’expressionlangue limousine oullemosí était d’abord utilisée pour parler de la façon de parler destroubadourscatalans. Puis, ce terme s'est utilisé jusqu'auXIXe siècle,incorrectement[réf. non conforme], pour parler parfois de la languecatalane[7].

Écrivains en limousin

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Phonétique et phonologie

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Inventaire des voyelles du limousin :

Voyellesantérieurespostérieures
non arrondiesarrondiesnon arrondiesarrondies
courtes / relâchéeslongues / tenduescourtes / relâchéeslongues / tenduescourtes / relâchéeslongues / tenduescourtes / relâchéeslongues / tendues
fermées/i//i(:)//y//y(:)//u//u:/
semi-fermées/e://ø://o:/
semi-ouvertes/ɛ//œ//ɔ/
ouverts/a:/

La voyelle postérieure semi-ouverte est souvent réalisée [ɒ] en position atone.

Dans toute une frange du Haut Limousin, entre leNontronnais (au Nord du Périgord), l'Horte et Tardoire (au Sud-Est de la Charente) et le Sud-Ouest duPays de la Vienne (en Haute Vienne), le phonème /a:/ est réalisé [æ:].

Il y a des voyelles intrinsèquement longues (dont la longueur leur vient d'une consonne disparue, comme /a:/ venant de /a/+/s/ dans « nastre » [na:tre]), des voyelles occasionnellement longues (qui s’allongent en position tonique, comme [e:] dans « lebre » [‘le:bre]). Cependant, le trait de quantité ne joue pas de rôle phonologique (il ne permet pas de différencier deux mots entre eux seulement sur ce critère) dans le système vocalique limousin, sauf dans un petit nombre de cas isolés.

Un des phénomènes les plus particuliers du système phonologique du limousin est son système accentuel, qui, dans une grande part du domaine, est différent du système général occitan. Comme dans le reste du domaine occitan, l'accent porte sur lapénultième syllabe ou sur la dernière. Mais la distribution de l'accent en limousin se fait en fonction de la quantité vocalique (longueur), définie de la manière suivante:

  • Les syllabes ou les voyelles longues appellent l’accent alors que les syllabes ou voyelles brèves le repoussent.
  • Si les deux syllabes sont de longueurs égales, c'est-à-dire que toutes les deux sont longues ou brèves, l’accent porte sur la finale. La difficulté de déterminer clairement laquelle est tonique dans quelques énoncés est telle qu’il est fort malaisé de dire pour « vachas » si l’on entend [‘va:sa:] ou [va’sa:] dans tel ou tel sous-dialecte.
  • L'accent porte sur la pénultième syllabe lorsque la voyelle finale est brève et que la pénultième est :
    • a) soit intrinsèquement longue, une voyelle nasale, une diphtongue descendante, une voyelle + [r] ;
    • b) soit occasionnellement longue.
  • Dans les autres cas, l’accent est généralement final.

Cela permet de mieux comprendre, d’une part, la fréquence desOxytons (mots accentués sur la finale) en limousin et, d’autre part, les remontées d’accent sur la pénultième dans des mots qui sont accentués sur la dernière dans d'autres dialectes.

Cette description ne s’applique pas à tout l’ensemble du domaine dialectal limousin mais uniquement à une large partie centrale, les parlers plus périphériques étant plus conformes à l’accentuation générale occitane. Le haut limousin et le bas limousin sont largement touchés par ce phénomène, alors que le périgourdin (en tant que sous-dialecte) semble y échapper.

Labialisation des voyelles hautes /i, u/ en [y] à proximité d'une consonne labiale :

À proximité d'une consonne labiale (/p, b, m, f, v/), les voyelles hautes /u/ et /i/ sont souvent labialisées en [y] en position prétonique. Par exemple:primier [pry'mje],crivèu [kry'vew]~[kry'vœw]. Cela peut aussi affecter la voyelle du radical de certains verbes lorsqu’elle passe en position atone, en particulier dans les infinitifs en-ir où la voyelle graphiée “o” se prononce non pas [u] comme dans le cas habituel, mais souvent [y] en position prétonique lorsqu’elle est adjacente à une consonne labiale :morir [my'ri],cobrir [ky'bri],fornir [fyr'ni]. Ceci est particulièrement le cas en haut limousin.

Inventaire des consonnes du limousin :

CONSONNESlabialesdentales et

alvéolaires

palatalesvélaires
sourdessonoressourdessonoressourdessonoressourdessonores
occlusives/p//b//t//d//k//g/
fricatives/f//v//s//z/
affriquées/tʃ//dʒ/
nasales/m//n//ɲ/
latérales/l/(/ʎ/)
battantes/r/
glides/w/, /ɥ//j/

Les fricatives alvéolaires /s, z/ sont souvent réalisées post-alvéolaires, voire palatales [ʃ, ʒ] dans de nombreux parlers.

Les consonnes présentées dans le tableau comme affriquées /tʃ, dʒ/ présentent une importante variation entre sous-dialectes. Elles peuvent être réalisées post-alvéolaires ou alvéolaires [ts, dz]. Dans certains parlers, elles sont réduites à des fricatives, qui peuvent être palatales [ʃ, ʒ] (dans la Marche, par exemple), alvéolaires [s, z] (dans bien des parlers du Périgord) ou interdentales [θ, ð] (comme dans la Double, en Périgord).

Malgré tout, l'opposition de point d'articulation est généralement maintenue entre les fricatives originelles (/s, z/) et celles issues de la désaffrication de /tʃ, dʒ/. Dans quelques parlers (comme dans la vallée de l'Isle, en Périgord), on observe une inversion du point d'articulation: /s, z/ sont réalisées palatales ([ʃ, ʒ]), et /tʃ, dʒ/, comme des fricatives coronales ([s, z] ou [θ, ð]).

Les nasales ne s'opposent qu'en position d'attaque syllabique. En position decoda, [m], [n] et [ŋ] sont allophones.

En limousin, comme en général en nord-occitan, il n’y a qu’un seul phonème rhotique, généralement réalisée comme une battue (simple), malgré l’implantation croissante duR uvulaire français. Les-r finaux sont maintenus dans certains suffixes (en -or, -ador, par exemple), amuïs dans les infinitifs en -ar et -ir, mais généralement vocalisés en [j] après « E » :lo ser [sej] (le soir),valer [vɔlej] (valoir),èsser [essej] (être).

Traitement des-s- étymologiques, maintenus dans la graphie, en position decoda :

  • Quand le S suit un A, en général le S s'amuït. La voyelle adopte sa forme tendue et s’allonge en [a:]:bastir [ba:'ti] (bâtir),nascut [na:'ky] (né),las belas filhas [la: 'bɛla: 'fija:] (les belles filles),chantas ['sɔ̃nta:] (tu chantes).
    • [a:] partage de nombreuses caractéristiques avec la voyelle A tonique : timbre tendu et longueur. Par conséquent, elle peut également attirer les autres corrélats de l’accent tonique :bastir ['ba(:)ti],nascut ['na(:)ky],las belas filhas [la(:) be'la(:) fi'ja(:)],chantas [sõn'ta(:)]. Quand [a:] porte l’accent tonique, il peut perdre en longueur.
  • Les consonnes nasales sont instables en position de coda. Lorsqu'elle s’amuïssent, la voyelle précédente peut rester sous sa forme nasale ou être dénasalisée et se retrouver sous sa forme relâchée. Après un A nasal ou dénasalisé, le S s’amuït simplement et la voyelle reste inchangée :plans [plo], [plõ], [plõŋ] o [plõm] (plans).
  • Derrière E et É, le S est normalement semi-vocalisé en iod [j], et il se forme une diphtongue [ej] :estiu [ej'tiw] (été),escòla [ej'kolɔ] (école),cranes dròlles [kranej drolej] (beaux enfants), vòles [vɔlej] (tu veux), francés [frõn'ʃej] (français).
    • Quand il y a une consonne amuïe à la fin du mot, tout se passe comme si elle n'y était pas :un piquet [ym pi'kɛ] (un piquet) /dos piquets [du: pi'kej] (deux piquets).
    • Quand il s’agit d’une consonne nasale, il peut se passer comme si le S n'y était pas ou il peut s'amuïr simplement :lo fen [lu 'fɛ] (le foin) /los fens [lu: 'fej] ou [lu: 'fɛ] (les foins).
  • Il faut remarquer qu’en limousin, la diphtongue [aj] en position tonique alterne avec [ej] en position atone. Cela a entraîné des cas de confusion dans les formes conjuguées de verbes présentant la diphtongue [ej] issue du grop–es– en position atone, et la diphtongue [aj] peut y apparaître en position tonique :espiar [ej'pja] (regarder) >éspia ['ajpjɔ] (il/elle regarde),peschar [pej'sa] (pêcher) >pescha ['pajsɔ] (il/elle pêche).
  • Derrière È, dans le cas général, le S s’amuït et la voyelle adopte sa forme tendue et s’allonge en [e:] :tèsta [te:tɔ] (tête),estestar [ejte:'ta] (étêter),arrèsta [ɔ're:tɔ] (il/elle arrête),arrestès [ɔre:'te:] (qu'il/elle arrêtât),un pè [ym 'pɛ] (un pied),dos pès [du: pe:] (deux pieds),mèsme ['me:mɛ] (même). On remarquera que le groupe se maintient [e:] même en position atone.
  • Derrière Ò tonique, dans le cas général, il y a amuïssement du S et la voyelle adopte sa forme tendue et s’allonge en [o:] :còsta [ko:tɔ] (côte),gròs [gro:] (gros). Dans quelques cas, il peut y avoir diphtongaison de [o:] en [ow] :nòstre [no:trɛ] o [nowtrɛ] (notre/nôtre).
  • Derrière O tonique ou atone, il y a normalement amuïssement du S et allongement compensatoire de la voyelle :dos [du:] (deux), dosta ['du:tɔ] (il/elle ôte), dostar [du:'ta] (ôter), dostat [du:'ta] (ôté).
  • Derrière les voyelles hautes antérieures I et U, le « S » s’amuït généralement, mais les voyelles hautes antérieures ont peu tendance à s’allonger : il est donc rare d’en trouver de longues. L’allongement compensatoire de l’amuïssement du « S » ne se fait sentir que lorsque les conditions d’élocution sont favorables, c’est-à-dire surtout à des vitesses d’élocution basses :vist ['vi:] (vu),fust ['fy:] (fût),disnar [di:'na] (déjeuner),puslèu [py:'lew] (plutôt).
  • Dans les mots d’emprunt et les cultismes, ou pour des raisons de clairté lexicale, il peut y avoir conservation du « S » en position de coda après une voyelle :casqueta [kɔs'ketɔ] ou [kas'ketɔ] (casquette),Espanha [ɛs'paŋɔ] (Espagne),question [kɛs'tiw] (question),esperar [ɛspɛ'ra] (espérer) [mais [ejpɛ'ra] (attendre)],pòsta ['pɔstɔ] (poste, fém.),pòste ['pɔstɛ] (poste, masc.).

Notes et références

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  1. Enquête Tourtoulon-Bringuier
  2. Langue et Mémoire du pays de Guéret, Ed. Verso. 2007 (enquête de terrain, collectages, analyses, cartographie)
  3. Liste de périphrases désignant des langues.
  4. « Atlas sonore des langues régionales de France », suratlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris,CNRS,.
  5. (fr + oc) Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume (collectif),Patois et chansons de nos grands-pères Marchois (Haute-Vienne, Creuse, pays de Montluçon), Paris,Éditions CPE,, 160 p.(ISBN 978-2-84503-827-1)
  6. (fr + en + es) ChristopherMoseley (dir.) et AlexandreNicolas (cartographie),« Atlas UNESCO des langues en danger dans le monde »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [spiralé, 20 × 30 cm], surunesco.org, Paris, Éditions UNESCO,(ISBN 978-92-3-204096-1 et978-92-3-303798-4, consulté le).
  7. (ca) August RafanellVall-Llosera (dir.),Un nom per a la llengua : El concepte de llemosí en la història del català,Vic, EUMO Editorial,.
  8. ArmandPraviel et J.-R.de Brousse,« L’anthologie du félibrige »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)[PDF].
  9. JeanTricard (dir.), PhilippeGrandcoing et RobertChanaud,Le Limousin, pays et identités : Enquêtes d’histoire (de l’Antiquité auXXIe siècle),Limoges,Presses universitaires de Limoges,, 577 p.(ISBN 978-2-84287-410-0,lire en ligne),p. 246.
  10. (fr + oc) RobertJoudoux,Limousin, Terre d’Oc, revue Lemouzi, 65 ter,,p. 143.
  11. (fr + oc) RobertJoudoux,Limousin, Terre d’Oc, revue Lemouzi, 65 ter,,p. 124.
  12. RobertJoudoux,Limousin, Terre d’Oc, revue Lemouzi, 65 ter,,p. 110.
  13. (fr + oc) RobertJoudoux,Limousin, Terre d’Oc, revue Lemouzi, 65 ter,,p. 97
  14. (fr + oc) RobertJoudoux,Limousin, Terre d’Oc, revue Lemouzi, 65 ter,,p. 175.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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v ·m
Dialectes de l'occitan
Nord-occitan
Occitan méridional
Gascon
v ·m
Langues régionales deFrance métropolitaine
Langues celtiques
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Langues italo-romanes
Langues occitano-romanes
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