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Ligue arabe

30° 02′ 41″ N, 31° 13′ 59″ E
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Pour les articles homonymes, voirLigue.

Ligue des États arabes
جامعة الدول العربية
Logo de l'organisation
Emblème de la Ligue arabe.
Logo de l'organisation
Drapeau de la Ligue arabe.
Carte de l'organisation
Carte des pays membres de la Ligue arabe.
Situation
Création

(Protocole d'Alexandrie)

TypeOrganisation internationale
SiègeDrapeau de l'ÉgypteLe Caire

Drapeau de la TunisieTunis (1979-1990)

Coordonnées30° 02′ 41″ N, 31° 13′ 59″ E
LangueArabe
Organisation
Membres22 États

depuis le 20 novembre 1993

Secrétaire généralDrapeau de l'ÉgypteAhmed Aboul Gheit

Site webhttp://www.lasportal.org

Carte

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LaLigue arabe (enarabe :الجامعة العربية,Jāmiʿat al-ʿarabiyya), officiellement laLigue des États arabes (enarabe :جامعة الدول العربية,Jāmiʿat ad-duwal al-ʿarabiyya), est uneorganisation régionale possédant le statut d’observateur auprès de l'Organisation des Nations unies (ONU). Elle est fondée le auCaire par six États. En 2023, elle compte22 États membres.

L'organisation de la Ligue arabe repose sur quatre organismes principaux : le sommet deschefs d'État, le Conseil des ministres, les comités permanents et le Secrétariat général dirigé parAhmed Aboul Gheit depuis2016. De plus, divers organismes ont été créés en application de traités qui complètent le pacte de1945 et plusieurs agences spécialisées travaillent en étroite collaboration avec elle.

Histoire

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Décennie d’adhésion des États membres ; les Comores (entourées) ont adhéré en 1993.
  • Années 1940
  • Années 1950
  • Années 1960
  • Années 1970
  • Timbre commémoratif de la création de la Ligue arabe avec les drapeaux des 8 nations fondatrices :
     Royaume d'Égypte,Drapeau de l'Arabie saouditeArabie saoudite,Drapeau du Royaume mutawakkilite du YémenRoyaume mutawakkilite du Yémen, République syrienne, Royaume d'Irak,Drapeau de la JordanieJordanie,Drapeau du LibanLiban et utilisé par la Ligue arabe pour représenter le peuple palestinien de 1945 à 1955.

    En1944, à la recherche d'unefédération des États arabes, le gouvernementégyptien met en place un groupe d'étude chargé d'élaborer un projet[1]. Avec l'aide desBritanniques, la conférence d'Alexandrie du se conclut par la rédaction du Protocole d'Alexandrie, déterminant les bases de la future association[2]. La Ligue arabe est créée le auCaire[3]. Les six membres fondateurs de la Ligue arabe sont : l'Égypte, l'Arabie saoudite, l'Irak, laJordanie, leLiban et laSyrie. LeYémen du Nord les rejoint le. L'association vise à affirmer l'unité de la « nation » arabe et l'indépendance de chacun de ses membres.

    Dès sa naissance, la Ligue est divisée en deux camps aux visées politiques opposées, l'entente égypto-saoudienne favorable aux projets d'indépendance s'opposant à l'axehachémite jordano-irakien plus enclin à une coopération avec lapuissance britannique encore maîtresse de nombreuxprotectorats etmandats (Soudan,Palestine,Émiratsetc.). Par la suite, dans le contexte de l'anticolonialisme et de laguerre froide, une division s'opère entreÉtats socialistes proches de l'URSS (Libye,Syrie,Algérie,Égypte) et États proches desÉtats-Unis (Arabie saoudite,Émirats arabes unis,Maroc)[4].

    L'action de la Ligue est d'abord dirigée contre l'ingérence despuissances colonialeseuropéennes dans la région, en l'occurrence laFrance et leRoyaume-Uni. À partir de1948,Israël est également considéré comme une entité exogène aumonde arabe rendant son existence illégitime. Un grand nombre de sommets de la Ligue arabe ont été tenus à la suite d'évènements spécifiques duconflit israélo-palestinien et arabe. Les résolutions les plus importantes de l'institution concernent d'ailleurs laPalestine.

    Après lacrise du canal de Suez, leroyaume d'Irak futrenversé, diminuant ainsi l'influencehachémite. L'Égypte, forte de son succès, représentait alors avec la Syrie l'axe nationaliste de la Ligue arabe qui s'opposait à l'axe monarchique et pro-occidental emmené principalement par l'Arabie saoudite et la Jordanie.

    En novembre1973, après laguerre du Kippour et lepremier choc pétrolier déclenché par les pays arabes membres de l'OPEP, lesixième sommet des chefs d'État arabes réuni àAlger exige de l’Europe occidentale la fin du soutien militaire et économique à Israël. Il vote aussi une résolution appelant à développer lacoopération arabo-africaine, l'aide aux mouvements de libération, la rupture des relations diplomatiques, consulaires, culturelles et économiques (y compris un embargo pétrolier) avec les États qui demeurant colonialistes, à savoir lePortugal, laRhodésie et l’Afrique du sud, la création de laBanque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) et l'adoption de mesures spéciales afin de faciliter l’approvisionnement en pétrole des États africains touchés par la hausse spectaculaire des cours du pétrole brut[5].

    Entre1976 et1983, la Ligue entretenait uneForce arabe de dissuasion durant laguerre du Liban qui n'eut qu'un effet modeste sur le cours du conflit.

    Le, l'Égypte signa lesaccords de Camp David avecIsraël. Les ministres de la Ligue arabe se réunirent en1979 àBagdad pour décider des sanctionsdiplomatiques et économiques à infliger à l'Égypte. L'Irak, contrairement à ses voisins arabes, demanda l'adoption de sanctions économiques symboliques, ne touchant pas le peuple égyptien. L'Égypte fut alors exclue de la Ligue en1979 et le siège de l'organisation fut déplacé duCaire àTunis. La Ligue fut alors privée de son membre le plus puissant, écarté pendant plus de dix ans, qui fournissait une part importante du personnel. Cela entraîna une baisse de l'influence de l'organisation. Le, 12 des 21 membres de la Ligue arabe décidèrent le retour du siège auCaire et la réintégration de l'Égypte. Malgré les protestations des neuf absents, le changement eut lieu le. Un accord fut conclu le entre laFrance et la Ligue, accordant le statut diplomatique au Bureau de la Ligue arabe àParis, ouvert en1974, régissant ses privilèges et immunités sur le territoire français[6].

    Cette unité politique est également mise à mal en1990 lors de laguerre du Golfe où l'Irak envahit un autre État membre, leKoweït, qui influa sur le retour en Égypte de l'organisation[7]..

    À cause de la prévalence de la souveraineté étatique sur l'intérêtpanarabe, la Ligue n'a jamais fait ses preuves. Soixante ans après sa création, ni la question de la périodicité des sommets arabes n'a été tranchée ni celles de la procédure des votes, du caractère contraignant des décisions ou encore du recouvrement des cotisations. En2002, après une proposition du prince d'Arabie saouditeAbdallah ben Abdelaziz Al Saoud, la Ligue arabe élabore l'initiative de paix arabe, fondée sur l'idée d'une paix globale auMoyen-Orient : en échange d'une normalisation des relations entre Israël et chacun des pays de la Ligue arabe, l'État hébreu se retirerait de laCisjordanie, de labande de Gaza et duplateau du Golan[8]. En2007, au sommet deRiyad, cette proposition est relancée par une résolution nommée « réactivation de l'initiative de paix arabe ». Israël a jusqu'ici refusé de considérer cette initiative[9].

    La plus grave crise connue par la Ligue arabe fut le refus de celle-ci d'exécuter le mandat d'arrêt international rédigé par laCour pénale internationale en 2009 à l'encontre du président soudanaisOmar el-Bechir (en visite dans des pays de la Ligue), accusé de génocide et de crimes de guerre. Pour nombre de pays occidentaux, ce fut un aveu de corruption et de non-respect des lois et libertés internationales.[réf. nécessaire]

    En 2011, lors de laguerre civile syrienne, la Ligue arabe exclut laSyrie de ses rangs[10] et, en 2013, l'opposition anti-Assad occupe le siège de la Syrie lors d'un sommet de la Ligue arabe à Doha au Qatar[11]. Depuis, en raison des divisions provoquées par cette guerre, la Ligue arabe est jugée par le journalisteSylvain Cypel comme une« organisation quasi moribonde »[12].

    Cependant elle continue à se réunir et, dans le cadre duconflit yéménite, elle réagit. Ainsi, en, elle condamne les tirs de missiles balistiques du par lesHouthis du groupe « Ansar Allah » en direction deLa Mecque et deDjeddah[13],[14].

    En mai 2023, la Ligue arabe réintègre la Syrie après plus de 11 ans d'exclusion. Cette décision, sous l'impulsion de l'Algérie, pourrait faciliter une nouvelle unité au sein de l'organisation[15].

    Le 17 février 2024, au 134e jour du conflit qui oppose Israël auHamas, la Ligue arabe décide de qualifier 60 organisations israéliennes et groupuscules de colons extrémistes d'entités terroristes en raison de leur participation avérée à des opérations d'incursion violentes dans l'enceinte de lamosquée Al-Aqsa ainsi qu'enCisjordanie. Dans le même temps, elle publie une liste de 22 personnalités politiques israéliennes soupçonnées d'inciter au génocide du peuple palestinien, ouvrant ainsi la voie à de probables poursuites auprès des instances internationales compétentes.

    Appellation

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    L'actuelle Ligue arabe aurait pu s'appeler la « Coalition arabe » suivant la proposition de la Syrie ou encore l'« Union arabe » comme le souhaitait l'Irak. La délégation égyptienne a quant à elle proposé l'appellation de « Ligue arabe » ; selon elle le concept est plus approprié aussi bien sur le plan linguistique que politique.

    Les participants ont fini par trouver un terrain d'entente et l'ont appelé la « Ligue des États arabes ».

    Adhésion

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    Bâtiment de la ligue arabe auCaire.

    L'article 1 de la charte de la Ligue dispose que chaque État arabe indépendant a le droit d'adhérer à l'organisation. L'État candidat doit pour cela déposer une demande au niveau du Secrétariat général permanent ; la demande sera alors étudiée par le Conseil. Il y a donc deux sortes de membres : ceux qui ont entériné la charte de la Ligue, au nombre de 7, et ceux qui demandent leur adhésion. Ces derniers doivent réunir certaines conditions pour pouvoir adhérer à l'organisation : l’État candidat doit être arabe etindépendant. L'adhésion de laSomalie et deDjibouti à la Ligue avait suscité une polémique au sein de l'organisation du fait que l'arabe n'est pas lalangue officielle des deux candidats. Toutefois le Conseil de la Ligue a fini par accepter leurs candidatures eu égard à « leurs origines arabes ». L'Irak s'est opposé en 1961 à l'adhésion du Koweït sous prétexte que ce pays faisait partie de ses territoires ; le délégué irakien a même quitté le Conseil pour manifester son refus. La candidature du Koweït a finalement été acceptée par le Conseil qui ne pouvait faire autrement, puisque l'article 7 de la charte dispose que les décisions adoptées à l'unanimité doivent être appliquées par les États membres.

    Perte de qualité de membre

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    Chaque État membre de la Ligue a le droit de se retirer à condition de déposer un préavis d'un an. Le conseil n'exige pas d'explications des pays qui se retirent ; toutefois, il tente de comprendre les raisons qui les ont amenés à se retirer pour les convaincre de revenir sur leur décision. Si la Ligue venait à amender sa charte, un États membre pourrait se retirer s'il n'approuve pas les nouveaux amendements. La charte de la Ligue prévoit l'exclusion de tout pays membre qui ne respecterait pas ses engagements ; toutefois, elle doit être prononcée à l'unanimité. Néanmoins, le, la Ligue a suspendu la participation de laSyrie à lamajorité qualifiée et non à l'unanimité des22 pays arabes[16]. Ce statut n'est cependant pas irréversible puisque le membre exclu peut présenter une seconde candidature. Un État peut perdre sa qualité de membre s'il perd son identité juridique, comme cela s'est produit en1958 lorsque l'Égypte et laSyrie ont décidé d'unir leurs États respectifs pour devenir la « République arabe unie » et en1990 avec l'union dusud et dunord du Yémen qui a donné naissance à laRépublique arabe yéménite unie. Cependant un pays qui perd sa souveraineté reste membre à part entière. Lorsque leKoweït a étéenvahi en1990 par l'Irak, cela ne l'a pas empêché d'être représenté au sein de la Ligue.

    Composition

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    La Ligue arabe est composée de 22 membres : sept membres fondateurs auxquels se sont ajoutés par la suite 15 autres États signataires.

    Ces pays, qui sont également membres de l'Organisation de la coopération islamique, représentent une population de414 millions d'habitants en 2017.

    La Ligue arabe compte également cinq États observateurs.

    États fondateurs

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    États signataires

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    Diagramme d'Euler des différents partenariats entre les pays de la Ligue arabe :Union du Maghreb arabe,Accord d'Agadir,Conseil de l'unité économique arabe,Conseil de coopération du Golfe.

    À ceux-ci se sont ajoutés :

    États observateurs

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    Fonctionnement

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    Secrétaires généraux

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    Siège

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    Instances

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    Sommets

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    Trente-deux sommets ont été organisés entre1946 et2015 dont douze sommets en urgence.

    Sommets de la Ligue arabeDateLieuType
    Sommet de la Ligue arabe 1946Drapeau de l'ÉgypteLe Cairecréation
    Sommet de la Ligue arabe 1956Drapeau du LibanBeyrouth1er sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1964Drapeau de l'ÉgypteAlexandrie2e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1964Drapeau de l'ÉgypteLe Caire3e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1967Drapeau du SoudanKhartoum5e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1970Drapeau de l'ÉgypteLe Caireurgent
    Sommet de la Ligue arabe de 1974Drapeau du MarocRabat
    Sommet de la Ligue arabe 1976Drapeau de l'Arabie saouditeRiyadurgent
    Sommet de la Ligue arabe 1976Drapeau de l'ÉgypteLe Caire9e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1978Drapeau de l'IrakBagdad10e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1979Drapeau de la TunisieTunis11e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 1987Drapeau de la JordanieAmmanurgent
    Sommet de la Ligue arabe 1989Drapeau du MarocCasablancaurgent
    Sommet de la Ligue arabe 1990Drapeau de l'IrakBagdadurgent
    Sommet de la Ligue arabe 1990Drapeau de l'ÉgypteLe Caireurgent
    Sommet de la Ligue arabe 1996Drapeau de l'ÉgypteLe Caireurgent
    Sommet de la Ligue arabe 2000Drapeau de l'ÉgypteLe Caireurgent
    Sommet de la Ligue arabe 2001Drapeau de la JordanieAmman13e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2002Drapeau du LibanBeyrouth14e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2003Drapeau de l'ÉgypteCharm el-Cheikh15e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2004Drapeau de la TunisieTunis16e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2005Drapeau de l'AlgérieAlger17e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2006Drapeau de l'Arabie saouditeRiyad18e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2008Drapeau de la SyrieDamas20e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2009Drapeau du QatarDoha21e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2010Drapeau de la LibyeSyrte22e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2011Drapeau de l'ÉgypteLe Caireurgent
    Sommet de la Ligue arabe 2012Drapeau de l'IrakBagdad23e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2013Drapeau du QatarDoha24e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2014Drapeau du KoweïtKoweït25e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2015Drapeau de l'ÉgypteCharm el-Cheikh26e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2016Drapeau de la MauritanieNouakchott27e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2017Drapeau de la JordanieMer Morte28e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2018Drapeau de l'Arabie saouditeDhahran29e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2019Drapeau de la TunisieTunis30e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2020Drapeau de l'Arabie saouditeLa Mecqueurgent
    Sommet de la Ligue arabe 2022Drapeau de l'AlgérieAlger31e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 2023Drapeau de l'Arabie saouditeDjeddah32e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 202416 maiDrapeau de BahreïnManama33e sommet
    Sommet de la Ligue arabe 202517 maiDrapeau de l'IrakBagdad34e sommet

    Agence arabe de l'énergie atomique

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    Le 17 août 1988, la Ligue arabe fonde l'Agence arabe de l'énergie atomique, une agence autonome dont le siège est basé à Tunis[17], et dont le but est de développer et coordonner parmi les États membres les activités liées à des applications pacifiques de l'énergie atomique, dans un but de développement économique et social (par exemple applications pour production d'énergie, à des fins médicales ou de recherche)[18].

    Un objectif de l'agence est la mise en place d'une réglementation harmonisée dans les pays membres sur la radioprotection, la sûreté, la sécurité nucléaires et la manipulation sûre des matières radioactives et le développement d'un système d'intervention d'urgence[17].

    L'agence encourage aussi le suivi des progrès scientifiques et techniques mondiaux dans le domaine nucléaire, travaille à créer un saut scientifique et technique qualitatif et une prise de conscience parmi les citoyens arabes concernant la science nucléaire et ses utilisations pacifiques par le renforcement des capacités et le transfert d'informations scientifiques (formations, conférences régionales, bourses pour formations et conférences hors de la région). L'effort de vulgarisation est appuyé par la publication de documents scientifiques et la traduction de règles et réglementations[17].

    Notes et références

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    1. Arthur Eyffinger et Arthur Witteveen,La Cour internationale de Justice, 1946-1996, La Haye/Londres/Boston, Martinus Nijhoff Publishers,, 428 p.(ISBN 90-411-0468-2,lire en ligne),p. 228.
    2. Académie de Droit International de la Haye,Recueil Des Cours, Volume 137 (1972/III), Martinus Nijhoff Publishers,, 938 p.(ISBN 90-286-0244-5,lire en ligne),p. 15.
    3. René-Jean Dupuy, Académie de droit international de la Haye,Manuel sur les organisations internationales, Martinus Nijhoff Publishers,, 967 p.(ISBN 90-411-1119-0,lire en ligne),p. 37.
    4. Jean-Christophe Victor, « Mondes arabes »,Le Dessous des cartes, 10 septembre 2011.
    5. Boutros Boutros-Ghali, « Les relations entre la Ligue arabe et l'OUA »,Annuaire français de droit international,vol. 23,‎,p. 175-186(DOI 10.3406/afdi.1977.2035,lire en ligne, consulté le).
    6. Assemblée nationale, rapportno 2191.
    7. « La participation militaire française à la guerre du Golfe »,Cahiers du Centre d'études d'histoire de la défense,no 21,‎,p. 24(lire en ligne).
    8. « Relance de l’initiative de paix arabe à Riyad ».
    9. « La résolution du sommet de Riyad ».
    10. Georges Malbrunot, « Bachar el-Assad en voie d’être réintégré à la Ligue arabe »,Le Figaro,.
    11. « La Ligue arabe réintègre le régime syrien après 11 ans d'absence », surLEFIGARO,(consulté le)
    12. Sylvain Cypel, « Jérusalem. Donald Trump rompt avec cinquante ans de politique américaine », surOrient XXI,(consulté le).
    13. « Arabie Saoudite : La Ligue arabe condamne les tirs de missiles des rebelles yéménites vers La Mecque », surAl HuffPost Maghreb,.
    14. « Arabie Saoudite : deux missiles lancés en direction de La Mecque et de Djeddah interceptés », surAl HuffPost Maghreb,.
    15. Mokrane Aït Ouarabi, « Ligue arabe : La fin des divisions ? », surEl watan,(consulté le)
    16. « La Ligue arabe suspend la Syrie, Obama «applaudit» »,Le Parisien,.
    17. ab etc(en) « Arab Atomic Energy Agency | UIA Yearbook Profile | Union of International Associations », suruia.org(consulté le)
    18. (en) « Arab Atomic Energy Agency », surUnited Nations Economic and Social Commission for Western Asia,(consulté le)

    Annexes

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    Articles connexes

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    Liens externes

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