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Libourne

44° 54′ 58″ nord, 0° 14′ 34″ ouest
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Page d’aide sur la paronymie

Cet article possède unparonyme, voirLivourne.

Libourne
Libourne
Le pont de pierre sur la Dordogne et la flèche de l'église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Libourne
Blason
Image illustrative de l’article Libourne
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementGironde
(sous-préfecture)
ArrondissementLibourne
(chef-lieu)
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération du Libournais
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Buisson (PS)
2020-2026
Code postal33500
Code commune33243
Démographie
GentiléLibournais
Population
municipale
24 668 hab.(2022en évolution de −0,85 % par rapport à 2016)
Densité1 196 hab./km2
Population
agglomération
36 749 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées44° 54′ 58″ nord, 0° 14′ 34″ ouest
AltitudeMin. 2 m
Max. 28 
m
Superficie20,63 km2
TypeCentre urbain intermédiaire
Unité urbaineLibourne
(ville-centre)
Aire d'attractionLibourne
(commune-centre)
Élections
DépartementalesCanton du Libournais-Fronsadais
(bureau centralisateur)
LégislativesDixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Libourne
Géolocalisation sur la carte :France
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Libourne
Géolocalisation sur la carte :Gironde
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Libourne
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
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Libourne
Liens
Site webwww.ville-libourne.fr
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Libourne est unecommune du Sud-Ouest de laFrance située dans ledépartement de laGironde dont elle est une des sous-préfectures, enrégionNouvelle-Aquitaine.

Cette anciennebastide fondée auXIIIe siècle parRoger de Leybourne,sénéchal de Gascogne pour le roi d'Angleterre, est aujourd'hui la principale ville de l'est du département.

Forte de 24 668 habitants en 2022, au cœur d'uneunité urbaine de 34 856 habitants[1] en 2012 et d'uneaire urbaine de 36 144 habitants[2], elle s'inscrit dans l'axeArcachon-Bordeaux-Libourne, aire métropolitaine concentrant près de 1 250 000 habitants.

La cité, qui s'est développée au confluent de l'Isle et de laDordogne, au centre d'une riche région viticole, est dès l'origine un port important par où transitent des marchandises en provenance de toute l'Europe.

Longtemps deuxième ville du nord de laGuyenne après Bordeaux, elle est sa rivale en matière de commerce ou de fiscalité. Importante ville de garnison (elle abritera notamment plusieurs régiments de cavalerie et d'infanterie, ainsi que l'école nationale des officiers de réserve de santé) jusqu'à une date assez récente, elle est aujourd'hui un pôle économique et commercial rayonnant sur le nord du département, fortement influencé par uneagglomération bordelaise en constante progression.

Commune péri-métropolitaine de Bordeaux, Libourne s'est dotée en 2015 d'un projet urbain, « Libourne 2025-La Confluente », pour accompagner son développement de manière coordonnée.

Libourne compte également sur un patrimoine monumental varié :pont de pierre, église Saint Jean-Baptiste, tour du Grand Port, hôtel de ville, immeubles à arcades de la place Royale, témoignent ainsi de la prospérité de la ville au cours des siècles.

Géographie

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Localisation

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Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
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  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique
  4. Carte avec les communes environnantes

La ville de Libourne se trouve auconfluent de l'Isle et de laDordogne, au cœur des célèbresvignobles deSaint-Émilion et dePomerol.

Communes limitrophes

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Libourne est limitrophe de neuf autres communes.Les communes limitrophes sontArveyres,Les Billaux,Fronsac,Génissac,Lalande-de-Pomerol,Moulon,Pomerol,Saillans etSaint-Émilion.

Carte
Les limites communales de Libourne et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deLibourne
SaillansLes BillauxLalande-de-Pomerol

Pomerol
FronsacLibourneSaint-Émilion
ArveyresGénissacMoulon

Géologie et relief

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La commune se compose de913,31 hectares de territoires artificialisés (44,16 %),896,41 hectares de territoires agricoles (43,35 %),45,72 hectares de forêts et milieux semi-naturels (2,21 %) et212,44 hectares de surfaces en eau (10,27 %)[3].

La zone géographique de l'appellation d’origine contrôlée « Fronsac », s’étend sur le territoire de 7 communes situées au nord-ouest de la ville de Libourne au confluent de l'Isle et de la Dordogne[4].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Réseaux hydrographique et routier de Libourne.
Lac des Dagueys.

Cours d'eau traversant la commune :

Données des points de suivi piézométrique, RapportBureau de recherches géologiques et minières (BRGM)/RP-67495-FR rédigé dans le cadre du programme « Contrôle qualité et gestion des nappes souterraines de Gironde ».

Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (SIGES)

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Gironde.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[5]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud sans saison sèche[6]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[7] et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours)[8]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[9],[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 871 mm, avec11,8 jours de précipitations en janvier et6,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaint-Émilion à7 km àvol d'oiseau[11], est de13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[12],[13]. La température maximale relevée sur cette station est de41,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−12 °C, atteinte le[Note 1].

Statistiques 1991-2020 et records station ST EMILION (33)- alt : 38 m, lat : 44°55'03"N, lon : 0°11'16"O
Records établis sur la période du
1er janvier 1995 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)3,33,15,27,61113,815,114,911,89,65,83,68,7
Température moyenne (°C)6,67,310,313,116,619,821,521,518,214,99,87,113,9
Température maximale moyenne (°C)9,911,615,418,622,225,927,82824,720,113,810,519
Record de froid (°C)
date du record
−8,3
13.01.03
−12
09.02.12
−9
01.03.05
−1,8
04.04.1996
2,2
05.05.19
5,6
01.06.06
7,1
02.07.12
6,2
31.08.10
2,9
25.09.02
−5,6
30.10.1997
−8
17.11.07
−9,7
17.12.01
−12
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,6
28.01.02
24,7
27.02.19
26,3
20.03.05
30,8
30.04.05
35,5
30.05.01
39,7
18.06.22
40,9
18.07.22
41,6
11.08.25
37,9
12.09.22
33
01.10.23
25,2
07.11.15
19,7
31.12.22
41,6
2025
Ensoleillement (h)77,8125,8164,2199222248,7272,9255226,9156101,592,42 142
Précipitations (mm)78,261,55872,468,158,247,755,26261,491,484798,1
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
39
18.01.1998
33,6
25.02.24
45,4
10.03.23
64
29.04.03
65,4
31.05.08
64,4
22.06.14
41
06.07.01
41
19.08.03
56,3
19.09.09
45
17.10.1999
34,9
02.11.09
88
28.12.1995
88
1995
Source :« Fiche 33394002 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
9,9
3,3
78,2
 
 
 
11,6
3,1
61,5
 
 
 
15,4
5,2
58
 
 
 
18,6
7,6
72,4
 
 
 
22,2
11
68,1
 
 
 
25,9
13,8
58,2
 
 
 
27,8
15,1
47,7
 
 
 
28
14,9
55,2
 
 
 
24,7
11,8
62
 
 
 
20,1
9,6
61,4
 
 
 
13,8
5,8
91,4
 
 
 
10,5
3,6
84
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces naturels[14] :

  • Deux espace protégé horsNatura 2000 Bassin De La Dordogne :
Réserve de Biosphère, zone tampon[15],
Réserve de Biosphère, zone de transition[16].
La Dordogne[17],
Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne[18].
Frayère du Pinson[19],
L'Isle du barrage de Laubardemont à Libourne et sa vallée Bocagerie[20],
Marais Brizard et zone Boragère de Saillans[21],
La Dordogne[22].

Natura 2000

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La Dordogne est un site duréseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les104 communes riveraines de la Dordogne, dont Libourne[23],[24]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites àl'annexe II de ladirective 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[25].

ZNIEFF

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Libourne fait partie des102 communes concernées par lazone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) detype II « La Dordogne »[26],[27], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[28].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Libourne est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29].Elle appartient à l'unité urbaine de Libourne[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant dix communes, dont elle estville-centre[Note 3],[30],[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est la commune-centre[Note 4],[31]. Cette aire, qui regroupe24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,7 %), cultures permanentes (27,1 %), prairies (11,4 %), eaux continentales[Note 5] (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), forêts (2,2 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

La ville dispose d'unplan local d'urbanisme[35] dont la dernière procédure a été approuvée le 24 mars 2022.

Voies de communication et transports

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Infrastructures routières

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Libourne est située sur l'axe allant deBordeaux àClermont-Ferrand. L'A89 permet de faciliter les communications entre l'Aquitaine et l'Auvergne,Lyon et laSuisse. L'autoroute contourne la ville par l'ouestvia leviaduc des Barrails et leviaduc du Mascaret.La ville se situe à 31 km par laroute nationale 89 (voie express à 2×2 voies) du centre deBordeaux et à 98 km d'Arcachon.

Gare de Libourne.

Infrastructures ferroviaires

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Article détaillé :gare de Libourne.

Contrairement à la ligneTGV Atlantique deParis àBordeaux, laligne classique Paris-Bordeaux, laligne de Libourne au Buisson et laligne de Lyon à Bordeaux passent par lagare de Libourne.

Transports en commun

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Article détaillé :Lignes de bus de Libourne.

Libourne possède9 lignes de bus :

  • 4 lignes urbaines
  • 5 lignes non-urbaines.

La municipalité, après avoir rendu gratuit l'usage du réseau pour les moins de18 ans depuis le, a généralisé cettegratuité des transports en commun à l'ensemble des Libournais à compter du[36],[37]

  • Calibus + : le service TAD de Libourne[38].
La refonte 2019 du réseau répartit désormais les lignes en différents groupes 3 :
  • Le réseau Calibus
    • 4 lignes urbaines
    • 2 navettes de centre-ville à Libourne etCoutras
    • 6 lignes non-urbaines
  • Le réseau à la demande Calibus+
    • 5 lignes de transport de proximité
    • un service de transport à la demande PMR/seniors
  • Les lignes scolaires : elles ne font pas partie à proprement parler du réseau Calibus mais sont gérées par son AOT.

Ports

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Transports aériens

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Politique cyclable

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Libourne lance en 2016 le service Lib'Cycle et choisi le prestataire Cyclocom pour gérer une flotte de 100vélos en libre-service à la journée[43]. En décembre 2021, le prestataire se retire de Libourne et la ville fait évoluer son offre. Le 3 janvier 2022, une nouvelle version du service est lancée, avec 28 vélos reconditionnés disponibles en libre-service gratuitement pour 12h dans11 stations de la ville[44]. La réservation se fait par le biais de Fredo App, service spécialisé en gestion de flotte de vélos, et l'entretien est réalisé par La Recyclerie du Libournais[45], association spécialisée en recyclage et partenaire de la ville.

Cette offre s'inscrit dans la stratégie d'aménagement de la ville de Libourne, dont la Bastide (quartier centre) a été transformée en zone 30 avecdouble-sens cyclable à partir de juin 2021[46].

Le plan vélo 2020-2024 de la municipalité prévoit le développement de 6 km depistes cyclables supplémentaires, la création d'unRéseau Express Vélo (REV) pour desservir la périphérie, la mise en place de véloboxs sécurisés et la création d'un abri vélo devant la gare pouvant accueillir 36 vélos et charger 6 VAE[47].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Libourne est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à unrisque technologique, larupture d'un barrage[48]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[49].

Risques naturels

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La commune fait partie duterritoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les20 communes concernées par un risque desubmersion marine ou de débordement de laDordogne, un des18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur lebassin Adour-Garonne[50]. Les événements significatifs auxXIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). AuXXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue detemps de retour de10 ans à30 ans), moyen (temps de retour de100 ans à300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[51]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1993, 1999, 2000, 2003, 2008, 2009 et 2013[52],[48].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Libourne.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 7 838 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 7 838 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[53],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[54].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

La commune a été sélectionnée pour accueillir la quatrième base nationale de laSécurité civile, visant à se préparer face à la multiplication des catastrophes naturelles, en premier lieu les feux de forêt[55].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval dubarrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur laDordogne de classe A[Note 6] soumis àPlan particulier d'intervention (PPI), disposant d'une retenue de477 millions de mètres cubes[57]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à larupture de cet ouvrage[58].

Toponymie

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La localité est attestée sous la formeCondate à l'époque romaine[59]. Il s'agit du gauloiscondate « confluent » qui a donné les nombreuxCondé,Candé du nord de la France,Condat etc. du sud[59]. Elle est effectivement située au confluent de l'Isle et de la Dordogne[59].

C'est à partir de 1275 est mentionné le nom deLeyburne[59].Il s'agit d'un seigneur anglaisRoger de Leybourne, gouverneur de Gascogne auXIIIe siècle[59] et qui tient son qualificatif du village deLeybourne dans le comté deKent, qui, sur l'emplacement du villageromain deFozera, en réalisa le tracé en1270. Au cours des années, son nom fut légèrement altéré. Il se transforma enLibourne.

Engascon, le nom de la commune estLiborna.

Ses habitantssont appelés lesLibournais[60].

Histoire

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À l'époque de sa fondation, la vocation de Libourne était celle d'unport maritime pour le commerce duvin et fluvial pour le commerce du bois, ultime destination desgabares descendant laDordogne chargées, entre autres, de bois de noisetier destiné aux vignobles.

La bastide de Libourne, au confluent de la Dordogne et de l’Isle, avec un port fluvial et maritime sur la Dordogne, a été conçue en 1268-1270 pour devenir le débouché naturel des vins de la vallée de la Dordogne – vins du Saint-Émilionnais, du Bergeracois, etc. – exportés dès la fin duXIIIe siècle en Angleterre. Les rois d’Angleterre octroyèrent à la ville de Libourne, de même qu’ils l’avaient fait pour Bordeaux, une « coutume » exemptant de droits de douane l’exportation de ces vins. La grande période de ce trafic se situe entre 1305 et 1336.

Pour la petite histoire, il se dit que le pavage du port est en pierre anglaise transportée dans lesbateaux qui venaient chercher duvin. En effet, ceux-ci ne pouvant venir d'Angleterre à vide, il fallait les lester pour qu'ils puissent naviguer sur l'Atlantique.

Libourne fait partie du type de villes construites autour d'une place entourée d'arcades pour créer unmarché, lesbastides.

De par son adhésion, en 1379, à l'hypothétique alliancebordelaise de défense contre les troupes françaises, la ville fortifiée de Libourne aurait été qualifiée defilleule de Bordeaux[61], alliance qui aurait favorisé de nombreux échanges commerciaux avec lacapitale girondine. L'existence de cette alliance est désormais contestée, aucun document médiéval ne prouvant son existence. Seul aurait été signé un accord entre Bordeaux et Bourg, en juillet 1379, tandis que la prétendue ligue serait une invention postérieure duXVIIe siècle, issue d'une relecture mémorielle des relations entre les villes concernées[62]

Afin de la récompenser de sa « fidélité » (davantage pour se l'attacher définitivement, Libourne ayant été plus fidèle aux Anglais qu'aux Français durant la guerre de Cent Ans)Louis XI confirma encore ses privilèges par les lettres patentes en[63] ainsi qu'en à la suite de la mort du duc de Guyenne, son frère[64],[65],[66].

Libourne est touchée par larévolte des pitauds en1548 : en 1541, lagabelle est imposée à la Saintonge et à l’Angoumois, provinces qui ne payaient pas cet impôt sur le sel. La révolte éclate près d’Angoulême, et Libourne est prise par les révoltés pendant l’été[67].

Libourne, vue depuis le tertre deFronsac, dessin à la plume d’Herman van der Hem, vers 1640[68].

Lors des guerres de laFronde (1648 à 1652),Bernard de Nogaret de La Valette,duc d'Épernon gouverneur de Guyenne, fit fortifier Libourne dans le but d’affaiblir Bordeaux dont les échanges dépendaient de deux fleuves, la Garonne mais aussi la Dordogne. La ville est à nouveauassiégée par les troupes françaises en1652[69].

Le commerce du port de Libourne, de même que celui de Bordeaux, eut à souffrir du blocus continental opéré lors de laguerre de la Ligue d’Augsbourg (1688-1697) par les Puissances maritimes (Angleterre,Provinces-Unies, Empire et Espagne). Pour avoir du vin, elles firent appel davantage qu’auparavant au Portugal et à l’Espagne. Après larévocation de l'édit de Nantes (1685), la « diaspora » des protestants a renoué des liens commerciaux privilégiés, ainsi entre Bergerac et la Hollande (les vins de Bergerac étaient expédiés depuis Libourne).

À l’époque de Tourny, intendant deGuyenne au milieu duXVIIIe siècle, Libourne se dota d’allées, de fontaines, de lavoirs et améliora ses quais et ses ports.

Le 19 août 1944, la garnison allemande dePérigueux décide donc de se replier vers Libourne par la RN 89.C’est une colonne de plusieurs milliers d’hommes (soldats, civils, état-major) qui prend la route sous le commandement du colonel Sternkopf, qui avait travaillé avec le capitaine de la Gestapo Michael Hambrecht[70].

Le 28 août 1944, la garnison allemande, forte de 260 hommes armés de mitrailleuses lourdes, de canons, de tanks, sort de la caserne Proteau. Après plusieurs négociations, le commandant Angelini, connu sous le nom de commandant Louis, un des chefs des Forces françaises d’intervention (FFI), a finalement obtenu la reddition des Allemands. Aboutissement de plusieurs années de lutte.C’est quelques jours avant, le 26 exactement, que l’Oberleutnant Moz accepte un premier ultimatum du commandant Louis. c’est dans une ville pavoisée aux couleurs nationales que les partisans des différents maquis défilent. Vêtus de leurs habits de civils, ils arborent avec fierté leur brassard et leur modeste armement. c’est dans une ambiance de liesse populaire, qu’est créé le Bataillon FFI « Le Libournais », composé de l’ensemble des forces de la résistance, et mis sous le commandement du commandant Jean Bernadet. Ces hommes continueront laLibération de la France et sur lespoche de Royan et de la pointe de Grave[70].

Libourne, commune péri-métropolitaine de Bordeaux, s'est dotée en 2015 d'un projet urbain, « Libourne 2025-La Confluente », pour accompagner son développement de manière coordonnée. Cinq sites de projet majeurs sont mis en valeur : la revitalisation du cœur de la bastide, l'aménagement des quais de la confluence et le développement du Port de Libourne-Saint-Émilion, la reconversion des casernes en pôle événementiel et hôtelier, la gare-Épinette et son pôle multimodal, le site naturel des Dagueys avec son centre aquatique et son pôle nautique[71].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 en Gironde.
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Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
Article détaillé :Liste des maires de Libourne.
Liste des maires depuis1945
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
mai 1945octobre 1947Jean BernardetSFIOIngénieur des travaux publics et viticulteur
Conseiller général de Libourne(1945 → 1949 et 1955 → 1979)
octobre 1947mars 1959Abel BoireauDVD-RGRDocteur en droit, avocat à la Cour d'appel deBordeaux
Conseiller général de Libourne(1949 → 1955)
mars 1959octobre 1979
(décès)
Robert BoulinUNRpuisUDR
puisRPR
Avocat
Secrétaire d'État(1961 → 1968) puisministre(1968 → 1973 et 1976 → 1979)
Député de la Gironde (9e circ.)(1958 → 1961 et 1973 → 1976)
Conseiller régional d'Aquitaine(1973 → 1979)
décembre 1979[72]mars 1989André TeurlayUDF-PRCommerçant en gros, président de laCCI de Libourne
Premier adjoint au maire(1977 → 1979)
Conseiller général de Libourne(1979 → 1998)
mars 1989novembre 2011
(démission)
Gilbert MitterrandPSAssistant d'université
Député de la Gironde(1981 → 1993 et 1997 → 2002)
Conseiller général de Libourne(2004 → 2011)
Vice-président duconseil général de la Gironde(2004 → 2011)
Conseiller régional d'Aquitaine(1981 → 1989)
Président de laCA du Libournais(2012 → 2014)
novembre 2011[73]en cours
(au 25 mai 2020)
Philippe BuissonPSpuis
DVG
Conseiller régional d'Aquitaine(2004 → 2015)
Vice-président duconseil régional d'Aquitaine
Vice-président de laCC du Nord Libournais(2010 → 2011)
Vice-président de laCA du Libournais(2012 → 2014)
Président de la CA du Libournais(2014 → )

Jumelages

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Au, Libourne estjumelée[74] avec :

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[77],[Note 7].

En 2022, la commune comptait 24 668 habitants[Note 8], en évolution de −0,85 % par rapport à 2016 (Gironde : +6,91 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
9 1008 0768 2938 7879 8389 7149 81411 81312 650
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
13 29013 56514 63914 96015 23115 98116 73617 86718 016
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
19 17519 32320 08518 08318 45319 10319 49120 16619 474
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
19 83422 12321 65122 11921 01221 76123 29623 68124 880
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
24 55724 668-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[78] puisInsee à partir de 2006[79].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 11 126 hommes pour 13 385 femmes, soit un taux de 54,61 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (52,06 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[80]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
7,6 
75-89 ans
11,0 
15,2 
60-74 ans
18,5 
19,5 
45-59 ans
19,7 
19,3 
30-44 ans
17,2 
17,7 
15-29 ans
16,1 
19,9 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département de laGironde en 2021 en pourcentage[81]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
6,7 
75-89 ans
8,9 
15,7 
60-74 ans
16,8 
19,9 
45-59 ans
19,3 
19,9 
30-44 ans
19,2 
19,4 
15-29 ans
18,1 
17,7 
0-14 ans
15,8 

Cultes

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  • église catholique : trois églises (église Saint-Jean-Baptiste, église Notre-Dame de l'Epinette, église Saint-Ferdinand) et plusieurs chapelles (dont la principale est la chapelle de Condat) ;
  • temple protestant de Libourne, inauguré en 1869 ;
  • synagogue ;
  • église évangélique : assemblée de Dieu ;
  • mosquée ;
  • témoins de Jéhovah.

Enseignement

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Libourne compte plusieurs collèges et lycées[82] :

  • Collège Eugène-Atget
  • Collège Marguerite-Duras
  • Collège des Dagueys
  • Collège Saint-Joseph (privé)
  • Lycée Max-Linder
  • Lycée polyvalent Jean-Monnet
  • Lycée professionnel Henri-Brulle
  • Lycée Montesquieu (privé)

Ainsi que plusieurs lieux d'enseignement supérieur :

  • Un institut de formation en soins infirmiers (IFSI)
  • 3 brevets de technicien supérieur (BTS) en établissement public : maintenance industrielle ; management des unités commerciales ; assistant de direction.
  • 3 BTS en établissement privé : assistant de gestion PME/PMI ; négociation relation clientèle ; management des unités commerciales.
  • le centre de formation de l'Insee (Cefil).
  • 1BTSA technico-commercial.

Sports

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La ville compte un certain nombre de clubs :

Tours de France

Équipements sportifs

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  • 7 stades dont :
  • 7 salles et gymnases dont :
    • Palais des sports Georges-Kany
    • Gymnase Jean-Mamère
    • Salle de Gymnastique des Bleus de Saint-Ferdinand
    • Dojo municipal
    • Salle d'escrime René-Legendre
  • Piscine municipale
  • Hippodrome de Cantereau
  • Pôle nautique international des Dagueys

Santé

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Les professionnels et services de santé[88] :

  • Médecins,
  • Pharmacies,
  • Centre hospitalier de Libourne[89],
  • Hôpitaux à Branne, Coutras, Castillon-la-Bataille, Créon, Saint-André-de-Cubzac, Artigues-près-Bordeaux, Lormont, Cenon.

Culture

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  • Musée des beaux-arts de Libourne qui présente une remarquable collection de peintures, sculptures, dessins etc. datant duXIVe au XXe siècle
  • Fest'arts - Festival international des arts de la rue (tous les ans, en août)[90]
  • Chapelle du Carmel, ancien couvent de carmélites, expositions temporaires
  • Médiathèque municipale Condorcet
  • Théâtre Le Liburnia (saison culturelle de septembre à mai)
  • Cinéma grand écran 10 salles
  • FestivalInvasions de Lucanes, organisé par l'association Lucanes Musiques[91]

Secrétariat du Père Noël

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En1962, après que deux receveuses (Odette Ménager dans un bureau de poste de Maine-et-Loire et Magdeleine Homo dans la Seine-Maritime[92]) ont fait connaître leur frustration de ne pouvoir acheminer le courrier destiné auPère Noël jusqu’à ce dernier et ont pris l'initiative d'ouvrir le courrier[93], leministre des PTT,Jacques Marette, décide de créer le secrétariat du Père Noël, un service spécialement chargé de répondre aux enfants envoyant des lettres auPère Noël[94], seul service de la Poste autorisé à ouvrir le courrier[95]. Il confie la création de la carte-réponse du Père Noël à une rédactrice, sa propre sœur qui n'était autre que la célèbrepédiatre etpsychanalysteFrançoise Dolto (la première « secrétaire du père Noël ») et à un illustrateur qui garde l'apparence du Père Noël (barbe blanche ethouppelande rouge[96]) mais change régulièrement au cours des années ses moyens de locomotion (satellite des télécommunications, hélicoptère, nuage, étoile, etc.). Le secrétariat se situe alors au sixième étage de l'hôtel des Postes du52,rue du Louvre à Paris, au service des « rebuts » (le rebut désigne un objet postal dont la distribution est impossible) où les postiers « secrétaires » sont spécialement sélectionnés pour rompre un dogme de la poste, l'inviolabilité du secret de la correspondance[97].

Dans le cadre de ladécentralisation, ce service des rebuts desPTT doit être transféré en province.Robert Boulin, alorssecrétaire d'État au Budget et maire de Libourne, use de son influence pour obtenir le déménagement de ce service dans sa ville en 1967, offrant aux PTT un terrain pour accueillir le centre de recherche du courrier et le secrétariat du Père Noël. Depuis lors, le Père Noël reçoit son courrier à Libourne[97].

Dans les années 1940, la Poste estimait le flux annuel de courrier destiné au Père Noël à 3 000. En 1962, ce secrétariat a reçu le courrier de deux mille enfants. Le nombre de lettres reçues a augmenté régulièrement de 10 % par an, pour atteindre 1 430 000 plis et 181 200 courriels en2007, les missives arrivant de130 pays différents[95]. Cette évolution se stabilise depuis la fin desannées 2000[92]. Il s'agit principalement des lettres d'enfants de 3 à9 ans mais une recrudescence de lettres envoyées par des adultes (liée à leur isolement, leur solitude) a conduit le secrétariat à abandonner en 2011 les cartes-réponses personnalisées au profit de réponses-type uniquement pour les adultes[97]. La France est un des rares pays avec laFinlande (Rovaniemi) et leCanada à disposer d'un secrétariat de ce type[93].

En 2014, toute l'histoire du secrétariat du Père Noël de La Poste est racontée pour la première fois dans un livre scientifique[98].

Médias

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Quatre radios émettent sur Libourne[99] :

Animations et associations locales

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La ville bénéficie d'un réseau associatif couvrant de très nombreux domaines. La maison des associations a pour vocation de promouvoir et faciliter la vie associative locale[100].

Politique numérique

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En 2013, la commune de Libourne a été récompensée par lelabel « Ville Internet @@[101] ».

En mars 2019, la ville lance l'application "Libourne dans ma poche"[102], développée par Orange et disponible sur Google Play et l'App Store. Elle recense des informations sur l'offre éducative et culturelle, les transports en commun et la circulation, les démarches administratives, la collecte des déchets, la météo, les marchés ou la démocratie participative entre autres. L'application comptabilise en 2021 environ 2 100 téléchargements, soit l'équivalent d'environ 10 % des 25 000 habitants de la ville[103].

La ville propose un service de Wifi public gratuit, par le biais de sept bornes :

  • Wifi Surchamp, Place Abel Surchamp
  • Wifi Quai Souchet
  • Wifi Esplanade de la République
  • Wifi Médiathèque Condorcet, Place des Recollets
  • Wifi Esplanade François Mitterrand
  • Wifi Théâtre le Liburnia, 16 rue Donnet
  • Wifi Maison des Associations, 47 Boulevard de Quinault

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture - Élevage

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  • Les terroirs viticoles du Libournais[104].
  • AGAPES (Association pour Garantir une Agriculture Paysanne Equitable et Solidaire)[105].
  • Ferme de la Barbanne[106].

Tourisme

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  • Nombreux hébergements[107] et restaurants.
  • Châteaux viticoles et vignes sacrées[108].

Commerces

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  • Commerces.
  • Ville bastide et vinicole[109].
  • Ville portuaire[110].

Libourne est le siège de laChambre de commerce et d'industrie de Libourne. Elle gère l’aérodrome de Libourne - Artigues-de-Lussac.

Plusieurs grandes entreprises sont présentes à Libourne :

Le, leministère de l'intérieur a annoncé la fermeture de l'École de sous-officiers de la gendarmerie nationale[111].

Libourne envisage de tester des « lampadaires absorbeurs de CO2 ». Munis d'un réservoir contenant desalgues, ils absorberaient ledioxyde de carbone et émettraient de l'oxygène[112].

Libourne a sa propremonnaie locale complémentaire, la Monnaie d'intérêt économique local, dont les prestataires se trouvent dans une zone comprenant les paysLibournais,Créonnais,Castillonnais,Pays de Coutras etLandes girondines.

Budget et fiscalité 2023

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L'hôtel de ville et le musée des Beaux-Arts au deuxième étage.

En 2023, le budget de la commune était constitué ainsi[113] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 860 [114].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil et naturel

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  • La tour du grand port vers 1905.
    La tour du grand port vers 1905.
  • Porte et tour du port.
    Porte et tour du port.
  • Dominé par la tour du grand port, le confluent de l'Isle (en face) et de la Dordogne.
    Dominé par la tour du grand port, le confluent de l'Isle (en face) et de la Dordogne.
  • L'hôtel de ville.
    L'hôtel de ville.
  • Le balcon de l'hôtel de ville.
    Le balcon de l'hôtel de ville.
  • Musée des Beaux-Arts de Libourne.
    Musée des Beaux-Arts de Libourne.
  • La place Abel-Surchamp.
    La place Abel-Surchamp.
  • Arcades de la place Abel-Surchamp.
    Arcades de la place Abel-Surchamp.
  • La façade Art déco du Cinéma Rex.
    La façade Art déco du Cinéma Rex.
  • Salon de coiffure d'architecture 1950.
    Salon de coiffure d'architecture 1950.
  • Sol & Flores Villa d'architecture moderniste années 1950.
    Sol & Flores Villa d'architecture moderniste années 1950.
  • Le Centre de Formation de l'Insee
    Le Centre de Formation de l'Insee
  • L'esplanade François-Mitterrand, vue depuis le toit du lycée Max-Linder.
    L'esplanade François-Mitterrand, vue depuis le toit du lycée Max-Linder.
  • Maison, 19 rue du Président-Carnot.
    Maison, 19 rue du Président-Carnot.
  • Lescasernes (monument historique, 2013) de la ville sont composées d'un ensemble de deux quartiers sur un même site (7,3 ha). Le premier, le quartierLamarque, dont la construction fut commencée dans la deuxième moitié duXVIIIe siècle et terminée au début duXIXe siècle, est imposante et fut construite dans un style néo-classique et comporte en outre un manège de cavalerie. Cet ensemble est constitué de trois bâtiments rectangulaires autour d'une cour précédée de deux pavillons carrés entourés d'une grille. Bien que certains intérieurs aient été remaniés, de nombreux éléments dignes d'intérêt ont été préservés, notamment l'escalier monumental du pavillon des officiers ainsi que la charpente du manège. Dès le début duXIXe siècle, la caserne accueillit essentiellement des régiments de cavalerie : chasseurs à cheval, lanciers, dragons, hussards. Celui qui stationna le plus longtemps fut le15e régiment de dragons, entre 1874 et 1921. En 1959, la caserne accueillit l'École des officiers de réserve du service de santé des armées (restée célèbre dans la mémoire des appelés pharmaciens et médecins qui y faisaient leur période de classes). L'ENORSSA ferme en 1994, dans la logique qui prépare la suppression duservice militaire (1997). Elle fut remplacée jusqu'en 2009 par une école de sous-officiers de lagendarmerie[115]. Le second quartier fut construit aux débuts de laTroisième république dans un style typique de l'époque, reçut le nom de quartierProteau, et accueillit après laguerre de 1870 une portion du57e régiment d'infanterie, ainsi que le139e régiment d'infanterie territorial. Les casernes, en déshérence durant une quinzaine d'années, sont finalement réinvesties par l'armée en 2024, avec un régiment d'instruction et d'intervention de la sécurité civile (4e RIISC).
  • Latour du grand port est un des derniers vestiges des fortifications qui protégeaient Libourne depuis leMoyen Âge. Elle est classéemonument historique[116].
  • L'hôtel de ville,XVIe siècle, amplement remodelé au début duXXe siècle, classémonument historique[117] abritant, au deuxième étage, le musée des beaux-arts.
Article détaillé :Musée des Beaux-Arts de Libourne.
Cloche[118].
Le Cefil se trouve sur les bords le l'Isle au 3, rue de la Cité[122].

Fontaines et statues

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Fontaine et statue, place Princeteau.
H2O, sculpture fontaine réalisée par , Place René Princeteau et Migration[128].
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Patrimoine religieux

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Le remontage de la flèche a été réalisé avec le soutien de laFondation du patrimoine[137] et la mobilisation de l'association des amis de Saint Jean-Baptiste[138].

Patrimoine mobilier :
* OrgueWenner & Götty (1859), Beuchet (1951)[139],[140],
* Orgue de chœur Wenner & Götty (1855)[141].
* Autel (maître-autel)[142].
* Tableau Christ chassant les vendeurs du temple[143].
* Tableau : Pentecôte (la)[144].
* Deux statues en pierre de saint Jean-Baptiste et un évêque[145].
* Évêque[146].
Orgue[152].
Cloche[154].
Cimetière israélite[161],[162].
  • Le cimetière de Quinault[163]
  • Lecimetière de la Paillette[164].
  • Quelques architectures d'après-guerre sont remarquables comme la façade d'un salon de coiffure de cette époque et la villa Sol & Flores ; le cinéma Rex est représentatif de l'architectureArt déco ; ces monuments sont mis en valeur par un éclairage nocturne.
  • Monument aux morts[165] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de1914-1918[166].
Monuments commémoratifs[167].

Personnalités liées à la commune

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Nées à Libourne

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XVIIIe siècle
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Pierre Roy[173],
Jean Verge[174].
XIXe siècle
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Maison natale du photographeEugène Atget, 51 rue Clément-Thomas.
XXe siècle
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Par dates de naissance :

Décédés à Libourne

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Héraldique

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Armes

Les armes de Libourne seblasonnent ainsi :D'azur au vaisseau équipé d'argent, les voiles ferlées, voguant sur des ondes du même mouvant de la pointe, les trois mâts sommés chacun d'une fleur de lys d'or, les ondes chargées d'un croissant de sable.

En 1462,Louis XI vint à Libourne où il reçut un accueil des plus chaleureux. En signe de reconnaissance, il concéda à la ville le droit de surmonter d’unefleur de lys chacun des mâts du vaisseau que portaient les armes de la ville.
Les voiles doivent être ferlées, c'est-à-dire roulées et attachées sur les vergues, en guise d'hommage au roi.
Le croissant symbolise la confluence de l'Isle et de la Dordogne et rappelle également que la ville est filleule de Bordeaux (qui porte également un croissant en pointe sur son blason).

La deviselatine de la ville est « INSULA LIBURNIUM DURANIUS » (Libourne entre l'Isle et la Dordogne)[177].

Voir aussi

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Bibliographie

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L’ennemi à la maison : les camps d’internement de Libourne et de Bazas pendant la Première Guerre mondiale, par Thierry Truel, Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde Année 2014 20 pp. 119-134.
Camp de Libourne durant la Seconde Guerre mondiale.

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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"Libourne" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Libourne, il y a une ville-centre et neuf communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[56].
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. Unité urbaine de Libourne (33401) sur le site de l'Insee, consulté le 11 avril 2016.
  2. Aire urbaine de Libourne (177) sur le site de l'Insee, consulté le 11 avril 2016.
  3. Localisation de la commune, géographie et occupation des sols
  4. Paysage viticole
  5. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
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  123. Fontaines guérisseuses. Propriétés de guérisons: Maux des yeux
  124. Fontaine sèche dynamique
  125. Fontaine-lavoir de la Roudeyre
  126. No 24 Les quais et la fontaine Roudeyre
  127. Nouveaux pavés, nouvelle statue, nouveaux arbres… Après plus d’un an de travaux, ce lieu emblématique de la bastide a changé de visage,Sud Ouest, 23 juin 2021
  128. Candidature au labelville d'art et d'histoire
  129. Quel avenir pour la fontaine de la place Abel SurchampFrance Bleu, 30 juin 2014
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  132. Monument au duc Decazes
  133. Monument commémoratif du Duc Decazes
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  136. Histoire de l'Église Saint Jean-Baptiste
  137. Le projet : le remontage de la flèche
  138. Les Amis de Saint-Jean-Baptiste
  139. Orgue de l'église Saint-Jean-Baptiste
  140. Construction en remplacement d'un orgue de Henry. Facteur(s) : Wenner & Gotty
  141. Orgue de chœur de l'église Saint-Jean-Baptiste
  142. « autel (maître-autel) », noticeno PM33002205, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
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  151. société Paroisse Saint-Ferdinand
  152. Orgue de l'église Saint-Ferdinand
  153. Histoire de Notre-Dame de Condat
  154. « Cloche 15e siècle », noticeno PM33000577, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
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  160. « Synagogue de 1847 », noticeno PA00135179, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  161. cimetière israélite du cours de l’Yser
  162. Cimetières juifs de Bordeaux
  163. Cimetière de Quinault
  164. Libourne, le cimetière de la Paillette
  165. Monument aux morts
  166. Livres d'or1914-1918
  167. Monuments commémoratifs
  168. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918, situé Jardin du Poilu », noticeno PA33000177, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture
  169. Noticeno M0072004225, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la Culture Les adieux de Marie Stuart partant pour l'Écosse
  170. Noticeno M0072003423, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la Culture Autoportrait, au musée des beaux-arts et d'archéologie
  171. Noticeno M0072000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la CultureAdoration des Mages
  172. Noticeno M0072000037, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la CultureRichard et le Docteur Maure
  173. Pierre Roy
  174. Jean Verge
  175. Auguste Perdonnet, Notions générales sur les chemins de fer: suivies Des biographies de Cugnot, Séguin et George Stephenson; d'un mémoire sur les avantages... et d'une bibliographie raisonnée, E. Lacroix, 186?,p. 56intégral (consulté le 22 mai 2011).
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Villes de laGironde
Les communes de plus de 10 000 habitants
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