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Le Rozier

44° 11′ 30″ nord, 3° 12′ 39″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Rozier
Le Rozier
Vue générale du Rozier.
Blason de Le Rozier
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementLozère
ArrondissementFlorac
IntercommunalitéCommunauté de communes de Millau Grands Causses
Maire
Mandat
Arnaud Curvelier
2020-2026
Code postal48150
Code commune48131
Démographie
GentiléRoziéens ou Roziérains
Population
municipale
128 hab.(2022en évolution de −5,88 % par rapport à 2016)
Densité63 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 11′ 30″ nord, 3° 12′ 39″ est
AltitudeMin. 387 m
Max. 849 
m
Superficie2,03 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Florac Trois Rivières
LégislativesCirconscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Le Rozier
Géolocalisation sur la carte :France
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Le Rozier
Géolocalisation sur la carte :Lozère
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Le Rozier
Géolocalisation sur la carte :région Occitanie
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Le Rozier
Liens
Site webwww.la-mairie.com/rozierVoir et modifier les données sur Wikidata
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Le Rozier est unecommune française, située dans le sud-ouest dudépartement de laLozère, enrégionOccitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par leTarn, laJonte et par un autre cours d'eau. Incluse dans lesCévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : unsite Natura 2000 (les « gorges du Tarn etde la Jonte ») et sixzones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Le Rozier est une commune rurale qui compte 128 habitants en 2022. Ses habitantssont appelés les Roziérois ou Roziéroises.

Géographie

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Généralités

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Le Tarn au pont de la RD 996. À droite de la rivière, commune du Rozier. À gauche, commune deMostuéjouls, dans l'Aveyron.

Dans le quart sud-ouest du département de laLozère et limitrophe du département de l'Aveyron, Le Rozier est une commune faisant partie ducausse Méjean, dans sa limite sud-ouest. À la périphérie duparc national des Cévennes, le territoire communal forme unquadrilatère irrégulier qui s'étend sur 2,03 km2. Il est bordé au nord-ouest par leTarn etses gorges et au sud par son affluent laJonte dans la partie aval deses gorges. Les deux rivières confluent en limite de la commune.

L'altitude minimale, 387 mètres, se trouve localisée à l'extrême ouest, au confluent de la Jonte et du Tarn. À l'est, l'altitude maximale avec 849 mètres est en limite de la commune deSaint-Pierre-des-Tripiers.

En bordure de la Jonte et traversé par laroute départementale (RD) 996, le bourg du Rozier est situé, endistances orthodromiques, quatorze kilomètres au nord-est deMillau.

Au sud du bourg, laRD 29 franchit la Jonte et mène au bourg dePeyreleau.

En provenance de la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers et y retournant, leGR 6 participant alors au parcours du chemin deSaint-Guilhem, fait une boucle à travers le territoire communal sur plus de cinq kilomètres, longeant les gorges du Tarn et passant dans le nord du bourg.

Communes limitrophes

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Le Rozier est limitrophe de trois autres communes dont deux dans le département de l'Aveyron. Au sud-est, son territoire est distant d'environ520 mètres de celui deVeyreau, dans l'Aveyron.


Carte
Les limites communales de Le Rozier et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophesdu Rozier[1]
Mostuéjouls
(Aveyron)
du RozierSaint-Pierre-des-Tripiers
Peyreleau
(Aveyron)

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat de la Lozère.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[2]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[3]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[4] et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5]. Elle est en outre dans lazone H2d au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[6],[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 167 mm, avec10,4 jours de précipitations en janvier et4,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaint-Pierre-des-Tripiers à4 km àvol d'oiseau[8], est de9,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,3 mm[9],[10]. La température maximale relevée sur cette station est de37,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de−16,7 °C, atteinte le1er mars 2005[Note 1].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[11],[12]. La commune fait partie de la zone de transition desCévennes, un territoire d'une superficie de116 032 ha reconnuréserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses,lichens, champignons[13],[14].

Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir desdirectiveshabitats etoiseaux, constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 2].Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges du Tarn et de la Jonte »[16], d'une superficie de41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population deVautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.Trois ZNIEFF detype 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18] :

et trois ZNIEFF detype 2[Note 4],[18] :

  • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 au Rozier.
  • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
  • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Le Rozier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,3 %), zones urbanisées (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune du Rozier est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité faible)[26]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment leTarn et laJonte. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011 et 2020[28],[26].

Le Rozier est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[29]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du, complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du, abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[29],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Rozier.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[31]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 0,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[33],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Histoire

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C'est au confluent duTarn et de laJonte, à « Inter-Aquas » que des potiers gallo-romains s'établirent pour la fabrication de poteries (jusqu'à l'an II ou III après Jésus-Christ). En 1075, des moines de l'abbaye d'Aniane bâtirent l'église Saint-Sauveur. Tout autour ils y cultivaient des roses. Ce lieu prit alors le nom de « Campum Dictum Rosarium », ou « Campus Rosarium ». Appelé en occitan « Lou Rousio », (avec un « s »), il s'appelle aujourd'hui « Le Rozier » (avec un « z »).

Le, Le Rozier quitte lacommunauté de communes de la Vallée de la Jonte[34] pour rejoindre lacommunauté de communes de Millau Grands Causses[35] le.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires du Rozier
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
  Martial Graille  
2003en coursArnaud Curvelier  

Démographie

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Les habitants de la communesont appelés lesRoziéens ouRoziérains. Enoccitan, on ditLo Rosiar (prononciation :lou Rousio).

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2022, la commune comptait 128 habitants[Note 6], en évolution de −5,88 % par rapport à 2016 (Lozère : +0,11 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
103111105113145147140131147
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
135138150150165207199213199
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
235227210205200200199174158
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
145118114111157153150149152
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
132128-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puisInsee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Emploi

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Taux de chômage
200820132018
Commune[I 5]6,5 %15 %13,5 %
Département[I 6]5 %6,4 %7,1 %
France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 74 personnes, parmi lesquelles on compte 71,6 % d'actifs (58,1 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 28,4 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 36 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit unindicateur de concentration d'emploi de 83,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47 %[I 9].

Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 58,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % lestransports en commun, 23,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Dumonastère Saint-Sauveur du Rozier fondé auXIe siècle par des moinesbénédictins, il ne reste que l'église, inscrite en 1960 au titre desmonuments historiques[40].

Le Rozier se situe au confluent du Tarn et de la Jonte et au point de rencontre de leurs gorges.

Formation rocheuse ressemblant à un château en ruines, le rocher de Capluc domine le bourg du Rozier ainsi que les gorges du Tarn et celles de la Jonte.

  • L'église Saint-Sauveur.
    L'église Saint-Sauveur.
  • Les gorges du Tarn vues depuis Églazines (commune de Mostuéjouls). À gauche de la rivière, la commune du Rozier.
    Les gorges du Tarn vues depuis Églazines (commune de Mostuéjouls). À gauche de la rivière, la commune du Rozier.
  • Les gorges de la Jonte entre Le Rozier (à gauche) et Peyreleau (à droite).
    Les gorges de la Jonte entre Le Rozier (à gauche) et Peyreleau (à droite).
  • Le rocher de Capluc.
    Le rocher de Capluc.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Article connexe :Armorial des communes de la Lozère.
BlasonBlasonnement :
D'or, au pairle ondé d'azur, accompagné en chef d'uncalicegallo-romain, sigillé, de gueules et de deux roses feuillées et tigées du même aux flancs.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Dans les sites Natura 2000, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
  3. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », surle site de l'Insee,(consulté le).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  5. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Rozier »(consulté le).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère »(consulté le).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Rozier »(consulté le).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).

Autres sources

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  1. Carte IGN sousGéoportail
  2. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  3. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  4. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  6. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  7. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  8. « Orthodromie entre Le Rozier et Saint-Pierre-des-Tripiers », surfr.distance.to(consulté le).
  9. « Station Météo-France « Saint-Pierre-des-Tripiers », sur la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  10. « Station Météo-France « Saint-Pierre-des-Tripiers », sur la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  11. « Les espaces protégés. », surle site de l'INPN(consulté le).
  12. « Liste des espaces protégés sur la commune », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  13. « Réserve de biosphère des Cévennes », surmab-france.org(consulté le).
  14. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duRozier », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  17. « site Natura 2000 FR9110105 - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  18. a etb« Liste des ZNIEFF de la commune duRozier », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  19. « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  20. « ZNIEFF la « vallée supérieure et gorges du Tarn » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  21. « ZNIEFF le « versant ouest du causse Méjean » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  22. « ZNIEFF les « gorges de la Jonte » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  23. « ZNIEFF les « gorges du Tarn » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  24. « ZNIEFF la « vallée du Tarn, amont » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  26. a etb« Les risques près de chez moi - commune du Rozier », surGéorisques(consulté le).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surGéorisques(consulté le).
  28. « Les risques majeurs dans la Lozère », surlozere.gouv.fr(consulté le), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  29. a etb« Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », surlozere.gouv.fr(consulté le).
  30. « Les risques majeurs dans la Lozère », surlozere.gouv.fr(consulté le), chapitre Feux de forêts.
  31. « Les risques majeurs dans la Lozère », surlozere.gouv.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  32. a etb« Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Rozier », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  33. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  34. « Arrêté n° SOUS-PREF-2016323-0003 du 18 novembre 2016 », surPréfecture de la Lozère, p 370-371,(consulté le).
  35. « Arrêté n° 2016-10-05-002 du 5 octobre 2016 », surPréfecture de l'Aveyron, p 4-7,(consulté le).
  36. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  40. « Église Saint-Sauveur », noticeno PA00103909, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture, consultée le 5 avril 2020.
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