La ville contient notamment de nombreux commerces et espaces verts Elle fait partie des villes de France ayant le plus delogements sociaux. En effet, le pourcentage de logements sociaux de la ville est actuellement de 67 %[3].
Au, Le Grand-Quevilly est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16].Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant50 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[18]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (88,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (39,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,4 %), forêts (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), eaux continentales[Note 6] (3,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le Grand-Quevilly est desservie par letramway de Rouen dit « métro de Rouen », depuis l'inauguration de celui-ci en1994. La branche « Georges-Braque » de la ligne traverse la ville du nord au sud avec cinq stations, à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre lecentre-ville deRouen en une vingtaine de minutes (en correspondance avec les principales lignes de l'agglomération) etLe Petit-Quevilly en quelques minutes.
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en-(i)acum[22],suffixe d'origine gauloise marquant la localisation ou la propriété. Généralement, il a abouti à la terminaison-(a)y ou-(e)y dans la plupart des régions de Normandie, comme dans la région parisienne, en Picardie et les régions du centre nord de la France.
Le premier élémentQuevil(l)- représente sans doute unanthroponyme selon le cas général[22]. François de Beaurepaire propose deux noms de personnes différents, soit le nom d'homme gauloisCabillus (mentionné dans une inscription de Lyon,CIL XIII, 382), soit le nom de personne latinCapellus[22] (porté par un autochtone). D'où le sens global de « domaine rural, propriété deCabillus ouCapellus ».
Un début depalatalisation a affecté la voyelle initiale /a/ > /e/ suivi d'une régression, ainsi Quevilly conserve le [k-] initial (graphiéqu-) caractéristique dunormand septentrional et dupicard au nord de laligne Joret.
Les toponymes en-acum ne prennent jamais l'article puisque ce ne sont pas des formations médiévales, mais gauloises ou gallo-romanes. En effet, l'article défini le / la, issu dulatinille / illa, n'a été utilisé pour créer des toponymes qu'à partir duIXe siècle en Normandie[23], alors queQuevilly est une formation toponymique antérieure auVe siècle. Aussi l'usage conforte-t-il cette règle, puisqu'on dit souventGrand-Quevilly etPetit-Quevilly au lieu deLe Grand-Quevilly etLe Petit-Quevilly, formes officielles récentes. En outre, les communes contiguës deGrand-Couronne et dePetit-Couronne issues également d'une scission médiévale de la même époque (vers leXIIe siècle) ne prennent pas l'article[22].
Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items. D'autre part,Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie uncontenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.
1554 : Acquisition du fief du Grand Quevilly par un seigneur, Charles De Becdelièvre, sieur de Sazilly (près de Chinon), maître du grenier à sel de Rouen.
1599 : Transfert sur le territoire du Grand-Quevilly du prêche établi quelques mois plus tôt à Dieppedalle le, conséquence locale de l’édit de Nantes de 1598. Le Grand Temple des Réformés est édifié.
1793 : La vie communale s'organise autour d'un conseil général communal bientôt transformé en conseil de la commune révolutionnaire du Grand-Quevilly. En1794, une équipe est choisie pour le destin de la commune. Elle est dirigée par André Boutigny, qui prendra en1800 le titre de « maire provisoire », avant l'arrivée de Germain Delamare, premier maire de la commune et qui le resta jusqu'en1814.
1870 : LesPrussiens envahissent la commune. Des soldats sont prisonniers dans le château du Grand-Quevilly, où était installé un quartier général prussien.
De1882 à1899 : Des progrès ont lieu : des plaques indicatives de rues et de maisons sont installées ; une école pour garçons est construite ; création d'un boulevard de l'industrie et, en1894, d'un chantier naval.
1886 : Création du boulevard de l'Industrie au long duquel vont pousser les usines. Le bourg du Grand-Quevilly compte alors 2 000 habitants.
1899 : Installation de la filature Dieusy et ouverture de la première poste locale.
1914 : Plusieurs camps de militaires britanniques s'installent dans la commune. Une nécropole nationale en perpétue le souvenir.
1919 : Déjà amorcée avant-guerre, l'industrialisation se poursuit au bord de la Seine surtout grâce à l'installation de la Centrale Électrique qui fonctionne au charbon pour fournir l'énergie aux usines. La population qui avoisine les 2 500 habitants, passe à 10 000 à la veille de la guerre 39-45.
1935 : Les élections municipales ont lieu. La liste du « progrès social » conduite par le docteur Prat et Tony Larue arrive en tête. Un programme de réalisations voit la construction de deux écoles maternelles, d'un établissement de bains-douches, d'une école de garçons, d'un foyer communal doté d'une salle de spectacle et d'une nouvelle mairie.
1939 à1944 : Pendant laSeconde Guerre mondiale, les immigrés partent, les usines sont alors désorganisées, mais des militaires donnent la main-d'œuvre. En1941, le maireTony Larue est destitué de ses fonctions et est remplacé. La ville est la cible de plusieursbombardements. 76 résistants sont condamnés à mort sur le stand de tir des Bruyères, réquisitionné par l'armée allemande. En 1944, la ville est libérée.
1944 : Libération de la ville le. La ville se dote d'un nouveau bureau de poste au Bourg et d'un bureau annexe. Un marché couvert, un groupe postscolaire, de nouveaux établissements scolaires, une bibliothèque populaire publique et gratuite en 1951 sont créés.
1945 : Louis Jouvin, résistant et déporté, devient maire du Grand-Quevilly.
1947 : Tony Larue est réélu au poste de maire jusqu'en1995.
1961 : la nouvelle ville se construit. Constitution d'unezone à urbaniser en priorité (ZUP). La ville procède à l'acquisition de la forêt du Chêne-à-Leu. Suivent dans les années 1970, les ZAC (Zones d'aménagement concerté) des Provinces à vocation d'habitation et du Grand Launay à vocation économique, le centre commercial et artisanal du Bois Cany et la rénovation du Bourg.
1974 : l'hôtel de ville, dont la construction a été confiée à l'architecteHenri Tougard, est inauguré.
1977 : Tony Larue fait appel àLaurent Fabius (alors directeur de cabinet deFrançois Mitterrand) pour achever la construction de la ville. Depuis sont apparus une école de musique, une bibliothèque, un théâtre (théâtre Charles-Dullin) et une crèche.
1978 : création des Espaces Seniors qui permettent un accueil des ainés pour des animations et des sorties.
1995 : mort de Tony Larue, fin du mandat. Marc Massion est élu sénateur et Laurent Fabius devient maire du Grand-Quevilly. La politique municipale (logement, développement économique, solidarité et loisirs) s'accompagne d'une stabilité, voire de la baisse des impôts communaux.
1996 : Lancement du dispositif du Relais Partenaire Jeunes qui permet aux familles quevillaises de bénéficier d'une aide pour financer tout ou partie de l'inscription à une activité extrascolaire des jeunes de 6 à 19 ans.
1996 à2006 : De nombreuses modifications voient le jour,Gaz de France s'installe, des places sont modernisées ; le parc des Provinces est créé (il fut récompensé aux Marianne d'Or). LaSud III (voie reliant Le Grand-Quevilly à Rouen) est créée, la bibliothèque devient médiathèque et est rénovée.1999, le tout nouveau Multiplex (Gaumont Grand-Quevilly) ouvre ses portes au centre commercial du Bois Cany, il a une capacité de 3 862 sièges pour un total de seize écrans dont unIMAX (environ 22 mètres de base). En2001, ouverture duZénith de Rouen etMarc Massion devient maire.
1997 : Création du parc des Provinces, une réalisation récompensée par la Marianne d'or des communes, plus haute distinction française pour les réalisations locales.
1998 : Le parc des Provinces devient le théâtre du festival musical de plein air gratuit ; Un printemps au Parc. Cette même année, la bibliothèque prend un nouveau visage et devient multimédiathèque. Toutes les écoles de la ville sont équipées d'une salle multimédia et la ville participe également à l'équipement du lycée et des trois collèges. Le dispositif des Espaces Seniors se complète par un service de restauration.
1999 : La Maison des Arts ouvre ses portes, les travaux de construction de l'Espace jeunesse commencent et le Contrat Municipal Étudiant est lancé afin d'aider financièrement les étudiants dans la poursuite de leurs études.
2000 : Marc Massion est élu maire de la Ville et Laurent Fabius prend la place de premier adjoint à la suite de sa nomination au gouvernement.
2001 : Marc Massion est réélu dès le premier tour avec 82 % des voix. L'Espace jeunesse est inauguré.
2003 : L'ensemble des écoles maternelles est informatisé.
2004 : Lancement du dispositif 1 élève / 1 ordi qui permet à chaque élève de CE2, CM1 et CM2 des écoles quevillaises de disposer gratuitement d'un ordinateur à son domicile, équipé de tous les logiciels éducatifs utilisés à l'école et choisis par les enseignants.
2005 : La crèche est agrandie pour devenir l'Ile aux Enfants.
Le jeudi : Le château d'eau, qui était un emblème de la Ville, est détruit.
2008 : En lieu et place du château d'eau, uneroseraie est réalisée. Elle mesure six hectares et contient près de deux-cents espèces de roses, la Ville inaugure la Roseraie à quelques pas de l'hôtel de ville. Elle compte plus de 280 variétés de roses, avec plus de 16 000 plants.
2009 : Les chantiers urbains des quartiers Matisse et Kennedy commencent.
2010 : La Ville participe aufestival Normandie impressionniste avec une exposition présentée à la Maison des Arts. Les premiers arbres de la spirale du temps sont plantés par des écoliers dans le Bois Matisse.
2012 à2019 : De nombreux travaux urbains voient le jour comme ceux du Père Jules, du quartier Kennedy et du Bois Matisse. Plusieurs projets solidaires naissent, c'est le cas du dispositif Encore+Ensemble ou Rendez-vous en terres jumelles qui permet aux jeunes quevillais de partir en voyage dans l'une des villes jumelées au Grand-Quevilly.
2020 : La liste « Grand-Quevilly, j'y tiens » de Nicolas Rouly obtient 80 % des suffrages au premier tour de l'élection municipale. Nicolas Rouly est élu maire le.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 7].
En 2022, la commune comptait 25 954 habitants[Note 8], en évolution de +0,22 % par rapport à 2016 (Seine-Maritime : +0,35 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Équipe de tennis de table nommé l'ALCL Grand-Quevilly. La section féminine du club évolue enPro A depuis2005 et a réussi l'exploit de remporter le titre de champion de France en2007 face auxmontpelliérains.
Piscine municipale (3 bassins) rénovée en 2007, la ville possède également un club de natation sportive et synchronisée, l'Espadon de Grand-Quevilly (E.G.Q.), qui organise chaque annéeLa nuit de l'eau.
Jenifer sur la scène des Bakayades, le 22 juin 2019.
Chaque année en juin ont lieuLes Bakayades qui se déroulent au parc des Provinces. C'est une série de concerts et de cinéma en plein air les week-ends.
Degueules à la fasce cousue de sable chargée d'une coquille accostée de deux croisettes tréflées au pied fiché, le tout d'argent, accompagnée en chef d'unléopard d'or, et en pointe d'une cheville aussi d'or.
Armes de la famille de Becdelièvre : De sable à deux croix de calvaire, treflées et fichées d'argent, accompagnées en pointe d'une coquille du même.
Cimetière militaire : Le cimetière militaire britannique, ou cimetière Saint-Sever, situé à quelques mètres de Rouen et dustade Robert-Diochon, a été créé pendant la Première Guerre mondiale. 1 343 soldats de l'Empire britannique y sont enterrés. Entretenu par le ministère britannique des armées, il s'étend sur les communes du Petit-Quevilly et du Grand-Quevilly. Le, la reineÉlisabeth II s'est rendue sur place pour rendre un hommage aux soldats britanniques.
Église Sainte-Bernadette, 58 rue Abbé-Lemire (1962). Architecte : Caron ; sculpteur-plasticien :Pierre Szekely ; peintres-verriers :Odette Ducarre etVera Székely. L'église a été démolie en 2014, mais les objets de culte et les vitraux ont été transférés à l'église Sainte-Lucie.
Centre culturel Marx-Dormoy (ancien hôtel de ville) (1937)[38]
Michel Croguennec,1893-1987, Les Chantiers de Normandie, Rouen/Darnetal, Petit à petit,, 261 p.(ISBN978-2-84949-136-2)
EmmanuelleReal,Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie,, 264 p., broché(ISBN978-2-910316-33-4 et2-910316-33-5)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et49 communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑« La nouvelle vie de Laurent Fabius. De la mairie du Grand-Quevilly au Conseil constitutionnel : S'il achève son mandat de neuf ans au Conseil constitutionnel, Laurent Fabius quittera ses fonctions à 78 ans. Retour sur le long parcours d'un surdoué de la politique »,76 actu,(lire en ligne, consulté le)« À 31 ans, Laurent Fabius devient adjoint au maire de Grand-Quevilly. L’année suivante, il est député de la quatrième circonscription de la Seine-Maritime et tisse progressivement son large réseau dans le département. Ministre du Budget en 1981, il passe ensuite à l’Industrie et à la recherche avant de devenir, à 37 ans, « le plus jeune Premier ministre de la République ». À Matignon, il est mis en cause puis relaxé dans l’affaire du sang contaminé ».
↑« Municipales à Grand-Quevilly : le maire sortant Marc Massion raccroche après vingt ans de mandat : Arrivé dans l'équipe municipale en 1977, élu maire de Grand-Quevilly en 2000, Marc Massion ne se présentera pas aux élections municipales du mois de mars. Il fait le bilan de ses 20 ans de mandats sur France Bleu Normandie »,France Bleu Normandie (Seine-Maritime - Eure),(lire en ligne, consulté le).
↑Pascale Bertrand, « Nicolas Rouly candidat « naturel » à la mairie du Grand-Quevilly : Ancien président du Département et adjoint aux finances de Marc Massion, Nicolas Rouly est le candidat de la gauche en 2020 »,Paris-Normandie,(lire en ligne, consulté le)« Voilà une commune où l’héritage politique se porte en bandoulière comme l’écharpe de maire, dans un mélange de fierté et de responsabilité ; celle de succéder ici à l’emblématiqueTony Larue, au « commandeur »Laurent Fabius et aujourd’hui àMarc Massion, le pilier depuis vingt ans de ce bastion socialiste qui, à 84 ans, a décidé de passer le relais. Il présidera cependant le comité de soutien de Nicolas Rouly, successeur tout désigné ».
↑Delphine Letainturier, « Municipales au Grand-Quevilly : Nicolas Rouly élu maire et les élus RN installés dans l'opposition : Le conseil municipal s’est réuni jeudi pour élire le maire et les adjoints. Les élus RN ont aussi marqué leur entrée »,Paris-Normandie,(lire en ligne, consulté le).