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Le Boupère

46° 47′ 44″ nord, 0° 55′ 31″ ouest
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Le Boupère
Le Boupère
Vue par drone du Boupère.
Blason de Le Boupère
Blason
Image illustrative de l’article Le Boupère
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionPays de la Loire
DépartementVendée
ArrondissementFontenay-le-Comte
IntercommunalitéCommunauté de communes du Pays-de-Pouzauges
Maire
Mandat
Anne Bizon
2020-2026
Code postal85510
Code commune85031
Démographie
GentiléBoupérien
Population
municipale
3 170 hab.(2022en évolution de +1,41 % par rapport à 2016)
Densité73 hab./km2
Géographie
Coordonnées46° 47′ 44″ nord, 0° 55′ 31″ ouest
Altitude115 m
Min. 67 
m
Max. 155 
m
Superficie43,66 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionLes Herbiers
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Chantonnay
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Le Boupère
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Le Boupère
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Le Boupère
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Le Boupère
Liens
Site webSite officiel
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Le Boupère est unecommune française située dans ledépartement de laVendée, dans larégionPays de la Loire.

Géographie

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Le territoire municipal du Boupère s'étend sur4 366 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 115 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 67 et 155 mètres[1],[2].

La commune est arrosée par leLay et bordée très brièvement au nord-ouest par son affluent, lePetit Lay.

Communes limitrophes duBoupère
Saint-Paul-en-ParedsSaint-Michel-Mont-Mercure
(Sèvremont)
La Flocellière
(Sèvremont)
Mouchamps
Rochetrejoux
BoupèrePouzauges
Saint-ProuantMonsireigneLa Meilleraie-Tillay

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Pays de la Loire etClimat de la Vendée.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique franc, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « St-Fulgent_sapc », sur la commune deSaint-Fulgent à 20 km àvol d'oiseau[5], est de12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Le Boupère est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Herbiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,2 %),terres arables (38,5 %), prairies (14,7 %), forêts (4,8 %), zones urbanisées (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la forme latineAlba Petra auXIe siècle puisAubepierre (« pierre blanche »).

Enpoitevin, la commune est appeléeLe Boupére[14].

Histoire

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AuXIe siècle, il aurait existé un village portant le nom latinAlba Petra qui signifie « Pierre-Blanche ». Paraltérations successives, ce nom s'est francisé pour devenir Aubepierre, Aubepere, Lobepere, Le Bepere, Le Bonpere, puis le nom actuel Le Boupère.

Emblèmes

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Héraldique

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Article détaillé :Armorial des communes de la Vendée.
Blason de Le BoupèreBlason
D'azur à la fasce haussée d'argent fuselée de sept pièces degueules, accompagnée en pointe d'une chapelle-château de deux tours d'argent couverte, ouverte et ajourée de sable, à la filière d'or[15].
Détails
L'écu est sommé d'unecouronne murale donjonnée de trois pièces et soutenu d'unlistel portant l'inscription : « Alba Petra ».
La couleur blanche et les losanges rouges proviennent du blason de lafamille Frotier de Bagneaux (propriétaire du château de la Pelissonnière). La bande horizontale (fasce) et la couleur jaune de la bordure évoquent les armoiries de la famille de Monti de Rezé, propriétaire du château du Fief-Milon. L'église fortifiée est évidemment celle du Boupère, reconnaissable à son oculus excentré traversé par un S en bande. L'inscriptionAlba Petra (pierre blanche) rappelle l'étymologie de la paroisse du Boupère.

Devise

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Ladevise du Boupère :Alba Petra.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2014 en Vendée.
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Liste des maires

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Article connexe :Histoire des maires de France.
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
2 novembre 194725 mars 1977Armand Barreau(1893-1980) Industriel,maire honoraire
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
25 mars 1977juin 1995Jean-Yves Le Lann[16] Agent d'assurance,maire honoraire
juin 199524 mars 2001Claude Loiseau Cadre bancaire
24 mars 200125 mai 2020Dominique Blanchard[Note 2],[17]SE
Centriste
Agriculteur, ancien adjoint au maire
Président de laCC du Pays-de-Pouzauges(2016 → 2020)
25 mai 2020en coursAnne BizonSEAssistante commerciale et communication

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2022, la commune comptait 3 170 habitants[Note 3], en évolution de +1,41 % par rapport à 2016 (Vendée : +5,33 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
2 0001 0572 0172 2652 3332 2892 3832 6012 640
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
2 6962 7522 7352 7712 8612 9143 0332 9932 977
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
2 8392 7582 8222 5492 5132 5062 3702 4252 443
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
2 5372 5232 7622 8922 8322 7642 8243 0153 126
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
3 1893 170-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puisInsee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 35,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 26,1 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 590 hommes pour 1 578 femmes, soit un taux de 50,19 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,8 
6,7 
75-89 ans
9,7 
15,9 
60-74 ans
17,1 
19,2 
45-59 ans
18,0 
20,6 
30-44 ans
18,2 
14,0 
15-29 ans
15,2 
22,5 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de laVendée en 2021 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Économie et industrie

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  • Siège de l'entreprise Gautier (depuis 1960), meubles contemporains (120M € CA, 750 p. en 2020 pour l'ensemble du groupe).

Lieux et monuments

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La fontaine Place de l'église.
Lafontaine Place de l'église.

Monuments du patrimoine religieux

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  • Lafontaine sur la place de l'Église ;
  • L'église fortifiée Saint Pierre ;
  • Lachapelle du Boupère.

Église fortifiée Saint-Pierre

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Saint-Pierre fut construite en trois étapes[24] : à la fin duXIIe siècle, l'église d'origine, destyle roman, fut édifiée en forme de croix latine et dotée d'unchœur au chevet plat.

Au début duXIVe siècle, elle dépendait de l'abbaye Saint-Jouin de Marnes (ordre de Saint-Benoît, aujourd'hui dans lesDeux-Sèvres). Sesarmoiries étaient : d'argent, à une croix pattée d'azur, cantonnée de quatre roses de gueules[15].

À la fin duXIVe et débutXVe siècle : en pleineguerre de Cent Ans (1337 à1458), on dut fortifier l'église (faute d'autres lieux plus sûrs, les villageois trouvaient là un refuge en ces périodes de troubles et une sécurité dans l'attente d'autres renforts). La façade occidentale est encadrée decontreforts percés demeurtrières et decanonnières. Ces contreforts sont surmontés d'échauguettes. Lechemin de ronde, surplombant de 20 mètres la place de l'Église, est protégé par unparapet crénelé ponctué de petitesbretèches. Des niches dans le mur sud étaient destinées aux défenseurs ; les trous des meurtrières donnaient à l'intérieur de ces niches. En rajoutant auXVe siècle unbas-côté étroit, au sud, nécessaire à l'édification d'un chemin de ronde, on a élargi lanef et déplacé la porte de la façade sans toucher à l'oculus qui reste centré par rapport à la construction originelle mais décalé par rapport à l'entrée principale.

L'expansion démographique duXIXe siècle obligea l'agrandissement dutransept nord et la reconstruction du chœur (1867), puis l'agrandissement dutransept sud et construction duclocher actuel (1890).
L'église fortifiée du Boupère a été classéemonument historique dès1862.

L'oculus fut doté d'unvitrail en1926, représentantsaint Pierre dans sa barque et à Rome : pêcheur de poissons et pêcheur d'hommes.

Monuments du patrimoine civil

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Château du Fief-Milon

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Article détaillé :Château du Fief-Milon.

Construit pour une partie auXIVe siècle, le château-fort faisait partie du système de défense dePouzauges. Sa position élevée lui donnait le rôle d'une tour deguet et offrait un panorama exceptionnel sur les montsGâtine qui dominent le Haut Bocagevendéen,Saint-Michel-Mont-Mercure et Le Boupère. Cette position élevée s’explique par sa fonction première : défendre Pouzauges contre les Anglais pendant la guerre de Cent Ans.

La charpente des communs, àpoinçons sculptés etcontrefiches courbes, est datée entre1585 et1610.

Au début duXIXe siècle, le château médiéval (un corps central flanqué de deux grosses tours circulaires) subit des changements, à la manière de Viollet-le-Duc : on a donné aux deux tours une allure« fortifiée » en les couronnant par un fauxmâchicoulis avec crénelage en briques. En1861 de nouveaux bâtiments furent édifiés reliant le château à l’ensemble des communs.

En2005, le château a été inscrit en totalité à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Le château fut acquis par la famille de Monti de Rezé qui le possède encore de nos jours.

Château de la Pelissonnière

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Article détaillé :Château de la Pelissonnière.

Ancienmanoirstyle Renaissance comprenant en1647 undonjon et un manoir principal, transformé auXIXe siècle pour le vicomte Zénobe Frotier de Bagneux qui fit installer dans le grand salon la grande cheminée duprieuré deMouzeuil-Saint-Martin.

En1828, laduchesse de Berry séjourna au château.

Il est aujourd'hui la propriété d'une personne privée.

Logis de la Ramée

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Situé sur la route allant de la Davière à Saint Paul au lieu-dit la Ramée, ce logis totalement ruiné, a malheureusement disparu.

Logis de la Biffardière

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À l'entrée du bourg sur la route de Saint-Prouant, ce logis est constitué d'un ensemble de bâtiments formant, jusqu'au milieu duXIXe siècle, une cour fermée. Les bâtiments les plus anciens semblent bien être de la fin duXVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Ils ont été largement remaniés les siècles suivants.

Logis du Grand Chaillou

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Logis du Beignon

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S'il ne reste du châteauXVIIIe que la chapelle, l'ancien logis et sa chapelle demeurent toujours.

Logis de la Baussonière

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Situé sur la route de Pouzauges, cette maison fortifiée duXVIe siècle abrita la famille Le Tourneur, riches marchands de laine auxXVIe – XVIIe siècles de Pouzauges dont on peut voir leblason sur la tour polygonale[25].

Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Menanteau (1895 - 1992), poète, homme de lettres, y est né.
  • Pierre Barouh, auteur compositeur interprète, acteur et producteur, y a installé son studio d'enregistrement et le siège de son labelSaravah dans le moulin de la Morvient.
  • Eugène Charier, alias Gèn Charé (1884-1960), a publié de nombreux textes enpoitevin de la région de Saint-Michel-Mont-Mercure/Le Boupère dans les années 1930 et 1950 en particulier dans leBulletin de la Société Olona. Il est notamment l'auteur de nombreuses adaptations de Fables de La Fontaine[26].

Notes et références

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Notes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Réélu en 2008 et 2014.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « Commune 19829 »,Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016[lire en ligne].
  2. « Le Boupère »,Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  5. « Orthodromie entre Le Boupère et Saint-Fulgent », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  7. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le)
  9. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  10. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Les Herbiers », surle site de l'Insee(consulté le).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le)
  14. Jean-LoïcLe Quellec,Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions,coll. « Geste Poche » (no 14),,3e éd. (1re éd. 1995), 443 p.(ISBN 2-84561-263-X),p. 55.
  15. a etbwww.leboupere.fr
  16. Avis de décès de Jean-Yves Le Lann, paru le 30 avril 2011.
  17. [PDF]Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
  18. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Boupère (85031) »,(consulté le).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) »,(consulté le).
  24. www.boupere-paroisse-sjmv.org
  25. Pauline Retailleau,Châteaux, manoirs et logis de Vendée, La Crèche, La Geste,, 323 p.(ISBN 979-10-353-1809-3),p. 19.
  26. Pierre Rézeau,La Fontaine en patois vendéen et autres œuvres d'Eugène Charier,.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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