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Lantabat

43° 15′ 03″ nord, 1° 07′ 24″ ouest
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Lantabat - Landibarre
Lantabat
Behaune vu depuis lecol d'Ipharlatze.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementPyrénées-Atlantiques
ArrondissementBayonne
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Patrick Etchegaray
2020-2026
Code postal64640
Code commune64313
Démographie
GentiléLandibartar
Population
municipale
287 hab.(2022en évolution de −1,03 % par rapport à 2016)
Densité9,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 15′ 03″ nord, 1° 07′ 24″ ouest
AltitudeMin. 91 m
Max. 624 
m
Superficie28,86 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Lantabat - Landibarre
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Lantabat - Landibarre
Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Atlantiques
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Lantabat - Landibarre
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Lantabat - Landibarre
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Lantabat[lɑ̃tabat] ouLandibarre (enbasque) est unecommune française, située dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques enrégionNouvelle-Aquitaine. Ce nom correspond à la vallée incluant les villages originels : Ascombéguy (Azkonbegi, « œil de blaireau »), Behaune, Saint-Étienne (Jondohozti ouJandonozti) et Saint-Martin (Donamarti)[Carte 1].

Legentilé estLandibartar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Lantabat se trouve dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques, enrégionNouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 101 km par la route[Note 1] dePau[3],préfecture du département, à 54 km de Bayonne[4],sous-préfecture, et à 14 km deSaint-Palais[5],bureau centralisateur ducanton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[2].La commune fait en outre partie dubassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] :Larceveau-Arros-Cibits (3,0 km),Ostabat-Asme (4,4 km),Ainhice-Mongelos (5,6 km),Gamarthe (5,6 km),Iholdy (5,8 km),Ibarrolle (6,0 km),Suhescun (6,2 km),Bunus (6,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Lantabat fait partie de laprovince de laBasse-Navarre, un des sept territoires composant lePays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ouEuskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. D'après l'Académie de la langue basque la commune est dans l'Ostabarret (Oztibarre), au sud-est de ce territoire. Toutefois historiquement la vallée de Lantabat est un territoire autonome possédant sa propre assemblée la représentant auParlement du royaume de Navarre[11].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontAinhice-Mongelos,Armendarits,Beyrie-sur-Joyeuse,Iholdy,Larceveau-Arros-Cibits,Orsanco,Ostabat-Asme etSuhescun.

Carte
Les limites communales de Lantabat et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deLantabat[12]
ArmendaritsBeyrie-sur-JoyeuseOrsanco
(sur 50 m)
IholdyLantabatOstabat-Asme
SuhescunAinhice-MongelosLarceveau-Arros-Cibits

Géologie, sismicité

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La région est une région deflyschs duCrétacé supérieur, très épais (plusieurs kilomètres) et à fortpendage[Carte 2]. Ce type de terrain est peu propice aux captages d'eau, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sourcesZahagui etHastokia àHosta etUr Belcha àMusculdy[13] dépendantes dumassif karstique desArbailles.

La région est située en zone sismique 4[14] correspondant à un risque moyen. L'évènement récent (depuis 1980) le plus important s'est produit en 2012. Situé à 5 km de profondeur, samagnitude était ML=2,2[15], donc trop faible pour être ressenti.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lantabat.

La commune est drainée par laJoyeuse, le ruisseau Saint-Martin, Azkongarateko erreka, un bras de la Joyeuse, Cernaiseko erreka, Etchepaldeko erreka, Gamberazahareko erreka, Jelosseko erreka, Munhoko erreka, Otheguiko erreka, Saucaneko erreka, Teilerako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[16],[Carte 3].

La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans laBidouze àAmendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[17].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat des Pyrénées-Atlantiques.

Historiquement, la commune est exposée à unmicro climat océanique basque[18]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne et est dans la région climatiquePyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 586 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deBustince-Iriberry à 9 km àvol d'oiseau[21], est de13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[26], d'une superficie de2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux duPays basque[27],[Carte 4].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF detype 2[Note 5] sont recensées sur la commune[28],[Carte 5] :

Urbanisme

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Typologie

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Au, Lantabat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31].Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive ou herbacée (40,9 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), prairies (16,3 %), forêts (13,8 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

Lieux-dits et hameaux

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  • Achurdé ;
  • Azkonbegi ou Ascombéguy ;
  • Béhaune ;
  • Gasteluzahare ;
  • Haltacolepua ;
  • Ilharre Mounko ;
  • Luisenialdea ;
  • Saint-Étienne ;
  • Saint-Martin.

Logement

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En 2018 les 141 résidences se partagent en 120 maisons (85,1%) et 20 appartements (14,2%). Le nombre moyen de pièces est de 5,9 pour les maisons et 4,4 pour les appartements[35].

Logements en 2018
nombrepourcentage
résidences141---
principales10775,9
secondaires2114,9
vacantes139,2
Date de construction des résidences principales
nombrepourcentage
avant 19194340,6
1919-19451110,4
1946-197098,5
1971-19901514,2
1991-20051514,2
2006-20151312,3

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 8Saint-Palais-Iholdy, la D 508 reliant la D8 àOstabat-Asme par lecol d'Ipharlatze et la D 518 reliant la D 508 à la D 22 par lecol des Palombières.

La gareTER la plus proche est celle de Saint-Jean-Pied-de-Port à 18,8 km (ligneSaint-Jean-Pied-de-Port -Bayonne).

La gareTGV la plus proche est celle d'Orthez à 49,8 km (ligneTarbes -Paris Montparnasse).

L'aéroport le plus proche est celui deBiarritz à 54,7 km.

95,3 % des ménages ont au moins une voiture et 52,3 % en ont deux ou plus en 2018[35].

Les transports utilisés en 2018 pour se rendre au travail sont les suivants[35] :

Moyen de déplacement
pas de déplacement24,1 %
marche, roller, patinette9,5 %
vélo (y comprisVAE)0
2 roues motorisées1,7 %
voiture64,7 %
transport en commun0

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lantabat est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts etséisme (sismicité moyenne)[36]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment laJoyeuse. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009 et 2014[38],[36].

Lantabat est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan deprotection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lantabat.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[42]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le, en application de laloi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[43].

Toponymie

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Son nombasque estLandibarre (« vallée de la lande »[44]).

Le toponymeLantabat est mentionné dès leXIIe siècle[45],[46].D'aprèsPhilippe Veyrin[47],bat provient dugascon et signifie « val ». On retrouve alors la même signification que dans le toponymebasqueLandibarre.

Achurdé désigne l'actuelcol des Palombières entre Lantabat etAinhice-Mongelos[45].

Histoire

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Les premiers aménagements de la vallée de Lantabat sont dus aux moinescisterciens de la « grange » de Behaune qui, par un don dePierre-Arnaud de Luxe, hébergera à partir de 1227 un prieuré-hôpital desprémontrés de l'abbaye deLahonce[48]. Cet établissement est tenu par desdonats et est situé sur unchemins de Compostelle secondaire partant d'Harambeltz et rejoignantJaxu par le col d'Achurde[45] (col des Palombières), évitant ainsi les « mauvais péages de l'Ostabarret »[49].

LesLuxe, barons de Luxe, Lantabat etOstabat depuis leXIe siècle[50] deviennent vassaux duroi de NavarreSancheVII le Fort en 1196[51], lequel installe dans la région des fidèles comme lesHarambure (Aramburu) après labataille de Las Navas de Tolosa.

Dès cette époque et jusqu'auXVIIIe siècle les habitants de la vallée étaient rassemblés dans unemande indépendante des régions voisines. Les cours générales (juntes) se réunisaient à Saint-Martin[52],[50].

Politique et administration

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Administration

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
1806 Jean Sallaberry[53]  
18081819Charles Eliceiry[53]  
18191829Jean-Pierre Etcheverry[53]  
1837 Jean Goyheneche[54] agriculteur
1872 Inchauspé[55]  
18761880Lagourgue[56]  
1911 Jean-Baptiste Etcheverry[53]  
19481950Jean-Pierre Sainte-Marie[53]  
19511954Jean-Pierre Lagourgue[53]  
19952001Jean-Louis Hitta  
20012020Yves Ondars  
2020En coursPatrick Etchegaray agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Lantabat appartient à cinq structures intercommunales[57] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].

En 2022, la commune comptait 287 habitants[Note 7], en évolution de −1,03 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Atlantiques : +3,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
686727778793867874843801799
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
757711664605607624621577566
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
572566553516528506520510432
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
402408339313307284293295298
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
279287-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puisInsee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Emploi et revenus

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En 2019 lerevenu médian par unité de consommation est de 17 460 [35] contre 22 040  pour l'ensemble des Français[62].

En 2018 les résidents occupent 116 emplois dont 70 sont situés sur la commune. Ils se répartissent de la façon suivante[35] :

Type d'emploi
salarié64fonction publique,CDI58
CDD5
Emploi aidé---
apprentissage, stage1
non-salarié52indépendant42
employeur7
aide familial3

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Équipements

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Enseignement

La commune dispose d'uneécole primaire, au hameau de Béhaune.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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  • Maison forte Elizeria à Saint-Martin.
    Maison forte Elizeria à Saint-Martin.
  • Ferme Elizeria à Saint-Martin.
    Ferme Elizeria à Saint-Martin.
  • Maison forte Donosteia à Saint-Étienne.
    Maison forte Donosteia à Saint-Étienne.

Patrimoine religieux

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  • Église Saint-Martin-de-Tours.
    Église Saint-Martin-de-Tours.
  • Chapelle Saint-Cyprien-de-Carthage à Ascombéguy (site protégé).
    Chapelle Saint-Cyprien-de-Carthage à Ascombéguy (site protégé).
  • Chapelle Saint-Pierre de Behaune.
    Chapelle Saint-Pierre de Behaune.
  • Chapelle Saint-Étienne. Le clocher trinitaire porte deux stèles.
    Chapelle Saint-Étienne. Leclocher trinitaire porte deuxstèles.
  • Croix de chemin à Ascombeguy[83],[82].
    Croix de chemin à Ascombeguy[83],[82].
  • Stèle d'un maître-sculpteur à Ascombeguy (1649)[81].
    Stèle d'un maître-sculpteur à Ascombeguy (1649)[81].
  • Stèles du cimetière d'Ascombeguy.
    Stèles du cimetière d'Ascombeguy.
  • Stèle de 1629 à la chapelle Saint-Étienne comportant des lettres inversées.
    Stèle de 1629 à la chapelle Saint-Étienne comportant des lettres inversées.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment lepays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
  5. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. César-François Cassini de Thury, « Carte générale de la France no. 140, feuillet 105, Saint-Jean-Pied-de-Port ».
  2. « Carte géologique de France », surGéoportail.
  3. « Carte hydrographique de Lantabat » surGéoportail(consulté le 10 août 2021)..
  4. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lantabat », surgeoportail.gouv.fr.
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lantabat », surgeoportail.gouv.fr(consulté le).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).
  8. ab etc« Carte IGN », surGéoportail.

Références

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  1. - Académie de la langue basque
  2. abc etdInsee, « Métadonnées de la commune de Lantabat ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Pau », surfr.distance.to(consulté le).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Bayonne », surfr.distance.to(consulté le).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Lantabat et Saint-Palais », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Communes les plus proches de Lantabat », survillorama.com(consulté le).
  7. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 22.
  8. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », surle site de l'Académie de la langue basque(consulté le).
  10. (eu)Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. J. Goyhenetche,Fors et coutumes de Basse Navarre, Elkar,(ISBN 2-903421-00-5)
  12. Carte IGN sousGéoportail
  13. « Qualité de l'eau sur l'unité de distribution : région de l'Ostabarret. Synthèse de l'année 2018 », surAgence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine.
  14. « IRSN : le zonage sismique de la France ».
  15. « Nouvelle Aquitaine : mon environnement ».
  16. « Fiche communale de Lantabat », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine(consulté le).
  17. Sandre, « la Joyeuse ».
  18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. »[PDF], surhaute-vienne.chambre-agriculture.fr,(consulté le),p. 2.
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  21. « Orthodromie entre Lantabat et Bustince-Iriberry », surfr.distance.to(consulté le).
  22. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  23. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lantabat », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  27. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lantabat », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
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  30. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
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