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Langues indo-européennes

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Langues indo-européennes
RégionEurope,Asie mineure,monde iranien,Asie centrale,Inde du Nord ; extension auNouveau Monde partir duXVIe siècle[1].
Classification par famille
Codes de langue
IETFine
ISO 639-2ine
Étenduegroupe
ISO 639-5ine
Linguasphere5=
Glottologindo1319
Carte
Image illustrative de l’article Langues indo-européennes
Répartition des langues indo-européennes dans le monde.
  • Majorité de locuteurs d'une langue indo-européenne.
  • Minorité de locuteurs d'une langue indo-européenne ayant un statut officiel.
  • Minorité significative de locuteurs d'une langue indo-européenne sans statut officiel.
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L'expansion des langues indo-européennes d'après l'hypothèse kourgane introduite parMarija Gimbutas.
Distribution approximative actuelle des branches indo-européennes dans leurs terres d'origines en Europe et en Asie : Les zones hachurées ou en pointillé, indiquent les régions où lemultilinguisme est fréquent ou la norme.
Distribution approximative actuelle des langues indo-européennes parlées en Amérique :

Enlinguistique, leslangues indo-européennes forment unefamille de langues étroitement apparentées[2] ayant pour origine ce qu'il est convenu d'appeler l'indo-européen commun et« dont les éléments lexicologiques, morphologiques et syntaxiques présentent, pour la plupart d'entre elles, des ressemblances de nature telle que ces langues peuvent se ramener à l'unité ; le présupposé est alors que chaque groupe d'éléments comparés procède d'évolutions divergentes à partir de formes originelles disparues[3] ». Environ mille langues sont actuellement parlées par près de trois milliards de locuteurs[4].

Histoire de l'étude des langues indo-européennes

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Le terme « indo-européen » pour désigner cette famille de langues est une traduction du terme anglaisIndoeuropean (ouIndo-European), qui fut introduit pour la première fois en 1813 parThomas Young[5] et qui a supplanté les termes plus anciens comme « japhétique » ou « scythe ». L'équivalent allemandindogermanisch est une traduction du français « indo-germanique », proposé en 1810 par le géographeConrad Malte-Brun[6], mais qui n'a pas réussi à s'imposer en français malgré un usage relativement fréquent auxixe siècle. D'autres termes attestés historiquement mais aujourd'hui obsolètes incluent «indo-celtique», « aryen » ou encore « sanskritique »[7],[8].

Schéma simplifié des branches de la famille des langues indo-européennes.
Répartition des langues indo-européennes vers-3500.
Répartition des langues indo-européennes vers-2500.
Répartition des langues indo-européennes vers-1500.
Répartition des langues indo-européennes vers-500.
Répartition des langues indo-européennes vers500.
Arbre des langues indo-européennes.

Les tout premiers travaux concernant l'existence d'une langue ancestrale et commune aux différentes langues européennes — et uniquement européennes pour ces travaux —, ont été réalisés auXVIe siècle parJoseph Juste Scaliger. Il mit en lumière des liens évidents entre les langues européennes (langues mortes et vivantes) et établit en outre une classification de ces dernières en quatre groupes par le biais du mot signifiant dieu : le groupedeus (langues romanes), le groupe germaniquegott, le groupethéos (dont le grec) et enfin le groupe slavebog[1].

AuXVIIe siècle le linguisteMarcus Zuerius van Boxhorn subodore l'existence d'une ancienne langue commune aux languesgrecque,latine, perse,germaniques,slaves,celtes etbaltes[9], qu'il baptise du nom de « scythique »[10]. Ses travaux restent cependant sans suite et inaboutis.

AuXVIIIe siècle,William Jones identifie à nouveau la famille indo-européenne, en s'inspirant probablement des travaux du linguiste indienSiraj-ud-Din Ali Khan Arzu (en) (mort en 1756) qui a émis l'hypothèse d'une origine commune dupersan et dusanscrit[11]. Dans sonTroisième discours à la société asiatique de Calcutta, en 1786, Jones écrivait[12] :

« La langue sanskrite, quelle que soit son antiquité, est d'une structure admirable ; plus parfaite que la grecque ; plus ample que la latine, et plus exquisément raffinée qu'aucune des deux mais ayant envers chacune d'entre elles deux une affinité plus forte, tant dans les racines des verbes que dans les formes de la grammaire, qu'il n'en pourrait avoir résulté par accident ; si forte en vérité qu'aucun philologue ne les pourroit examiner toutes trois sans croire qu'elles ont surgi de quelque source commune, qui, peut-être, n'existe plus. »

C'est àWilliam Jones que revient l'invention de lalinguistique comparée[1].

En 1767, l'AnglaisJames Parsons, membre honoraire et pair de laRoyal Society et de laSociety of Antiquaries, publia un livre dans lequel il décrivait ses travaux sur une probable langue commune indo-européenne ; cependant, même si celui-ci fit avancer la théorie indo-européenne, l'ouvrage en question contenait d'importantes erreurs d'interprétation[1].

Les comparaisons systématiques conduites parFranz Bopp sur ces langues confirmèrent cette hypothèse et saGrammaire comparée des langues sanscrite, persane (zende d'Avesta), grecque, latine, lituanienne, slave, gothique, et allemande, publiée entre 1833 et 1852, marqua le début des études indo-européennes.Karl Brugmann fonde leur étude comparée.

Également au cours duXIXe siècle,August Schleicher poussa l'étude comparative en élaborant un procédé de reconstruction linguistique, laStammbaumtheorie (de), ou triangulation linguistique, sur la base de mots usuels et familiers, comme le terme « mouton ». Néanmoins, ce nouveau procédé était lui aussi appelé à devenir obsolète, dès lors que les recherches devenaient plus globalisantes[1].

À la fin duXIXe siècle, lephilologue et linguisteJohannes Schmidt éclaira les études sur les langues indo-européennes d'un jour nouveau, en s'appuyant non plus sur un tableau de classification par ramifications comme cela avait été antérieurement proposé par ses prédécesseurs, mais sur une classification par « vague ». Cette nouvelle base de travail permit d'intégrer les interactions et les influences réciproques des langues indo-européennes, mais également d'inclure l'ascendance, aussi minime soit-elle, des langues non-indo-européennes. La thèse de Schmidt faisait de l'étude comparative une science plus proche de la réalité des faits ; il mettait ainsi en évidence, par exemple, les liens de causalité entre l'apparition d'éléments ou de termesitaliques dans certaineslangues celtiques et les répercussions de faits historiques, commerciaux et culturels entre les deux groupes ethniques des celtes et des italiques durant l'Antiquité[1]. Lathéorie des vagues compétitives ira plus loin queJohannes Schmidt en rejetant entièrement laStammbaumtheorie.

En1846, levieux perse, langue parlée vers leVe siècle av. J.-C., est déchiffré puis, du fait de ses similitudes et caractéristiques qui le rapproche de la famille linguistique indo-européenne, est intégré à cette dernière. Par la suite, en1917, lalangue hittite subit le même traitement. Au cours du milieu duXXe siècle, c'est au tour dumycénien d'intégrer la famille indo-européenne. En 2007 le linguisteEñaut Etxamendi propose de classer la langue basque parmi les langues indo-européennes[13].

Classification

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La famille des langues indo-européennes est généralement subdivisée en huit branches :

Elle possède également deux branches majeures éteintes :

À ces branches majeures s'ajoutent un certain nombre de langues attestées uniquement de manière fragmentaires, comme leslangues illyriennes ou lephrygien, dont la classification reste incertaine. En 2007,Eñaut Etxamendi suggère que lebasque a aussi uneorigine indo-européenne ; il écrit être le seul à défendre cette thèse car le seul à avoir comparé le basque au groupe indo-européen[14].

L'une des théories les plus importantes pour lalinguistique comparée concerne l'opposition entre leslangues ditessatem et celles ditescentum, du mot servant à dire « cent ». Cette opposition sépare, selon uneisoglosse nette, le groupesatem (qui se situe à l'est et au sud-est de l'aire de répartition des languesindo-européennes, et comprend l'albanais, leslangues anatoliennes, l'arménien, leslangues balto-slaves et leslangues indo-iraniennes) du groupe « centum » (qui se situe en majorité au centre et à l'ouest de l'aire de répartition des langues indo-européennes, et comprend leslangues celtiques, leslangues germaniques, leslangues helléniques, leslangues italiques et leslangues tokhariennes, ces dernières étant les seules du groupe à avoir été parlées enAsie centrale). Par ailleurs les langues germaniques, qui appartiennent au groupecentum, et lesbalto-slaves, qui appartiennent au groupesatem, ont en commun certains traits syntaxiques qui les distinguent de toutes les autres langues de la famille.

L'ensemble des langues indo-européennes sont des langues ditesflexionnelles.

L'arménien est l'unique langue indo-européenne qui soitagglutinante (c'est-à-dire qu'elle se présente sous la forme d'éléments de base, lesmorphèmes), à la différence des autres langues indo-européennes, lesquelles sont spécifiquement des langues ditessynthétiques ou fusionnelles (c'est-à-dire dont les déclinaisons grammaticales fonctionnent par affixes et par suffixes sur un seul élément de base). Ces typologieslinguistiques mettent en lumière la complexité de la genèse puis de l'évolution de la famille indo-européenne. Cependant, ces différents postulats typologiques, notamment la différenciation « satem/centum », ont été remis en question, au moins partiellement, durant les années 1980[1].

Schéma récapitulatif

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«Arbre généalogique des langues indo-européennes basé sur une analyse phylogénétique des langues indo-européennes par (en)«constrain» d'ascendance» par Chang et al[15]

D'aprèsBernardSergent,Les Indo-Européens : Histoire, langues, mythes, Paris, Payot,.

  • indo-européen I
    • indo-européen II
      • indo-européen III
        • nord-ouest
          • italo-celtique
            • celtique commun
            • italique commun
          • tokharien†
            • agnéen (tokharien A)
            • koutchéen (tokharien B)
          • germanique commun
            • estique†
            • nordique
              • scandinaves occidentales
                • norne†
                • nynorsk
                • islandais
                • féroïen
              • scandinaves orientales
                • danois
                • bokmål
                • suédois
                • gutnisk
            • westique
        • balto-balkanique
          • balkanique†
            • daco-mycien
            • thrace
          • balto-slave commun
            • balte commun
              • balte occidental†
              • balte oriental
                • lituanien
                • letton
            • slave commun
              • slave méridional
                • slovène
                • serbo-croate
                • bulgaro-macédonien
              • slave occidental
                • léchitique
                • sorabe
                • tchèque / slovaque
              • slave oriental
                • russe
                • biélorusse
                • ukrainien / ruthène
        • nord-est
          • pontique
            • hellénique
              • grec
              • ancien macédonien†
            • phrygo-arménien
              • phrygien†
              • arménien
          • indo-iranien commun
            • iranien commun
            • nouristani
            • indo-aryen commun
      • anatolien commun†
        • hittite
        • louvite
            • louvite hiéroglyphique
              • lycien
              • sidétique
              • lykaonien
              • sud-phrygien
              • isaurien
              • cilicien
        • palaïte
        • lydien

Branche balto-balkanique

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Un point d'interrogation (?) signale une incertitude sur le regroupement.

Sous-branche paléo-balkanique

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Article détaillé :Langues paléo-balkaniques.

Sous-branche balte

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Article détaillé :Langues baltes.

Sous-branche slave

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Article détaillé :Langues slaves.

Branche germanique

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Article détaillé :Langues germaniques.

Branche italo-celtique

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Article détaillé :Italo-celtique.

Sous-branche italique

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Article détaillé :Langues italiques.

Langues romanes (issues du latin)

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Article détaillé :Langues romanes.

Sous-branche celtique

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Article détaillé :Langues celtiques.

Répartition tirée en partie de celle de Jean-Louis Brunaux[16] :

Langues pré-celtiques indo-européennes

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Branche arménienne

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Branche helléno-phrygienne

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Article détaillé :Langues helléniques.

Branche tokharienne

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Article détaillé :Tokhariens.

Branche indo-iranienne

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Article détaillé :Langues indo-iraniennes.

Sous-branche indo-aryenne

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Article détaillé :langues indo-aryennes.

Sous-branche iranienne

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Article détaillé :Langues iraniennes.

Branche anatolienne

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Article détaillé :Langues anatoliennes.

Origine et évolution des langues indo-européennes

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De nombreux indices laissent supposer que toutes ces langues proviennent d'une unique langue mère[17] ; néanmoins, en l'absence de toute trace écrite de celle-ci, cela demeure une hypothèse.

Les racines des langues indo-européennes dateraient vraisemblablement de la fin duNéolithique et duChalcolithique. En pratique, l'indo-européen commun est donc, à l'instar de divers autres langues etidiomes, reconstitué par recoupements (phonétiques, grammaticaux, etc.) entre ses différentes langues filles, par le biais de lalinguistique comparée, entre autres. C'est en effet un produit, sans doute le plus achevé, de la linguistique comparée, laquelle est une discipline qui s'est essentiellement développée entre la fin duXVIIIe siècle et le début duXIXe. L'existence de cette langue mère avec son vocabulaire propre, conjuguée aux nombreux autres traits culturels, religieux et anthropologiques qui se sont probablement répandus en même temps qu'elle, permettent d'envisager l'existence d'un ancien peupleindo-européen, avec une identité ethnique, culturelle, linguistique, sociale et religieuse qui lui est propre. Ce peuple se serait répandu sur de vastes territoires en Eurasie, diffusant sa langue, ancêtre de toutes les langues indo-européennes, et sa culture, probablement influencée par celles des ethnies autochtones.

Il existe différentes hypothèses quant à la localisation du foyer et à laculture archéologique précise qui correspondraient à ce peuple originel, et principalement deux[18] :

En 2023, une étudephylogénétique, parinférence bayésienne, de109 langues indo-européennes modernes et52 langues mortes bien datées soutient une hypothèse hybride : l'émergence des langues indo-européennes au sud duCaucase vers 8 000 ansAP, suivie du développement d'une branche vers le nord, dans la région des steppes. Elle permet de réconcilier les arguments linguistiques et les enseignements de l'ADN fossile concernant le Croissant fertile oriental et les steppes[18].

En 2024, une étude de paléogénétique semble confirmer deux modèles de divergence linguistique spécifiques à la famille des langues indo-européennes : l'hypothèse dite gréco-arménienne, les populations arméniennes et grecques ayant acquis l’ascendancesteppique directement desgroupes Yamna d’Europe de l’Est, et l'hypothèse diteitalo-celtique, l’arrivée de l’ascendance steppique en Espagne, en France et en Italie ayant été médiatisée par les populations de laculture campaniforme d’Europe occidentale, contribuant probablement à l’émergence de ces deux groupes de langues[20].

Notes et références

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  1. abcdef etgJ.-P. Mallory,À la recherche des indo-européens, Seuil,
  2. « Définition », surnotrefamille.com(consulté le)
  3. Brisson, Luc, « La tri-fonctionnalité indo-européenne chez Platon »,Philosophie comparée: Grèce, Inde, Chine, Paris, J. Vrin, 2005, Joachim Lacrosse (Coordination scientifique), pp. 121 - 142, p. 121.
  4. « Famille indo-européenne », surwww.axl.cefan.ulaval.ca(consulté le)
  5. (en) ThomasYoung, « Compte-rendu de Adelung, Johann Christoph, 1806-1812, Mithridates oder Allgemeine Sprachenkunde : mit dem Vater Unser als Sprachprobe in bey nahe fünfhundert Sprachen und Mundarten, 3 vols., Berlin : Vossischen Buchhandlung »,Quarterly Review,vol. 10,no 19,‎,p. 250-292(lire en ligne)
  6. ConradMalte-Brun,Précis de la géographie universelle, ou description de toutes les parties du monde, sur un plan nouveau, d’après les grandes divisions naturelles du globe,vol. 2 :Théorie générale de la géographie, Paris, Fr. Buisson,(lire en ligne)
  7. (en) Fred R.Shapiro, « On the origin of the term ‘Indo-Germanic’ »,Historiographia Linguistica,vol. 8,no 1,‎,p. 165–170(ISSN 0302-5160 et1569-9781,DOI 10.1075/hl.8.1.18sha)
  8. (en) KonradKoerner, « Observations on the sources, transmission, and meaning of ‘Indo-European’ and related terms in the development of linguistics »,Indogermanische Forschungen,vol. 86,‎,p. 1–29
  9. De Graecorum, Romanorum et Germanium languis earumque symphonia dissertatio, Leyde, ex officina Guilielmi Christiani, 1650.
  10. Bediedinge van de tot noce toe onbekende afgodinne Nehalennia over de disent en de meer jarret ondes het candit begraven, dan onlancx ontdeckt op het strandt van Walcheren in Zeelands, Leyde, Willem Christiaens vander Boxe, 1647, 32 p.
  11. KapilRaj,« Hégémonie impériale ou interaction constructive ? L'Inde coloniale au XIXe siècle », dans Kapil Raj et H. Otto Sibum (dir.),Histoire des sciences et des savoirs,t. II, Modernité et globalisation, Éditions du Seuil,
  12. Cité par Merritt Ruhlen dansL'origine des langues, Gallimard, 2007.
  13. Eñaut Etxamendi,L'origine de la langue basque, édition L'harmattan, 2018.
  14. Eñaut Etxamendi,L'origine de la langue basque, éditions L'Harmattan, 2018, Paris.
  15. WillChang et CathcartChundra, « Ancestry-constrained phylogenetic analysis supports the Indo-European steppe hypothesis »,Language,vol. 91,no 1,‎,p. 194–244(DOI 10.1353/lan.2015.0005,S2CID 143978664,lire en ligne, consulté le).
  16. Jean-LouisBrunaux,Les Gaulois, Paris, Les Belles Lettres,
  17. « EXCURSUS : L'indo-européen », surwww.ciep.fr(consulté le)
  18. a etb(en) Paul Heggarty, Cormac Anderson, Matthew Scarborough, Benedict King, Remco Bouckaertet al., « Language trees with sampled ancestors support a hybrid model for the origin of Indo-European languages »,Science,vol. 381,no 6656,‎(DOI 10.1126/science.abg0818).
  19. I. Lebedynsky,Les Indo-européens, Faits, débats, solutions, Errance,,3e éd.(ISBN 978-2-87772-564-4)
  20. (en) Fulya Eylem Yediay1, Guus Kroonen, Serena Sabatiniet al.,Ancient genomics support deep divergence between Eastern and Western Mediterranean Indo-European languages, biorxiv.org, 2 décembre 2024

Voir aussi

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Unecatégorie est consacrée à ce sujet :Langue indo-européenne.

Bibliographie

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En français

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Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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