Langesse | |||||
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![]() Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Loiret | ||||
Arrondissement | Montargis | ||||
Intercommunalité | Communauté des communes giennoises | ||||
Maire Mandat | Nadège Corcelle 2020-2026 | ||||
Code postal | 45290 | ||||
Code commune | 45180 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Langessois | ||||
Population municipale | 86 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 9,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 49′ 09″ nord, 2° 39′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 119 m Max. 151 m | ||||
Superficie | 8,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gien | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Loiret Géolocalisation sur la carte :Centre-Val de Loire | |||||
Liens | |||||
Site web | www.legiennois.frlangesse![]() | ||||
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Langesse est unecommune française, située dans ledépartement duLoiret enrégionCentre-Val de Loire.
La commune de Langesse se trouve dans le quadrant sud-est du département du Loiret, dans larégion agricole de l'Orléanais[1]. Àvol d'oiseau, elle se situe à 56,9 km d'Orléans[2],préfecture du département, à 20,9 km deMontargis[3],sous-préfecture, et à 14,4 km deGien, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant. La commune fait partie dubassin de vie de Lorris[4] dont elle est éloignée de 13,4 km[5].
Les communes les plus proches sont :Le Moulinet-sur-Solin (3,2 km),Varennes-Changy (5,2 km),Boismorand (5,7 km),Nogent-sur-Vernisson (6,8 km),Montereau (7,7 km),Ouzouer-des-Champs (7,8 km),La Cour-Marigny (9,6 km),Saint-Hilaire-sur-Puiseaux (9,7 km) etPressigny-les-Pins (9,7 km)[6].
La commune se situe dans le sud duBassin parisien, le plus grand des troisbassins sédimentaires français. Cette vastedépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par dessables et desargiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que descalcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession decouches géologiques[7].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire et deroches sédimentaires datant duCénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a66 millions d'années. La formation la plus ancienne est ducalcaire d'Étampes remontant à l’époqueOligocène de lapériodePaléogène. La formation la plus récente est desalluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époqueHolocène de lapériodeQuaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°400 - Châtillon-Coligny » de la carte géologique au1/50 000ème du département duLoiret[8],[9] et sa notice associée[10].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) | Quaternaire (0 - 2.58) | Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) | Pliocène | non présent | |||||||
Miocène |
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Paléogène (23.03 - 66.0) | Oligocène |
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Éocène | non présent | ||||||||
Paléocène | non présent |
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 8,97 km2[11],[Note 1]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,01 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque ladénivelée maximale atteint 32 mètres. L'altitude du territoire varie entre 119 m et 151 m[14].
Pour des articles plus généraux, voirClimat du Centre-Val de Loire etClimat du Loiret.
En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[15]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueCentre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deNogent-sur-Vernisson à 7 km àvol d'oiseau[17], est de11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 738,5 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Langesse comprend une ZNIEFF[INPN 1].
Désignation | Type | Superficie | Description |
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« Étangs de Langesse et de la tuilerie » | type 1[Note 2] | 22 hectares | Ces étangs sont situés à l'ouest du bourg, au sud de la RD 57[DREAL 1]. Leur altitude est de 130 m[INPN 2]. Il s'agit de deux étangs et d'un vallon humide abritant notamment une population dePotentilla palustris et deDactylorhiza fistulosa[INPN 3]. |
Les armes deLangesse seblasonnent ainsi : D'azur à l'église du lieu d'argent en demi-profil, l'abside à dextre, soutenue d'une divise ondée du même, au chef bastillé de trois pièces cousu de gueules chargé d'une croisette haussée aux extrémités pattées et au pied fiché d'or accostée de deux gardons adossés aussi d'argent[21]. |
Au, Langesse est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22].Elle est située hors unité urbaine[23] et hors attraction des villes[24],[25].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,4 %),terres arables (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[26].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Laloi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, et ce sous peine de ne plus pouvoir ouvrir à l’urbanisation de nouveaux espaces. En effet, dans certaines conditions, en l’absence de SCoT approuvé, les zones naturelles (N) et les zones d’urbanisation future (AU) ne peuvent plus, sauf dérogation, être ouvertes à l’urbanisation. Tel est le principe posé par l’article L.122-2 du Code de l’urbanisme. En application des dispositions de l'article L.122-18 du Code de l'urbanisme, le Schéma Directeur de la Région de Gien approuvé le avait été maintenu avec valeur de Schéma de Cohérence Territoriale. Le Schéma regroupait les communes deCoullons,Gien,Nevoy,Poilly-lez-Gien,Saint-Brisson-sur-Loire,Saint-Gondon,Saint-Martin-sur-Ocre. En l'absence de délibération de lacommunauté des communes giennoises, dont fait partie Langesse, sur son évolution à l'échéance du délai de 10 ans à compter du, ce SCot est devenu caduc à compter du[27].
En se dotant de la compétence« élaboration, gestion et suivi d’un Schéma de Cohérence Territoriale à l’échelle du Pays du Giennois » par arrêté préfectoral du, le Syndicat mixte du Pays du Giennois s'engage en faveur d’un projet global d’aménagement et de développement durable du territoire du pays du Giennois. Le schéma de cohérence territoriale du pays giennois, qui regroupe 31 communes dont Gien, a ainsi été prescrit le. Le projet de schéma a été arrêté le puis soumis à l'enquête en et approuvé le et est opposable depuis le[27],[28].
La commune de Langesse est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), mouvements de terrains ousismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à unrisque technologique : le risque nucléaire[29]. Entre 1989 et 2019, deux arrêtés ministériels ayant portéreconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boues[30].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[31].
Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[32]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa« moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par leBureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[33].
Depuis le, la France dispose d’un nouveauzonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[34]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[30].
Dans le domaine desrisques technologiques, une partie du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d’accident grave, certainesinstallations nucléaires sont en effet susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. Or la commune se situe en totalité à l'intérieur du périmètre de20 km duPlan particulier d'intervention de lacentrale nucléaire de Dampierre. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur lathyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif[Note 3]. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[36].
La paroisse de Langesse acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[37] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de laConvention nationale du10 brumaire an II ()[38]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[39].
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[40].
La commune est membre de lacommunauté des communes giennoises depuis sa création le, uneintercommunalité qui remplace le district de Gien, créé par arrêté préfectoral du[41].
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Langesse est alors incluse dans lecanton de Gien, ledistrict de Gien et ledépartement du Loiret[42].
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[43]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[44]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie auxcollectivités territoriales, régions, départements et communes[45]. L'acte II intervient en 2003-2006[46], puis l'acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Langesse aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.
Circonscription | Nom | Période | Type | Évolution du découpage territorial |
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District | Gien | 1790-1795 | Administrative | La commune est rattachée audistrict de Gien de 1790 à 1795[40],[42]. LaConstitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir devendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à laTerreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[47]. |
Canton | Gien | 1790-1801 | Administrative et électorale | Le, la municipalité de Langesse est rattachée au canton de Gien[48],[40]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du, et ne conservent qu'un rôle électoral[47]. Ils permettent l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[49]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795. |
Gien | 1801-2015 | Sous leConsulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre dejustices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[50]. Langesse est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Gien, sous le nom de Langesse[51],[40]. | ||
Gien | 2015- | Électorale | La loi du[52] et ses décrets d'application publiés en février et[53] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Gien[53]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement unecirconscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme deconseillers départementaux siégeant auconseil départemental[54]. | |
Arrondissement | Gien | 1801-1926 | Administrative | Langesse est rattachée à l'arrondissement de Gien par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[40],[51]. |
Montargis | 1926- | Sous laTroisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour lareconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État,Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux deGien et dePithiviers dans le Loiret par décret du[55]. Langesse est ainsi transférée de l'arrondissement de Gien à celui de Montargis[56],[57]. | ||
Circonscription législative | 3e circonscription | 2010- | Électorale | Lors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Unnouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du. En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[58],[59]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[60]. Langesse, initialement rattachée à la quatrième circonscription, est, après 2010, rattachée à la troisième circonscription[61]. |
La commune de Langesse est rattachée audépartement duLoiret et à larégionCentre-Val de Loire[62], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.
Depuis lesélections municipales de 2014, leconseil municipal de Langesse, commune de moins de 1 000 habitants, est élu auscrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[63], pour unmandat de six ans renouvelable[64]. Il est composé de 7 membres[65]. L'exécutif communal est constitué par lemaire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Nadège Corcelle est maire depuis 2014.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2014 | en cours | Nadège Corcelle[66],[67] | DVC | Employée civile ou agent de service de la fonction publique |
Les données manquantes sont à compléter. |
En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures ménagères des cantons de Gien, Châtillon Coligny, Briare et Châtillon-sur-Loire (SMICTOM). Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 4] en porte à porte, des emballages ménagers recyclables, des encombrants et du verre en points d’apport volontaire[68]. Un réseau de septdéchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune deNogent-sur-Vernisson[69],[70]. L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées par le SYCTOM de Gien-Châteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de déchets ménagers et un centre de stockage de déchets ultimes (CSDU) de classe II àSaint-Aignan-des-Gués ainsi qu'uneusine d’incinération des ordures ménagères à Gien-Arrabloy[71]
Depuis le, la« gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de lacommunauté des communes giennoises en application de laloi NOTRe du[72].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de laloi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[73]. Au, la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de Boismorand - Choux - Langesse, unsyndicat créé en 1965 desservant trois communes (Boismorand,Les Choux et Langesse)[74],[75],[76].Laloi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers lescommunautés de communes sera obligatoire à compter du. Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[77],[78].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[79]. LaCommunauté des communes giennoises a créé unservice public d'assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vérification de la conception et de l’exécution des ouvrages pour les installations neuves ou réhabilitées et la vérification périodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[80],[81].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[83].
En 2022, la commune comptait 86 habitants[Note 5], en évolution de +13,16 % par rapport à 2016 (Loiret : +1,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).En 2009, la commune était la cinquième la moins peuplée du département.
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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310 | 195 | 207 | 188 | 146 | 175 | 187 | 211 | 220 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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250 | 232 | 276 | 259 | 288 | 241 | 245 | 263 | 246 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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232 | 258 | 236 | 213 | 198 | 179 | 174 | 135 | 122 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
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118 | 91 | 76 | 68 | 88 | 66 | 75 | 77 | 75 |
2018 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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82 | 86 | - | - | - | - | - | - | - |
Église Saint-Georges ;
Château de Langesse,du XIXe siècle.
Communes de lacommunauté des communes giennoises | |
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