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Landavran

48° 09′ 32″ nord, 1° 17′ 22″ ouest
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Landavran
Landavran
L'église paroissiale Notre-Dame.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionBretagne
DépartementIlle-et-Vilaine
ArrondissementFougères-Vitré
IntercommunalitéVitré Communauté
Maire
Mandat
Danielle Résonet
2020-2026
Code postal35450
Code commune35141
Démographie
GentiléLandavranais
Population
municipale
682 hab.(2022en évolution de −1,02 % par rapport à 2016)
Densité136 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 09′ 32″ nord, 1° 17′ 22″ ouest
AltitudeMin. 68 m
Max. 127 
m
Superficie5,01 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionVitré
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Vitré
LégislativesCinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Landavran
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Landavran
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Landavran
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Landavran
Liens
Site webwww.landavran.fr
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Landavran est unecommune française située dans ledépartement d'Ille-et-Vilaine, enrégion Bretagne, peuplée de 682 habitants[Note 1].

Géographie

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Carte de la commune de Landavran et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes deLandavran
Val-d'IzéTaillis
LandavranMontreuil-sous-Pérouse
Champeaux

La commune de Landavran a une superficie est de 5,01 km2. Les villes et villages proches de Landavran sont :Champeaux à 2 km,Val-d'Izé à 2,2 km,Montreuil-sous-Pérouse à 4,1 km,Marpiré à 4,2 km etTaillis à 5,2 km[1]. Leplan d'eau de la Cantache et ses deux barrages sont situés à 3 km.

Relief et hydrographie

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Les altitudes au sein dufinage communal vont de 127 mètres (au nord du bourg, pratiquement au centre du territoire communal) et 68 mètres dans l'angle sud-est de la commune, dans la vallée du Ruisseau de Corbanne, à l'endroit où celui-ci quitte la commune. L'altitude du bourg de Landavran est de110 mètres environ.

Leréseau hydrographique est constitué essentiellement de deuxaffluents derive droite de laCantache (ils font donc partie dubassin hydrographique de laVilaine dont ils sont dessous-affluents), le Ruisseau de Palet et la Ruisseau de Corbanne, ce dernier se jetant désormais dans l'étang de la Cantache depuis la construction de ce réservoir d'eau. Ces deux cours d'eau servent aussi de limites communales, le Ruisseau de Palet avecVal d'Izé, le Ruisseau de Corbanne avecMontreuil-sous-Pérouse.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Bretagne etClimat d'Ille-et-Vilaine.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique franc, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[2]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deLaunay-Villiers à 21 km àvol d'oiseau[5], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Transports

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Habitat et paysages

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La commune présente un paysage agraire traditionnel debocage avec unhabitat dispersé en une douzaine d'écarts formés de hameaux et fermes isolées. Le bourg, qui était quasi inexistant (4 maisons !) au début duXIXe siècle a beaucoup grossi par la construction de plusieurs lotissements depuis lesTrente Glorieuses.

Le bois de Landavran, situé dans la partie nord de la commune, couvre à peu près le sixième de la superficie communale.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Landavran est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,4 %),terres arables (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), forêts (10,3 %), zones urbanisées (6,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formesLandavrena en 1060,Landauren en 1157,Landavren en 1158,Landa Abrani auXIIe siècle,Landevran auxXIVe et XVIe siècles[14].

Landavran n'a pas été étudié parAlbert Dauzat, ni à la rubrique des toponymes romans enLande-, ni à celle des toponymes bretons enLan-.

Toujours est-il que l'identification du radical pose un problème : s'il s'agit d'une formation romane enLande-, alors le second élément peut être unanthroponyme enA-. Ce type toponymique est bien attesté dans l'ouest de la France, par exempleLandigou (Orne,Landa Ingulfi 1180, nom de personne normandIngouf, var. Ygout) ouLandisacq (Orne,Landa Ysaac vers 1350), ou alors, dans le cas d'une formation toponymique brittonique isolée enLan-, l'anthroponyme ouhagionyme commence par unD-, à moins qu'il ne s'agisse d'une formation bretonne romanisée par la suite d'aprèsLande.Landéan (à 34 km), situé également loin à l'est, en dehors de la zone de diffusion de la toponymie brittonique, est peut-être une formation analogue et est considérée par Albert Dauzat comme bretonne[15].

Si l'hypothèse brittonique est exacte, cette appellation est alors liée aux relations étroites avec la commune voisine deVal-d'Izé (anciennementYzé). En effet, avant laRévolution française, la commune était l'une des subdivisions paroissiales d'Yzé. L’église Notre-Dame était alors considérée comme une seconde église ou une annexe en quelque sorte.

La toponymie locale témoigne de l'usage d’une langue romane, c'est-à-dire dans des noms de lieux se terminant par,-ais ou-ière : la Houssais, la Picotière, la Pigeonnais, l'Orière, ou formés à partir d'appellatifs romans aisément identifiables.

Legentilé estLandavranais.

Histoire

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Préhistoire

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Lemenhir de Clairet indique un peuplement dès laPréhistoire[16].

Article détaillé :Menhir de Clairet.

Moyen-Âge

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Landavran fut primitivement unetrève d'Izé, connue auXIe siècle sous le nom de « Landavrena ». Comme Izé, elle relevait de l'abbaye Saint-Florent de Saumur[17].

La chapelle de Landavran a probablement été construite par les seigneurs de Landavran dont plusieurs sont connus car ils fréquentaient la Cour desBarons de Vitré (Rivallon de Landavran vers 1060, Gaultier de Landavran en 1070,Jean de Landavran en 1137 et 1158, etc.. Leur manoir appartint ensuite aux barons de Vitré (en 1221 Robert de Vitré est qualifié de "seigneur de Landavran"[18] etGuy IX de Laval mourut le au château de Landavran[19]), il en reste quelques ruines[20].

Temps modernes

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Carte de Cassini de la paroisse d'Izé et de satrève de Landavran (1772).

Bien que n'étant alors qu'une trève d'Izé, Landavran disposait de sa proprefabrique (les comptes de ses trésoriers remontent à 1523) et était un lieu depèlerinage : on venait de toutes les paroisses avoisinantes honorerNotre-Dame, patronne du lieu, ou encoresaint Mathurin, aussi vénéré dans la chapelle tréviale ; les paroissiens de Landavran y faisaient aussi leurs Pâques, ce qui n'était généralement pas le cas dans la plupart des trèves et le chapelain y faisait lecathéchisme, tenant même une petite école[20].

À la suite de contestations, en 1758 leprésidial de Rennes décida que le recteur d'Izé devra fournir un curé résidant à Landavran et qu'il pourra y dire la messe tous les dimanches et fêtes, cathéchiser, bénir le pain, assister les malades, mais il lui fut interdit de célébrer baptêmes, mariages et enterrements, qui devront se tenir à Izé. Les habitants de Landavran furent mécontents de cet arrêt, et continuèrent à réclamer l'érection de leur chapelle tréviale en église paroissiale, mais n'y parvinrent pas avant laRévolution française[20].

Révolution française

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La trève de Landavran est érigée encommune en 1790[20].

LeXIXe siècle

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Le bourg de Landavran et quelques hameaux proches en 1813 (cadastre de 1813).
Plan cadastral de la commune de Landavran (1813, tableau d'assemblage).

En 1803, après leConcordat, Landavran, bien que commune désormais, est rattaché à la paroisse deChampeaux, mais devint une paroisse à part entière, érigée ensuccursale, par l'ordonnance royale du[20].

Selon lecadastre de 1813 le bourg se limite à 4 maisons et à l'église ; même le presbytère est extérieur au bourg : quelques hameaux sont plus importants que le bourg.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Landavran en 1843 :

« Landavran (sous l'invocation de laVierge) : commune formée de l'anciennetrève d'Val-d'Izé ; aujourd'huisuccursale. (..) Principaux villages : la Picotière, la Chaîne, le Verger, la Pigeonnais, le Bois-Péant. Superficie totale : 500 hectares 36 ares 16 centiares, dont (..) terres labourables 318 ha, prés et pâturages 72 ha, bois 73 ha, vergers et jardins 4 ha, landes et incultes 16 ha (..). Cette petite commune est traversée du nord-ouest au sud-est par la route départementale n° 18, dite de Saint-Malo à Vitré. Géologie :quartzite ;schistes à l'ouest. On parle lefrançais[en fait legallo][21]. »

LeXXe siècle

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La Belle Époque

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Profession de foi Antoine Charil de Villanfray alors maire de Landavran, lors de sa candidature au conseil d'arrondissement en 1904 (JournalL'Ouest-Éclair du).

ÀTaillis et à Landavran des bagarres éclatèrent en mars 1906 lors de l'inventaire des biens d'église entre la troupe et les habitants[22]. Jean et François Bénard (deux fils de l'ancien maire François Bénard) et Pierre Betton furent condamnés par le tribunal de Vitré à quelques semaines de prison et à des amendes pour outrages et menaces contre les gendarmes à Landavran[23]. Joseph Guislard, alorsrecteur de Landavran, avait vainement envoyé une lettre de protestation pour tenter d'empêcher cet inventaire, arguant que l'église et ses objets religieux avaient été financés par la générosité des habitants de la paroisse et particulièrement par celle de M. de Villanfray, qui avait donné tous les matériaux nécessaires à la construction de l'église[24].

Leservice téléphonique ouvre à Landavran le[25].

LeJournal officiel publie le un décret attribuant aubureau de bienfaisance de Landavran les biens placés sousséquestre et ayant appartenu à lafabrique de l'église[26].

En octobre 1912 le jet d'une pierre dans une fenêtre de l'école mixte publique entraîne une polémique journalistique entre partisans de l'école laïque et de l'école privée catholique[27].

Lors des élections cantonales de 1913, le maire Antoine Charil de Villanfray obtint dans sa commune 62 voix sur un total de 63 votants (63 électeurs inscrits)[28].

La Première Guerre mondiale

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Lemonument aux morts.

Lemonument aux morts de Landavran porte les noms de 17 soldatsmorts pour la France pendant laPremière Guerre mondiale ; parmi eux Louis Bazin, soldat du130e régiment d'infanterie, est tué à l'ennemi dès le àVirton (Belgique) ; la plupart des autres sont morts sur le sol français, dont Pierre Gardan, soldat du330e régiment d'infanterie, décédé le à l'hôpital temporaire n°16 de Royallieu, décoré à la fois de laMédaille militaire et de laCroix de guerre[29].

L'Entre-deux-guerres

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En 1926, l'école publique de Landavran n'avait qu'un seul élève. La commune n'avait pas alors d'école libre (privée), tous les enfants allant dans les écoles chrétiennes des communes voisines[30].

La commune commence à être électrifiée en1932[31].

René Longuève, ancien soldat de la Première Guerre mondiale, décoré de la Médaille militaire et de laLégion d'honneur, cinq fois blessé au combat, avait ouvert à Landavran une épicerie et vendait aussi des journaux, dont un journal républicain. Lerecteur de Landavran le somma d'arrêter de vendre ce dernier ; face au refus du commerçant, le recteur demanda enchaire de boycotter ce commerce et lui interdit de puiser de l'eau aupresbytère. L'ancien soldat fut ruiné et dut fermer son commerce[32].

La Seconde Guerre mondiale

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Un soldat de la commune, Jean Paquet, est mort (de maladie) pendant laSeconde Guerre mondiale[29].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Marcel Paquet, soldat originaire de la commune, est mort pour la France le lors de laGuerre d'Algérie[29].

LeXXIe siècle

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Politique et administration

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La mairie.

La commune compte une école élémentaire privée, l'école Saint-Joseph, qui dépend de l'académie de Rennes. L'école Saint-Joseph fonctionne en Regroupement Pédagogique Intercommunal[33] avec l'école Saint-Louis deChampeaux depuis 1984.

Liste des maires
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
     
avent 18101830André Poulard[Note 3] Laboureur.
18301833Auguste Berthois[Note 4] Percepteur à Izé.
18331835Louis Truffaut  
18351840Joseph Marie Berthois[Note 5] Avoué.
18401844Auguste Berthois Déjà maire entre 1830 et 1933.
18441852Pierre Poulard  
18521893François Bénard[Note 6] Cultivateur.
1893après 1924Antoine Charil de Villanfray[Note 7]RoyalisteHabitait le château de la Pigeonnais. Conseiller d'arrondissement (non réélu en 1919, battu par un candidat républicain).Conseiller général du canton de Vitré-Ouest.
     
     
mars 1989mars 2008Jean-Noël Divay Directeur d'une agence bancaire
mars 2008mars 2014Fabrice Loncle[34] Fonctionnaire
mars 2014[35]En coursDanielle RésonetSEEmployée de commerce
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2022, la commune comptait 682 habitants[Note 8], en évolution de −1,02 % par rapport à 2016 (Ille-et-Vilaine : +5,46 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
290272268260280256223230226
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
220226225245278321320318295
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
294272255223230223233225231
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
242226229239330399536575683
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
694682-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puisInsee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Transports

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La commune est traversée par la D 794 (ancienneRoute nationale 794 déclassée qui allait dePlancoët àVitré en passant parDinan etCombourg), mais celle-ci ne passe pas par le bourg, qui n'est desservi que par des routes secondaires (la D 305 notamment).

La commune est desservie par la ligne de bus n°2 de Vitré Communauté.

Article détaillé :Transports en commun de Vitré Communauté.

Lieux et monuments

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L'église paroissiale Notre-Dame
  • Vue extérieure d'ensemble.
    Vue extérieure d'ensemble.
  • Façade.
    Façade.
  • Flanc sud et sacristie.
    Flanc sud etsacristie.
  • L'église vue du cimetière.
    L'église vue du cimetière.

Personnalités liées à la commune

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  • Guy IX de Laval (vers 1270 - 1333, au manoir de Landavran), seigneur de Laval, et d'Acquigny, vicomte de Rennes, comte de Caserte dans la Terre de Labour et baron de Vitré.
  • Arthur Regnault (1839-1932), architecte, fut chargé de la rénovation de l’église Notre-Dame auXIXe siècle.
  • Louis Garin (1888-1959), peintre et illustrateur, il redécora l’église Notre-Dame alors qu'il était réfugié pendant laSeconde Guerre mondiale.

Notes et références

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Notes

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  1. Population municipale 2022, légale en 2025.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. André Poulard, né le à Landavran en Izé, décédé .
  4. Auguste Berthois, né vers 1805.
  5. Peut-être Joseph Berthois, né le à Vitré, paroisse Notre-Dame, décédé le ä Vitré.
  6. François Bénard, né le à Landavran, décédé le à Landavran.
  7. Antoine Charil de Villanfray, né le àSillé-le-Guillaume (Sarthe), décédé le àRennes.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « CARTE DE FRANCE », surcartesfrance.fr(consulté le).
  2. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », surbretagne-environnement.fr,(consulté le).
  5. « Orthodromie entre Landavran et Launay-Villiers », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  9. « La grille communale de densité », surinsee,fr,(consulté le).
  10. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Landavran ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vitré », surinsee.fr(consulté le).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  14. Site deKerofis : Landavran etA. Marteville et P. Varin,Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,vol. 1, Rennes, Molliex,(lire en ligne),p. 429
  15. DENLF, p. 383a.
  16. L. Collin, « Quelques monuments mégalithiques de l'Est et du Centre de l'Ille-et-Vilaine. Menhir dit du Clairet en Landavran »,Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine,‎,p. 34 ET 35(lire en ligne, consulté le).
  17. G. Corbe, "Guide historique et statistique du département d'Ille-et-Vilaine", Imprimerie Landais et Oberthur, Rennes, 1847.
  18. A. Bertrand de Broussillon, « La maison de Laval. La maison de Vitré »,Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne,‎,p. 193(lire en ligne, consulté le).
  19. Étienne-Louis Couanier de Launay,Histoire de Laval,(lire en ligne),p. 93.
  20. abcd eteAmédée Guillotin de Corson,Pouillé historique de l'archevêché de Rennes,vol. 5, Rennes, Fougeray, 1880-1886(lire en ligne),p. 19 à 22.
  21. A. Marteville et P. Varin,Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,vol. 1, Rennes, Molliex,(lire en ligne),p. 429
  22. « L'inventaire en province »,Le Journal,‎,p. 4(lire en ligne, consulté le).
  23. « Les inventaires »,Le Radical de l'Allier,‎,p. 1(lire en ligne, consulté le).
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  25. « Service téléphonique »,La Dépêche bretonne,‎,p. 2(lire en ligne, consulté le).
  26. « Le président de la République. Décret du 1er septembre 1909 »,Journal officiel de la République française. Lois et décrets,‎,p. 9211(lire en ligne, consulté le).
  27. « Landavran. Réponse au « Paysan » »,La Dépêche bretonne,‎,p. 2(lire en ligne, consulté le).
  28. « À Landavran »,La Dépêche bretonne,‎,p. 1 et 2(lire en ligne, consulté le).
  29. ab etc« Landavran. Monument aux Morts (Relevé n° 5642) », surmemorialgenweb.org,(consulté le).
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  32. « Quand le clergé est roi.. »,Le Bloc laïque vosgien,‎,p. 2(lire en ligne, consulté le).
  33. Site Internet de la commune de Champeaux, « Les écoles et le RPI de Champeaux Landavran - Champeaux »,Champeaux,‎(lire en ligne, consulté le).
  34. Résultats officiels des élections municipales 2008 à Landavran sur le site officiel duMinistère de l'Intérieur
  35. « Danielle Résonet élue maire de la commune », surouest-france.fr,Ouest-France(consulté le).
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  37. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
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Annexes

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