Lagny-sur-Marne s'étend entre la vallée de la Marne et le début du plateau de la Brie. LaMarne constitue la limite nord de la commune. La commune est disposée sur le flanc d'une colline, comme souvent en bord de Marne.
La commune est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
Au, Lagny-sur-Marne est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[16],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
En 2018[19], le territoire de la commune se répartit en 71,6 % de zones urbanisées, 13,4 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 5,8 % de forêts, 4,6 % deterres arables, 4,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles et < 0,5 % de zones agricoles hétérogènes[5].
La ville ne respecte pas les obligations qui lui sont faites par laLoi SRU de 2000 de disposer d'au moins de 25 % delogements sociaux[21],[22]. Au sens du recensement, la commune comptait en 2008 1 601 logements sociaux en 2008 (18,5 % du parc des résidences principales), nombre relativement stable en 2018, puisqu'il s'élevait alors à 1 687, mais le pourcentage a baissé à 18,1 %[I 4] en raison de l'effort de construction mené dans la commune sur la période.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lagny-sur-Marne en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,9 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 53,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,7 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
1,3
2,9
9,7
Logements vacants (en %)
6,8
6,8
8,2
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait en 2016 à 54,8 % contre 43,5 % de locataires[23], dont 18,1 % de logementsHLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et 1,7 % logés gratuitement.
La commune est desservie à l'ouest par la francilienneA104 et à l'est par l'ex-RN 34 (actuelle RD 934) et la RD 231.
Créée à partir de 1970, en trois étapes, et afin de délester le centre-ville d’une circulation automobile de plus en plus dense, une voie rapide à 2x2 voies, relie à travers les quartiers sud de la ville, la Francilienne à l'ouest aux RD 934 et RD 231 à l'est. Le revêtement de la chaussée a été refait en 2019 pour atténuer (avec succès) les bruits provenant des voitures.
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Lagny (1793, 1801), Lagny-sur-Marne (1971).
La commune, appeléeLagny depuis 1801, a officiellement pris le nom deLagny-sur-Marne à la suite du décret du 10 mars 1971, et porte ce nom depuis le 24 mars 1971[24].
Une riche veuve nommée Ermentrude décrit dans son testament daté des années 570 (d'après la datation proposée parJosiane Barbier) ses biens entre Paris et Meaux, et particulièrement lavilla de Lagny-sur-Marne. Elle fait don de l'ensemble à labasilique Saint-Symphorien de Paris où est enterré son propre fils Deorovaldus. Le document original (ou une copie contemporaine surpapyrus) est toujours conservé[25].
En 1142, Yves,légat du Saint-Siège, y tint un concile. Des épidémies du « mal des Ardents » sont répertoriées auXIIe siècle : ce mal, l'ergotisme, provenait de l'ergot du seigle, un champignon qui provoquait la mort et avait décimé toute la population, comme devait le faire plus tard la peste noire.
Ce siècle, par ailleurs, voit le long règne sur la Brie et la Champagne du comte Thibaut-le-Grand (Thibaut IV de Blois ou II de Champagne) qui, en 1152, choisit l'abbatiale de Lagny pour lieu de sa sépulture, comme l'avait fait Herbert le Jeune, le comte restaurateur de l'abbaye ruinée par les Vikings. LeXIIIe siècle, qui suit, verra l'apogée de l'action de l'abbaye Saint-Pierre à « Laigni ».
En 1415,Jean de Bourgogne y loge en attendant queCharles VI lui accorde une entrevue qui lui est refusée. Il s'en venge en pillant Lagny.
Après lesiège de Paris de septembre 1429, les notables donnent la ville àCharles VII etJeanne d'Arc. Cette dernière y revient en avril 1430 et y séjourne 2 mois environ durant lesquels à la tête de ses troupes elle attaque les convois anglais.
Les Anglais décident alors de mettre le blocus devant la ville, toutefois, le, sous la conduite de Jean Foucault, un détachement latignacien parvient jusqu'à laporte Saint-Antoine, et enlève un grand troupeau de bestiaux, vaches et bœufs et s'en retourne par legué deSaint-Maur. Attaqué par les troupes anglaises, supérieures en nombre, les latignaciens sont faits prisonniers etlibérés contre rançon[30].
Le, après s'être emparé deGournay et dufort de Montjay,Jean de Lancastreduc de Bedford etrégent de France, commence avec 1 200 hommes, le premier siège de Lagny. Commandée parJean Foucault, qui avait été libéré, Geoffroy de Saint-Aubin et Huçon Kennedy, capitaine écossais la ville subit plusieurs assauts qui sont vaillamment repoussés et les Anglais finissent par être obligés de lever le siège.
Le, après avoir introduit dans la ville plusieurs traîtres, lemaréchal de FranceJean de Villiers deseigneur de l'Isle-Adam à la tête de 600 combattants anglo-bourguignons, mit le second siège devant Lagny. Une nouvelle fois le courage des Latignaciens fit la différence et les assaillants furent contraints de regagner Paris à nouveau.
À la suite de cet affrontJean de Lancastre duc de Bedford, accompagné d'un grand nombre de généraux bourguignons, mit les grands moyenspour ce troisième siège : 6 000 combattants et un nombre prodigieux de machines de guerre et vint investir Lagny, défendue par 800 à 1 000 combattants. Après plusieurs combats, le siège fut levé le 20 août.
En 1544 les habitants se révoltent ; lemaréchal de Lorges prend la ville d'assaut et y laisse commettre toutes sortes d'excès[31].
L'abbaye bénéficie d'un nouveau remodelage architectural auXVIIIe siècle, sous lacommende, puis disparaît définitivement avec ses moines à laRévolution française, ses bâtiments devenant l'hôtel de ville.
L'entrée fortifiée de l'ancienne abbaye donne aujourd'hui sur la place de la Fontaine. On peut encore y lire une inscription qui date de la Révolution, réalisée en 1793 à l'occasion de la fête de « l'Unité et de l'Indivisibilité de la République » : « Unité Indivisible de la République Liberté Égalité Fraternité ou la Mort ».
L'hôtel de ville est installé dans les bâtiments de l'abbaye. Dès l'entrée, on arrive dans les galeries du cloître qui entourent le jardin intérieur. Le grand escalier mène au premier étage, vers les salons d'honneur. Les murs de la galerie du premier étage accueillent de nombreuses toiles des peintres de Lagny-sur-Marne et de sa région, dont Alphonse Lint, mort en 1900, rattaché à l'École deBarbizon et auximpressionnistes. Certains tableaux furent achetés par le baron de Rothschild et offerts à la ville de Lagny-sur-Marne.
L'abbaye est reliée à l'abbatiale par une porte qu'utilisaient autrefois les moines pour se rendre aux offices. Un des tableaux de l'abbatiale, certainement laDescente du Saint-Esprit, fut offert parLouis XIV, de passage à Lagny.
La façade de l'abbatiale Saint-Pierre et N-D des Ardents.
L'abbaye renferme deux mystères.
Le clou de la croix - Le blason de la ville comporte un clou. Il s'agit de la pointe d'un des clous de la croix duChrist, remis par le roiRobert II de France vers 1019 à l'abbaye, lors de l'inauguration de la nouvelle abbatiale renaissant du pillageviking. Cetterelique disparaît lors du pillage du monastère par lescalvinistes en 1567 ;
l'épée de Jeanne d'Arc -Jeanne d'Arc est passée deux fois à Lagny-sur-Marne : en septembre 1429 et au printemps 1430, après le sacre de Reims. Lors de ce second passage, qui s'étendit sur un bon mois, la Pucelle accomplit un miracle, dans la chapelle des Ardents de l'abbatiale, sur lequel s'appuieront les autoritéscatholiques pour sacanonisation : elle ressuscite un enfant mort depuis trois jours, pour lui permettre de recevoir le sacrement dubaptême. C'est près de Lagny dans la prairie deVaires-sur-Marne qu'elle livre alors le dernier combat, victorieux, de sa jeune et fulgurante carrière (1429-1431).
Lorsqu'elle quitte Lagny (vers Pâques 1430), Jeanne d'Arc s'y défait de six épées. L'une d'elles, l'épée deSainte-Catherine-de-Fierbois, que la tradition présente comme étant celle que portaitCharles Martel à labataille de Poitiers en 732 équipait symboliquement la Pucelle à la demande deses voix dès le début de sa mission officielle contre l'Anglais : elle l'arbore toujours à Lagny jusqu'à l'instant où elle apprend parses voix (Michel l'Archange,Catherine d'Alexandrie etMarguerite d'Antioche Vierges Martyres, saints du pays lorrain), sur les fossés deMelun, que son destin va la livrer bientôt à l'Anglais. Atterrée par la nouvelle, qu'elle garde pour elle, la Pucelle, de retour à Lagny, ceint avec ostentation sa plus belle épée, celle de Vaires-sur-Marne, qu'elle a prise au chef de bande vaincu, Franquet d'Arras, et poursuitla route de sa destinée versCompiègne () où elle va être prise etRouen () où elle va être jugée et brûlée vive.
L'épée de la Pucelle, celle de Fierbois, jugée désormais inutile et d'ailleurs endommagée, aurait été, dit la légende, laissée à Lagny et remise par Jeanne d'Arc à une autorité de l'abbaye Saint-Pierre qui l'aurait fait enfouir dans un souterrain situé sous l'abbatiale ou murer dans un pilier de la chapelle de la Vierge-des-Ardents : telle serait l'opinion gratuite d'un auteur latignacien, Marcel Pouzol. En fait, nul ne sait ce qu'il est advenu d'elle : la Pucelle, prise par l'Anglais, dira l'avoir laissée à la garde de ses frères eux-mêmes qui l'accompagnaient et s'occupaient de l'intendance (chevaux et équipements de combat) et de l'avoir de leur sœur et, depuis, on n'a plus trace de l'épée de Fierbois, sa vieille compagne de mêlée[33].
Lors du second tour desélections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste UMP-UDI menée par Jean-Paul Michel obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 548 voix (51,78 %, 27 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant de 245 voix celle menée par la maire sortante Sylvie Bonnin qui a recueilli 3 303 voix (48,21 %, 8 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 43,82 % des électeurs se sont abstenus[34].
Lors du premier tour desélections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, la liste DVC (LaREM, LR, MoDem) menée par le maire sortant Jean-Paul Michel obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 433 voix (54,41 %, 28 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[35] : - Michaël Lopez (ECO , 1 205 voix, 26,95 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ; - Patrick Roullé (UG -FI, 833 voix, 18,63 %, 3 conseillers municipaux dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 63,97 % des électeurs se sont abstenus.
Lagny-sur-Marne a plus que décuplé sa population sur deux siècles par une croissance régulière. Compte tenu, de ses limites communales, son potentiel de croissance est désormais limité. La population de Lagny-sur-Marne était de 19 358 au recensement de 1999, 20 086 en 2006 et de 20 401 en 2007. La densité de population est de 3 566,61 habitants par km². Le nombre de logements a été estimé à 9 216 en 2007[46]. Ces logements de Lagny-sur-Marne se composent de 8 648 résidences principales, 120 résidences secondaires ou occasionnelles ainsi que 448 logements vacants[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 8].
En 2022, la commune comptait 21 433 habitants[Note 9], en évolution de +0,79 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2016 , le nombre total d’emploi dans la zone était de 7 205, occupant 9 542 actifs résidents.
Le taux d’activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,8 % contre un taux de chômage de 9,3 %. Lesinactifs se répartissent de la façon suivante : 10,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,4 % de retraités ou préretraités et 7,5 % pour les autres inactifs[23].
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 2 014 dont 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 102 dans l’industrie, 203 dans la construction, 1 400 dans le commerce-transports-services divers et 306 étaient relatifs au secteur administratif[23].
L'Union artistique et littéraire du canton de Lagny est ensuite fondée, ainsi qu'une revue illustrée,Lagny-artiste (vers 1900). L'un des présidents fut l'artiste nancéienMarie-Edmond Höner[53].
Lastatue de Jeanne d'Arc : actuellement sise dans le square de l'abbatiale Notre-Dame-des-Ardents cette statue d'Armand Roblot, datant de 1923, placée à l'origine sur la place du Marché, a été déplacée vers 1966 en ce lieu plus retiré, à quelques mètres du lieu du miracle de l'enfant (cf. plaquette façade de l'abbatiale). Elle célèbre la victoire deJeanne d'Arc dans la plaine deVaires-sur-Marne : la Pucelle brandit de la main droite sa prise de guerre de Vaires, l'épée de Franquet d'Arras, tandis que la gauche pointe au sol sa « Durandal » de guerre, l'épée de Fierbois.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Contrairement auhameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑H.T. et P.D.S., « Des super pénalités pour 14 communes de Seine-et-Marne manquant de logements sociaux : Quatorze communes du département vont devoir payer davantage, en 2018, pour ne pas avoir respecté la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain (SRU) »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑Toute référence sur Jeanne d'Arc provient des Actes de son Procès de condamnation (février-mai 1431) et des Actes de son Procès de réhabilitation (1450-1456)
↑« Le bilan du maire passé au crible »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« Après deux mandats et demi, Patrice Pagny (SE), qui ne souhaitait pas se représenter en 2014, passe la main à sa première adjointe, Sylvie Bonnin ».
↑Florence Mallegol, « Lagny. Le maire, Jean-Paul Michel, quitte l’UDI : Jean-Paul Michel, le maire de Lagny-sur-Marne, vient d'annoncer son départ de l'UDI. Il rejoint Agir, la droite constructive »,La Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑« Jean-Paul Michel (UDI) élu président de Marne et Gondoire »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑Florence Mallegol, « Municipales à Lagny-sur-Marne. Jean-Paul Michel (Agir) brigue un second mandat : C'est officiel depuis mardi 7 janvier 2020. Le maire de Lagny-sur-Marne, Jean-Paul Michel (Agir), est candidat aux municipales 2020 pour un second mandat »,La Marne,(lire en ligne, consulté le)« Pour cette élection, il est soutenu par plusieurs familles politiques : Agir, le Modem, En Marche, Les Républicains et l’UDI ».
↑Guénaèle Calant, « Lagny-sur-Marne : Jean-Paul Michel réélu maire ce lundi soir : La séance d’installation, qui s’est déroulée à huis clos, a été retransmise en direct via le site Internet de la ville, ce lundi soir »,Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« Il a obtenu 28 voix. Sept bulletins étaient blancs ».