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La Marguerite

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Pour les articles homonymes, voirMarguerite.

Démocratie est
liberté – La Marguerite
(it)Democrazia è Libertà - La Margherita
Présentation
Président fédéralFrancesco Rutelli
Fondation
Fusion deParti populaire italien
Les Démocrates
Renouveau italien
Disparition
Fusionné dansParti démocrate
SiègeVia Sant'Andrea delle Fratte, 16
Rome (Italie)
PositionnementCentre
IdéologieChristianisme social
Social-libéralisme
Affiliation européenneParti démocrate européen
Affiliation internationaleAlliance mondiale des démocrates
Adhérents430 000
CouleursVert,jaune etturquoise
Site webmargheritaonline.it
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Démocratie est liberté – La Marguerite (enitalien :Democrazia è Libertà - La Margherita,DL ouLa Margherita) est unparti politiqueitalien ducentre. Il est fondé en 2002 et dissous en 2007.

Histoire

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Fondé comme une coalition

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La Marguerite est fondée le en tant que coalition du centre en vue desélections générales italiennes de 2001. Elle rassemble alors leParti populaire italien (PPI), leRenouveau italien (RI), l'Union des démocrates pour l'Europe (UDEUR) etLes Démocrates, tous membres de la majorité parlementaire de l'époque.

Nommé président de La Marguerite le,Francesco Rutelli est également désigné comme chef de file deL'Olivier, alliance de centre-gauche au pouvoir depuis cinq ans, pour les législatives. Bien que la majorité soit défaite lors du scrutin, La Marguerite remporte 86 députés sur 630 et 43 sénateurs sur 315.Pierluigi Castagnetti, du PPI, prend la présidence du groupe à laChambre des députés tandis queWiller Bordon, des Démocrates, est porté à la tête du groupe auSénat de la République.

Création du parti

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Tandis que l'UDEUR souhaite rester un parti indépendant clairement marqué au centre, sans alliance particulière, les trois autres formations décident de pousser plus loin leur collaboration et de constituer un parti unique. Ainsi, en àRocca di Papa, dans laprovince de Rome, le comité constituant est installé. Il est principalement chargé d'organiser le congrès constituant.

Celui-ci se réunit àParme, enÉmilie-Romagne, au mois de. À cette occasion, les statuts fédéraux sont approuvés, de même que la charte des valeurs, qui définit le parti comme une formation catholique et populaire à la convergence de lasocial-démocratie et de ladémocratie libérale.Francesco Rutelli est élu président fédéral.

De L'Olivier à L'Union

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Articles détaillés :L'Olivier etL'Union.

Dans le cadre desélections européennes de 2004, DL accepte de participer aux listes « Unis dans L'Olivier » avec lesDémocrates de gauche (DS), lesSocialistes démocrates italiens (SDI) et leMouvement des républicains européens (MRE). La coalition remporte 31 % des voix et 24 députés sur 78, dont 7 pour La Marguerite. Le parti se trouve face à une difficulté, puisque le PPI était membre duParti populaire européen (PPE) alors que le RI et les Démocrates faisaient partie duParti européen des libéraux, démocrates et réformateurs (ELDR). Finalement, DL décide de ne rejoindre aucun des deux et lance le projet deParti démocrate européen (PDE) avec l'Union pour la démocratie française (UDF). AuParlement européen, les sept eurodéputés siègent donc au sein dugroupe ADLE.

Aux élections régionales de 2005, L'Olivier se présente uni dans neuf régions sur quatorze, et le centre-gauche remporte douze régions en tout. La Marguerite obtient deux présidences,Vito De Filippo enBasilicate etAgazio Loiero enCalabre.

DL participe ensuite au projet de grande alliance de gauche, qui prend le nom deL'Union. Aux primaires organisées pour désigner le chef de file, le parti soutientRomano Prodi, qui l'emporte avec 74 % des voix. Lors desélections générales italiennes de 2006, L'Olivier se présente uni à la Chambre mais désuni au Sénat. L'Union l'emporte, avec une très courte majorité sénatoriale. Les DS et DL forment dans chaque chambre un groupe commun, les députés étant présidés parAntonello Soro (La Marguerite) et les sénateurs parAnna Finocchiaro (DS). Au sein dugouvernement Prodi II, DL obtient sept postes ministériels, dont Rutelli en tant que vice-président du Conseil et ministre de la Culture etArturo Parisi au ministère de la Défense.

Disparition dans le Parti démocrate

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Au congrès deRome d', La Marguerite vote une motion appelant à la formation d'un grand parti du centre, dépassant la social-démocratie et la démocratie chrétienne, leParti démocrate (PD). Un comité constituant est installé un mois plus tard, dont quinze membres sont issus de DL. Lors des primaires ouvertes convoquées le pour choisir le secrétaire du PD, deux candidats issus de La Marguerite,Enrico Letta etRosy Bindi, se présentent, mais l'immense majorité du parti soutientWalter Veltroni, qui forme un tandem avec le chrétien-socialDario Franceschini. Veltroni l'emporte avec 74 % des voix.

Notes et références

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(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé« Democrazia è Libertà - La Margherita »(voir la liste des auteurs).

Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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Communisme
Socialisme
Écologisme
Social-libéralisme
Christianisme social
Démocratie chrétienne
Libéral-conservatisme
National-conservatisme
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Coalitions
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