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La Coquille (Dordogne)

45° 32′ 32″ nord, 0° 58′ 35″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirLa Coquille.

La Coquille
La Coquille (Dordogne)
L'église Saint-Joseph de La Coquille.
Blason de La Coquille
Blason
La Coquille (Dordogne)
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementDordogne
ArrondissementNontron
IntercommunalitéCommunauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Michèle Faure
2022-2026
Code postal24450
Code commune24133
Démographie
GentiléCoquillard(e)
Population
municipale
1 259 hab.(2022en évolution de −6,6 % par rapport à 2016)
Densité56 hab./km2
Géographie
Coordonnées45° 32′ 32″ nord, 0° 58′ 35″ est
AltitudeMin. 259 m
Max. 432 
m
Superficie22,37 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Thiviers
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
La Coquille
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
La Coquille
Géolocalisation sur la carte :Dordogne
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La Coquille
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
La Coquille
Liens
Site webwww.ville-lacoquille.fr
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La Coquille est unecommunefrançaise située dans ledépartement de laDordogne, enrégionNouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée auparc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

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Généralités

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Située dans leNontronnais, dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de La Coquille est arrosée par laCôle et par laValouse.

Dans une région très boisée composée de feuillus, des prés en bocage entourent lebourg de La Coquille situé, endistances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest deJumilhac-le-Grand et quatorze kilomètres au nord-nord-est deThiviers, au carrefour de la route nationale 21 (l'axe Limoges - Agen) et de la route départementale(RD) 79.

Le territoire communal est également desservi par laRD 67 et par laligne ferroviaire Limoges - Périgueux au bourg, engare de La Coquille.

EntreSaint-Pierre-de-Frugie au nord etSaint-Paul-la-Roche au sud, lesentier de grande randonnéeGR 654 traverse la commune sur plus de huit kilomètres.

Communes limitrophes

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La Coquille est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, le territoire deSaint-Jory-de-Chalais est distant de500 mètres.


Carte
Les limites communales de La Coquille et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deLa Coquille
FirbeixSaint-Pierre-de-Frugie
MialetLa CoquilleSaint-Priest-les-Fougères
ChalaisSaint-Paul-la-Roche

Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord duBassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange duMassif central, le département de laDordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur enstrates régulières, témoins d'unesédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plangéologique en quatre gradins différenciés selon leurâge géologique. La Coquille est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l'ère primaire, antérieurement auCarbonifère[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire, deroches sédimentaires datant pour certaines duCénozoïque, et pour d'autres duMésozoïque et duPaléozoïque, ainsi que deroches métamorphiques etmagmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose demicaschistes lamelleux à deuxmicas, parfoisgrenats etsilicates d'alumine (groupe de laDronne,Néoprotérozoïque àCambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie desformations superficielles de typecolluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions,molasses,altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 711 - Châlus » et « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de La Coquille.
Légende de la carte géologique.
ÈrePériodeÉpoqueFormations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
CFp :Formations superficielles :colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions,molasses,altérites indifférenciées
Pléistocène non présent
Néogène
(2.58 - 23.03)
 non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
g1a :Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sablesfeldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Éocène non présent
Paléocène non présent
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Alt :Altérites de socle : arènes sableuses, argiles sableuses,isaltérites,allotérites
inférieurnon présent.
Jurassique
(≃145.0 - 201.4)
 non présent
Trias
(201.4 - 251.902)
 non présent
Paléozoïque
(252.17 - 538.8)
Permien
(251.902 - 298.9)
 non présent
Carbonifère
(298.9 - 358.9)
Pennsylvanien
Q :Quartz stérile, en filons (Carbonifère sup. àJurassique inférieur)
P :Pegmatites, en petits corps au sein du massif granitique deSaint-Mathieu et desgneiss du massif du Suquet (Carbonifère sup. àPermien)
Mississippien
Qp :Quartz minéralisés,quartz minéralisés en plomb,quartz aurifères (Carbonifère inf.)
Dévonien
(358.9 - 419.2)
 non présent
Silurien
(419.2 - 443.8)
 non présent
Ordovicien
(443.8 - 485.4)
 non présent
Cambrien
(485.4 - 538.8)
λρ1 :UTP (Unité de Thiviers-Payzac) :Métarhyolitefelsitique àquartz,albite etfeldspathspotassiques en petits corps ou bancs minces. (Cambrien àOrdovicien)
δΠ1 :UIG ((Unité inférieure desgneiss) - Formations basiques et ultrabasiques :serpentinites massives ouschisteuses (Cambrien àSilurien)
oγ3 :UIG ((Unité inférieure desgneiss) - Complexequartzo-feldspathique :leptynites ocellées ou non (complexe volcano-détritique acide), àmuscovite et parfoisbiotite (Cambrien àOrdovicien)
oζλ3 :UIG ((Unité inférieure desgneiss) - Complexequartzo-feldspathique :gneissleptyniques rubano-œillés, et œillés-stratifiés (protolithe plutono-volcano-détritique acide), àbiotite etmuscovite accessoire - intercalationsschisteuses (Cambrien àOrdovicien)
oλ3m :UIG ((Unité inférieure desgneiss) - Complexequartzo-feldspathique :leptynites rubano-œillées et œillées-stratifiées (protolithe plutono-volcano-détritique acide), àmuscovite etbiotite accessoire (Cambrien àOrdovicien)
fλ3-4b :UIG ((Unité inférieure desgneiss) -Leptynites deSaint-Yrieix,Meuzac etSarlande : ortho-leptynites àbiotite et grain fin (Cambrien àOrdovicien)
ζ1 :UIG ((Unité inférieure desgneiss) :gneiss etmicaschistespélitiques à deuxmicas oubiotite seule (Néoprotérozoïque àCambrien)
ζ1-2I :UIG ((Unité inférieure desgneiss) :gneissplagioclastiquesgrauwackeux àschisteux à deuxmicas oubiotite seule etsillimanite et parfoismicrocline (Néoprotérozoïque àCambrien)
ξ1 :UPA :Micaschistes lamelleux à deuxmicas, parfoisgrenats etsilicates d'alumine (groupe de laDronne,Néoprotérozoïque àCambrien)
 

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vasteplateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans leNontronnais, àSaint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m àLamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 259 m[6] à l'extrême sud, là où laValouse quitte le territoire communal et sert de limite entreChalais etSaint-Paul-la-Roche, au sud-ouest du lieu-ditPiangaud, et 432 m[6] au nord-ouest, au nord du lieu-ditle Meygnaud, en bordure de laroute nationale 21[7].

Dans le cadre de laConvention européenne du paysage entrée en vigueur en France le, renforcée par laloi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, unatlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en[8]. Les paysages du département s'organisent en huitunités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à larégion naturelle duNontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,37 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans lebassin de la Dordogne au sein duBassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Côle, la Valouse, le Touroulet et par divers petits cours d'eau, qui constituent unréseau hydrographique de 30 km de longueur totale[16],[Carte 1].

LaCôle, d'une longueur totale de 51,53 km, prend sa source dans la commune voisine deFirbeix et se jette dans laDronne en rive gauche, en limite deBrantôme en Périgord et deCondat-sur-Trincou[17]. Du nord à l'ouest, elle arrose le territoire communal sur plus de quatre kilomètres et demi, alimentant l'étang de la Monnerie et la branche orientale du plan d'eau de Mialet, servant de limite naturelle sur deux kilomètres face à Firbeix etMialet, en deux tronçons.

LaValouse, d'une longueur totale de 23,82 km, prend sa source dans la commune voisine deSaint-Pierre-de-Frugie et se jette en rive droite de l'Isle, àSaint-Paul-la-Roche, face àSarrazac[18],[19]. Elle traverse la commune à l'est sur huit kilomètres, alimentant l'étang de la Barde et servant sur près de cinq kilomètres de limite territoriale face à Saint-Pierre-de-Frugie,Saint-Priest-les-Fougères etChalais, en deux tronçons.

LeTouroulet, ou ruisseau de la Pouyade dans sa partie amont, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source au nord du bourg de La Coquille et se jette dans laCôle en rive gauche en limite deSaint-Jory-de-Chalais et deThiviers, face àSaint-Romain-et-Saint-Clément[20],[21]. Le ruisseau de la Pouyade arrose la commune en direction du sud-ouest sur près de quatre kilomètres.

  • À son extrémité orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (à gauche) et Mialet.
    À son extrémité orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (à gauche) et Mialet.
  • L'étang de la Barde alimenté par la Valouse.
    L'étang de la Barde alimenté par la Valouse.
  • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de la La Coquille.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe lesbassins versants de l'Isle et de laDronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[23].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Dordogne.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[24]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[25].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 090 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Statistiques 1991-2020 et records LA COQUILLE (24) - alt : 324m, lat : 45°32'40"N, lon : 0°58'55"E
Records établis sur la période du 01-06-1982 au 30-11-2015
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)21,64,169,212,113,813,8118,84,82,57,5
Température moyenne (°C)5,15,48,810,914,517,719,719,716,413,18,25,612,1
Température maximale moyenne (°C)8,29,213,415,819,723,325,525,721,817,311,58,716,7
Record de froid (°C)
date du record
−18,7
16.01.1985
−15
08.02.1991
−12
01.03.05
−5
12.04.1986
−0,9
16.05.12
2,3
03.06.1989
5,5
04.07.1990
3,1
29.08.1986
1,3
27.09.10
−3,1
26.10.03
−9,6
21.11.1993
−10,5
31.12.1985
−18,7
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,1
05.01.1999
22,1
15.02.1998
25,1
19.03.05
28,8
30.04.05
32,5
30.05.01
37,5
27.06.11
38,4
16.07.15
39,5
07.08.03
34,4
03.09.05
30
02.10.11
23
07.11.15
19,5
29.12.1983
39,5
2003
Précipitations (mm)119,793,391,7104,594,584,965,57386,2104,8127,2133,51 178,8
Source :« Fiche 24133002 », surdonneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au, La Coquille est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30].Elle est située hors unité urbaine[31] et hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (30,2 %), forêts (30 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), zones urbanisées (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %),terres arables (1,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,8 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de La Coquille est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque deradon[35]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Risques naturels

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La Coquille est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental deprotection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Coquille.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[41]. 19,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[42].

La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2007, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Coquille est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[43].

Toponymie

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Enoccitan, la commune porte le nom deLa Coquilha[44].

Histoire

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Située sur l'un des cinqchemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, c'est dans cette paroisse que l'on donnait aux pèlerins unecoquille Saint-Jacques, d'où le nom de « La Coquille » et l'emblème qui lui est lié.

L'église, située sur la routeRichard Cœur-de-Lion, futré-inaugurée par le souverain et l'accueillit pendant son voyage. Il y annonça plusieurs édits.[réf. nécessaire])

En tant que commune, le nom deLa Coquille n'apparaît officiellement qu'en 1856, en remplacement deSainte-Marie-de-Frugie[45].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de La Coquille (appelée Sainte Marie de Frugie à l'époque) a, dès 1790, été rattachée aucanton de Jumilhac qui dépendait dudistrict d'Excideuil. En 1800, lesdistricts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[6].

Intercommunalité

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En 1995, La Coquille intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[46] puis en encommunauté de communes Périgord-Limousin[47].

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinzeconseillers municipaux ont été élus en 2020[48],[49].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
19571977Henri FrugierUDRNégociant-artisan, suppléant du députéPierre Beylot (1968-1973)
19771983Guy BessePCFConseiller général (1967-1985)
19831989Henri FrugierRPR 
1989mars 2008Claude Boyer  
mars 2008mars 2014Jean-Pierre MassalouxSE[50]Cadre de l'industrie retraité
mars 2014[51]
(réélue en décembre 2022[52])
En coursMichèle FaurePSRetraitée

Jumelages

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La Coquille est jumelée avec la municipalité allemande deRomrod depuis 1990 ; ce jumelage a été étendu aux huit autres communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand en 2012[53].

Équipements et services publics

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Justice

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Dans le domaine judiciaire, La Coquille relève[54] :

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].

En 2022, la commune comptait 1 259 habitants[Note 5], en évolution de −6,6 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
9309049231 1091 0811 1081 1411 2001 141
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 1021 1421 1119971 1221 2511 3661 4211 524
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 6171 7931 6911 5851 5501 5741 5591 5441 539
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
1 5311 5561 6921 5751 5151 4891 4071 4041 364
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
1 3431 2761 259------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puisInsee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Emploi

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En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 459 personnes, soit 34,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (87) a fortement augmenté par rapport à 2010 (49) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,0 %.

Établissements

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Au, la commune compte 145 établissements[59], dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, trente-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, et neuf dans l'industrie[60].

  • La Vieille Auberge, café-bar-brasserie.
    La Vieille Auberge, café-bar-brasserie.
  • Tabac.
    Tabac.
  • Pharmacie (fermée).
    Pharmacie (fermée).
  • Poste.
    Poste.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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En sus duparc naturel régional Périgord-Limousin[64], La Coquille est entièrement incluse dans la « zone tampon » de la vaste « réserve de biosphère dubassin de la Dordogne », un espace protégé et géréNatura 2000[65] (5 070 km2).

Pèlerinage de Compostelle

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Précédé parSuivi par
Châlus
Via Lemovicensis
(? km jusqu'àSaint-Jacques-de-Compostelle)
Chalais

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de La CoquilleBlason
D’or à la coquille renversée d’argent, les cotes de sinople, surmontée d'une couronne murale de trois tours d'argent, maçonnée de sable; au chef de gueules chargé de trois lions d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de la Coquille » surGéoportail(consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », surespritdepays.com(consulté le).
  2. « Carte géologique de La Coquille » surGéoportail(consulté le 13 juin 2022).
  3. a etb« Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Coquille », surle Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie(consulté le).
  4. « Notice associée à la feuilleno 711 - Châlus de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », surInfoterre, le site du BRGM(consulté le).
  5. « Notice associée à la feuilleno 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », surInfoterre, le site du BRGM(consulté le).
  6. abcd eteDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », surdrive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  10. « Repères géographiques du Périgord limousin », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  11. « Portrait du Périgord limousin », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Coquille », surle site de l'Insee(consulté le).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », surl'Observatoire des territoires(consulté le).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », surdata.iledefrance.fr(consulté le).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », suradour-garonne.eaufrance.fr(consulté le).
  16. « Fiche communale de la Coquille », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine(consulté le).
  17. Sandre, « la Côle »
  18. « Confluence Valouse-Isle au Pont du Tacot » surGéoportail(consulté le 28 juillet 2022)..
  19. Sandre, « la Valouse »
  20. « Confluence Touroulet-Côle à l'est de la Rochette » surGéoportail(consulté le 28 juillet 2022)..
  21. Sandre, « le Touroulet »
  22. « SAGE Isle - Dronne », surgesteau.fr(consulté le).
  23. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », suroccitanie.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
  24. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. »[PDF], surhaute-vienne.chambre-agriculture.fr,(consulté le),p. 2.
  25. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  26. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  27. « Station Météo-France commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  28. « Station Météo-France commune de La Coquille) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  29. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  30. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  31. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », surinsee.fr,(consulté le).
  33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  35. a etb« Les risques près de chez moi - commune de La Coquille », surGéorisques(consulté le).
  36. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », surdordogne.gouv.fr(consulté le), chapitre Feux de forêts.
  38. « Protection de la forêt contre les incendies », surle site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine,(consulté le).
  39. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », surle site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine(consulté le).
  40. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », surdordogne.gouv.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  41. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  42. « Sols argileux, sécheresse et construction », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  43. « Cartographie du risque radon en France. », surle site de l’IRSN,(consulté le).
  44. Le nom occitan des communes du Périgord - La Coquilha sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.
  45. Chantal Tanet et Tristan Hordé,Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,p. 118,éditions Fanlac, 2000(ISBN 2-86577-215-2).
  46. [PDF]« Arrêténo 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016,p. 165-169.
  47. [PDF]« Arrêténo 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017,p. 170-172.
  48. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, surLégifrance, consulté le 2 septembre 2020.
  49. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
  50. « Voici vos 557 maires », édition spéciale deSud Ouest du 3 avril 2008,p. 10.
  51. Charlie Mazière, « Un nouveau maire »,Sud Ouest édition Périgueux,,p. 24.
  52. Daniel Syriex, « Les membres du nouveau Conseil municipal ont élu la maire de la commune »,Sud Ouest édition Dordogne,,p. 21.
  53. Philippe Pagès,Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], surSud Ouest du 30 octobre 2014,p. 19.
  54. « Annuaire des juridictions d'une commune », surle site du ministère de la Justice(consulté le).
  55. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  57. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  58. Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.
  59. « Établissement - Définition », surInsee(consulté le).
  60. Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.
  61. / visite de mgr Nicolas
  62. Daniel Syriex, « Le monastère bouddhiste Kanshoji a célébré son vingtième anniversaire »,Sud Ouest édition Dordogne,,p. 19.
  63. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Haut fourneau, affinerie, martinet dit Forge de la Barde, puis filature Gay, actuellement établissement administratif du Parc naturel régional Périgord-Limousin
  64. « Parc naturel régionalPérigord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographieespace protégé Natura 2000.
  65. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone tampon » - FR6400011. Fiche et cartographieespace protégé Natura 2000.
  66. Charlie Mazière,Les militaires n'oublient pas la barbarie nazie,Sud Ouest du 23 mai 2011.
  67. Guy Penaud,Dictionnaire biographique du Périgord,éditions Fanlac, 1999,(ISBN 2-86577-214-4),p. 119-120.
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